Un moment solitaire mais tellement craquant
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Un moment solitaire mais tellement craquant
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La nouvelle enseignante Otai ,avait fini sa premiere journee ,il etait dans les environs de 0h00-1h00 ,on ne sait pas exactement ,et elle avait revue sa petite Kimi jolie si gentille et belle...elle n'avait pas du tout changée ,quand a Candice ,elle n'avait pas non plus changée toujours aussi agressive et vulgaire ...mais fallait l'avouer Candice etait une belle femme . Otai etait habillée d'une longue robe noir ,ses cheveux etaient detaches ,tres longs et ondulés ,elle etait pied nue ,et avanca sur la plage ,en regardant la mer ,elle s'allongea ensuite sur le sable ,et ferma ses yeux ,pour s'evadait un moment .
Takumi s'ennuyait un peu beaucoup ses derniers temps, depuis qu'il était arrivé le pauvre n'eut pas fait beaucoup de rencontre malgré sa grande sociabilité. Toutes les personnes rencontraient pour l'instant n'eut pas grande intérêt pour Takumi sauf deux-trois. Pour ainsi se dégourdir les jambes, il prid la direction de la plage, il se dit quà cette heure si tardive personne ne le dérangerait, une fois qu'il serait dans ses pensées. Aimant sa basse énormément il ne put s'empêcher de la laissere chez lui, il la prit donc comme si il invitait un pote à se joindre à lui. Une fois la plage atteint, il était au environ de minuit, il se balada sans trop savoir quelles heures il était et en plus Takumi s'en fichait de cette heure qui devenait de plus en plus tardive. Dans cette nuit sombre regarder où on marchait n'était pas si facile surtout qu'on est perdu dans ses pensées, ce qui fut à la base de la rencontre prochaine. Takumi marchait donc sur une plage vide de présence humaine quand son pied cogna sur un obstacle et le fit tombé. " Aïe aïe aïe aïe aïe, qu'est-ce que c'était comme obstacle. "
La jeune Otai était perdue dans ses pensees mais pas plus que ca ,car elle commencait à s'endormir ,elle n'avait peur de rien ,et ne se mefiait pas ,ses yeux se fermerent ,le vent frolait son doux visage et le sable cognait contre sa peau ,elle sourit puis ne pensa plus à rien ,soudain elle entendit un bruit ,comme une personne qui tombait au sol ...bizard. La jeune Otai se redressa donc ,assez surprise du bruit qu'elle venait d'entendre ,elle regarda autour d'elle ,lorsqu'elle vit la silhouette d'un homme ,elle fronca legerement les sourcils ,puis le regarda ,et se r'allongea sur le sable puis dit : -Qui es-tu?
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Sujet: un moment solitaire [libre] Mer 1 Aoû - 15:18
Sujet: Re: un moment solitaire [libre] Jeu 2 Aoû - 14:21
Sujet: Re: un moment solitaire [libre] Lun 20 Aoû - 3:27
Sujet: Re: un moment solitaire [libre]
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Jumbee (Roundnet) – Jeu de plein air à ...
Date de naissance : 28 juin 1992 Lieu de naissance : Paris Sexualité : Hétéro Qualités : Charmant, craquant, déterminé, intelligent, rieur Défauts : Vil, manipulateur, menteur, hypocrite, calculateur
Mathéo fait parti des gens qu’on oublie difficilement, et qu’on ne confond jamais avec un autre ! Ce n’est pas qu’il soit d’une beauté éblouissante, mais plutôt que tout chez lui semble extraordinaire. D’abord, la forme de son visage, fin sans pour autant être efféminé, puis ses lèvres, à la fois charnues et tendrement colorées, mais là encore, rien de féminin ! Son nez, légèrement retroussé, et de ce fait relativement rond, contraste avec la rigidité de ses traits, qui lui donnerait un air presque dur si ses yeux n’étaient pas si captivants. D’un bleu sombre presque gris, on peut y lire une grande intelligence et une malice presque malsaine. Mais peu de gens retiennent ce détail… Enfin, la plupart préfèrent garder lui l’image de garçon volontaire que souligne sa chevelure brune et bouclée. D’ailleurs, comment oublier la mèche argentée qui occupe sa tempe droite ! Quand on lui demande d’où elle vient, Mathéo répond qu’il est né avec. Et pourtant, on ne l’aperçoit sur aucune photo avant sa 4ème… Mathéo aime le sport, on pourrait même dire qu’il y excelle. Il est donc doté d’une fine musculature harmonieuse qui rend jaloux beaucoup de monde… Son style vestimentaire est simple, mais toujours de bon gout. Chemise ou polo bien taillés, bleu, blanc, gris, uni ou raillé. Pull col en V, pantalon beige gris, ou jean, une paire de vans ou de converses. Mais il sors aussi facilement costume et cravate de son placard dès que l’occasion le permet.
