Un mec blanc et une black

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Un mec blanc et une black

Cet article date de plus de deux ans.



Publié le 12/06/2020 07:03


Mis Ă  jour le 01/09/2021 12:24





























Plus d'une vingtaine de synonymes sont employés en France pour éviter le mot "noir". (JESSICA KOMGUEN / FRANCEINFO)




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L'anglicisme "black" pour dire "noir" s'est installé dans le langage courant et familier, mais son usage est de moins en moins toléré.
C'est un mot parmi une foule d'autres. "Black", "kebla", "personne de couleur", "peau sombre", "chocolat", "peau tropicale" . Autant de substantifs utilisĂ©s pour tourner autour d'un mot : "noir". A 18 ans, Ileyna a dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© le sujet avec ses amis : elle veut qu'on la dĂ©crive comme "noire". "Je leur ai dit que je n'aimais pas qu'on me dise 'black', raconte-t-elle. Je prĂ©fĂšre 'noire'. On est fiers d'ĂȘtre noirs, et cela ne me dĂ©range pas d'employer le mot". Ce mot n'a, pour elle, pas de connotation raciste. C'est pourquoi elle le dĂ©fend, ces derniers jours, sur les rĂ©seaux sociaux, en écho aux manifestations contre le racisme et les violences policiĂšres qui ont eu lieu en France, aprĂšs la mort de George Floyd aux Etats-Unis. 
Le dĂ©bat est survenu il y a quelques annĂ©es, alors qu'elle Ă©tait au collĂšge. AprĂšs avoir vu un film amĂ©ricain doublĂ© en français, la jeune fille commence Ă  questionner l'utilisation du mot "black" : "Ils passaient du français Ă  l'anglais dans une mĂȘme phrase, juste pour le mot 'noir', se rappelle-t-elle. Pourquoi donc ? Si encore on disait 'white' ou 'asian', on se dirait 'OK', mais lĂ , 'black', c'est bizarre."
"Le terme 'noir' a plus d'une vingtaine de mots de substitution" , détaille Marie Treps, linguiste et autrice de Maudits mots : la fabrique des insultes racistes (Ed. Tohu-Bohu, 2017). Parmi eux, la sémiologue compte le terme "black", trÚs utilisé, et ses diverses déclinaisons : "blacky", "blackos", "blackitude", "kebla".. . 
Le mot "black" entre dans le langage commun français dans les années 1980. Son importation est le résultat de plusieurs phénomÚnes politiques et culturels, décrypte Nicolas Bancel, historien spécialiste de l'histoire coloniale et postcoloniale française. "Le terme 'black' fait référence au mouvement noir-américain pour l'application des droits civiques. Alors que 'black' était considéré comme dépréciatif, il est devenu le symbole d'une revendication et l'expression d'une fierté". Il est réemployé en France "pour son contenu revendicatif", notamment "pendant la Marche des beurs", pour l'égalité et contre le racisme , qui marque la fin de l'année 1983. 
Le terme se popularise également grùce à "son aspect culturel" : dans "les années 1980-90, il y a une importation de la culture 'black' en France", ajoute l'historien. "Le rap et le hip-hop, venus des Etats-Unis, deviennent l'expression de cultures urbaines et un marqueur identitaire fort". "A cette époque-là, le terme 'black' désigne ces Noirs-là, Afro-Américains, qui vont inspirer les populations noires ou non blanches de France", complÚte Maboula Soumahoro, maßtresse de conférence à l'université de Tours et autrice du livre Le Triangle et l'Hexagone, réflexion sur une identité noire (Ed. La Découverte, 2020).
