Un jeune vierge gay

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Un jeune vierge gay

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Court métrage sur un jeune gay et son pÚre
Une petite fille surprend son frĂšre en train d’embrasser un autre garçon
 Comment leur pĂšre et le reste de la famille va-t-il rĂ©agir ? C’est le point de dĂ©part de « Understanding », un court mĂ©trage plein d’amour et de tolĂ©rance. Il est rĂ©alisĂ© par Terry Rayment et produit par Kodak qui tente, par se biais, de continuer Ă  promouvoir l’usage de la pellicule cinĂ©matographique. Attention, vous risquez fort de verser une petite larme. [ATTENTION HOMOPHOBES S'ABSTENIR] Par ailleurs, j'en profite pour faire un peu ma pub, mais si vous avez un peu de temps, vous pouvez signer ma pĂ©tition pro-LGBT sur Change.org pour l'interdiction des thĂ©rapies de conversion (traitements mĂ©dicaux et/ou psychologiques pour changer l'orientation sexuelle ou le genre d'une personne LGBT). On dĂ©marre avec peu de personne, mais j'espĂšre qu'avec vous, on arrivera Ă  franchir un petit palier. https://www.change.org/p/pour-l-interdiction-pure-et-simple-des-th%C3%A9rapies-de-conversion-en-france?recruiter=104892730&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink Mettez vos commentaires par rapport Ă  ce mini mĂ©trage, si c'est par rapport Ă  ma pĂ©tition, envoyez moi un MP. Sur ce, bonne soirĂ©e Ă  tous !
Il est rĂ©alisĂ© par Terry Rayment et produit par Kodak qui tente, par se biais, de continuer Ă  promouvoir l’usage de la pellicule cinĂ©matographique.
Je suis un connard....je ri tout seul en imaginant pleins de petits films avec la mĂȘme histoire mais selon le pays et la culture...avec diffĂ©rentes fins.... mode connard off " film sympa, un peu beaucoup gnangnan et pour ta pĂ©tition, bonne chance: ni pour, ni contre, chacun fait son choix propre Ă  lui mais tu viens de m'horrifier...il existe des thĂ©rapies que les parents imposent Ă  leurs enfants?!!!!......Genre tu vois ton garçon de 16 ans embrasser un autre garçon, hop thĂ©rapie avec un psy...sĂ©rieux... Si il a 2 ans et il prend la main d'un autre garçon alors pareil? je suis entrain de me renseigner, et je lis des ces monstruositĂ©s...pauvre enfant "parents Si vous avez le moindre doute sur l'orientation de votre enfant....thĂ©rapie....." escrocs! edit: @ Splinter68 po compris ta notif....., ah si pour Ă©viter toute polĂ©mique alors je te mp? nop nop nop, encore heureux qu'on puisse s'exprimer ( dans le respect de l'autre) sur le forum pour dire que certains parents en tiennent une sacrĂ© couche Non mais oh, tu Ă©lĂšve tes enfants mais c'est pas des esclaves lol, ils peuvent choisir ce qu'il veulent passer un certain cap de leur vie ( et selon leur maturitĂ© bien entendu)....bon j'en rajoute pas et la prochaine fois, peut etre en mp ^^..... ps: en parlant du respect des saintes rĂšgles du forum, Ă©dite la prochaine fois pour ne pas mettre 2 messages Ă  la suite re Ă©dit: 3 messages :bizarre: re re Ă©dit pour warwick et son message de mĂ©contentement: le "re Ă©dit" Ă©tait une petite blague tandis que le "ps" contenu dans le premier Ă©dit se devait de rappeler Ă  une personne qui a 700 posts au compteur de faire attention . Je ne vais donc ni re re re Ă©diter pour dire que le message sur l'enfant de 2 ans Ă©tait une blague du genre hyperbole, ni rĂ©pondre pour alimenter le topic en faisant du hors sujet . Voila ma poule :coeur:
@ chopsuey Je ne sais pas vraiment, ce sont les indication de ce métrage qui ont été donnés, je ne connais pas les détails, je te tiens au jus si jamais ^^
@ murata2 n'oublie pas ce que j'ai dit plus haut, merci !
@ murata2 Tu compliques vraiment les choses, mais soit, d'une part, je préfererais qu'on me notif par mp concernant la pétition pour que les commentaires restent sur le sujet de la vidéo. De 1 Et de 2, tu t'emportes un peu trop. Evidemment qu'on ne va pas faire de thérapies à un gamin de 2 ou 3 ans sous pretexte qu'il tient la main à un enfant du meme sexe. Sinon, on peut autant enfermer les enfants de primaire et les cours de récré deviendraient vide de chez vide. On parle de thérapies quand la personne concerné est déjà plus agée et qu'elle a conscience et qu'elle admet son homosexualité ou sa transexualité envers sa famille qui elle, par choix, décide de l'emmener chez un "spécialiste" pour le traiter de son anormalité. Voila ce que je veux dire par là. Et le truc, c'est qu'aucune loi en France n'existe pour protéger les LGBT de cela. La plupart sont obligés parce que c'est leur famille qui ont le dessus sur eux. Je te propose juste de continuer la conversation en mp pour éviter de trop polluer la zone Du moins, si t'as encore quelque chose à me dire
A non mais ne continuez pas en mp ! Je comprend rien Ă  vos Ă©changes, j'ai l'impression que vous soutenez le mĂȘme genre de chose, du coup j'aurais bien voulu avoir la suite pour mieux comprendre Edit: Ah ok tu veux juste pas qu'on parle de ta pĂ©tition ici en fait... bon pourquoi pas :bizarre:
@ chopsuey C'est pourtant simple, Il/elle/autre ne veut pas qu'on parle de sa pétition mais uniquement du court métrage donc il/elle/autre m'a notifié pour que je lise correctement son message et que j'adhére à sa demande mais il(/elle/autre) se trouve que je suis joueur. Rhooo mais tu ne suis pas ou quoi. Et super l'interruption, j'ai cru qu'on allait atteindre le quatriÚme post à la suite
Edité par Warwick sur 25/4/2017 7:51:49
Franchement, la vidéo m'ennuie, tout comme le sujet traité Car : - Sujet consensuel - ici comme j'ai l'impression partout, tout le monde est pour laisser vivre, hétéros, homos, osef - Ca ressemble du coup a une entreprise Kodak qui surf sur le convenu pour faire sa pub "nous on respecte tout le monde voyez" - Et perso, je trouve qu'en France y a pas de problÚme anti homo (alors bon y en a sans doute a la marge comme pour tout sujet, si t'es gros, si t'es black, si tu vote a droite, si t'es vegan, etc etc) AprÚs je salue ton implication pour la pétition. Ce n'est pas mon combat. Mais c'est toujours trÚs respectable de voir qqun se battre pour quelque chose. Donc simplement je te souhaite bonne chance dans ton combat !
@ chopsuey a écrit: Ce faux tétraplégique à la fin








