Un interrogatoire muscl dans la bouche d'une sublime blonde

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Un interrogatoire muscl dans la bouche d'une sublime blonde
Eric convoque Blanche pour lui présenter ses méthodes d'interrogatoire et lui lance un sacré défi. Mais le jeu de rôle ira-t-il trop loin? Vous n'avez entendu Blanche dans cet état là. Dans cet épisode totalement exclusif de la fiction audio Plus belle la vie, vous êtes au cœur de l'action avec Blanche et Eric dans le commissariat. Ecoutez l'épisode. For information regarding your data privacy, visit acast.com/privacy
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Mardi 2 octobre
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Jeudi 2 juin
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/ Juin
16:43



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Samedi 5 juillet
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/ Juil
13:53



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Dimanche 22 septembre
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16:56



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Vendredi 20 septembre
5
20
/ 09
/ Sep
14:28



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Jeudi 12 septembre
4
12
/ 09
/ Sep
19:18


Depuis sa capture il y a un an elle ne portait plus qu'un soutien gorge


dentelle noire mettant sa poitrine ferme bien en valeur avec un string dentelle


assorti dont la forme épousait et mettait en valeur ses fesses rebondies.


Elle portait aux pieds des escarpins noirs avec talons lui donnant une démarche


trés sexy dans le camp.Des chaines courtes avec des bracelets métalliques reliaient


ses chevilles pour éviter sa fuite. Des bracelets métalliques aux poignets permettaient


la nuit de lui maintenir les bras dans le dos.


Elisabeth marcha ce jour vers le ruisseau, lentement, comme si elle


descendait pour boire de l'eau. Elle s'agenouilla sur le


bord et se pencha pour se désaltérer.


Elle regarda autour d'elle avec précaution. Il n'y


avait personne en vue. Elle se redressa, fit un premier


pas dans l'eau, puis quelques autres jusqu'au milieu


du courant. A nouveau, elle se pencha pour prendre


une gorgée d'eau. A nouveau, elle regarda avec soin


autour d'elle. Il n'y avait toujours personne à l'horizon.


Elle marcha lentement dans l'eau jusqu'à l'autre rive


du ruisseau, s'arrêta sur le bord et se glissa derrière


le tronc d'un saule. Si n'importe qui était venu lui


demander ce qu'elle faisait, elle aurait fait comprendre


qu'elle se reposait. Elle attendit. Personne ne se


manifesta. Elle n'aperçut personne. Elle ne parvenait


pas à croire qu'il était si facile de s'échapper du


village. Elle se fraya silencieusement un chemin à


travers la végétation de ce côté du ruisseau, puis se


redressa et s'éloigna de la rive et du village. Elle ne


savait pas exactement de quel côté se diriger, mais


tout ce qui lui importait était de s'éloigner le plus


possible du village. Elle pouvait à peu près se


représenter la direction où se trouvait le campement


des colons pour y être à l'abri de ses


ravisseurs. Pendant une heure, elle traversa les bois,


en suivant les pistes des animaux, toujours à l'affût


pour voir si elle ne revenait pas accidentellement


vers le village. Soudain, une silhouette se dessina derrière


un grand chêne juste sur sa route. C'était celle d'un


des chasseurs du village. Elle se retourna pour


s'enfuir, et en trouva un autre derrière elle. Elle


se tourna sur sa gauche. Un autre chasseur émergeait


des buissons. De quelque côté qu'elle se tourne,


l'issue était bloquée par un Indien. Ils se


rassemblèrent comme un troupeau, la renfermant à


l'intérieur comme pour traquer un animal effrayé. Elle


chargea comme un taureau pour passer au milieu de


deux d'entre eux avant d'être saisie et rejetée dans


les bras d'un troisième. Ils la dénudèrent, arrachant


au loin son soutien gorge et le slip étroit.


Puis ils attachèrent ses poignets devant elle avec


une corde en cuir. Un des guerriers, une brute


particulièrement grande et forte, se chargea de la


corde. Ils s'en revinrent par la forêt, les autres


D'abord, ils semblèrent errer sans but. Mais l'un


des chasseurs finit par trouver ce qu'ils recherchaient.


Il interpella les autres et le groupe tout entier


convergea dans la direction d'où venait sa voix.


Il se tenait à côté de sa trouvaille, un arbre avec une


fourche fendue d'environ dix pieds au dessus du sol.


L'extrémité libre de la corde d'Elisabeth fut jetée


par dessus la fourche. Quatre des chasseurs s'en


emparèrent et tirèrent fortement, décollant les pieds


d'Elisabeth. Elle fut plaquée contre le tronc, puis


étirée vers le haut tout contre l'écorce rugueuse


jusqu'à ce qu'elle se retrouve à vingt centimétres du sol.


Ses chevilles furent saisies et attachées au tronc.


La corde de ses poignets subit quelques fortes tractions


supplémentaires avant d'être nouée, pour s'assurer qu'elle


était bien fermement étirée contre le tronc de l'arbre.


