Un livreur bien chaud

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  Emmanuelle s’apprête à passer une soirée cocooning, avec pizza, DVD et vieux pyjama… Un motard trop craquant va changer ses plans. Propos recueillis par Florence Soderbergh 
Emmanuelle s’apprête à passer une soirée cocooning, avec pizza, DVD et vieux pyjama… Un motard trop craquant va changer ses plans. Propos recueillis par Florence Soderbergh
  « J’avais terriblement envie d’une pizza ! Une margarita. Fondante, chaude et croustillante, alors que je m’apprêtais à passer une soirée d’hiver, dans la nuit froide de janvier, toute seule, dans le studio strasbourgeois où je m’étais installée quelques mois plus tôt pour suivre des études d’histoire de l’art. J’avais tout préparé en attendant le livreur : un DVD bien imbécile avec un héros hypra beau et, surtout, une excellente bouteille de chianti ! Je ne savais pas à ce moment-là que ce petit plaisir m’en apporterait tant d’autres... Inutile de dire que j’étais habillée comme un sac, en semi-pyjama et en gros pull mohair de grand-tante... Vers 10 heures du soir – je m’étais avachie sur mon canapé lit – on a enfin sonné à la porte. J’ai ouvert la porte, sans penser une seconde que mon livreur de pizza allait se révéler... mon amant de la nuit ! C’était la première fois que je vivais seule, après cinq années passées avec mon ancien fiancé, à Paris. Après notre séparation, j’en avais d’abord profité pour faire une fête de tous les diables, j’étais chaque soir dehors, j’enchaînais les rencontres sans aller jamais trop loin, de peur de me blesser à nouveau, je tourbillonnais. Et puis je m’étais lassée. J’avais décidé qu’il était temps d’apprendre à rester seule dans sa chambre avec livres et CD, et même si j’appréhendais un peu ce premier hiver, j’étais maintenant ravie de rester chez moi, et d’arrêter de faire de folies. Du moins, c’est ce que je croyais...
  Quand j’ai ouvert la porte, je n’ai pas spécialement prêté attention à lui. Il était là, assez grand, c’est vrai, mais la seule chose que je voyais, c’était sa tenue rouge de pompier, son casque rouge sur sa tête, et sa pizza chaude à la main. Comme il faisait froid dans la cage d’escalier, je lui ai proposé d’entrer, histoire de fermer la porte le temps d’aller chercher de quoi le régler. Je n’avais fait que quelques pas dans ma tenue d’hibernatus (très à l’aise, je dois dire) pour prendre mon sac, quand, soudain, je me suis retournée pour lui demander ce que je lui devais, et... il a retiré son casque. Ce fut comme une apparition dans ma kitchenette ! Une bombe ! Une véritable bombe ! Genre le type de la pub Levi’s de l’époque, celui qui mettait son jean dans le lave-linge de la laverie et qui se retrouvait en caleçon ! Le même, là, devant moi, avec cette mâchoire carrée, ces cheveux bruns mi-longs, ce sourire ultra-bright et ces grands yeux bleu foncé, rieurs, gentils, et même une petite cicatrice sur la joue... une caricature de beau gosse des 80’s. J’aurais mis ma main à couper qu’il avait également la peau douce et bronzée, des plaquettes de chocolat et les épaules de mes rêves les plus doux. Un garçon pile comme le héros du film idiot que j’étais en train de regarder. Mais en chair et en os, donc beaucoup, beaucoup plus charmant. J’en étais si chamboulée dans mon pyjama que je suis allée m’asseoir sur un des tabourets de mon minibar, et j’ai repris une petite gorgée de vin pour me donner une contenance. Il m’a demandé si je pouvais lui offrir un verre. « Bien sûr. » Comment lui refuser quoi que ce soit ? Je laisse donc tomber mon porte-monnaie, la pizza, ma soirée télé en solitaire, et je lui sers un verre de ce délicieux chianti que nous décidons de boire plus commodément sur mon canapé-lit. J’ai cessé de regarder le film, il s’est levé pour passer un peu de musique, avant de revenir près de moi. A part sa combinaison rouge, tout cela semblait parfaitement normal.
