Un militaire la démonte en extérieur
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Des centaines de jeunes tahitiens servent dans l'armée française. Ici le RSMA d'Hiva Oa.
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©HCPF
Nelson Heiari Moana, 26 ans, est décédé après avoir contracté en opération extérieure une forme extrêmement virulente du paludisme. Le jeune homme était originaire de Huahine.
Christophe Marquand
•
Publié le 5 novembre 2014 à 18h09,
mis à jour le 29 février 2016 à 11h31
Communiqué du commandement des forces armées en Polynésie
Rapatrié mardi matin en avion de Bangui vers Paris, le caporal-chef Moana Heiari est décédé mercredi 5 novembre 2014 à l’hôpital Begin, en région parisienne, des suites d’une forme grave de paludisme (neuro-paludisme).
Tous les militaires suivent un traitement antipaludique obligatoire et quotidien lorsqu’ils se trouvent dans une zone concernée par la maladie. Néanmoins, la forme contractée par le jeune homme étant rare et particulièrement active, les traitements actuels n’ont pas permis de le sauver.
Ce jeune militaire d’origine tahitienne était en opération extérieure en République de centre Afrique (RCA) avec son régiment, le 126 ème régiment d’infanterie.
Ce régiment situé à Brive la Gaillarde est un régiment mobile, aéro transportable spécialisé dans le combat rapproché et en zone urbaine.
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Un militaire tahitien meurt du paludisme
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Militaires en opex : l’impunité permanente
rédigé le 1er avril 2016 (mis en ligne le 24 octobre 2020) - Raphaël Granvaud
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Depuis les premières révélations du printemps 2015 concernant les viols commis par des militaires français en Centrafrique, les exactions se sont poursuivies.
L’ONG AIDS Free World tire à nouveau la sonnette d’alarme concernant les crimes sexuels commis par des militaires étrangers en Centrafrique, sur la base des informations récoltées par l’UNICEF : « les abus ont continué. Et certains sont du genre à vous retourner l’estomac. Les Nations unies parlent maintenant de 108 jeunes filles. Beaucoup d’entre elles ont été abusées par des soldats français. (…) L’une des histoires les plus horribles a été racontée par trois jeunes filles qui ont parlé à un officier des casques bleus en charge des droits de l’homme. Elles ont parlé de choses horribles que leur avait fait subir ce commandant français. Non seulement à elles, mais aussi à une quatrième qui en est morte en 2014. » (Paula Donovan, France Culture , 01/04) Ces jeunes filles auraient en effet été « ligotées et déshabillées à l’intérieur d’une base militaire puis forcées à avoir des relations sexuelles avec un chien ». « On ne peut pas et je ne peux pas accepter qu’il y ait la moindre tache sur la réputation de nos armées, c’est-à-dire de la France », s’est empressé de déclarer François Hollande, tandis que François Delattre, ambassadeur de France à l’ONU assurait : « Les autorités françaises sont déterminées à faire toute la lumière sur ces graves accusations » ( AFP , 01/04)
Mais dans le même temps, la machine à blanchir les militaires s’est mise en branle, et sans doute d’autant plus précipitamment que, cette fois, les témoignages mettent en cause un officier, pas seulement pour avoir couvert, mais pour avoir pris part aux exactions. Concernant les viols commis par les militaires français, une enquête interne réalisée par la brigade de recherches prévôtale (les enquêteurs de la gendarmerie) ne conclut qu’à des « dysfonctionnements ou des particularités permettant de douter de la parfaite fiabilité du rapport transmis par les services onusiens aux autorités françaises (…) Les investigations réalisées jusqu’à ce jour permettent surtout de déceler du côté de l’accusation un certain nombre d’invraisemblances, de contradictions et de distorsions, sans pour autant permettre de rassembler la moindre preuve à charge à l’encontre des militaires français » ( Libération , 06/04). Et de s’interroger sur une éventuelle machination montée contre les soldats français. Heureusement que nos militaires veillent au grain contre les manœuvres de l’anti-France… Un refrain repris en boucle par les militaires sollicités par les médias, comme le général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission française auprès de l’ONU : « Mon cœur de soldat ne peut imaginer que des soldats porteurs de l’honneur de la France puissent avoir des comportements aussi abjects (…) Ce sont eux qui font l’objet de tous les éloges de nos concitoyens, de nos élus, de nos alliés et des pays dans lesquels ils interviennent. La hiérarchie, la discipline et le sens du devoir ne sont pas des vains mots dans l’armée française. Pourquoi, d’un seul coup, tout cela serait-il balayé par des rumeurs qui, pour l’instant, n’ont fait l’objet d’aucune enquête crédible ? » ( Le JDD.fr , 03/04 ). « C’est trop énorme » assurait aussi « un membre de l’entourage du ministre de la défense » au Monde (31/03) : « Nous avons mené une enquête interne fin 2014-début 2015 sur cette affaire du chien et l’on a découvert qu’il s’agissait d’une vidéo zoophile qui se transmettait de portable à portable, dans laquelle il n’y a aucun militaire français et qui n’a pas été tournée en Centrafrique. » Les divertissements sont rares, il faut bien s’occuper comme on peu... « Il faut que l’on démonte au plus vite cette affaire », conclut la source du Monde.
« Je n’ai absolument aucun doute », affirmait pour sa part la co-directrice de l’ONG AIDS Free World. « Ces enfants ne peuvent pas inventer ce genre d’histoire. Apparemment tout le monde était au courant. Les filles avaient même été surnommées "les chiennes de Sangaris" ». Et de demander que les victimes d’abus sexuels ne soient plus interrogées par les militaires français ou de l’ONU, mais par « des policiers, des procureurs et des juges indépendants » formés à cette tâche et qui soient compétents en matière pénale. (Rfi.f r 14/04) L’armée française est en effet coutumière des enquêtes internes qui lavent plus blanc, l’honneur de l’institution militaire prévalant toujours sur la justice due aux victimes. L’affaire des actes de tortures commis sous la direction d’un haut gradé français en RDC et révélés par la télévision suédoise en 2008 avait été exemplaire à cet égard (cf. Billets n°169, mai 2008 ). Il a fallu des années pour que la hiérarchie militaire accepte du bout des lèvres d’envisager la possibilité que des viols aient pu être commis par des militaires français au Rwanda en 1994, et ceux-ci ne sont toujours pas jugés. Quant au massacre de civils ivoiriens à Abidjan en novembre 2004, il est tout simplement nié malgré les preuves matérielles qui existent. Rappelons que, depuis le vote de la dernière loi de programmation militaire en 2013, le parquet, dépendant de l’exécutif, a désormais le monopole des poursuites concernant les crimes et délits commis par les militaires en opération extérieure, une plainte des victimes se constituant partie civile ne suffisant plus à déclencher une procédure judiciaire. Quand l’impunité est organisée, pourquoi s’étonner que le crime perdure ? Raphaël Granvaud
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