Un mauvais élève mais un bon baiseur

Un mauvais élève mais un bon baiseur




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un mauvais élève mais un bon baiseur

Cinq raisons de revoir “Police frontière”, de Tony Richardson
Box-office : le démarrage canon de “One Piece Film : Red”
Les premiers films d’Alain Cavalier sur Arte : “Je voulais dévorer le réel”
“She-Hulk : Avocate”, sur Disney+ : une série légère qui en fait des tonnes
Sur YouTube, faut-il encore convaincre que “Sticky Fingers” est le meilleur ?
“Endless Night” sur Netflix : un thriller fantastique pour ados qui gagne peu à peu en épaisseur
Roman pour enfants : “Jefferson fait de son mieux”, la nouvelle enquête d’un détective à l’humour piquant
Sexe, angoisse et puberté : trois livres pour répondre aux questions des ados et préados
Film pour enfants : “Luck”, les aventures rafraîchissantes d’une miss catastophe
À Nanterre, la Ferme du Bonheur lutte pour conserver son lopin
Terrasse avec vue, food court écoresponsable et Biryani au saumon, nos bonnes adresses de la semaine à Paris
“La dame au Rolleiflex”, notre série sur la fée Vivian Maier
Jocelyne Béroard : “Kassav, avec sa musique traditionnelle modernisée, proposait quelque chose d’inédit”
Le CD, quarante ans tout rond, et un succès qui ne se dément pas
Norma Tanega, résurrection d’une pionnière folk excentrique
Podcast : “Zéro Mort”, un captivant récit d’anticipation sur l’immortalité
Podcast : “Nikola Tesla, une vie électrique”, grandeur et décadence d’un génie scientifique
Sur France Culture : “Vie et Destin”, la charge irrévocable de Vassili Grossman contre tout totalitarisme
“Quand tu écouteras cette chanson”, de Lola Lafon : une nuit d’introspection aux côtés d’Anne Frank
Virginie Despentes : “Mon truc à moi, mon atout à l’écrit, c’est la réponse violente : je viens casser la table”
Sempé en 2009 dans “Télérama” : “Mes personnages ne sont pas minuscules, c’est le monde qui est grand”
Voir l’invisible, douze récits aux frontières du réel
Petra, un trésor de l’humanité face au péril climatique
Non, la Terre n’était pas plate au Moyen Âge !
Publié le 02/09/10 mis à jour le 08/12/20
Sylvie Laurencin, professeur “Le soutien, c’est un coup d’épée dans l’eau” Un bon élève, c’est celui qui apprend ses leçons et prend du temps pour travailler. Un mauvais élève, c’est l’inverse. Depuis vingt ans, la proportion évolue dans le mauvais sens. En cours, nous n’avons plus aucun moyen de pression. Les parents interviennent de plus en plus. Leur protestation va jusqu’à annuler le redoublement. Ni les parents ni la société ne valorisent plus ni l’effort ni le travail personnel. Ces enfants nous disent, à nous leurs professeurs : « Ça ne sert à rien de travailler, de toute façon, j’aurai mon bac. » Il y a un diktat du pourcentage de réussite au bac, obtenu en gonflant les notes. Pour sauver les mauvais, il y a des cours de soutien. Ça peut en aider quelques-uns, mais c’est le plus souvent un coup d’épée dans l’eau. Beaucoup de ces mauvais élèves sont ascolaires. On essaie de les faire rentrer dans le moule alors que les lycées techniques et les débouchés plus axés sur le professionnel ne sont pas pris en compte. Sylvie Laurencin est professeur d’anglais au lycée Auguste-Renoir de Cagnes-sur-Mer (06). Sylvia Chaussat, documentaliste “Nous prêtons plus d’attention aux mauvais” Un bon élève comprend comment fonctionne le système, il sait s’adapter à toutes les situations. Il fait ses devoirs. Le travail à la maison est devenu un problème : un tiers des élèves ne le font pas. Beaucoup de parents rentrent tard, et ne sont pas là pour aider ou vérifier. La famille joue un rôle très important : chez ceux qui marchent bien, on sent une éducation, et ce n’est pas lié au niveau de richesse. Beaucoup de gens dans le Médoc