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© Tous droits réservés. Jérémie2412.

Un soir que j’étais dans un bar gay, Ă  la recherche d’un mec pour la nuit, un jeune mĂŽme de 18 ans vint s’assoir Ă  cĂŽtĂ© de moi pour engager la conversation. Je le connaissais de vue, car c’était le petit frĂšre d’un de mes ex. Je l’avais rencontrĂ© lorsqu’il avait 16 ans et dĂ©jĂ  je fantasmais sur lui, car c’était un trĂšs beau gosse sensible et intelligent, trĂšs blanc de peau, des cheveux souples, les traits du visage assez fins, des yeux trĂšs bleus, une bouche sensuelle, une belle dentition, un corps mince et finement musclĂ©, un joli petit cul bien moulĂ© dans son jean. Je me demandais comment Ă©tait sa queue. Jamais je n’avais tentĂ© la moindre approche, car trop jeune, et c’était un gamin timide, qui rougissait facilement, complĂštement inexpĂ©rimentĂ©, tant niveau fille que garçon.

J’offris un verre d’alcool au gosse et nous parlĂąmes un peu de son frĂšre, de l’école, mes envies, ses passions et, un peu grisĂ©, il commença Ă  me parler d’un de ses potes, Mehdi, jeune homo trĂšs viril et bien foutu, dont il Ă©tait assez amourachĂ© et Ă  qui il avait fait des avances, mais qui l’avait repoussĂ©, car il n’aimait que les mecs expĂ©rimentĂ©s. Finalement, en rougissant, le mĂŽme osa me faire sa demande :

— Est-ce que
 tu pourrais m’apprendre
 à sucer un mec ?

J’en revenais pas. Ce jeune bogosse timide me demandait s’il pouvait me sucer ma teub ! Profitant de l’occase, je le regardai dans les yeux.

— Je t’apprendrai comment on suce une queue, mais à une condition : je veux que tu me laisses t’enculer ensuite !

— Je ne sais pas si je suis encore prĂȘt. Je suis vierge et ça me fait peur.