Quand on dit 'Black', c'est une certaine forme de Noir : c'est un Noir cool, évolué, civilisé. C'est un Noir désirable, qui a la puissance culturelle états-unienne. Ce n'est pas le tirailleur sénégalais, le sans-papiers africain, la doudou antillaise...
La référence reste et gagne en popularité auprÚs des Français. Elle offre une alternative au terme "Noir", qui fait référence à la colonisation, et au terme "gens de couleur" , trop vague. Elle est reprise dans le célÚbre slogan "Black-Blanc-Beur". "'Black' est une appellation familiÚre qui est utilisée comme un euphémisme ", analyse la sémiologue Marie Treps . En d'autres mots, le mot anglais est réemployé pour atténuer la référence à la couleur de peau, par peur qu'elle ne soit considérée comme raciste. 
"Sans doute qu'il y a une forme de gĂȘne, analyse Eric Fassin, professeur de sociologie Ă  l'universitĂ© Paris 8 et auteur de De la question sociale Ă  la question raciale ? (Ed. La DĂ©couverte, 2009). On a peur que dire "noir" ou "arabe" soit raciste ; le dire en anglais, c'est comme si on mettait des guillemets, avec une pointe d'humour". "Le terme 'noir' nous renvoie vers notre propre passĂ©, qui est colonial", analyse l'historien Nicolas Bancel.  
Si l'anglicisme revient souvent dans le langage courant et familier, son emploi est de plus en plus rejeté : "Le mot 'black' n'a pas sa place dans le contexte francophone" , tranche Jahlyssa Sekhmet, autrice du manuel pédagogique L'Histoire de l'Afrique et de sa diaspora, au micro de AJ+ . "Cela va deux minutes, on peut dire 'noir'" , s'exaspÚre une interviewée dans le podcast " On dit noir, pas black " de l'Alter Ego. Un point de vue partagé par la réalisatrice Amandine Gay, dans le podcast d'Arte Radio " Noir, pas black ", et développé dans la séquence ci-dessous de son film Ouvrir la voix. Plusieurs femmes noires y dénoncent ce tabou linguistique. 
Il relÚve d'une impossibilité à " articuler, énoncer et donner corps à la population noire native de France", appuie Maboula Soumahoro. "O n n'arrive pas à le dire en langue française, car on n'arrive pas à imaginer dans l'Hexagone des Noirs pleinement dans cette citoyenneté française", poursuit -elle. "Le Noir, c'est la population invisibilisée de France hexagonale, qu'on n'arrive pas à nommer. Cela marque une maniÚre spécifique du racisme français : l'impossibilité de dire".
Le recours Ă  la langue anglaise rend externe la prĂ©sence de cette population. Comme si elle ne pouvait pas ĂȘtre française, ne pouvait venir que d'ailleurs.
Un tournant s'opÚre toutefois dans les années 2005, observe Nicolas Bancel. Il est marqué par la création du Cran (Comité représentatif des associations noires de France), et la publication de plusieurs ouvrages, comme La Condition noire de Pap Ndiaye en 2008 (Ed. Calmann-Lévy) . L'utilisation du mot "noir" refait alors débat. 