sont commerçants, travaillent surtout l’été et vont s’approvisionner l’hiver dans des pays lointains. J’ai eu un élève dont les parents passaient trois mois en Indonésie tous les ans. Ni idiot ni inculte, mais complètement asocial. S’il avait envie de lire une BD en cours, il le faisait… Pour les excellents, on doit gérer des parents convaincus que leur enfant est surdoué. Ça se calme vers la quatrième, où on s’aperçoit qu’ils ont une intelligence réelle mais normale. Ceux-là nous quittent souvent : ils vont à Bordeaux ou dans le privé. Nous prêtons plus d’attention aux mauvais. Il y a des heures de soutien, des aides aux devoirs. Nous avons un PPRE (Projet personnel de réussite éducative). Une fois par semaine, un élève vient parler avec un professeur. Et ce sont eux qui viennent. Le but est d’avoir une relation de confiance. Cela aide souvent. Sylvia Chaussat est documentaliste au collège Jules-Chambrelent à Hourtin (33). Françoise Daireaux, professeur “Le problème : les élèves moyens. Sont-ils sacrifiés ?” Sans être en ZEP, nous avons 60 à 70 % d’élèves venant de familles à revenus bas et souvent d’origine étrangère. Une petite minorité crée des problèmes ponctuels de violence, mais en dix-sept ans j’ai toujours pu y enseigner sans souci. C’est un contexte particulier : beaucoup d’enfants vont faire mieux que leurs parents. Un bon élève, c’est d’abord un élève qui maîtrise à peu près la langue et qui peut s’approprier ce qu’il apprend. Nos élèves ne sont pas toujours brillants, mais respectueux du système, et travaillent dans des conditions difficiles. Ils ont besoin d’être encadrés, et nous leur proposons des aides aux devoirs, des permanences. Au collège, ça va encore. Après, leur parcours devient plus compliqué : les classes comptent 35 élèves, les filières ne sont pas nettes, les conseillers d’orientation souvent absents. Le lycée ne va pas vers les élèves, et cela fait une grosse différence avec le collège. Les très bons marchent tout seuls. Les plus mauvais bénéficient de dispositifs très onéreux : écoles de la seconde chance et autres. Le problème, ce sont les élèves moyens, qui sont la majorité. Sont-ils sacrifiés ? Nous nous posons la question régulièrement. Je n’ai pas de réponse définitive. Je crois en tout cas qu’un système de vingt élèves par classe, avec des professeurs expérimentés et non des débutants, permettrait d’en récupérer beaucoup. Françoise Daireaux est professeur d’histoire au collège Théodore-Monod de Gagny (93). Anne Irollo, professeur “Les mauvais élèves ? On préfère les voir ailleurs...” Un bon élève est un élève bien dans sa peau, qui apprend ses leçons, est vivant et a envie d’apprendre. Rocroy est une école privée catholique sous contrat. Elle a d’excellents résultats (100 % de réussite au bac) et tient à les garder. Nous accordons donc de l’attention aux bons élèves et essayons de les pousser vers les filières d’excellence, en regardant surtout les résultats. Nous faisons une sélection à l’entrée. L’école recrute sur livret scolaire. Je préférerais avoir un public plus ordinaire, d’autant que le niveau n’est plus toujours aussi bon qu’avant. Cette évolution est due pour beaucoup aux parents qui refusent souvent le redoublement de leur enfant, encore plus quand celui-ci vient d’un milieu favorisé. Mais les gens sont attirés par cette réputation de bonne école. Tous les professeurs n’adhèrent pas à ce culte de 100 % de réussite au bac. Les milieux sociaux sont plus mêlés à partir de la seconde, mais les problèmes de comportement sont très atténués par rapport à d’autres lycées. A Rocroy, j’ai moins de problèmes avec les jeunes de banlieue que nous acceptons, et dont les parents sont très attentifs, que certains de mes collègues du 9e arrondissement avec des fils de bobos livrés à