Un moment étrange devient sexy
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Un moment étrange devient sexy
Le conseil sexy du lundi : 5 conseils pour avoir une expérience sexuelle incroyable via Skype
Durant le confinement, il faut bien évidemment s'adapter et vivre sa vie sexuelle à distance. Voici 5 conseils pour que Skype devienne l'endroit rêvé pour un moment hot !
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C’est reparti pour un deuxième confinement . Bien que nous ayons tous et toutes déjà vécu cette expérience, elle n’en reste pas moins difficile à appréhender. Et si Trendy te proposait de découvrir 4 règles d’or pour le vivre au mieux cette fois-ci , ta vie sexuelle se trouve forcément entravée par la distance qui se creuse dorénavant avec ta moitié. Mais cela peut être également l’occasion de sortir des sentiers battus et pimenter les choses . Car faire l’amour via skype peut vite devenir plus excitant que ce que tu imagines. C’est pourquoi on te donne aujourd’hui 5 conseils pour vivre une expérience sexuelle incroyable à distance.
Même si cela peut sembler étrange en période de confinement, il est important de choisir consciencieusement un créneau pour s’adonner à ce genre d’activité. En effet, c’est essentiel afin que ton esprit soit entièrement concentré sur le moment présent. Et c’est d’autant plus important si tu ne vis pas seul(e) ce confinement. Autant choisir un créneau durant lequel tu serais certain(e) de ne pas être dérangé(e). Essaie aussi de ne pas forcément mettre une limite de temps pour votre date . Et même si vous devez attendre pour trouver l’instant idéal, cela ne sera que meilleur.
Même si cela peut sembler moins spontané, se préparer à l’avance peut vraiment aider à se mettre dans le mood. Ainsi, vivre une expérience sexuelle via Skype n’a rien de naturel et il faut parfois prévoir quelques petites astuces pour se mettre véritablement dans l’ambiance. Cela peut être un bain moussant avec des bougies, un verre de vin ou encore lire des extraits de roman érotique . N’hésite pas à faire tout ce qui peut te mettre dans le mood idéal pour vivre le moment à fond.
Faire l’amour via Skype est déjà très différent mais justement, c’est l’occasion ou jamais de sortir des sentiers battus et d’essayer de pimenter l’expérience. Si tu as toujours voulu tester quelque chose qui est faisable à distance, n’hésite pas à le dire à ton/ta partenaire. L’important est de communiquer et de respecter les désirs de l’autre . Vous pouvez créer des scénarios dans lesquels vous jouez des rôles ou carrément investir dans des sex-toys qui se contrôlent à distance afin de vous faire plaisir mutuellement même en étant dans des lieux différents. Bref, tout est possible mais ne te mets pas la pression si tu es encore novice dans le domaine. Commence doucement et fais-en davantage à mesure que tu seras à l’aise.
S’habiller en conséquence est un bon moyen de booster ta confiance en toi. Il ne s’agit pas forcément d’exciter ton/ta partenaire mais surtout de te sentir désirable. En te sentant bien dans ta peau, tu seras certainement plus à même de tenter des choses plus audacieuses durant votre date. Car rien n’est plus sexy que d’avoir confiance en toi que tu choisisses de la lingerie ou de t’habiller avec du latex.
Cela peut être compliqué de parler avec un langage plus crû à distance surtout quand on est habitué à susurrer ces mots-là à l’oreille de l’autre. D’autant que Skype peut déformer les mots et te donner la sensation d’être ridicule . Mais plus tu t’entraîneras, plus cela te deviendra aisé de t’exprimer ainsi via Skype. Pour toujours plus de conseils, voici 4 façons d’exciter ton/ta partenaire à distance.
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L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans
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Publié le 24 juillet 2018 à 17h00 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 15h23
Impossible d’y rester indifférent. Les odeurs corporelles excitent, taquinent, dégoûtent, répugnent. Certains fétichistes se repaissent même d’aisselles transpirantes et monnaient leurs culottes odorantes.
“J’aimais l’odeur des fesses de mon ex. Elles sentaient… hmmm… elles sentaient la farine de maïs.” Bastien, 27 ans, savoure une dame blanche au Café français, une brasserie chic du quartier Bastille, à Paris, avec serveurs en livrée et tutti quanti. Il embraie en riant : “Il faut dire qu’il est vénézuélien. On mangeait beaucoup de tortillas faites à base de farine de maïs…” Bastien se revendique fétichiste des odeurs. Une fois au lit avec un homme, il commence par le cou, s’attarde sous les aisselles, fait un stop sur le torse, descend vers le sexe, s’accorde éventuellement une pause fesses, atterrit sur les pieds et finit parfois dans les chaussures.