  La pizza que j’avais tant attendue est restée sagement sur le bar, pendant que je me réchauffais à son sourire... et nous avons commencé à nous raconter nos vies. Jérémy (c’était son nom) était étudiant comme moi et travaillait comme livreur de pizzas pour payer ses études. Justement, la pizza, on l’avait vraiment oubliée, et le restaurant a appelé, indiquant que, si mon prince charmant ne revenait pas immédiatement à la pizzeria chercher ses livraisons, il était viré. « Il faut que j’y aille, non ? » a-t-il murmuré en s’approchant de mon oreille, avant de me déposer un baiser dans le cou. Je n’ai rien osé dire. Je me suis levée avec lui, nous avons fait les trois pas qui nous séparaient de la porte d’entrée, et là, il m’a embrassée... J’ai su alors que c’en était fini de son boulot de livreur de pizzas ! Au bout de quelques secondes de baisers renversants, langoureux, fondants, j’entendis le casque qu’il avait à la main tomber par terre et je décidai qu’il était grand temps que j’ouvre la fermeture à glissière de son blouson. Adieu, uniforme écarlate. A nous deux, la nuit blanche. « Je suis trop bien chez toi, tu sais, je ne peux pas m’en aller. » Je sentais maintenant son corps sous son T-shirt, la chaleur de ses bras nus, ses mains sur moi, j’en oubliais presque l’affreux pyjama que je portais, et j’avais vraiment hâte qu’il l’enlève pour me retrouver dans une tenue plus avantageuse... en moi-même ! Mais il était galant homme. Très, très loin d’un homme habitué à ces choses-là. Je sentais bien que je n’avais pas affaire à un mauvais acteur de film pornographique, un livreur qui adore gâter ses clientes, un faux plombier qui trouve qu’il fait trop chaud chez vous... Au contraire, j’avais confiance en lui : son regard bon, sa voix amusée d’une situation pour le moins cocasse me rassuraient. J’ai eu alors soudain terriblement faim et comme je n’avais aucun four pour réchauffer notre fameuse margarita, il est ressorti – profitant une dernière fois de son beau scooter rouge – nous chercher quelque chose à grignoter, et une autre bouteille de vin. Pendant ce temps, réjouie des surprises que la vie vous apporte parfois, je tremblais un peu, je sautillais dans mon studio. A son retour, comme je l’avais espéré, rien n’avait changé entre nous : aucune gêne, aucune hésitation, nous avons continué à discuter, à rire et à nous embrasser jusqu’à 5 heures du matin. Nous étions un peu ivres, il a défait le lit, et je me suis retrouvée nue dans ses bras.
Grâce à cette nuit, j'ai repris confiance
  On a fait l’amour. C’était terriblement bon, parce qu’il était tendre, doux, que je n’avais aucune peur de lui, et en même temps, c’était super excitant , parce que, quelques heures plus tôt, il m’était encore parfaitement inconnu et que je pouvais me lâcher totalement. Je le revois encore comme si c’était hier penché sur moi, je revois encore ses épaules, son torse, son cou, ses bras. Sans rire, il était beau comme un camion ! Un Boeing ! Mieux, un Airbus ! Un type improbable. Ça m’a fait un bien fou. A l’époque, j’avais le sentiment de m’être plongée dans un tourbillon de nouveautés, de fêtes, de projets, sans avoir su me retourner une seule fois sur mon ancienne vie. Il me semblait que j’avais mal quitté mes parents, mal quitté mon ancien fiancé, et tout cela me pesait terriblement. J’avais pris du coup pas mal de poids, et peut-être bien que, sans mon pizza-man de rêve, sans mon pizza-superman, je me serais refermée sur moi-même. Il m’a permis de comprendre qu’on peut faire des rencontres autrement qu’en passant ses nuits au fond d’une boîte de nuit, et qu’elles peuvent être très douces, sans danger. C’était si bien que nous sommes restés au lit dans les bras l’un de l’autre tout le lendemain, et tout le surlendemain... Et tout naturellement, nous nous sommes revus ensuite. Quelques mois plus tard, nous sommes même partis en vacances ensemble, en Bretagne, puis en Italie où nous avons retrouvé notre fameux chianti ! Grâce à cette fameuse nuit et au regard que cette bombe atomique portait sur moi, j’ai repris confiance. Ça ne m’était jamais arrivé, avant, de me « taper » un mec, comme on dit, pour un soir. Depuis, je n’hésite pas à le tenter si je suis seule et que l’homme en question me charme vraiment, s’il sait rendre ce moment drôle et doux, délicieusement sympathique... si je sens qu’il peut me couvrir de tendresse, comme ce garçon l’a fait ce soir-là.
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Oh purée! La 1ere est moche en !!! Mais qu'est ce qu'elles ont les femmes pour faire ce genre de chose? Elles veulent se faire toutes sautées??
Pourquoi les livreurs ne portent pas plainte? lol
vraiment les livreur devraienter pleinte
si un homme fait ca ... waaa directe POLICE un pervers ... ou je ne sais quoi d'autre qu'il pourrait inventer
Ces la vie la femme est faite pour faire rêve l'homme ! .
Mais légalité homme femme n'est pour tout de suite .
Et puis l'homme est un chasseur et la femme gibier c'est bien cela qui est dit ? Et le gibier à droit à toutes les ruses , mais le chasseur à des lois très stricte à respecter .
Moi j'adore le gibier à poil et j'aime quand il ruse , et se retrouve nue pour échapper sois disant au chasseur !!!!!! Et vous quand pensez vous ??
Femmes je vous aiment continuez les chasseurs vous adorent
Et oui mes Mr vous ne saviez pas que la majeure partie des femmes étaient des salopes qui adoraient s'exhiber . Ne croyez pas que vous êtes au courant de leurs méfaits ! Mais elles sont tellement adorables en exhibe pas vraie surtout quand c'est la femme d'un autre qui se dévoile à nous .