Quinze ans plus tard, Louis-Georges Tin, ancien prĂ©sident du Cran, dĂ©nonce toujours une "stratĂ©gie d'Ă©vitement" perpĂ©tuĂ©e par l'utilisation du mot "black". " Mais pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas parler des Noirs de France ? clame-t-il auprĂšs de franceinfo. On peut dire 'noir' et ne pas ĂȘtre raciste, et ĂȘtre raciste et ne pas dire 'noir'". Pour preuve : le recours Ă  des termes marquant l'origine gĂ©ographique, comme les mots "immigrĂ©s", "africains" "migrants" , ou l'utilisation de "surnoms dĂ©risoires" , ajoute la sĂ©miologue Marie Treps. "C'est une maniĂšre de dĂ©guiser le racisme, et de le faire rĂ©apparaĂźtre".
Refuser le terme "black" et se réapproprier le mot "noir" revient à dire que " le problÚme, ce n'est pas le mot, c'est la chose, poursuit le sociologue Eric Fassin. Autrement dit, ce qui pose problÚme, c'est la maniÚre dont les gens sont traités. Mieux vaut la nommer que la taire, ou que l'euphémiser." . 
L'utilisation du terme "noir" revĂȘt ainsi une dimension politique. Elle permet de donner voix Ă  l'idĂ©e que " le problĂšme, ce n'est pas d'ĂȘtre noir, c'est d'ĂȘtre discriminĂ©". Refuser de caractĂ©riser les gens par leur couleur de peau revient Ă  refuser de voir les discriminations qui subsistent. "On fait semblant de ne pas le voir, sauf que tout le monde sait bien que, dans la sociĂ©tĂ©, cela a des effets bien rĂ©els", poursuit Eric Fassin.
Toutefois, le mot "noir" ne fait pas l'unanimité auprÚs des personnes noires. "Il n'y a pas de maniÚre qui serait non problématique de représenter la société, concÚde Eric Fassin. S i on dit 'les Noirs', on peut faire la critique qu'on met ensemble les ultra-marins et les Africains, mais si on dit 'les Antillais', on donne l'impression qu'il n'y a pas de différences au sein de ce groupe, ce qui est également faux. Pareil pour "les Guadeloupéens", "les Martiniquais". La question est donc : quelle catégorie utiliser et pour quoi faire ?" 
Les mots et leur sens ne cessent d'Ă©voluer avec le temps, mais aussi avec les rapports de force, souligne Maboula Soumahoro. Se rĂ©approprier le mot "noir" et l'utiliser permettrait, selon la chercheuse, d ' "ancrer ces populations (noires) dans la langue française, dans le territoire français et dans la psychĂ© collective française", et de reconnaĂźtre les discriminations dont ils peuvent faire l'objet en France, en raison de leur couleur de peau. Chasser le mot "black" du langage courant permettrait ainsi d'arrĂȘter de "penser que le racisme n'existe qu'aux Etats-Unis". 
Des rĂ©ticences demeurent toutefois. "Surtout de la part des Blancs , observe Ileyna. J e pense que j'ai des amis blancs qui disent 'noir' avec moi, pour me faire plaisir, et continuent de dire 'black' avec d'autres Noirs, par peur d'ĂȘtre offensants". "Q u'on le veuille ou non, on peut ĂȘtre gentil, et mĂȘme complĂštement se penser non-raciste, mais en fait, si on dit 'black', c'est qu'on a un souci avec la question raciale", tranche Amandine Gay dans le podcast "Noir, pas black". Avant de poursuivre : "Si on est mal Ă  l'aise, on doit creuser lĂ  oĂč on est mal Ă  l'aise. Pourquoi on est mal Ă  l'aise ?" 
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L’encyclopĂ©die universelle en ligne
Par La Redaction
dans Amour et séduction Mis à jour le 17 août 2019

