Un noir la lui met dedans

Un noir la lui met dedans




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Un noir la lui met dedans
No compatible source was found for this media.
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Transparent Semi-Transparent Opaque
Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Dropshadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps
Reset restore all settings to the default values Done


Options


Favoris

Signaler


Article + 142 commentaires




Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.

Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Code embed
Un homme noir rentre dans un ascenseur en compagnie d'une femme blanche. Il y a certains gestes racistes qui ne trompent pas.

No compatible source was found for this media.
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Transparent Semi-Transparent Opaque
Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Dropshadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps
Reset restore all settings to the default values Done


Options


Favoris

Signaler


Article + 142 commentaires




Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.

Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Code embed
Un homme noir rentre dans un ascenseur en compagnie d'une femme blanche. Il y a certains gestes racistes qui ne trompent pas.


Patrick Lagacé
LA PRESSE

Votre bloqueur de publicités est activé.
Pourquoi désactiver votre bloqueur? Autoriser la publicité Dismiss
Si vous avez lu Boucar Diouf dans La Presse de samedi, vous avez appris que l'humoriste est bien malgré lui au centre d'une controverse lancée sur le site du Huffington Post Canada . Permettez que je récapitule.
Au gala Les Olivier, le 12 mai, l'animateur Mario Jean a personnifié des humoristes québécois. Parmi eux: André Sauvé, François Massicotte et Boucar Diouf.
Pour imiter Diouf, Mario Jean portait une chemise colorée comme en porte souvent le souriant Sénégalais transplanté au Québec. Et son visage était maquillé en noir.
Ce sketch n'a pas fait bouger l'échelle de Richter de la controverse, au lendemain de sa diffusion. Il a fallu que Nydia Dauphin, blogueuse jusqu'ici inconnue, décrÚte que le sketch en question était raciste, le 16 mai, sur le Huffington Post Canada .
Pour cause de blackface , jadis utilisĂ© dans les minstrelsies , ces sketchs amĂ©ricains dĂ©testables oĂč des acteurs blancs maquillĂ©s de noir imitaient les Noirs de façon stĂ©rĂ©otypĂ©e, comme des ĂȘtres idiots et animĂ©s par la seule poursuite du plaisir.
Dans l'AmĂ©rique moderne, ĂȘtre Blanc et se peindre le visage en noir Ă  des fins d'humour - sur scĂšne ou ailleurs - fait donc l'objet d'une rĂ©probation gĂ©nĂ©ralisĂ©e.
Mais ce que j'ai compris du blackface dans les minstrelsies, c'est qu'on y dĂ©peignait les Noirs de façon gĂ©nĂ©rique. Le Blanc caricaturait le Noir tel que le Noir existait dans la tĂȘte des racistes de l'Ă©poque. L'idĂ©e Ă©tant de le cantonner dans des rĂŽles d'ĂȘtres limitĂ©s, dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, idiots.
Bref, rien Ă  voir avec le sketch de Mario Jean.
Quand la chroniqueuse du journal Métro Judith Lussier a pondu une défense du sketch et exprimé sa consternation devant la chronique de Mme Dauphin, la terre a tremblé sous les médias sociaux, en anglais et en français, au Québec et ailleurs au pays.
Judith a donnĂ© la parole Ă  Boucar Diouf: «Moi, je viens d'une famille mĂ©tissĂ©e, et je trouve ça gĂȘnant pour mes beaux-parents de Matane qui se font traiter de racistes. Personnellement, je n'avais jamais entendu parler de ça, le blackface, et je ne me reconnais pas du tout lĂ -dedans. Jamais la caricature de Mario Jean ne m'a offusquĂ©.»