— Ton pote Mehdi n’aime pas les puceaux. Laisse-moi t’enculer, te faire aimer ça et faire de toi un petit suceur expĂ©rimentĂ© et tu verras que la prochaine fois, il te laissera le sucer avant de te prendre et de te flanquer quelques coups de reins. C’est bien ça que tu veux de lui, non ?

Le mĂŽme hocha la tĂȘte sans rien dire. Je payais les consommations puis je l’emmenai chez moi, directement dans ma chambre, et je l’allongeai sur le lit, le dos et les fesses contre le matelas, les jambes pendantes contre le rebord de mon lit qui Ă©tait assez haut. Je me dĂ©shabillai complĂštement, ne gardant que mon boxer. J’étais bien foutu et je vis que mes formes excitaient le gamin.

— DĂ©tends-toi et laisse-toi faire. Tu peux fermer les yeux si tu veux.

Je m’agenouillai devant le lit et je retirai ses baskets puis ses chaussettes, admirant ses jolis pieds, puis je lui levai les bras pour lui enlever son tee-shirt. Je contemplai un instant sa jeune poitrine imberbe, ses tĂ©tons qui commençaient Ă  poindre et son ventre plat. Avec prĂ©caution, je dĂ©boutonnais son pantalon puis sa braguette et je fis glisser son jean pour lui dĂ©couvrir les cuisses et les jambes. Je regardai le mĂŽme allongĂ© en boxer sur mon lit, une bosse commençait Ă  se former dans son calbut et ça m’excitait grave. Je pris ma teub en main pour me masturber puis de nouveau je m’agenouillai au bord du lit et je me mis Ă  lui embrasser et Ă  lui lĂ©cher les pieds, ce qui le fit gĂ©mir et raidir, puis je fis glisser ma langue le long de ses jambes, lui redressant les poils, lui lĂ©chais les genoux et enfin, lui Ă©cartant les jambes, je glissais ma tĂȘte sous son paquet pour lui lĂ©cher l’intĂ©rieur des cuisses. Le gosse avait un beau paquet. Je sentais ses couilles grossir dans son boxer et rapidement, j’y passai la langue.

DĂ©licatement, je m’approchai de son visage pour lui embrasser les lĂšvres. Je lui murmurai d’ouvrir la bouche et j’y glissai ma langue pour explorer son orifice. Nos deux langues se rencontrĂšrent et se lĂ©chĂšrent longuement tandis que de la main, je lui caressai la queue par-dessus le tissu de son sous-vĂȘtement. Le mĂŽme bandait fort.

Abandonnant sa bouche, je lui lĂ©chais les joues puis je lui suçais les tĂ©tons, bien dressĂ©s, et je laissai glisser ma langue le long de sa poitrine et de son ventre jusqu’à son nombril. Je lĂ©chais un moment le tour et l’intĂ©rieur de son nombril puis j’embrassai son bas ventre et enfin sa queue, trĂšs raide dans son boxer tendu Ă  l’extrĂȘme.

Lentement, je lui retirai son boxer, libérant sa teub qui se dressa instantanément vers le plafond. Elle était longue et fine, trÚs belle.

— Concentre-toi sur tes sensations et garde tout en mĂ©moire, car ce que je vais te faire, tu me le feras tout de suite aprĂšs !

Le gamin hocha la tĂȘte, les yeux fermĂ©s. J’enlevai mon boxer, pour pouvoir me masturber plus facilement, et je posai ma bouche sur ses couilles, d’abord pour les embrasser puis pour les lĂ©cher et enfin les gober, jouant avec ses boules, le faisant gĂ©mir et soupirer. Quand j’en eus terminĂ© avec ses couilles, je lĂ©chai sa tige trĂšs raide avec ma langue, faisant de longs va-et-vient de son gland Ă  ses couilles. Je lui lĂ©chai le gland et j’avalai son prĂ©cum. Puis je lui pompai le dard, avalant sa tige entiĂšrement, le faisant durcir dans ma bouche, le suçant sur toute sa longueur ou lui lĂ©chant le gland Ă  l’intĂ©rieur de ma bouche. C’était vraiment bon de sucer cette jeune teub qu’aucune bouche n’avait explorĂ©e jusqu’alors. Tout en le suçant, je lui avais glissĂ© un doigt dans le cul et je lui limais doucement le trou avec mon doigt. Le gamin apprĂ©ciait, je le sentais sur le point de venir, j’accentuai le mouvement et il Ă©jacula avec force, rĂ©pandant sa semence dans le fond du gosier, inondant ma bouche de son jeune foutre de puceau. J’avalai une partie puis je m’emparais de sa bouche pour y fourrer ma langue pleine de son jus et mĂ©langer dans nos bouches sa semence et nos deux salives. Le mĂŽme n’avait encore jamais goĂ»tĂ© son sperme et j’étais dĂ©cidĂ© Ă  lui remplir bientĂŽt la bouche du mien. Je lui suçais ensuite la tige et le gland pour profiter de son foutre jusqu’au bout.

