Un jeu très plaisant

Un jeu très plaisant




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un jeu très plaisant
Bombparty, un jeu en ligne très tendance
N'hésitez pas à nous contacter pour tout question que vous pourriez avoir.
Questionner-le-numerique.org Tous droits réservés 2022
Tout le monde aime sans doute s’amuser autour des jeux sympas . Bombparty en fait sans partie de la liste de divertissements parfaitement amusant. À la fois éducatif et amusant , ce jeu permet d’aider les participants à améliorer les vocabulaires et la vitesse de réflexion tout en jouant bien évidemment.
 Bombparty est un jeu très plaisant avec lequel vous pouvez : 
C’est le joueur en lice qui gagne la partie . 
Les points sont comptés avec des cœurs lors d’une partie bombparty. Donc : 
Pour les autres participants qui ont réussi à survivre, la partie continue . C’est la dernière personne qui reste dans la porte qui sera vainqueur .
Lors de la partie, le maître du jeu décide : 
Bombparty est un jeu tout à fait gratuit. Pour commencer une partie, il suffit de : 
En choisissant la création d’un salon privé : 
Le jeu de bombparty peut être également : 
La version classique de bombparty peut être jouée par 8 joueurs . Mais une version bêta a vu le jour récemment. Ce dernier propose de : 
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.

Bienvenue! Connectez-vous à votre compte
Accueil Applications Jeux Test de Zero Age, un puzzle-game difficile mais très plaisant à jouer...

Partager un commentaire Annuler la réponse.










Bons Plans
Team iPhoStaff - 14 avril 2022


Bons Plans
Team iPhoStaff - 16 mars 2022


Mise en avant
Rémi - 11 février 2022

Nous utilisons des cookies afin de vous offrir une navigation fluide aujourd’hui et les jours suivants. Ils nous permettent également d'évaluer la fréquentation du site (consultation depuis un ordinateur ou mobile uniquement). En cliquant sur "ACCEPTER" vous autorisez tous les cookies
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the ...

Les cookies dits \"nécessaires\" incluent uniquement les cookies utilisés afin d\'apport une navigation correction avec les fonctionnalités de base et de sécurité. Ces cookies ne contiennent pas de données personnelles.

Tous les cookies qui n\'entrent pas dans la catégorie \"nécessaires\". Les cookies facultatifs comprennent entre autre, les cookies Google Analytics (pour nous permettre de suivre la fréquentation du site), Google Ads (pour les revenus publicitaires et assurer un apport financier dans le but de financer le serveur hébergeant iPhonote. Pour information, les publicités Google Ads sont définies sur \"Non ciblées\" ainsi que les lien de partage d\'articles sur Facebook, Twitter, WhatApps ou LinkedIn.
L’expression « puzzle-game » regroupe énormément de jeux différents qui possèdent un seul point commun : il faut résoudre des énigmes/compléter des systèmes constitués d’une multitude d’objets différents pour avancer au niveau suivant; bref, ils font marcher nos méninges. Cette diversité peut être confirmée avec l’exemple du jeu Zero Age , un puzzle game sorti le 9 Octobre 2014 sur l’App Store et qui est totalement différent de ce que l’on pouvait auparavant voir sur nos iDevices.
On ne peut pas réellement dire que le jeu possède une histoire à proprement parler. Au tout début de la partie, une courte cinématique met en scène notre personnage, un petit esprit habillé à la manière d’un sorcier, sortant d’un tombeau situé au fond de l’océan dans le but de rejoindre une mystérieuse île. Qui sommes nous ? Qu’est-ce que cette île ? Que va t’on y faire ? Et des dizaines d’autres questions qui pourraient nous passer par la tête, demeurent alors sans réponse. Durant les phases de jeu, nous n’obtenons pas plus d’explications, on se contente simplement de tout faire pour rejoindre le point de contrôle du niveau et à échéance plus éloignée, on cherche à ressusciter les clones colorés pour prendre leurs pouvoirs. Aucune voix ou écriture n’est présente pour nous raconter la moindre anecdote sur notre petit esprit.
Le gamelplay de ce jeu est, lui aussi, très particulier. Tout est basé autour de l’Actuator, une petite roulette qui nous permet d’utiliser nos pouvoirs et de déplacer les blocs afin d’atteindre les checkpoints. Pour l’activer, il suffit de rester appuyé sur un des ronds situés sur les cubes déplaçables ou sur les murs. Une fois l’action effectuée, notre roulette s’ouvrira et nous proposera plusieurs options : tout d’abord, différentes couleurs, situées juste autour du centre du disque, elles représentent les pouvoirs que l’on peut invoquer (faire apparaitre un cube solide, un rayon laser,… ), et le cadrant sur l’extérieur du disque qui nous permet de déplacer le bloc. Certains puzzles nous proposent de changer de vue afin de dévoiler de nouveaux points blancs cachés, car l’emplacement de ceux-ci est très important: l’Actuator n’agit que sur le plan dans lequel est comprise la tranche du point : un point sur le coté permet de déplacer le cube dans une seule direction, tandis qu’un point en haut du cube permet de le déplacer dans toutes les directions, mais ne lui permet pas d’aller en hauteur.
Le jeu a sa propre logique qu’il est important de bien connaitre, chaque pouvoir interagit différemment avec les autres pouvoirs et notre esprit, il faut bien garder cette notion en tête. Lorsque l’on a fait une erreur, on peut remettre à zéro le puzzle ou annuler la dernière action effectuée, deux options bien pratiques pour ce genre de jeu. Les nouveaux pouvoirs se débloquent tout au long du jeu lorsque l’on ressuscite les esprits colorés, un mini-jeu nous est tout de même imposé pour savoir si nous sommes aptes à les recevoir.
Les décors sont très simplistes mais tout de même agréables à regarder. Le monde est constitué de différents blocs de couleurs avec, de temps en temps, des objets de formes différentes qui rentrent en jeu, tel que des horloges ou autre. Le fond quant à lui est mouvant et mélancolique, sans grands détails.
La bande sonore est composée de morceaux de piano spécialement conçus pour le jeu. Ces morceaux sont très bien joués et apportent un peu de réconfort à nos nerfs qui sont mis à rude épreuve.
Zero Age est le premier jeu de deux développeurs indépendants, et honnêtement, on peut dire qu’ils ont fait très fort pour un premier essai. Bien évidement, il y a quelques imperfections dues à cette nouvelle expérience, mais ce soft laisse présumer d’autres très bons titres de la part de ce duo. Pour 2,69€, Zero Age nous propose une « histoire » durant une dizaine d’heures et un mode « bac à sable » où l’on peut laisser parler notre imagination. Le jeu contient des puzzles plutôt corsés qui prennent pas mal de temps pour être résolus, vous êtes prévenus !