Mathéo est avant tout manipulateur, et de ce fait, menteur et hypocrite. S’il semble toujours souriant, son cœur crie souvent le contraire. Il semble bon ami et joyeux, et peu sont les gens qui voient autre chose dans son caractère… Si vous demandez ses camarades de le décrire, ils vous le dépeindront rieur et sérieux, et ses ex petites amies vous dresserons le portrait d’un jeune homme câlin et très attentionné, mais il les a toutes quittées peu de temps après avoir obtenu quelque chose… l’enregistrement d’un album, un violoncelle à pris réduit… Mais quand il découvre un véritable ami, il devient sincère et fidèle. Et qui sait ce qui se passera s’il tombait à nouveaux amoureux…
Mathéo sait se montrer très persuasif... Mais peut-on vraiment appeler ça un don ? Quoi que... certaines de ses « victimes » assurent avoir vu sa mèche argentée devenir soudainement lisse...
Ah, les arts pratiqués… A vrai dire il n’y en a, et il n’y en a jamais eu qu’un seul. La Musique. Depuis toujours, Mathéo a été fasciné par tout ce qui pouvait passer dans ses oreilles. Et puis un jour, au hasard d’une journée porte ouverte banale d’une école de musique banale dans un quartier banal, il est entré dans sa vie. Le violoncelle. L’instrument d’une existence. Mathéo avait à lors tout juste 5 ans. Il était plus petit que l’objet de bois vernis tout de courbes et de volutes, mais il n’avait pu en détacher son regard. Il avait aussi découvert ce jour là celui qui allait devenir son mentor, mais peu lui importait à ce moment. Il avait eu une illumination. Quand il serait grand, il jouerait du grand violon. Alors avec la détermination qui était déjà sienne à cet âge là, il avait suivi avec assiduité ses cours de solfège, et enfin, il avait eu son premier violoncelle. A l’adolescence, il avait commencé à composer. Puis à chanter. Il s’est même essayé à l’écriture, mais il n’était pas fait pour ça. Il avait alors pris l’habitude de mettre en musique les poèmes qui le touchaient. Dualité et pureté du mélange violoncelle-voix. Douceur, profondeur et puissance. A l’école d’art de Viastella, il étudia la musique auprès de Keiji Seto, bien entendu, mais aussi le chant, et tenta même un semestre en écriture, mais cet essai fût peu fructueux, aussi renonça-t-il à écrire ses textes…
Velours rouge, lumière autour du miroir de la coiffeuse. Une loge tout droit sortie de décors de film américain. Mathéo sourit à son reflet dans la glace. Aller, plus qu’un dernier show, et il rentrait à la maison ! Enfin, la maison… Voilà bien longtemps qu’il n’y a avait pas mis les pieds. Depuis le jour où il avait décidé d’aller à Viastella, il y avait maintenant 6 ans. Le prospectus de l’école était bien en évidence sur la table de la cuisine depuis le début de la journée. Elisabeth avait eu le temps de le parcourir plus d’une fois avant que son fils ne rentre du lycée ce jour là. Il allait filer vers sa chambre comme à son accoutumée quand elle le héla. -Tu comptes m’expliquer ce que c’est, l’école d’art de Viastella ? Le jeune homme avait planté ses yeux bleus dans ceux de sa mère, et lui avait parlé doucement. Il lui avait expliqué sa passion, sa volonté de devenir encore meilleur. De devenir le meilleur. Et la chance que serait Viastella pour y arriver. La proximité des professionnels, des grands du milieu. Les moyens assemblés dans la ville… Elle avait acquiescé, buvant ses paroles. Quand il avait quitté la pièce, elle s’ébroua légèrement. Quelle bonne idée ! Comment son fils pourrait-il s’épanouir mieux qu’en vivant de ce qu’il aimait par-dessus tout, la Musique ? Et puis, il avait le talent nécessaire pour réussir, il saurait percer ! Alors autant lui en donner les moyens ! Plus tard dans la soirée elle s’interrogea tout de même. Comment avait-elle été aussi vite convaincue du bienfondé de ce projet ? La veille elle pensait encore qu’il voulait terminer ses études, passer son bac, et aller à la fac, ou quelque chose de ce genre. Elle apprenait qu’il voulait tout plaquer pour aller dans une école d’art loin d'elle et elle ne disait rien ? Elle ne posait pas d’objection ? Pas même la moindre question ? Elle avait de plus en plus de mal à lui refuser les choses ces derniers temps… Mais en même temps, dans cette histoire, il avait l’air tellement sûr de lui… Oui, ce devait être une bonne chose… Et plus elle y pensait, moins elle trouvait de fondements à ses doutes. Et c’est ainsi que quelques semaines plus tard il avait quitté le nid familial pour ne plus jamais y remettre les pieds. Un dernier regard dans le miroir et il se tourna vers son violoncelle. Ah, son violoncelle. L’amour de toute sa vie. Avant d’être le sien, il avait été celui de Pierre Grimbault… Pierre… -Alors comme ça tu veux apprendre le violoncelle !? Tels avaient été les premiers mots du premier cours de Mathéo. Il ne pourrait jamais l’oublier, il le savait déjà ! La grande pièce remplie de