Un mystère Mexicain

Un mystère Mexicain




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un mystère Mexicain
Alle Titel TV-Folgen Prominente Unternehmen Stichwörter Erweiterte Suche
Vollständig unterstützt English (United States) Teilweise unterstützt Français (Canada) Français (France) Deutsch (Deutschland) हिंदी (भारत) Italiano (Italia) Português (Brasil) Español (España) Español (México)
Fernsehserie 1970–1974 1970–1974 13 Min.
Füge eine Handlung in deiner Sprache hinzu
4 Jahre 1974 1973 1971 1970 Alle anzeigen
Hinterlasse als Erster eine Rezension
Bearbeitung vorschlagen oder fehlenden Inhalt hinzufügen
The Best Movies and Shows to Watch in August
Fall TV Guide: The Best Shows Coming This Year
Sie haben keine kürzlich angezeigten Seiten.

05 juin 2021 à 09:23 - mise à jour 06 juin 2021 à 13:43 • 3 min
Imaginez-vous. Vous vous réveillez de bon matin, avalez un petit-déjeuner et sortez, tasse de café ou de thé à la main pour profiter de la brise matinale. Face à vous, votre jardin s’est mué en un énorme trou béant, profond et de 5 mètres de diamètre. C’est la déconvenue qu’a vécu une famille résidant au Mexique, le 29 mai dernier. Depuis, le trou ne cesse de s’étendre chaque jour un peu plus et excède aujourd’hui les 100 mètres de diamètre.
Phénomène qui marque tant par le mystère qui gravite autour de son apparition que par son aspect spectaculaire, ce véritable gouffre a pris possession d’un champ situé à Santa María Zacatepec, au sud de ce pays d’Amérique du Nord. S’il semblait n’être au départ qu’un petit phénomène d’érosion naturelle, il inquiète désormais les autorités locales car son ampleur ne cesse de croître depuis tout juste une semaine.
Selon le New York Post , la famille vivant aux abords du champ désormais creusé par le trou qui s’est, au fil du temps, rempli d’eau, a été réveillée par un coup de tonnerre. Ce bruit sourd était en fait la chute d’une partie du terrain situé derrière leur maison. D’abord "petit", le gouffre s’est petit à petit mué en énorme cavité, passant à 18, puis à 30, 60 pour finalement dépasser les 100 mètres de diamètre.
Aujourd’hui, ce creux dans le sol menace d’atteindre la propriété de la famille qui vit juste à côté du champ qu’il a avalé avec ses nombreuses extensions au fil des jours. " Nous n’avons rien, nous ne sommes pas d’ici, n’avons pas de famille, nous sommes seuls ", a témoigné Heriberto, le père de famille auprès d’un média local, repris par l’AFP.
La famille a d’ailleurs été expropriée mais redoute de perdre sa maison et par la même occasion, tout ce qu’elle possède. " Les autorités ne nous ont rien dit mais nous voyons que notre maison est juste au bord du gouffre ", déplore Magdalena, l’épouse de Heriberto auprès du quotidien local El Sol des México . " Nous sommes très tristes car construire cette maison nous a demandé beaucoup d’efforts, de sacrifices. Nous avons réussi mais maintenant, ce drame survient. "
Comment et surtout pourquoi ce trou est-il apparu ? Les autorités locales sont sur le pont pour répondre à cette question. Miguel Barbosa Huerta, le gouverneur de l’État de Puebla où est située la petite ville qui fait la une des titres locaux depuis plusieurs jours, a déclaré que le cratère avait atteint une profondeur jusqu’à 20 mètres en dessous du niveau de la mer le 31 mai. Il s’est d’ailleurs rapidement rempli d’eau.
Si le phénomène attire de nombreux curieux, la police locale tient toute personne qui souhaite s’approcher du trou à distance, relate la CNN . Les riverains ont d’ailleurs leur théorie sur l’origine de ce mystérieux phénomène. Certains pensent que le champ a été installé par-dessus un "jagüey", un ancien étang, finalement rebouché et transformé en terres agricoles.
Du côté des autorités environnementales, on évoque plutôt un "ramollissement des terres agricoles", causée par l’extraction des aquifères. Il s’agit d’un type de roche qui, lorsqu’elle est rendue poreuse ou fissurée, est propice aux écoulements verticaux, et donc aux effondrements. Cumulées à l’extraction d’eau souterraine, les cultures sur le champ auraient contribué à affaiblir la solidité du sous-sol.
Ces explications pourraient faire rentrer ce gouffre dans la catégorie des "dolines", des cavités qui se creusent d’un seul coup. Elles apparaissent généralement dans des sols qui surplombent de zones où coule de l’eau. Dans son passage, l’eau dissout la roche calcaire et favorise l’apparition de vide dans le sol qui engendre parfois l’effondrement de la surface.
Pour l’heure, des spécialistes de la Commission nationale de l’eau du Mexique enquêtent afin de connaître les causes qui ont favorisé l’apparition de ce cratère. Un travail qui pourrait durer puisque de nombreux médias évoquent une durée de 30 jours pour mettre au jour de potentielles explications.
Pour voir ce contenu, connectez-vous gratuitement
Miguel Barbosa a indiqué que le trou " grandira jusqu'à ce que la nature le décide lorsque l'eau cessera d'exercer une pression ". Dans un tweet en date du jeudi 3 juin, la Protection civile mexicaine indique que la cavité pourrait encore s'agrandir, car la terre, "en contact direct avec l’eau perd sa résistance et est facilement érodable" .
Qu'est-ce qui a provoqué l'effondrement du sol et la création d'un gouffre au Chili ?