Connexion/Inscription


Newsletter




 LANGUE FRANÇAISE
 DICTIONNAIRES BILINGUES
 TRADUCTEUR
 CONJUGATEUR
 ENCYCLOPÉDIE
 CUISINE
 FORUM
 JEUX

 LIVRES



Connexion/Inscription
Newsletter




Suivez nous:











Applications mobiles
Index

Mentions légales et crédits
CGU
Charte de confidentialité

Cookies


Contact


© Larousse



Qui est agréable, qui produit de l'agrément ; charmant.
Celui qui fait rire, cherche à faire rire.
Convenir aux goûts de quelqu'un, lui être agréable, lui faire...
Lequel de ces mots ne prend qu'un seul « c » ?



© 2009 - 2022 Culturellement Vôtre . Thème dérivé de Zakra pour WordPress .

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. Accepter Refuser
Le genre du Rogue-lite a tellement été usité depuis quelques années, notamment avec le succès de l’excellent Rogue Legacy , qu’on a l’impression que tout a déjà été tenté à son sujet. Et pourtant, la production vidéoludique indépendante parvient souvent à distiller de la nouveauté, ce qui ne cesse de nous étonner. Children of Morta apporte une nouvelle pierre à ce constat. Le titre, développé par Dead Mage et édité par le décidément très actif 11 Bits Studio (après une phase de financement participatif ), nous turlupinait depuis quelques mois. En effet, on ne voyait pas comment les codes de l’Action-RPG et ceux du Rogue-lite allaient accoucher d’un résultat homogène. Et pourtant…
Children of Morta est un Rogue-lite pas comme les autres, et cela se ressent dès les premières minutes de jeu. Oui, dès la mise en place de l’histoire, car celle-ci se veut plus développée que dans tous les autres softs du genre que l’on a pu découvrir. La Morta du titre n’est autre que la région montagneuse dans laquelle l’intrigue prend racine. Y habite la famille Bergson, que l’on va découvrir au fur et à mesure d’ une histoire soigneusement contée par une voix off à la tonalité idéale pour bien nous tenir en haleine. Car une malédiction va s’abattre sur les lieux, par la faute d’un dieu maléfique et corrupteur. Là est le nœud dramatique, et tout autour l’écriture se charge de développer les protagonistes, nous les rendant plus proches, avec leurs forces et faiblesses. La narration, quant à elle, s’avère une réussite bluffante. Les éléments importants sont apportés à un rythme assez soutenu et, surtout, ne se font jamais trop intrusifs. Dead Mage peut se targuer d’avoir atteint son objectif : prouver que le narratif et la boucle de gameplay du Rogue-lite peuvent très bien cohabiter.
Children of Morta se présente comme un Action-RPG , et ce même s’il reprend la caméra isométrique de l’Hack’n’slash. Cela signifie que les combats se font en temps réel, et quelques mécaniques viendront distiller une progression de l’avatar. Il va falloir se défendre contre des hordes de monstres, donc on peut compter sur différents types d’attaques : coup simple, de zone. On pourra aussi se défendre, notamment grâce à une esquive qui, à nos yeux, s’avère l’une des seules faiblesses du titre. En effet, on la trouve difficilement utilisable, car les monstres manquent peut-être de plus de signalétiques dans leurs patterns. Au-delà de cette retenue, on apprécie beaucoup l’impact du scénario dans la prise en mains. en effet, au fur et à mesure on verra notre choix de personnage s’étoffer. Ils seront six au final, et chacun représente une classe : chevalier, assassin, archer, moine, berserk et pyromancien. Chacun dispose de capacités qui lui sont propres, ainsi qu’une utilisation de la jauge de stamina qui peut grandement différer. Au final, on peut raisonnablement penser que chacun pourra y trouver son compte, même si le jeu essaie finement de vous pousser à tenter de tous les essayer.