Le petit gars avait joui violemment et semblait assez sonnĂ© par son plaisir. Je le relevai avec douceur et le fis s’agenouiller devant moi.

Le gosse avait encore son propre sperme dans la bouche. Il sortit timidement la langue de sa bouche puis, avec hĂ©sitation, il commença Ă  me lĂ©cher les couilles. C’était la premiĂšre fois qu’il lĂ©chait les grosses couilles d’un mĂąle et il prit son temps, passant et repassant sa langue sur mes boules puis les avalant, les suçant, les lĂ©chant de nouveau, jusqu’à ce qu’elles soient bien dures et bien fermes.

Ma queue se dressait devant son visage, Ă©norme. Le gamin posa ses lĂšvres sur mon gland. Il ouvrit sa bouche vierge, qu’aucune bite n’avait encore jamais pĂ©nĂ©trĂ©e, et j’y introduis lentement mon membre raide. Le mĂŽme se mit Ă  l’ouvrage. Il suçait ma teub avec ses lĂšvres et sa langue me lĂ©chait le gland Ă  l’intĂ©rieur de sa bouche. Il s’y prenait bien, avec sa petite bouche de puceau, et je sentais la jouissance venir. La langue du gosse lĂ©chait mon prĂ©cum. Au moment d’éjaculer, je bloquai sa tĂȘte et je me vidai les couilles dans sa bouche, le forçant Ă  avaler mon foutre chaud et poisseux jusqu’à la derniĂšre goutte. Le gosse m’avait bien excitĂ© et j’avais joui dans sa gueule trĂšs abondamment. Sans avoir Ă  lui demander, le gamin me lĂ©cha docilement la bite et le gland pour me nettoyer.

— HĂ© bien, te voilĂ  un homme dĂ©jĂ  plus expĂ©rimenté ! Tu as bu ton sperme et le mien et bientĂŽt, ce sera au tour de Mehdi de te faire goĂ»ter sa semence !

Le mĂŽme rougit. Je le fis mettre Ă  quatre pattes sur le lit et je lui dis de se cambrer et de m’offrir son cul encore puceau. Le gosse hĂ©sitait :

— Peut-ĂȘtre un peu au dĂ©but, mais tu y prendras aussi du plaisir. Pense Ă  la queue de Mehdi et laisse-moi te dĂ©puceler comme il faut.

Je fis cambrer le gamin, lui relevant le cul pour pouvoir atteindre ses couilles avec ma langue. Je lui lĂ©chais les couilles puis ma langue remonta de ses boules jusqu’à son trou, effectuant de longs va-et-vient sur sa raie imberbe puis s’attardant sur le contour de son petit trou rose de puceau encore jamais lĂ©chĂ©. J’approchai ma bouche de son cul lisse et doux et pendant de longues minutes, je lui bouffai le cul avec voluptĂ©. Jamais encore je n’avais si bien lĂ©chĂ© le cul d’un jeune garçon.

Je retirai ma bouche de son trou pour y coller mon gland. Le petit puceau m’offrait son cul vierge. Je sentis ma bite dĂ©jĂ  trĂšs raide durcir davantage Ă  la pensĂ©e d’ĂȘtre le premier Ă  sodomiser ce jeune cul bien serrĂ©. Je conseillai au gosse de se dĂ©contracter et de respirer, puis lentement je le pĂ©nĂ©trai, en douceur pour qu’il s’habitue Ă  la taille de mon engin que j’entrai complĂštement dans son cul. Le gamin se contracta en sentant ma bite l’introduire puis, quand elle fut bien au fond, il se dĂ©tendit et je commençai Ă  le limer, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Quelle extase d’enculer ce petit cul vierge bien serré ! Je sentais Ă  chaque coup de reins le foutre monter en moi. J’accĂ©lĂ©rai la cadence, sans me soucier des gĂ©missements du petit enculĂ©, prĂȘt Ă  Ă©clater en lui, puis avec un cri j’éjaculai au fond de son trou, cinq saccades de foutre que je lui logeai direct bien au fond, remplissant pour la premiĂšre fois ses entrailles d’un foutre bien chaud et bien Ă©pais. J’étais heureux d’ĂȘtre le premier Ă  l’inonder et dĂ©jĂ  j’étais dĂ©terminĂ© Ă  ce que ce ne soit pas la derniĂšre. Le mĂŽme Ă©tait trop bon. J’étais dĂ©cidĂ© Ă  l’enculer encore plusieurs fois pour parfaire son apprentissage.