Le mystérieux gouffre, qui mesure...

Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
Comment l’Allemagne se prépare à devoir rationner le gaz cet hiver
Bill Gates investit dans la climatisation moins énergivore
Quand la baigneuse heurte l’hélice du bateau
Entreprises : « La détection des risques politiques doit être un processus collectif et organisé »
Les individus peuvent-ils sauver le climat grâce à la sobriété ?
Les voyages en train sont-ils trop chers ?
Qui réchauffe le climat (et comment) ?
Pourquoi la France s’accroche à des ilots inhabités ?
Attaque contre Salman Rushdie : faire front contre l’obscurantisme
Le « thanatocène », ou comment les guerres modernes détruisent aussi la planète
« L’Union européenne ne retrouvera une voix puissante dans le concert des nations que si elle assure sa souveraineté alimentaire »
Au Festival de Locarno, « Piaffe », d’Ann Oren, réussit son galop en compétition
Attaque contre Salman Rushdie : faire front contre l’obscurantisme
Marchés d’Europe, Stevenson, luttes féministes… Les replays du week-end
L’actrice américaine Anne Heche déclarée morte, une semaine après un accident de voiture
Hedi Slimane coupe le son chez Saint Laurent
Chanteuse pop, femme de footballeur, créatrice de mode… Les métamorphoses de Victoria Beckham
S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Les barbecues de l’été : les abricots au foin de Crau d’Armand Arnal
La version officielle, entachée d’irrégularités et trouée de zones d’ombres, est violemment démontée par une contre-enquête.
« Vivants ils les ont pris, vivants nous les voulons ! », ont scandé, lundi 26 septembre à Mexico, des milliers de manifestants pour le second anniversaire de la disparition des 43 élèves enseignants de l’école normale d’Ayotzinapa, dans l’ouest du Mexique. Ce drame, qui a bouleversé le pays, reste un mystère. La version officielle sur la mort des disparus est contestée. L’affaire a entraîné la démission d’un ministre et du responsable de l’enquête. Malgré 128 détenus, dont 70 accusés du crime, des zones d’ombre pèsent sur le plus volumineux dossier (240 tomes) de l’histoire judiciaire du pays. Lundi, les manifestants ont dénoncé l’obstruction du gouvernement dans un drame qui révèle l’ampleur de l’infiltration des institutions locales par le crime organisé.
Le soir du drame : Dans la nuit du 26 au 27 septembre 2014 à Iguala, dans l’Etat de Guerrero (ouest), des policiers municipaux véreux prennent pour cible les bus confisqués par une centaine d’étudiants qui voulaient se rendre à une manifestation à Mexico. Bilan : six morts, des dizaines de blessés et 43 disparus.
La version officielle : Le 27 janvier 2015, le ministre de la justice, Jesus Murillo Karam, annonce que le maire mafieux d’Iguala, du Parti de la révolution démocratique (PRD, gauche), et son épouse, ont ordonné l’attaque. Selon lui, les 43 jeunes ont été remis par les policiers au cartel « Guerreros Unidos », qui les ont assassinés dans la décharge de la ville voisine de Cocula, avant de brûler leurs corps sur un bûcher et de jeter leurs restes dans la rivière, Rio San Juan. Les autorités y ont retrouvé des sacs-poubelles contenant des os calcinés et des cendres. Mais seul l’ADN d’un disparu a été formellement identifié. Les 42 autres corps restent introuvables.
Une contre-enquête accablante : La version officielle a volé en éclats après la contre-enquête menée durant quatorze mois par cinq experts, mandatés par la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH). Leur rapport, publié en avril, dénonce aussi la participation de la police fédérale et de l’armée, des témoignages obtenus sous la torture, des destructions de preuves et des pistes non explorées.
Pas de bûcher à Cocula : A l’instar de l’Equipe argentine d’anthropologie médico-légale (EAAF), les experts de la CIDH rejettent la possibilité d’une crémation d’une telle ampleur dans la décharge de Cocula à cause de l’absence de traces sur la végétation. L’expert en feu de la CIDH, José Torero, a construit un bûcher, identique à celui décrit dans la version officielle (bois, pneus, essence). Des porcs y ont été brûlés pour imiter les corps des supposées victimes. L’expérience, décrite mi-septembre dans la revue Science , a conclu à l’impossibilité d’atteindre une température suffisante pour brûler 43 cadavres.