Cette Ăšre mondialisĂ©e oĂč le web ouvre des fenĂȘtres sur les autres cultures est fantastique. Je suis pour l'ouverture des fenĂȘtres. Mais je suis contre l'importation des contextes et des indignations, qu'on transplante bĂȘtement d'une culture Ă  l'autre.
C'est ce que Mme Dauphin a fait, à mon avis. Le blackface des minstrelsies américains participe de la tragique histoire des Noirs américains. Sa signification, et le tabou qu'il incarne, sont bien connus là-bas.
Peut-on dire la mĂȘme chose du blackface dans un contexte quĂ©bĂ©cois? Pas sĂ»r. Pas du tout. C'est pourquoi Boucar a dit Ă  la journaliste qu'il n'avait jamais entendu parler de la pratique. Il n'est pas le seul.
Le sketch de Mario Jean ne mettait pas en scÚne une version fantasmée d'un Noir idiot, essence du blackface. Il parodiait Boucar en tant que Diouf, pas en tant que Black générique.
Ce sketch, c'est le contraire du racisme: Diouf était célébré comme étant partie de la gang. Ce que vous ne verrez pas si vous calquez votre grille des indignations sur celles des Américains.
Je lis les pourfendeurs de Mario Jean, Boucar Diouf et Judith Lussier sur Twitter et je me demande ce que les concepteurs du gala Les Olivier auraient dĂ» faire, dans ce sketch...
Demander Ă  Anthony Kavanagh de remplacer Mario Jean pour l'imitation - et seulement cette imitation - de Boucar Diouf?
L'imiter sans faire d'allusion à sa négritude?
Ou ne pas imiter Boucar dans ce sketch, sous prétexte qu'il est «insensible» d'imiter un Noir?
Dans les trois cas, c'eut été absurde, pour ne pas dire raciste. Notre racisme existe. Il est ailleurs.
Notre racisme s'exprime entre autres dans le taux de chĂŽmage plus Ă©levĂ© des minoritĂ©s du QuĂ©bec - mĂȘme Ă  diplĂŽme Ă©gal -, comparativement Ă  la moyenne des ours.
Ce racisme a mĂȘme Ă©tĂ© mesurĂ© par un test de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du QuĂ©bec (CDPDJ), l'an dernier.
Le chercheur Paul Eid a fait un «testing» par envoi de paires de CV, en rĂ©ponse Ă  des offres d'emplois affichĂ©es Ă  MontrĂ©al. Traduction: le mĂȘme CV, mais envoyĂ© par un (faux) Tremblay et un (faux) TraorĂ©...
Devinez qui a plus de chances d'avoir un job? Eh oui...
Extrait de la conclusion de l'Ă©tude de M. Eid: «À profil et Ă  qualifications Ă©gaux, un Tremblay ou un BĂ©langer a au moins 60% plus de chances d'ĂȘtre invitĂ© Ă  un entretien d'embauche qu'un Sanchez, un Ben Said ou un TraorĂ©, et qu'environ une fois sur trois (35%), ces derniers risquent d'avoir Ă©tĂ© ignorĂ©s par l'employeur sur une base discriminatoire.»
Le chÎmage, c'est l'exclusion. C'est pourquoi le chÎmage systémique des Québécois non-Blancs est un drame. Un drame trop peu abordé.
Vous ne trouverez pas le racisme made in Québec sur scÚne, télédiffusé devant des centaines de milliers de personnes. Notre racisme est soft, anonyme, il parle tout bas.
Et pour le voir, il faut autre chose que des réflexes conditionnés par l'expérience américaine.

Depuis le 19 aoĂ»t, une spectaculaire vague d’arrestations secoue le Mexique : en plus de narcotrafiquants, l’ex-procureur en chef de la nation JesĂșs Murillo Karam, ainsi que 64 policiers et militaires ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s et inculpĂ©s dans l’affaire des 43 étudiants de l’École normale rurale d’Ayotzinapa, disparus depuis le 26 septembre 2014.


Bien que le déclenchement officiel ne soit pas encore chose faite, on sent depuis quelques semaines que la fiÚvre électorale au Québec est déjà bien installée.


Depuis 2013, les droits de scolaritĂ© sont indexĂ©s en fonction du revenu disponible des mĂ©nages par habitant. La ministre Danielle McCann a Ă©tĂ© forcĂ©e d’intervenir pour Ă©viter la majoration de 8,2 % que l’application de ce principe aurait entraĂźnĂ©e cette annĂ©e et limiter la hausse Ă  2,4 %.