eux-mêmes. Les mauvais élèves ? On préfère les voir ailleurs. On décourage les parents en les incitant à les mettre dans des établissements de moins bon niveau. Je n’aime pas beaucoup la façon dont ces élèves-là sont traités, et certains d’entre nous essaient de se battre pour eux. Mais, contre les choix de la direction, ce n’est pas toujours facile. Anne Irollo est professeur au lycée privé sous contrat Rocroy-Saint-Léon à Paris. Antoine Iaconelli, directeur “Un mauvais élève est un élève qui souffre” Un bon élève est d’abord un élève tenu par une famille qui a des valeurs et les transmet, et ensuite un élève qui sait ce qu’il veut faire et est prêt à se donner les moyens d’y arriver : l’indécision est un problème grandissant. Dans le privé, les familles qui font un effort financier pour leurs enfants sont souvent regardantes sur leur éducation. Notre public vient à 60 % de Paris et à 40 % des Hauts-de-Seine, avec 10 % de boursiers. Notre école est aussi une entreprise. L’an dernier, j’ai eu sept échecs au bac, et ça nous fait perdre des dizaines de places dans les classements. En revanche, si j’ai 98 % de succès, les bons dossiers arrivent. Pour nos meilleurs élèves, nous avons une section d’excellence, un bac européen. Un mauvais élève est surtout un élève qui souffre. Mais comment juger de la valeur de quelqu’un qui ne peut pas s’exprimer ? Nous préférons mettre en place un accompagnement plutôt qu’un redoublement, en développant des activités parallèles : théâtre, musique. Une élève de terminale médiocre s’est révélée une grande violoncelliste, et a bluffé tout le monde lors d’un concert. Nous avons des PPRE (Projet personnel de réussite éducative), dans lesquels les parents sont partenaires. Mais parfois rien n’aboutit. Alors nous réunissons un conseil d’établissement et essayons de réorienter l’élève. En travaillant dans un réseau d’établissements, cela nous est plus facile. Antoine Iaconelli est directeur de Saint-Michel des Batignolles, établissement privé sous contrat à Paris. Catherine Vicker, professeur “Le système reste élitiste” Gustave-Eiffel est l’un des meilleurs lycées de Bordeaux, avec une spécificité technique marquée. C’est un lycée public, 30 % des élèves seulement sont recrutés hors carte scolaire, sur livret. Beaucoup d’élèves s’autocensurent et ne postulent pas à cause du niveau du lycée, surestimé. Le bon élève, de plus en plus, est celui qui sait s’adapter, pas forcément le plus doué intellectuellement, mais celui qui sait le mieux comprendre le système et élaborer des stratégies. Dès la seconde, nos élèves pensent déjà beaucoup à l’après-bac, et la moitié des classes préparatoires de l’établissement sont remplies par des élèves qui ont fait leur scolarité à Eiffel. Les mauvais ne me paraissent pas sacrifiés. Nous essayons de les intégrer, car nous avons une palette d’offres et de formations plus ouverte qu’ailleurs. Je n’ai jamais vu d’élèves éjectés de manière arbitraire, mais le système reste élitiste. Je ne suis pas sûre qu’en France on valorise l’élève, qu’on essaie de lui donner confiance en lui. C’est à lui de s’adapter à un système assez rigide. Catherine Vicker est professeur d’anglais au lycée Gustave-Eiffel de Bordeaux (33).
Le module de commentaires est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de notre partenaire. Compte-tenu du refus de dépôt de cookies que vous avez exprimé et afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la contribution.
Pour continuer à contribuer vous pouvez donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Retrouvez le meilleur de Télérama avec nos cinq newsletters : Ecrans & TV, La Quotidienne, Télérama Sortir Grand Paris, Télérama Soirée (abonné) et Télérama Week-end (abonné)
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt.


