Un jeune mec prend son pied avec une mature
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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage dâun film pornographique. Un extrait de ce chef-dâĆuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et nâimporte quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne sâĂ©tait souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourdâhui. « A un moment donnĂ©, câĂ©tait une grande fĂȘte, ils ont dit : âTout le monde Ă poil mainÂteÂnant !â » Totalement paniquĂ©e face Ă cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© dâesquiver lâeffeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat⊠« Je pensais que câĂ©tait un gag, ajoutait-elle. Au final, jâai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, câĂ©tait lâhorÂreur ! »
Ce fameux film, câĂ©tait Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă lâaise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.
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à 43 ans, alors qu'elle avait longtemps étouffé dans une sexualité monotone, Béatrice entrouvre une porte insoupçonnée.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la journaliste Sara Bouleau et retranscrits à la premiÚre personne.
Je voyais des chairs molles, des peaux ridĂ©es, des lumiĂšres blafardes. Des regards faussement complices oĂč je croyais dĂ©celer une forme de tristesse. Un empilement de corps oĂč se noyaient les visages et, avec eux, une forme d'humanitĂ©. Pour moi, l'Ă©changisme Ă©tait une sexualitĂ© glauque et assez marginale qui avait envahi le petit Ă©cran ces derniĂšres annĂ©es.
Les reportages pseudo-sulfureux dans des clubs libertins divertissaient mes insomnies. Mais j'avais beau me dire Ă©cĆurĂ©e par ces images, je ne zappais pas. Ătais-je dĂ©jĂ attirĂ©e? Je ne sais pas. Ce dont je suis sĂ»re, c'est qu'Ă l'Ă©poque ma libido Ă©tait si contrainte qu'elle avait fini par pĂ©rir d'ennui.
à bientÎt 40 ans, j'étouffais dans une vie que j'ai fini par envoyer valser. La rupture consommée, la garde alternée mise en place et les larmes séchées, je goûtais enfin ma liberté quand j'ai rencontré Ben. Scénariste à l'imaginaire aussi riche que son porte-monnaie était vide, il était tout ce que je n'étais pas.
Architecte d'intérieur, j'avais appris à aimer le beau et le chic. Ben a foutu le bordel dans ma vie et j'ai adoré ça. Au départ, nous étions juste amants. Ni lui ni moi ne nous interdisions d'autres aventures. Mais c'est avec Ben que je me sentais le plus en confiance. La légÚreté de notre lien m'a permis d'explorer peu à peu des contrées bien éloignées de ma vie bien rangée.
Ben encourageait ma curiositĂ© et, avec lui, je sortais de mes clous. De mes premiers sex-toys Ă une forme de SM soft, la rapiditĂ© de ma mue me donnait parfois le tournis. Mais joyeusement. Entre nous, tout se jouait Ă coup de "cap' ou pas cap'?". D'oĂč ce "cap' ou pas cap', l'Ă©changisme?" que je lui ai lancĂ© un soir de juin, alors que nous attendions notre tour devant la caisse du cinĂ©ma.
La réaction outrée de Ben m'a vite fait redescendre sur terre: "Non mais t'es pas bien! Jamais de la vie!" Pour la premiÚre fois, le panneau "Stop" tranchait net. En un an, nous étions tombés amoureux, retrouvant peu à peu une exclusivité sexuelle plus classique. Cette évidence m'est apparue ce soir-là et elle m'a réjouie. Tant pis pour mon fantasme...
Quelques semaines plus tard, nous étions dans les ruelles de Portofino, savourant nos premiÚres vacances sans enfants. Aussi blafards que béats, nous nous retrouvons nez à nez avec Katerina, graphiste dans mon agence. J'ai toujours trouvé cette fille sublime. Gracieuse, aérienne, avec ses longs cheveux dorés, elle me fait penser à une fée des fjords. Ce jour-là , son teint hùlé la rendait irrésistible.
Et me voici répondant "mais oui, bien sûr!" à son "et si on dßnait ensemble ce soir?". Ben bougonne un peu, mais je connais mon ours mal léché et je sais qu'il passera finalement une bonne soirée. C'est Max, le mari de Katerina, qui remplit nos verres. Max qui prend la commande dans un italien parfait. Max qui fait savamment rebondir la discussion. Son assurance m'épate, tout comme son humour ravageur.
DerriĂšre lui, les lumiĂšres du port m'achĂšvent: je sens que je dĂ©colle. Cette soirĂ©e est dĂ©licieuse. Mais ce pied nu sur le mien me fait sursauter. Trop petit pour ĂȘtre celui de Max ou de Ben... J'ai rĂȘvĂ©? Apparemment pas. Les yeux de Katerina plantĂ©s dans les miens et son sourire mutin me convainquent que ce n'est pas une mĂ©prise. LĂ©gĂšrement ivre, je lui rends sa caresse sous la table. Je lui souris... Et je rougis violemment quand je surprends le regard de Max.
Rien ne lui a échappé. Pire, il n'a l'air ni surpris ni embarrassé, proposant une balade sur la plage. Cette fois, Ben est le premier à approuver - lui aussi s'est laissé embarquer par l'ivresse du moment, semble-t-il. Sandales à la main, pieds dans le sable, bruit des vagues... Nous marchons tous les quatre au bord de l'eau.
Je suis devant avec Max et, ses mains volant dans l'air, il déploie une épopée totalement délirante sur la Grande Ourse et les oiseaux de paradis. Voulant m'éviter un pied de parasol abandonné, il m'attrape par la taille et s'y attarde. Je le laisse faire, j'aime la fermeté de ses gestes. Toujours aussi sûr de lui, Max m'entraßne vers un lit à baldaquin en rotin et voilages, en bord de mer, et sort de nulle part une bouteille de champagne, des bougies et quatre verres. Cet endroit est donc leur repaire...
Puis il s'allonge: "Tu me rejoins? Si tu veux. Quand tu veux." Je jette un regard en arriĂšre, cherchant Ben. Il n'est pas loin, il se rapproche. Katerina le fait rire. Ils se tiennent tout prĂšs l'un de l'autre et je sens qu'elle lui plaĂźt. C'est elle qui l'entraĂźne vers le lit oĂč je n'ai osĂ© que m'asseoir. Toujours aussi gracieuse, elle dĂ©pose un long baiser sur la joue de mon amoureux, dont elle caresse doucement les cheveux.
Ătrangement, je n'en suis pas jalouse. Un peu excitĂ©e mĂȘme, pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte. Katerina s'assied Ă cĂŽtĂ© de moi et je frĂ©mis. Max nous observe, goĂ»tant ce qui se noue sous ses yeux. Katerina se retourne vers Ben: "J'ai toujours trouvĂ© ta fiancĂ©e trĂšs jolie. Je peux l'embrasser?"
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Un voyage dans la jeunesse et les souvenirs intimes d'une grand-mÚre illustre le statut des femmes slovÚnes pendant la premiÚre partie du 20Úme siÚcle. La doctrine stricte de l'église catholique imposait des conventions sociales, en vertu desquelles les femmes étaient facilement perçues comme de simples objets dédiés à la satisfaction des besoins sexuels de leur mari.
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