Des accusés torturés : 17 témoignages, dont quatre corroborant la version officielle, ont été obtenus sous la torture, selon le rapport des experts de la CIDH. 60 détenus dénoncent des abus des autorités, dont le maire d’Iguala et son épouse.
Obstruction et possible falsification de preuves : Dans une vidéo – diffusée notamment par CNN –, qui ne figure pas dans le dossier judiciaire, Thomas Zeron, alors directeur des enquêtes criminelles, marche sur les rives du Rio San Juan, à l’endroit précis où les sacs réputés contenir les cendres des disparus seront plus tard découverts. Révélées par les experts de la CIDH, ces images laissent planer le doute sur une possible falsification de preuves. La contre-enquête dénonce l’obstruction du gouvernement pour étouffer une affaire qui a entaché l’image du président Enrique Peña Nieto.
L’armée a tout vu : Des soldats ont suivi l’attaque en temps réel grâce au système de vidéosurveillance de la région. La nuit du drame, les militaires du 27 e bataillon, stationné à Iguala, ont aussi patrouillé dans la ville. Un agent des renseignements militaires a même pris des photos d’un affrontement entre les étudiants et les policiers. Les experts de la CIDH n’ont pas été autorisés à interroger les membres du bataillon.
La police fédérale impliquée : Des policiers fédéraux ont participé à des barrages, déviant la circulation des bus attaqués. L’opération de police a été « coordonnée dans une zone géographique bien plus étendue que celle précisée dans le dossier » , selon le rapport de la CIDH.
Un bus plein d’héroïne ? Un des autocars, confisqués par les étudiants, pourrait avoir transporté une cargaison de drogue. Malgré eux, les étudiants auraient perturbé un trafic d’héroïne à destination des Etats-Unis, expliquant l’attaque. Les experts de la CIDH mettent en « doute les identités du véhicule (…) et du chauffeur » que les autorités leur ont présentées.
Démission et nomination surprises : Le 14 septembre, M. Zeron démissionne de son poste de chef des enquêtes sans explication. Trois heures plus tard, il est nommé secrétaire technique du conseil de sécurité nationale par le président Peña Nieto. Les parents des disparus crient à « l’impunité » , alors qu’en 2015 M. Murillo Karam a lui aussi quitté son poste de ministre de la justice par la petite porte.
« Les autorités ont freiné les efforts internationaux pour découvrir la vérité », a dénoncé, jeudi 22 septembre, Erika Guevara, la directrice d’Amnesty International pour les Amériques. Pour Carlos Beristain, médecin espagnol et membre de l’équipe d’experts mandatés par la CIDH, « l’affaire montre la connivence d’une partie de l’appareil d’Etat avec le narcotrafic ». Enfin, « aux yeux de la communauté internationale, le gouvernement mexicain a montré que la défense des droits de l’homme l’importe peu », a déploré le président de la Chambre des députés, Javier Bolaños, du Parti d’action nationale (PAN, droite).
L’enquête reste ouverte : Le ministère public enquêterait sur la géolocalisation d’appels téléphoniques le soir du drame ainsi que sur l’implication des policiers de Huitzuco, une ville 32 km à l’ouest d’Iguala. Mais les résultats se font attendre. Par ailleurs, le gouvernement n’a pas renouvelé le mandat des experts de la CIDH, qui s’est achevé le 30 avril, mais un mécanisme de suivi de l’affaire a été mis en place en collaboration avec la CIDH. Enfin, « rien ne garantit que tous les responsables seront punis » , s’est inquiété, mercredi 21 septembre, Jan Jarab, représentant au Mexique du Haut-Commissariat de l’ONU chargé des droits de l’homme. Cinq jours plus tard à Mexico, les parents des 43 disparus étaient en tête du cortège de manifestants qui réclamaient : « Justice ! »
Frédéric Saliba (Mexico, correspondance)
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe .

Please enable JS and disable any ad blocker

Mia Khalifa ce fait sa bite sous la douche
Pénétre une jeune fille blonde avec sa grosse bite
Infirmière coquine aime s'étouffer

Report Page