Estelle
Alicia
Ilona
Juliana
Maud
Mélissa
Tanya
Tracy
Toutes les hôtesses

Posté le 09/07/2014 par Anonyme : Tres excitant
Posté le 08/08/2013 par laurentparis : Superbe histoire tu as eu raison d'en profiter... Moi en temps qu'homme il m'est arrivé la même chose sauf que je ne suis pas prof et que cette femme étais plus âgé que moi nous en avons tirée de très bon moment
Posté le 28/07/2013 par sagittaire86 : vous êtes majeurs ts les 2 -- dommage de ne pas faire autre récit surtout avec les mots doux que tu recevais pd tes cours et peut-être as-tu suivi ses conseils en matiére de coquineries... tu devrais nous en dire un peu plus et serais heureux de suivre tes aventures avec ce jeune homme--- je viens de découvrir ce site et compte y venir lire tes av entures...
Posté le 07/07/2013 par CHAUUD! : Vous etes tout deux majeurs alors si vous avez pris du plaisirs c'est le principale..:)<3
Cette histoire ma fais mouiller..
Posté le 13/06/2013 par xxxxxxx : troop exitante!!!
Posté le 03/05/2013 par LOL : cette histoif ma tellement exiter que maintenan j'ai envi de penetrer cette prof et lui fair un cunni
Posté le 03/05/2013 par LOL : Cette histoire ma tellement exitée que maintenan j'ai envi de penetrer cette prof et lui fair un cunni
Posté le 10/02/2013 par Galabru : Eh bien , à voir un peu les commentaires je suppose que leurs auteurs sont aussi voir moins âgés que le jeune élève dont il est question.
Histoire excitante bien que je doute beaucoup de la véracité de l'histoire, trop classique et à l'eau de rose pour être réel. De plus un professeur qui fait tant de fautes d'orthographe dans un texte c'est assez étonnant ..
Bonne soirée
Posté le 02/02/2013 par Cristalinie : Bof c'est ton éléve
Posté le 07/01/2013 par Anonyme : on vien qu une fois faut en profiter et vous etez tout les deux majeurs
si ca vous dit de reesayer je ss partant
Posté le 19/12/2012 par ryme42 : Vous êtes majeurs tous les deux, alors rien de mal! Prenez-le comme amant et lui pour maîtresse et vous viverez de grands moments.
Posté le 09/11/2012 par udc : C'est triste, pour une prof, de se comporter ainsi(mais bon, vous êtes majeurs et consentants) mais surtout, faire des fautes d'orthographe.
Posté le 04/11/2012 par éro : c'est cool d'être traité de pute par son élevé non? Lol!
Posté le 28/10/2012 par floflo : bonjour je suis un jeune homme de 23 an qui est attiré par les histoires dans ce genre et votre histoire ma beaucoup excité et je vais vous dire, tant que vous avez pri du plaisir tout les deux c'est le principal !!! bisss
Posté le 27/10/2012 par TPP : Et bien moi j'aimerai bien que ma prof me face la même chose.
Si vous avez pris chacun du plaisir alors je ne vois pas le mal.
bisous
Pour commenter une histoire, il faut être membre. S'inscrire gratuitement / Se connecter
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/10/2012
Jamais je n’aurais pensé venir sur ce genre de site. Mon profil est loin de la plupart des femmes qui viennent ici. Je ne suis pas comme ces nymphomanes qui se définissent elle-même comme étant des salopes. Je ne suis pas non plus une personne coincée. Quand je sors avec quelqu’un lorsque nous passons sous la couette, j’aime lui faire plaisir et me faire plaisir. Mais voilà que moi aussi j’ai fait quelque chose de pas très catholique et pire que beaucoup des histoires relatées ici.

Bien que je ne puisse pas vous dire mon prénom et vous comprendrez pourquoi, je peux quand même me présenter un peu. Je fais 1m63 pour 55 kilos, je suis brune, j’ai des yeux noisette et au niveau de ma poitrine et de mes fesses et bien disons que la nature m’a bien gâté. Je suis depuis quelques années déjà enseignantes dans un lycée professionnel. J’adore mon métier mais voilà qu’aujourd’hui je dois tout remettre en question.

En début d’année lorsque j’ai eu ma nouvelle classe, un élève s’est tout de suite démarqué du lot. Il n’écoutait rien, et avait une mauvaise influence sur la classe. Et pourtant ces résultats étaient plus que bon. Alors un jour je l’ai convoqué après les cours pour comprendre un peu et j’ai compris que son attitude n’était qu’un masque pour se protéger et pour la première fois de ma vie j’ai craqué pour un de mes élèves. Il m’a touché…

Je me suis abstenue de lui faire part de mes sentiments puis un jour lorsqu’il m’a rendu un devoir avec une page en plus, une page en plus où il avait écrit quelques mots, juste pour moi.