Il hume, respire, renifle jusqu’à se noyer dans son obsession. “Je peux bander rien qu’en sentant quelqu’un” , assure-t-il. On ne parle pas ici de fleurer bon le Lacoste Booster ou autre parfum synthétique que Bastien abhorre, comme il rejette le déo, son pire ennemi, celui qui l’empêche de savourer tranquillement l’odeur, la vraie, celle qui émane du corps de son partenaire, et qu’il happe parfois d’un coup de langue. Bastien aime la transpiration, l’animalité de l’homme. Mais attention, pas n’importe laquelle. Il rejette l’acidité, à laquelle il préfère les odeurs chaudes et sèches.
“C’est même plus fort que le poppers !”
Une fois encore, il faut plonger dans les souvenirs d’enfance pour retrouver l’origine du fétiche, du fantasme. Le père de Bastien, motard, accumule les pantalons et vestes en cuir. Bastien le sent partout chez lui, s’en enivre, aime toucher cette matière animale, la malaxer sous ses doigts, relie la texture à l’odeur, en fait un doudou mental. Sa première fois débarque à 21 ans sous les traits d’un motard rencontré sur un tchat. Ce dernier enlève son casque, nique et se casse retrouver sa femme. Depuis, Bastien est devenu motard, mais son fétichisme olfactif excède largement le seul cuir.
“Il y a certaines odeurs qui me rendent fou. C’est même plus fort que le poppers ! Je pourrais parfois rester des heures sous l’aisselle d’un garçon.” A tel point que ce diplômé d’une école de cirque, qui officie désormais dans des comédies musicales, passe parfois trois, quatre jours sans se laver avant de s’éclater au pieu. “L’été dernier, il faisait super chaud, je bossais en même temps et des collègues m’ont fait la remarque… Je leur ai raconté l’histoire en leur disant : ‘Ne vous inquiétez pas, ce soir je vois le garçon, demain je serai propre !”
Avide de nouvelles expériences, le jeune homme va jusqu’à échanger voire monnayer ses sous-vêtements usagés via des groupes Facebook privés
Son expérience la plus extrême : quinze jours de vacances estivales sans douche et en tente. Au risque du dégoût. “Mon ex était fan de mon odeur mais, à force de répéter le trip ‘sans douche’, il a été écœuré et m’a dit ‘j’aimerais que tu sentes bon une fois’.” On l’écoute en ouvrant grand nos narines, cherchant à capter l’odeur qui se dégage de son torse nu que l’on aperçoit à travers son débardeur filet de pêche. Mais ce jour-là, Bastien ne sent pas spécialement fort, a même l’air très propre avec ses cheveux noirs relevés et son grand sourire.
Comment trouve-t-on d’autres gens odorants ? Bastien s’est rendu à la Beardrop, une soirée destinée aux “bears”, communauté gay kiffant les poils, où des hommes s’éclatent collés-serrés sur le dance-floor, exhalant, au passage, leurs doux fumets. Autre plan chope : l’appli fétichiste Recon, sur laquelle il s’est créé un profil “odorant”. “Comme ça, pas de mauvaise surprise ! Genre le mec qui te dit : ‘Tu veux pas aller te doucher ?” Avide de nouvelles expériences, le jeune homme va jusqu’à échanger voire monnayer ses sous-vêtements usagés via des groupes Facebook privés.
“Ce n’est pas un sens rationnel mais émotionnel”
La dernière fois, il a reçu un slip blanc qui lui a beaucoup plu. “Le mec m’avait demandé en échange de lui envoyer des chaussettes macérées dans la crasse et la transpiration, sur lesquelles j’avais pissé et craché. J’ai tout mis dans un sachet bien serré que j’ai envoyé par la poste ! Il a trouvé ça trop hardcore. Peut-être qu’il n’aimait pas mon odeur.”
Le fétichisme des odeurs touche toutes les sexualités. Sur le site Vends ta culotte, plutôt hétéro, les sous-vêtements usagés, féminins uniquement, font office de Saint-Graal. Les femmes les portent puis les postent à leurs clients avides de sensations fortes. “Mes petites culottes sont porté (sic) 3 jours et je jouis une fois dedans. Elles sentent bien fort et ont en général une belle couche de pertes blanches et pâteuse” , vend-on sur une annonce. Plus loin, une certaine High-Infedility assure sur son profil qu’ “ici vous découvrirez les senteurs épicées des humeurs féminines dans des ambiances variées” .