De toute Ă©vidence, le gosse avait aimĂ© se faire sodomiser, car il continuait Ă  bander trĂšs dur. Je lui suçai la queue pour la durcir encore davantage puis je le couchai sur le dos et je vins m’empaler sur sa jeune tige raide et bien dressĂ©e. Comme le reste, sa bite n’avait encore jamais servi. Je lui tenais les bras Ă©cartĂ©s et le gamin me laissa lui manƓuvrer la queue comme il s’était laissĂ© dĂ©florer la bouche et le cul. Je continuai de lui maintenir les bras Ă©cartĂ©s tandis que je faisais coulisser mon trou sur sa teub, allant et venant sur sa tige de plus en plus vite pour le pousser Ă  l’éjaculation. Le petit gars adorait ça et ne tarda pas Ă  jouir abondamment dans mon trou.

Le mĂŽme Ă©tait Ă  prĂ©sent complĂštement dĂ©pucelĂ©, prĂȘt Ă  servir Ă  d’autres. Ma teub avait dĂ©florĂ© sa bouche puis son anus, remplissant de sperme l’une et l’autre, puis il avait dĂ©chargĂ© Ă  son tour dans mes entrailles aprĂšs s’ĂȘtre vidĂ© une premiĂšre fois dans ma bouche. Le gamin Ă©tait repu, mais l’enculage m’avait excitĂ©. Je le couchai sur le ventre, lui redressant le cul pour lui sucer le trou puis je l’enculai une nouvelle fois, cette fois-ci rapidement et violemment, lui remplissant une seconde fois les entrailles. Je l’enculai une troisiĂšme fois au cours de la nuit, cette fois-ci couchĂ© sur le dos, les jambes relevĂ©es, puis une quatriĂšme au petit matin, aprĂšs l’avoir fait jouir dans ma bouche.

En guise de petit-dĂ©jeuner, je lui demandai de mettre en application ce que je lui avais appris la veille. Le gamin se mit Ă  genoux sans se faire prier et me pompa le dard avec talent, aprĂšs m’avoir lĂ©chĂ© le cul et les couilles, se permettant mĂȘme de me glisser un doigt dans le trou et me limant jusqu’à ce que j’éjacule au fond de sa gorge et lui remplisse la bouche de ma semence. Vraiment trĂšs agrĂ©able comme dĂ©but de journĂ©e.

Le mĂŽme et moi, on continua Ă  se frĂ©quenter, histoire que je termine son apprentissage et que j’en fasse un suceur et un enculĂ© chevronnĂ©. On cessa de se voir lorsqu’il commença Ă  sortir avec Mehdi, lui offrant sa bouche et son cul. J’étais jaloux, car je m’y Ă©tais quand mĂȘme attachĂ©, Ă  ce joli mĂŽme, et pas seulement pour le sexe. Cependant, je ne pouvais pas le blĂąmer : c’est vrai qu’il Ă©tait beau, le Mehdi. DĂ©jĂ , mon cerveau imaginait des scĂšnes : moi enculant Mehdi tandis qu’il se faisait sucer par le mĂŽme ou bien moi suçant leurs deux queues et les faisant jouir en mĂȘme temps dans ma bouche ou encore Mehdi et le gosse Ă  quatre pattes l’un Ă  cĂŽtĂ© de l’autre et moi les sodomisant Ă  tour de rĂŽle tandis qu’ils se roulaient des pelles. J’imaginai aussi le mĂŽme nous offrant son cul, Ă  Mehdi et Ă  moi, pour une double pĂ©nĂ©tration. Peut-ĂȘtre un plan Ă  trois, un de ces jours ? Qui sait



[Pour rendre le rĂ©cit plus excitant, il n’est pas fait mention de prĂ©servatif. Dans la rĂ©alitĂ©, il va sans dire que le mĂŽme et moi avons bien entendu utilisĂ© des capotes Ă  chaque fois. Sans mauvais jeu de mots, on n’est pas des teubĂ© (ha ha ha)]


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