N'oubliez pas toutes des cochonnes , des salopes , que nous adorons et que nous aimons .
Bjr les filles mais pourquoi remettre votre serviette autour de vous ! Vous êtes si belles sans rien . Recevez c'est pauvres livreur sans rien celles qui sont nues sont bien plus naturelles . Moi perso jamais encore une femme ma ouverte la porte nue ou presque nue !!!!! Alors fail
PUTAIN, C'EST DECIDE! JE COMMENCE UN NOUVEAU METIER, LIVREUR DE PIZZA.
TOUTES DES SALOPES, J'AIME CA

Avis des employés pour Chauffeur Livreur (H/F) chez Uber Drivers Evaluer cette entreprise
101 avis correspondant à votre recherche Voir les 16 121 avis
Livreur (ancien employé) - Lyon (69) - 4 août 2022
Avis à la une L'avis le plus utile, sélectionné par Indeed
On travaille beaucoup mais gagne peu. Il faut revoir la rémuneration
Livreur polyvalent (employé actuel) - Essonne - 3 août 2022
En période creuse quand il fait beau et chaud et dans les villes où y’a pas beaucoup de restaurants la demande est quasi inexistante donc pas beaucoup de commandes donc pas beaucoup de rentrée d’argent
Travail précaire aucune aide un vrai travail d’escroc
Livreur (employé actuel) - Paris - 21 juillet 2022
C’est bien parce que si tu bosse t’as de l’argent
LIVREUR (ancien employé) - Marseille (13) - 16 juillet 2022
Le fait d'engager des indépendants au lieu de salariés arrange beaucoup uber. Les livreur sont clairement sous payé et trop nombreux. Ils attendent souvent des heures à côté de restaurants dans le froid ou la chaleur dans l'attente d'une commande.
Chauffeur livreur (ancien employé) - Rognac (13) - 13 juillet 2022
Vous êtes votre propre patron a vous de voir ……………
Chauffeur livreur (ancien employé) - Agen (47) - 11 juillet 2022
Ça va c’est cool de travailler chez Uber eats normalement c’est en vélo mais tu peux travailler en voiture avec le chauffage pour l’hiver et la clim pour l’été, livré les clients avec le sourire et rapidité.
Livreur (ancien employé) - Lyon (69) - 12 juin 2022
Le salaire est bon quand il y une période d’affluence.
Livreur Uber Eats (ancien employé) - Toulouse (31) - 9 juin 2022
Uber ne calcul pas les indépendants tant qu’il font leur chiffre
Aucun avantage avec les restaurants
Livreur (ancien employé) - Toulouse (31) - 8 juin 2022
En tant qu' étudiant le principe de choisir ses horaires de travail me convenait parfaitement mais suite au nombre de livreurs qui n' a cessé d' augmenter et la concurrence qui a pris sa part de marché, il n' y a plus assez de commandes pour tout le monde. Ne vaut pas le danger pour le salaire proposé.
Livreur (ancien employé) - Cannes (06) - 3 juin 2022
Éclate au sol esclavage des temp modernes une fois que vous payer votre essence votre ursaff si vous voulez faire de l’argent il faut travailler 7 /7 sinon vous bosserez beaucoup pour l’équivalent d’un smic
Livreur polyvalent (employé actuel) - Montpellier (34) - 1 juin 2022
Uber paye de moins en moins ses livreurs , on peut avoir des courses de 3km pour seulement 5e
Livreur (employé actuel) - Roanne (42) - 6 mai 2022
passer votre chemin, payer comme des chiens Aucun avenir dans ce business
Livreur (ancien employé) - Tours (37) - 12 janvier 2022
À faire pendant les vacances mais ne prenais pas ce métier comme métier définitif.
Oui Ces 1 avis sont utiles 1 Non Ces 1 avis sont inutiles 1
Livreur (employé actuel) - Nord - 5 janvier 2022
Précarité dans le job, travaille flexible Complément de revenu
Livreur (ancien employé) - Marseille (13) - 24 décembre 2021
Aucuns avantages très très difficile d'atteindre le smic même en faisant 40 h par semaine pas rentable pour des gens qui en plus n'auront pas de chômage le jour ou ils arrêtent
Livreur (ancien employé) - Toulouse (31) - 13 décembre 2021
Journées de travail très compétitives, pas de protection des travailleurs, compliqué sur le long terme. Répétitif.
Trop de livreurs par rapport aux nombres de commandes
Livreur en alimentation (employé actuel) - Calais (62) - 5 décembre 2021
En tant que livreur uber eat, cet emploi sert uniquement de dépannage car très instable.
Livreur (ancien employé) - Mâcon (71) - 4 décembre 2021
C’était bien mais
Amarna Miller veut concquérir l'Europe
Baise vaginale et anale intense pour une mILF
Baise Texas Alexis au gros cul

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