On ne parle pas souvent des odeurs du sexe, si ? Peut-être parce qu’il n’existe pas de langage pour le faire, rappelle Annick Le Guérer, philosophe, anthropologue, historienne française, auteure du Parfum: des origines à nos jours (Odile Jacob, 2005) : “Ce n’est pas un sens rationnel mais émotionnel. Les parfumeurs et œnologues distinguent les odeurs en se forgeant un vocabulaire qui n’est pas universel. Ils classifient en recourant à d’autres sens : ‘verte’, ‘sombre’, ‘acide’, ‘douce’. Ou ont recourt à la source de l’odeur : mazout, café, lierre, fleur… Mais l’odorat n’a pas son vocabulaire spécifique.”
En garde contre le coup de foudre olfactif
Pourtant, “l’odorat et le sexe sont très liés , affirme-t-elle. Freud considérait par exemple que l’homme devait refouler son odorat car il était trop lié à la sexualité et l’empêchait de fonder une famille. Il pensait que nos ancêtres qui marchaient à quatre pattes avaient le nez près du sol et donc un odorat prononcé, et que la civilisation n’avait pu se développer que lorsqu’ils s’étaient redressés. Les philosophes des XVIIIe et XIXe distinguaient l’odorat de la vue et de l’ouïe, les sens de la connaissance. C’est Nietzsche qui a combattu le mépris envers l’odorat en disant que de là venait son génie.”
Au IVe siècle, le parfum est banni par l’Eglise catholique, qui l’accuse d’inciter à la concupiscence. Un peu auparavant, le théologien Tertullien décourageait même les chrétiennes d’en utiliser en leur disant qu’elles deviendraient chauves et folles. Au XIXe siècle, des psychiatres mettent les hommes en garde contre le coup de foudre olfactif, le fait de devenir dépendant de l’odeur d’une femme et de perdre ainsi toute liberté, quitte à risquer de mal se marier. L’odorat est la part d’animalité que l’homme cherche à refouler, désireux de se distinguer du chien qui renifle l’arrière-train de ses congénères. Mais, contrairement aux animaux (par essence déterminés), Annick Le Guérer précise que l’être humain ne peut être dépendant à 100 % d’une odeur.
“Je pourrais mourir de sentir mon amant au réveil. C’est la sensation la plus réconfortante et enivrante au monde” Sébastien
David Simard, doctorant en philosophie à l’Université Paris-Est, spécialiste de la santé sexuelle, précise : “La production de phéromones – substances biologiquement actives produites par des glandes du corps et destinées à transmettre des signaux chimiques aux membres de la même espèce – n’a pu être mise en évidence chez l’espèce humaine. L’affirmation selon laquelle de telles phéromones joueraient un rôle dans les attirances sexuelles entre humains est donc contestée.” Pourtant, Sébastien(1) le jure : “Je pourrais mourir de sentir mon amant au réveil. C’est la sensation la plus réconfortante et enivrante au monde.”
Musicien domicilié à Guéthary, Sébastien aime les odeurs intimes, celles qui émanent du lit dans lequel il baise, traîne et rebaise sans forcément se laver. Un jour, il se rend à une représentation d’un spectacle de Valérie Lemercier avec un homme. Mais son odeur est trop grisante. “Je n’ai rien pu suivre, je ne pensais qu’à l’embrasser partout et m’évanouir dans son odeur.” Depuis, Sébastien “manque défaillir” à chaque fois qu’il le voit. “Je deviens tout rouge.”
Quand l’odeur sexuelle devient insupportable
Son attraction olfactive remonte aux effluves testostéronés respirés dans les vestiaires de sport qu’il fréquentait adolescent, au moment où fleurissait sa sexualité. “Ces odeurs volées aux autres et qu’on fait siennes chez soi en rentrant. Je me branlais en y repensant.” Lui aussi manque de mots pour les décrire, toutes ces odeurs “du sexe, de bite et de cul mais pas crades” qui l’enivrent : “C’est comme un chant de sirène, des ultrasons que certaines personnes perçoivent” .
Mystérieux filtres d’amour, les odeurs peuvent aussi laisser pantois, voire répugner. Un jour, Sofia, 25 ans, a quitté une fille pour son odeur qui lui était devenue insupportable, nous avoue-t-elle avec un peu de gêne. “Ce n’était pas une question d’hygiène. Elle était propre et mettait du déo. C’était plutôt une odeur de peau âcre. J’avais du mal à passer outre physiquement.” Chez Alexandra, 32 ans, les mots se font plus tranchants. Elle se souvient d’un amant dont le pénis dégageait “une odeur âcre, tiède, comme un effluve d’aber breton sans le frais marin” .