,
Lu: 17563 fois
L’une des questions que les gens se demandent trĂšs souvent est « pourquoi les hommes noirs prĂ©fĂšrent les femmes blanches », oubliant aussi que les femmes blanches prĂ©fĂšrent beaucoup plus les hommes noirs

A chaque année, des milliers des femmes blanches débarquent en Afrique subsaharien à la cherche de leurs princes charmants, des hommes noirs.
Pourquoi alors la femme blanche laisse l’homme blanc en occident, qui est parfois financiùrement construit, pour aller chercher un black en Afrique ?
Cet article a été écrit pour élucider le mystÚre.
Mythe ou rĂ©alitĂ© ? On raconte partout dans le monde que l’homme noir est dotĂ© d’un engin d’un gros calibre. Et puisque les femmes, surtout les blanches, sont naturellement attirĂ©es par les hommes trop gĂ©nĂ©reusement gĂątĂ©s par la nature, la femme blanche aime alors avoir un homme noir dans son lit.
Quand il s’agit d’aborder les femmes, l’homme noir est quelqu’un de plus confiant. Il sait aussi charmer les femmes grĂące Ă  son assurance et sa bontĂ©. Il donne autant d’affection et du respect Ă  la femme. IL est aussi un homme protecteur. Ajouter Ă  cela le fait qu’il soit un vilain garçon, l’homme noir est l’homme dont la plupart des femmes rĂȘvent avoir Ă  leurs cĂŽtĂ©s.
Un vilain garçon ne signifie pas ici un garçon moche. Il s’agit d’un homme qui sait imposer des limites. Il ne s’abaisse pas devant quelqu’un ou une femme pour faire plaisir. Il dit non quand il le faut. C’est un homme responsable.
Bref, l’homme noir est un vrai homme qui sait prendre ses propres dĂ©cisions. Il ne se laisse pas dicter sa conduite. En plus de cela, il sait aimer et protĂ©ger sa dulcinĂ©e ; et les femmes adorent ça.
Et comme l’a dit Maire Pehkone, une suĂ©doise qui n’aime vivre l’amour qu’avec des hommes noirs : « l’homme noir est trĂšs gentil  »
C’est bien connu chez les mamies blanches. Les hommes noirs sont des gens trĂšs reconnaissants. Et la plupart des jeunes africains souhaitent quitter le continent pour une vie meilleur en Europe. Ils sont donc prĂȘts Ă  aimer, chĂ©rir, et mĂȘme s’engager avec des vieilles blanches si cela leur permettra d’avoir le ticket pour l’Europe.
Beaucoup des vielles femmes blanches veulent profiter de la vie. Elles veulent ĂȘtre aimĂ©es et se sentir aimĂ©es. Et elles savent que les jeunes blacks peuvent leurs offrir de l’amour. C’est pour ça qu’elles prĂ©fĂšrent partir chercher leurs anges gardiens en Afrique.
Les hommes noirs veulent des femmes blanches car ils les trouvent plus belles plus douces et plus aimantes que leurs femmes noires
Je suis tombĂ©e sur cette lettre par hasard en surfant sur internet et je trouve ça tellement stupide ! Aussi bien de la femme blanche que de l’homme noir. Je prĂ©cise bien les couleurs puisque apparemment c’est bien plus important que notre « race » humaine ! Si quelqu’un lit ce commentaire qu’il m’explique pourquoi tant de racisme, tant de distinction ?! Voila pourquoi aujourd’hui il y a tant de haine dans le monde, les gens perdent leurs temps a jalouser, se vanter de leurs pays, leurs couleurs comme ci c’étaient plus importants que ce qu’ils sont vraiment, c’est a dire humain. Mes chers sƓurs et frĂšres, nous sommes tous pareils, nous respirons le mĂȘme air, voyons le mĂȘme ciel peu importe l’endroit ou l’on se trouve. Alors pourquoi s’attarder sur ces futilitĂ©s ?! A l’époque; il y a eu l’esclavage envers toutes les nations; principalement l’esclavage du peuple noir parce que des imbĂ©ciles ont dĂ©cidĂ© du jour au lendemain qu’ils Ă©taient supĂ©rieurs. Mais je ne pense pas que tous le peuple blanc avait cette haine contre nos frĂšres, le peuple noir. Seulement ceux qui Ă©taient assoiffĂ©s de pouvoirs et malheureusement cela nous a divisĂ© et affaibli car nous sommes forts quand nous sommes tous unis. Aujourd’hui cela se passe dans le monde entier. Des guerres de division Ă  cause de cette haine alimentĂ©es par ceux qui nous lavent le cerveau alors qu’eux mĂȘme, pour de l’argent, ils vendent leurs propre patrie. Je ne pense pas que la couleur fasse la diffĂ©rence mais l’expĂ©rience que nous traversons, nous forme et crĂ©e notre identitĂ© et les expĂ©riences font partie de l’ĂȘtre humain peu importe sa couleur, nous traversons tous des moments qui nous forgent. Une femme universel
C’est un mythe. C’est plutĂŽt l’inverse qui est vrai , l’homme noir est attirĂ© par la femme blanche.
En occident, trĂšs peu de jeunes femmes blanches vont avec des noirs sauf si ce sont de vieilles femmes dont les blancs, pour plusieurs raisons, ne veulent plus.
Greg, ton commentaire m’amuse un peut Ă©tant donnĂ© que bon nombre de femmes blanches( tres jeunes europĂ©ennes dailleurs ) sont soit en couples soit mariĂ©s Ă  un homme noirs africains ou des Dom-Tom. C’est une alchimie que personne n’explique et l’inverse existent aussi.
Je pense que le mĂ©lange Se fait naturellement sans a avoir Ă  chercher pourquoi la femme se fait vite fait endormir par les hommes de couleur parce qu’elle cherche en eux une relation pour passer un bon moment sans prise de tĂȘte. Pour ma part, je trouve dommage d’essayer Ă  chercher Ă  expliquer le pourquoi du comment chacun trouve sont bien-ĂȘtre lĂ  oĂč il est le mieux
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Ce récit vous a été présenté grùce au fonds d'acquisition auquel les visiteurs peuvent contribuer. Ce fonds sert exclusivement à acquérir de nouveaux périodiques à archiver.
ArchivĂ© de: Histoire de mec – NumĂ©ro 2
Date de parution originale: Mai 1988