Un Rogue-lite doit respecter une multitude de codes, et Children of Morta se les approprie avec une habilité peu commune. Bien entendu, les niveaux sont générés procéduralement. D’ailleurs, signalons ici qu’ils sont plutôt habiles, et l’on apprécie l’effort pour rendre les personnage visibles même s’il nous est arrivé de tomber sur des décors qui n’arrangeaient en rien la lisibilité à l’écran. Aussi, et c’est là que le travail d’équilibriste de Dead Mage force le respect, il a fallu trouver la bonne dose entre l’importance des bonus temporaires (en temps, ou au run) et le gain d’expérience inaliénable à l’Action-RPG. Et c’est encore une mission réussie haut la main. Le loot au sein des niveaux se complétant étonnamment bien avec les capacités glanées par le biais des points empochés lors des gains de niveaux. Bon, certaines parties paraîtront plus difficiles que d’autres, et ce dû à la malchance, mais c’est là tout le sel du genre. Aussi, le challenge s’avère assez corsé, surtout dans les premières heures. Quand vous parviendrez à terrasser le premier véritable boss, cette fichue araignée, tout ira de mieux en mieux.
L’une des particularités du Rogue-lite, c’est l’échec presque inévitable, mais surtout toujours récompensant. On devient de plus en plus fort, et ce malgré la défaite. Children Morta fait sienne cette mécanique, là encore avec une grande puissance. Tout d’abord, la narration découle aussi de ces fiascos, comme vous le découvrirez. Ensuite, le retour au bercail, après le coup fatal porté par l’ennemi, est l’occasion de rejoindre la demeure familiale des Bergson. C’est ici qu’on a accès à différents magasins et autres petites activités. Aussi, on peut déclencher des scénettes, lesquelles continuent d’approfondir les personnages et leurs liens. On pourra même prendre plaisir à regarder ce qui a parfois des airs de maison de poupée, au sein de laquelle les sujets vivent et expriment leurs pensées. Parfait pour souffler entre deux runs acharnés, ou attendre qu’un pote vienne vous rejoindre pour une partie. En effet, la coopération est au programme, mais uniquement en local pour le moment (le online est en cours de développement, il sera ajouté plus tard).
Children of Morta propose un contenu assez important, même si on aurait voulu encore plus de donjons et de grottes. De base, son concept pousse le joueur à s’y investir, et s’ajoute à cela l’envie de découvrir certains secrets. Les niveaux en regorgent, non seulement de bonus mais aussi d’éléments du récit. Par exemple, vous dénicherez parfois des salles qui contiennent un parchemin, important pour une meilleure compréhension de l’univers. D’autres événements gardent l’esprit aux aguets, comme ce passage du chiot, qui implique le système de compagnons.. Tout cela fait que, pour voir l’intégralité du soft, il vous faudra bien vingt-cinq heures de jeu. Techniquement, le jeu se tient bien, même si le pixel art des personnages, surtout des ennemis, n’est pas toujours des plus déchiffrables. Les environnements mettent aussi un peu de temps à se diversifier mais, globalement, la direction artistique reste une belle qualité. Et cela dans une fluidité à toute épreuve. Quant à la musique, elle est purement atmosphérique, et fait passer l’émotion des situations traversées. Cela manque d’un thème immédiatement mémorable, mais on apprécie l’utilisation de la guitare et du violoncelle.
Décidément, l’inventivité des studios indépendant nous étonnera toujours. Le Rogue-lite, un genre plus qu’usité depuis des années, trouve en Children of Morta une relance de haut niveau. Tout juste pourra-t-on regretter de le terminer l’aventure un peu trop tôt, un character design inégal et une esquive ratée. Tout le reste fonctionne du tonnerre, comme cet équilibre entre les bonus et l’évolution du personnage, la narration prenante et les bonnes sensations du système de combat. Cela accouche d’ un jeu dont on vous conseille la découverte .
Cet article a été écrit par Mickaël Barbato , qui a publié 3365 articles sur le site.
Mickaël Barbato est un journaliste culturel spécialisé dans le cinéma (cursus de scénariste au CLCF) et plus particulièrement le cinéma de genre, jeux vidéos, littérature. Il rejoint Culturellement Vôtre en décembre 2015 avant de lancer Jeux Vidéo Plus en 2021. Manque clairement de sommeil.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Retrouvez toutes nos dernières chroniques gaming.

Femme chaude veut du sperme en elle
Un vilain hentai éperonnant
Femme paye en nature le chauffeur de taxi et son pre

Report Page