Elle s’en accommode car le mec est un bon coup. Mais, au fil des semaines, la jeune femme a l’étrange impression qu’il lui a transmis son odeur. “Au début, je pensais que j’étais parano, mais vraiment je ne reconnaissais plus mon odeur. Un vrai traumatisme de puer de la chatte. Du coup, j’ai de moins en moins baisé avec lui, ça me bloquait.” Alexandra voit d’autres mecs en même temps, mais ne parvient plus à se détendre au moment du cunni et finit par leur demander si elle sent bon. Les réponses sont négatives. Elle met un terme à la relation qui lui pose problème. “Depuis, ma chatte et son odeur se portent comme un charme.” Et de conclure avec une belle punchline : “Un mec qui pue, ça craint ; un mec qui transforme ta chatte en fiente de poulet, c’est l’enfer.”
“Il faut parler de l’odeur des clubs libertins !”
Comment gère-t-on les odeurs dans les lieux réservés au sexe ? Les masque-t-on ? Les met-on en valeur ? Participent-elles à la baise généralisée ? Au Beverley, l’un des derniers cinémas porno français, situé dans une ruelle perpendiculaire au Grand Rex, à Paris, la salle dégage une odeur de sperme si forte, si acide, qu’elle vous prend à la gorge pour ne plus vous lâcher, laissant un souvenir impérissable et nauséeux de l’endroit, même si Maurice, le proprio désormais à la retraite, nettoie sa salle à fond tous les soirs. La dernière fois qu’il a abdiqué face aux odeurs, Maurice a décidé de changer la moquette. Elle était si cartonnée qu’il a fallu la découper…
“Il faut parler de l’odeur des clubs libertins !, nous écrit une amie. Qui a envie de baiser dans une odeur de javel ? Certes, c’est rassurant sur l’hygiène, mais c’est quand même très problématique au niveau de l’ambiance érotique !” Ni les Chandelles ni le Quai 17, deux boîtes libertines parisiennes, n’ont envie de s’étendre sur le sujet. Car un mauvais effluve et la magie peut se briser, le désir repartir. C’est la raison pour laquelle les odeurs effraient et se retrouvent chassées, comme si elles portaient en elles le germe du malsain.
“Où sont les lingettes à bite ? Pourquoi notre sexe devrait-il sentir la rose ? Une vulve enfermée dans une culotte après une journée de taf et un pénis qui a mariné dans un slip, même combat” Camille Emmanuelle
C’est l’éternelle dichotomie nature vs culture qui s’expose dans cette histoire d’odeurs sexuelles : jusqu’où doit-on laisser notre corps s’exprimer ? Devrait-on plutôt sentir bon ? Et qu’est-ce que “sentir bon” ? C’est l’objectif des lingettes féminines, qui pullulent dans les rayonnages des supermarchés et contre lesquelles s’insurge Camille Emmanuelle, auteure de Sexpowerment (éd. Anne Carrière, 2016) : “Où sont les lingettes à bite ? Pourquoi notre sexe devrait-il sentir la rose ? Une vulve enfermée dans une culotte après une journée de taf et un pénis qui a mariné dans un slip, même combat. Et ce n’est pas forcément dégueu, d’ailleurs, comme odeur. C’est intime, certes. Mais pourquoi cette intimité, quand elle est féminine, doit-elle être inodore, aseptisée, voire même, si on va plus loin, ‘prête à l’emploi ?’”
Ce n’est pas l’odeur de la rose que Joséphine, 30 ans, cherche en plongeant le nez dans sa propre culotte lorsqu’elle passe aux toilettes, mais bien sa senteur à elle. La jeune femme s’adonne à la masturbation olfactive au travail comme chez elle, blottie sur la cuvette, s’offrant ainsi évasion et excitation. Un délire dissociatif qui lui permet d’être à la fois elle et une autre, contenue dans cette odeur qui lui est familière mais ne cesse de la surprendre. Mais impossible pour elle de mettre des mots sur son odeur, bien trop volatile, trop éphémère pour qu’elle l’emprisonne par le langage. Et c’est peut-être cette insaisissabilité, ce mélange de présence et d’absence qui la ravisse.
1 Tous les prénoms (sauf Bastien) ont été modifiés
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