partitions, avec des photos sur tous les murs. Des violoncellistes connus, des orchestres, des instruments… Dans un coin, la chaine hi-fi, et les tiroirs pleins de CD. Quoi de mieux pour illustrer son cours, lui avait expliqué Pierre en lui faisant visiter son antre. Et au centre, les deux pupitres en bois, les deux fauteuils et, dominant de sa splendeur l’espace entier, le violoncelle du professeur. C’est timidement que Mathéo avait sorti de son étui l’instrument qu’on lui avait prêté. D’une taille adaptée aux 6 ans de son amoureux, il était en bois clair et avait une sonorité ronde et chaude. Pierre montra patiemment à son jeune élève comme s’installer, et fut agréablement surpris d’obtenir au bout d’une heure quelques notes presque justes. Ce petit était doué, se dit le vieux professeur de musique en regardant le bambin courir dans les couloirs avec sa mère, et il est déjà passionné… Il accorda tendrement l’instrument. Voilà près d’un an qu’il avait terminé ses études à l’école d’art. Sa victoire au Talent Show organisé au sein de l’établissement lui avait permit d’entrer rapidement dans le milieu grâce à un contrat auprès de la maison de disque de la ville. Après ça, tout c’était enchainé. L’enregistrement du disque, les premiers concerts, l’annonce de la tournée… Il n’avait même presque pas eu besoin de convaincre qui que ce soit pour avancer. Pierre aurait été fier de lui… Ne lui avait-il pas juré ce jour là, de percer, de réussir ? Mathéo se réveilla en sursaut. Il lui fallut quelques instants pour comprendre où il était. Puis la réalité le rattrapa brusquement. L’hospitalisation d’urgence de son professeur et ami, et la longue veille. Il n’avait pas quitté son chevet depuis près de vingt-quatre heures. Lentement, ses yeux se posèrent sur la main qu’il ne lâchait pas, puis remontèrent le long du bras à la peau blafarde, avant de se poser sur la poitrine du vieillard. Le garçon fut saisi d’effroi. Il ne bougeait plus. Il ne semblait plus respirer. Il paraissait mort. Puis ce fut soudain une évidence. Il était mort. Pierre Grimbault l’avait quitté. Son dernier ami l’avait abandonné. Étrangement, il ne ressenti rien. Pas de tristesse, pas de colère, juste un grand vide. Alors doucement, il se leva, sortit de la chambre, referma silencieusement la porte derrière lui. Et ce dernier geste sonnait comme une résolution dans son esprit. Plus jamais il n’aurait d’ami. Il ne voulait plus être faible. Plus risquer de perdre. Et il honorerait la mémoire de Pierre. Il serait le plus grand, le meilleur. Et il utiliserait tous les moyens à sa disposition. Tous. Il était d’ailleurs de plus en plus persuasif c’est dernier temps… Mathéo passa la veste posée sur le dossier de sa chaise, saisit son instrument, et se dirigea vers la porte de sa loge. Il avait posé une main sur la poignée quand il se ravisa. Retournant à la coiffeuse, il ouvrit son portefeuille. Entre carte de crédit et permis de conduire, il trouva ce qu’il cherchait. Une photo d’une jeune fille. Photo de vacances, sourire rayonnant et bronzage parfait. Tout juste âgée d’une douzaine d’année. Et dessous, griffonné au stylo « Ma Lena, mon amour. Pourquoi ? » Lena… Tout avait changé ce jour là… « Mathéo ? Ouvre-moi s’il te plait, il faut que je te parle… » La voix de Luc Sorel était presque tremblante. Hésitante, gênée. Le garçon grogna une vague invitation à pénétrer dans son antre. Ça ne laissait rien présager de bon… D’habitude c’était sa mère qui venait lui parler pour les trucs sans importance… « Mon grand, il va falloir être fort, commença Luc en s’asseyant sur le lit de son fils. La famille allemande de Lena a appelé. Ils ont eu un accident sur l’autoroute. Quand les secours sont arrivés, il était déjà trop tard… » M. Sorel se tut avec appréhension. Il observa son fils. Le garçon ferma les yeux. Puis il s’effondra. Il se mit à pleurer, à verser toutes les larmes de son corps. Sa Lena, son premier, son unique amour. Ils s’étaient promis de continuer à s’aimer. Même quand elle vivrait en Allemagne. Il serait allé la voir, ils auraient passé leurs vacances ensemble... Pendant plusieurs heures, il ne pu bouger de son lit. Puis enfin, il se leva, et se saisit de son violoncelle. Il joua avec tout son amour, il se réfugia dans la musique. Il ne voyait pas sa mère s’inquiéter. Il s’enfermait dans son art. Heureusement que Pierre avait-été là à ce moment… Il l’avait aidé à remonter la pente. Une raison de plus pour ne jamais le décevoir… Retournant à la porte, il sortit de la loge et se dirigea vers la scène. C’était une petite salle, une ambiance intime et feutrée comme il les aimait tant. Au programme ce soir, des poèmes de Baudelaire et de Rimbaud mis en musique par ses soins. Et après, il rentrait à Viastella. Il avait un projet à travailler… Une envie de retour aux sources. Se plonger dans la bibliothèque de partitions que lui avait légué Pierre.