Date de publication/archivage: 2017-10-18

Auteur: Cyrille
Titre: Deux blancs pour un black
Rubrique: Soumission
Note: Le magazine Histoire de mec ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant Ă©tĂ© publiĂ©s au fil des ans, Ă  titre d'archive, notre but premier Ă©tant que la littĂ©rature homo-Ă©rotique se prĂ©serve au fil du temps. Si vous ĂȘtes l'auteur de ce texte ou si vous dĂ©tenez des droits lĂ©gaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans dĂ©lais.
Ce texte a été lu 5530 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

Mon histoire est celle d’une relation Ă©rotique et sexuelle Ă  trois, simple et sensuelle. On pourrait la rĂ©sumer en une soumission partagĂ©e envers notre maĂźtre de couleur.

J’ai rencontrĂ© Sylvain il y a deux ans, lors d’un voyage. Superbe mec antillais, la trentaine, craquant, bien dans sa peau et dont la silhouette laissait deviner un corps admirablement proportionnĂ©. J’avais trĂšs vite suspectĂ© son homosexualitĂ© dans sa maniĂšre de provoquer des contacts physiques lors de nos conversations. Ce besoin de toucher une main, une Ă©paule, ou de passer furtivement une main sur la nuque au cours de nos dialogues me comblait d’aise. Avant que ne prenne fin notre rencontre, il m’avoua son penchant pour les hommes, et qu’il avait un ami rĂ©gulier du nom de CĂ©dric. Je lui ai dĂ©voilĂ© de mĂȘme mes attirances, mais nous n’avions pas Ă©tĂ© plus loin.

Nous reprĂźmes contact, comme convenu, Ă  notre retour en France. Une relation Ă  trois Ă©tait pour moi une nouveautĂ©. TrĂšs vite, les rĂŽles de chacun se dĂ©finirent, conduisant Ă  une parfaite harmonie. Sylvain avait un corps de rĂȘve, bien bĂąti, excitant, aux muscles fins et dessinĂ©s, une peau satinĂ©e et imberbe oĂč seule se dĂ©tachait une petite touffe de poils noirs et crĂ©pus au-dessus des volumineux bijoux. CĂ©dric, petit minet un peu effĂ©minĂ©, Ă©tait depuis plusieurs mois sous le charme de ce viril, prĂȘt Ă  s’offrir Ă  tout instant. J’allais Ă  mon tour tomber instantanĂ©ment en adoration devant cet ĂȘtre divin. Conscient de la force et de la beautĂ© que dĂ©gageait son corps, Sylvain voulait ĂȘtre dĂ©sirĂ© pour cela et amener ainsi ses partenaires Ă  se soumettre Ă  sa virilitĂ© triomphante. FascinĂ©s, nous n’attendions que cela. Tout Ă©tait rĂ©uni pour qu’une relation fougueuse et complice s’établisse. Elle dure maintenant depuis plusieurs mois.

CĂ©dric et moi sommes prĂȘts Ă  tout en amour pour satisfaire Sylvain. Ce dern
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