« Sur tes courbes mes mains aimeraient se promener
Tes formes je voudrais explorer
Ton attention j’aimerais attirer
Dans mes bras je voudrais t’enlacer
Mon corps j’aimerais t’abandonner »

Cette lecture m’a rendu toute chose. Et dans les semaines qui ont suivis il y en a eu d’autres de plus en plus osés. Ces mots m’excitaient à chaque fois, je ne pensais pas que l’écriture pouvait avoir un tel pouvoir. Et je me suis mise à avoir de mauvaises pensées. Mon regard sur lui a changé, je le voyais comme un homme avec qui j’aimerais passer un moment sous la couette. Il n’avait que 18 ans et j’avais plus de 15 ans que lui.

Un jour je suis partie du lycée très tard, après une réunion. J’ai pris le même bus que d’habitude et je suis descendue à mon arrêt après dix minutes. Il faisait sombre et tout à coup j’ai entendu des pats derrière moi. Prenant peur, j’ai commencé à accélérer. L’individu se rapprochait de plus en plus et tout à coup une main s’est posée sur mon épaule. D’un bond je me suis retournée pour me retrouver nez à nez avec mon élève.

- Vous m’avez fait peur ! Me suis-je exclamée.
- Ce n’était pas mon intention, mais je vous ai vu descendre et comme je ne vous ai pas vu de la journée je voulais vous dire bonjour.
-
De fil en aiguille il en est venu à m’inviter chez lui pour me faire découvrir ses peintures. Je ne savais pas qu’il peignait et j’étais ravie qu’il me propose de me montrer son travail.

Il habitait un petit studio sous les toits, le sol était couvert de bâche et des chevalets portant d’étranges tableaux étaient disposés un peu partout dans la pièce. Je contemplais une toile lorsque j’ai senti son souffle sur ma nuque. Il a embrassé dans le cou, puis est allé mordiller mon lobe d’oreille.

- Non, il ne faut pas… Ai-je soufflé en me retournant.
- Mais pourquoi ?
- Je suis votre professeur.
- Alors apprenez-moi des choses.

Mon cœur battait la chamade, une vague de chaleur se propageait dans tout mon corps. Je me suis mise à trembler comme une feuille. J’avais terriblement envie de ce jeune homme, mais la raison me retenait encore. Mon élève m’a entouré de ses bras et m’a retourné face à lui. Ses lèvres se sont posées sur les miennes et je n’ai plus rien contrôlé. Le désir s’est emparé de moi. J’ai poussé mon partenaire vers le lit et je me suis allongée sur lui. J’ai déboutonné sa chemise et j’ai léché son torse en descendant à son nombril puis plus bas encore. J’ai défait sa ceinture puis sa braguette et libérer son sexe de l’étreinte de son boxer. Il était monté comme un âne et je n’ai pas pu résister à lécher cette appétissante friandise. Son sexe était chaud et j’adorais son gout sur ma langue. Je l’ai lentement fait glisser entre mes lèvres et j’ai commencé à descendre et monter ma bouche de plus en plus vite. Mon élève se laissait faire et poussait des râles de satisfaction.

Avoir son engin dans la bouche ne me suffisait pas et je me suis dépêchée à me déshabiller rapidement. Sans réfléchir un instant, j’ai empalé mon petit abricot sur sa tige dressée qui s’est glissée entre mes parois humides, centimètres par centimètres. Je me suis mise à bouger d’avant en arrière de plus en plus vite. Je ne pensais qu’à jouir, j’oubliais totalement que j’avais l’un de mes élèves entre mes cuisses. Je m’étais lancée dans une véritable chevauché fantastique, je mouillais abondamment et je sentais les parois de mon vagin se contracter de plus en plus et tout à coup
Helen Duval baisée par trois mec à Prague
Salope excitée a sa bouche remplie de bite
Oh oui baise ce cul soldat

Report Page