Pseudo : Euh, va pour Math ! Mais sinon, Mathéo c'est bien aussi non ? =) Âge : 19 printemps Comment avez-vous découvert le forum ? : Déjà présente sur la version précédente Code du règlement : Un petit mot ? : Et voilà, le don de Sofia m'a rattrapée IRL !
Rebienvenue, petit manipulateur ! Ta fiche est bonne à être validée, pour moi. Par contre, petite remarque pour que tu y fasses attention à l'avenir : "il sortit", "il se saisit"... Tu oublies souvent le T à la fin du verbe ! Je t'ai corrigé ça là où je l'ai repéré dans la fiche, il en reste peut-être. C'est au passé composé que le "i" reste nu : "il est sorti", "il s'est saisi"...
Merci ! J'ai corrigé deux trois fautes qui trainaient... =)
Un avis de plus et tu peux être validé
Quelques petites fautes par ci par là mais rien de bien méchant Validé pour moi aussi !
Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant !
Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant !
Sujet: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Sam 12 Jan - 18:00
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Sam 12 Jan - 18:21
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Dim 13 Jan - 12:09
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Dim 13 Jan - 12:23
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Dim 13 Jan - 14:37
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant ! Dim 13 Jan - 15:01
Sujet: Re: Mathéo Sorel - Vil, manipulateur, mais tellement craquant !
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Bien-être Pourquoi j'ai envie de pleurer sans raison
Ne vous est-il jamais arrivé de vous mettre à pleurer, comme ça, sans raison dans votre lit ou devant la télévision. Un moment trop calme au cours duquel votre corps semble dire STOP, et où les larmes sont intarissables sans que vous n’aviez mal nulle part ? Ce trouble est pourtant plus courant qu’on ne le pense et n’est souvent pas si inexpliqué qu’il n’y parait au fond. Découvrez enfin pourquoi a-t-on parfois envie de pleurer sans raison.
Lorsque l’on sent que nos yeux commencent à piquer et que notre cœur se sert sans grande raison, nous avons souvent envie de comprendre pourquoi. Loin d’être un signe de faiblesse, ce symptôme montre simplement que le corps a besoin de lâcher prise et d’extérioriser un trop plein d’émotions. Voici quelques explications sur ces crises de larmes imprévisibles.
Souvent se mettre à pleurer en rentrant à la maison, dans sa voiture ou dans un endroit isolé est une preuve de la force que l’on déploie dans son quotidien. En effet, la vie n’est pas toujours facile et ne fait pas de cadeau, alors on a tendance à encaisser tout au long de la journée sans rien vouloir faire paraître pour paraître fort ou épauler un proche. Pourtant dans ce genre de situation, c’est un comportement qui ne peut pas tenir sur le long terme et notre corps a besoin d’un moment pour évacuer toute cette pression et tout ce stress qu’on lui fait endurer.
Régulièrement ce sont les responsabilités professionnelles ou bien les relations familiales qui créent un trop plein d’émotions refoulées conduisant à des crises de larme. En effet, le surmenage intervient souvent sans que l’on s’en rende compte notamment si l’on change d’activité ou que l’on exerce une profession avec des responsabilités. Parfois aussi, c’est un contexte familial tendu à cause d’une maladie ou d’une mésentente qui peut aussi nous pousser à bout et p
Baise d'adieu
De la shemale en rut pour une baise de groupe
Salope Française baisée en extérieur