Le QuĂ©bec est affectĂ© par une crise du logement sans prĂ©cĂ©dent. Qui aurait cru que des municipalitĂ©s en GaspĂ©sie, sur la CĂŽte-Nord ou en Abitibi-TĂ©miscamingue afficheraient des taux d’inoccupation en deçà de 1 % ?


Qu’on cesse de nous rĂ©pĂ©ter que MontrĂ©al est une ville sĂ©curitaire parce qu’il y a moins de meurtres ici qu’à Chicago, ou moins de crimes violents que dans les annĂ©es 1970. Ce sont des statistiques.


« Toute tient sur rien ! » était le jugement que portait mon pÚre sur des évÚnements, et sur la société en général, quand ceux-ci déraillaient.


Le ministre des ForĂȘts, de la Faune et des Parcs, Pierre Dufour, ne doit pas ĂȘtre de trĂšs bonne humeur cette semaine.


En rĂ©ponse au texte d’Olivier Rancourt, « RĂ©gime des rentes du QuĂ©bec – Pour le bien-ĂȘtre des QuĂ©bĂ©cois, il faut pouvoir se dĂ©saffilier » ⁠1 , publiĂ© le 19 aoĂ»t.


Avec la disparition de l’ingĂ©nieur Armand Couture, le QuĂ©bec devient encore un peu plus orphelin des tĂ©moins humains de son essor historique des annĂ©es 1960 et 1970.


En cette période de la rentrée scolaire pour les étudiants du Québec, il est maintenant temps de mettre la table pour que « éducation » rime autant que jamais avec « environnement ».


AppuyĂ©s par l’ensemble des zones d’exploitation contrĂŽlĂ©e (zec) du QuĂ©bec, nous, les reprĂ©sentants des 11 zecs de la rĂ©gion de la Mauricie, tenons Ă  nous exprimer aujourd’hui dans un esprit d’équitĂ© et de partage du territoire. Depuis plusieurs annĂ©es, nous jouons le jeu du processus d’harmonisation forestiĂšre instaurĂ© par le ministĂšre des ForĂȘts, de la Faune et des Parcs (MFFP) et son reprĂ©sentant actuel, le ministre Pierre Dufour, mais force est d’admettre que les intĂ©rĂȘts de l’industrie forestiĂšre sont privilĂ©giĂ©s au dĂ©triment de ceux des QuĂ©bĂ©cois.


Le Parti conservateur du QuĂ©bec (PCQ) n’est pas, Ă  proprement parler, un nouveau parti. Dans l’ùre moderne, il a Ă©tĂ© fondĂ© en 2009 et a prĂ©sentĂ© ses premiers candidats Ă  l’élection de 2012. Mais il n’a jamais rĂ©ussi Ă  obtenir plus de 1,5 % des voix.


Pendant les prochaines semaines, vous verrez les politiciens québécois se chicaner, tenter de se différencier les uns des autres.


Manifestement, bien des électeurs sont laissés pour compte à la veille du déclenchement des élections québécoises. Voici un aperçu des courriels reçus à la suite du dossier sur les orphelins politiques de Stéphanie Grammond, publié le 21 août dans la section Contexte.


Il m’a fallu prendre quelques semaines de recul avant de pouvoir mettre des mots sur le sentiment d’infinie tristesse qui m’habite depuis l’annonce de la mort de Vadim. La rentrĂ©e scolaire qu’il ne fera pas m’a dĂ©cidĂ©e Ă  le faire, comme un message lancĂ© pour libĂ©rer la peine et susciter l’écoute attentive.

© La Presse Inc. Tous droits réservés.
La publicité est une source de revenus importante qui nous permet de continuer à publier gratuitement une information de qualité pour tous.

Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépÎt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matiÚre de cookies, consultez notre charte cookies .
IPOS-SANTÃ? A RÃ?ALISÃ? une enquĂȘte « qualitative », 25 entretiens approfondis avec
des adolescents de 13 Ă  18 ans conduits du 1
« matĂ©riau », intime et spontanĂ©, qui rĂ©vĂšle leur perception des moments oĂč tout peut basculer,
des signes qui les alertent entre eux, et de l'aide qu'ils s'apportent.
, heureux dans sa famille. Il s'inquiĂšte pour sa copine, 15 ans :
« Elle a eu un problÚme avec son pÚre qui, depuis qu'elle est jeune, a disparu. Elle s'est retrouvée
seule avec sa mĂšre. Elle a un trĂšs grand frĂšre que j'ai vu, qui ne s'occupe pas du tout d'elle.
Il a fait un trait sur le passé, je pense, il s'est mis en retrait pas rapport à sa famille.
Sa mÚre travaille à fond, elle est bien obligée. Ma copine se retrouve toute la journée seule
Vladimir explique que sa copine n'est pas motivée au collÚge : « Le truc,
c'est qu'elle n'a rien qui la soutient derriĂšre, elle ne parle jamais avec sa mĂšre. Elles ne
passent pas beaucoup de temps ensemble, ça met pas des liens assez forts. C'est une maman gentille
comme tout le monde, mais elle a des horaires assez éparpillés. Y a pas de liens. Si la fille
a un problÚme avec un professeur ou une amie, elle va aller chercher le réconfort de sa mÚre.
Mais là, c'est deux gouffres et c'est pas bon du tout. »
Vladimir a réalisé que sa copine n'allait
pas bien quand elle a changé de façon de s'habiller : « En noir, des pics, des clous un peu
partout. DĂ©jĂ  on sent qu'elle n'est pas en confiance, qu'elle est mal dans sa peau. Elle se
renfermait sur elle. Elle avait plus envie de sortir, je sentais comme si elle me glissait entre
les doigts. J'ai essayé de savoir ce qui n'allait pas. Une aprÚs-midi, elle a complÚtement éclaté,
elle partait en déprime à cause de ses parents, de son frÚre, elle s'ennuyait comme pas possible,
comme si elle n'avait pas de but. »
Vladimir s'inquiÚte de son goût pour les rituels gothiques
: « Elle m'a dit qu'elle commençait à s'intéresser aux messes noires, ce qu'on appelle le gothique.
Elle a découvert qu'en s'habillant en noir avec des pics les autres avaient un regard sur elle.
Ã?a commence par se lacérer les veines avec un couteau. Il suffit de lui lever la main pour voir
que c'est tailladé dessous. Elle est à fond là-dedans. »
Valdimir voudrait arriver à l'aider : « Je lui ai demandé de trouver
un dialogue avec sa mÚre. Elle a essayé de m'écouter, d'organiser des petits trucs avec sa mÚre,
de parler et tout, mais elle s'est rendu compte que c'Ă©tait le travail avant et sa fille aprĂšs,
et ça l'a rendue malade comme pas possible. Je lui ai dit de trouver un but, elle adore le dessin,
Tu m'Ă©cris tous les jours un petit poĂšme, tu dis ce que tu ressens
» Sa copine se taille vraiment les veines, « ça a été le déclic pour que sa mÚre comprenne que
Vladimir pense que sa copine, encore fragile, reprend goût à la vie, et juge
que dans ce genre de situation le dialogue avec les adultes est trÚs difficile : « C'est pas
parce qu'ils sont adultes qu'ils vont savoir comment arrĂȘter ça (...). Ils Ă©coutent l'enfant parler
pendant une heure, si déjà ils réussissent à instaurer un dialogue c'est énorme. Quand on est
entre ados, on va pas chercher un adulte (...). La meilleure solution lĂ -dedans c'est les amis,
c'est tout (...). AprĂšs, les parents, quand il y a un bon dialogue, mais la plupart du temps,
Profitez des avantages de l’offre numĂ©rique

Ils se sont rencontré sur le net
Une clown femme se fait défoncer
Elle veut plus de baise

Report Page