Tandis qu'Elisabeth était ainsi préparée, plusieurs Indiens s'en étaient


allés. Ils s'en revinrent avec des branches


soigneusement choisies, qu'ils repassèrent à leurs


Le groupe entier prit alors son tour pour fouetter


Elisabeth, travaillant son dos, ses fesses et ses


cuisses. Ils ne s'arrêtèrent pas avant qu'elle n'ait été


couverte d'un réseau de stries. Alors, la corde fut


libérée et elle tomba comme un paquet au pied de


l'arbre. Ils la remirent sur ses pieds. Ses poignets


furent croisés derrière elle en arrière et attachés. Une


branche de cinq centimétres d'épaisseur et vingt centimétres de


long fut alors sanglée à ses poignets. Ensuite, une


mince corde faite d'un tendon fut étroitement nouée


autour des mamelons d'Elisabeth en les reliant. La


branche des poignets fut fixée entre ses jambes, dévoilant la fente


de ses lèvres inférieures et forcant Elizabeth à s'étirer vers l'arriére.


Une corde fut attachée avec une boucle passée au-dessus du


tendon qui reliait ses mamelons. Puis elle fut


rapportée vers le bas et attachée au bâton. L'Indien


chargé d'attacher la corde lui donna plusieurs bonnes


secousses pour s'assurer qu'elle était bien serrée.


Ainsi, les épaules d'Elisabeth étaient tirées en arrière


tandis que ses mamelons étaient allongés en bas, et


que la branche creusait dans ses parties intimes. Il n'y


avait aucune solution qui lui permette de soulager


la pression sur une zone sans l'augmenter quelque part


Pour finir, une corde en cuir fut attachée autour


de son cou. Les Indiens se préparèrent à partir.


Elisabeth fut brutalement remise sur ses pieds, mais


parvint à regagner son équilibre. C'était un vrai


chemin de croix, avec l'écorce rugueuse de la


branche qui échauffait ses lèvres charnues à chaque


pas. Mais deux des chasseurs, à petits coups de


bâtons, avaient pris position derrière elle pour


s'assurer qu'elle continuait de marcher. Ils atteignirent


le village en quinze minutes. Elisabeth était


consternée de voir le peu de distance qu'elle avait


couvert dans sa tentative d'évasion. Trébuchant sur


ses derniers pas au centre du village, elle s'effondra


aux pieds du chef. Celui-ci donna un ordre brusque.


Ses liens furent retirés. Puis elle fut redressée par


deux guerriers qui restèrent à côté d'elle pour la


soutenir. Le chef la contempla longuement. Puis il se


lança dans un long discours incompréhensible et


violent. Il était visiblement très en colère. Elisabeth


regarda à la dérobée pour tenter d'apercevoir Becky


Après avoir fini de la terroriser, le chef dit à


l'évidence " emmenez là " en faisant signe avec son


bras. Les deux guerriers traînèrent à moitié Elisabeth


une nouvelle fois jusqu'au poteau, où elle fut


solidement liée nue pour la nuit.Un indien lui donna boire et du riz.


Tôt dans l'après-midi suivant, Elisabeth sans force fut retirée du poteau,


déliée et traînée jusqu'au rectangle de bois pour de nouvelles


tortures. Celui-ci avait été modifié légèrement. Il y


avait maintenant une deuxième barre de bois en


travers. Elle avait été installée à la hauteur de sa


taille. Elle fut forcée de se placer dessous. Ses bras


furent alignés le long de la barre et attachés par


les poignets, les coudes et les épaules. Ses jambe furent


alors tirées vers l'arrière, sous elle. Des bras musclés


les écartèrent le plus loin possible. Elle perçut que ses


chevilles étaient attachées aux pieux enfoncés dans


la terre. Quand ils eurent terminé, Elisabeth se


retrouva penchée vers l'avant, bras écartés dans la


position de l'aigle, avec les seins qui se balançaient.


Un petit groupe d'Indiens, hommes et femmes,


portant des petits paquets et deux cuvettes en bois,


s'approcha. Ils s'arrêtèrent devant Elisabeth. Un des


hommes exhiba une paire de solides et larges


brindilles. Un des femmes plongea dans une des


cuvettes et en retira une mince bande de cuir vert


et humide qu'elle remit à l'homme. Il relia adroitement


l'une des extrémités des brindilles ensemble. Puis


il attrapa un des mamelons d'Elisabeth et l'introduisit


entre elles. Il resserra les brindilles ensemble et


attacha les extrémités libres avec une autre bande


de cuir vert. Puis il appliqua le même traitement à l'


autre mamelon. Les femmes retirèrent ensuite de plus


longues et plus épaisses bandes de cuir vert de la


cuvette dans laquelle elles s'imbibaient, et elles


les remirent à deux autres hommes qui entreprirent de les


lier étroitement autour des seins d'Elisabeth. Ils


prirent quelques moments pour tester la solidité de leur


ouvrage avant de passer à l'entrejambes d'Elisabeth.


Elle sentit que des doigts calleux fourrageaient


dans ses parties secrètes. Puis elle sentit que des


brindilles rugueuses étaient placées et maintenues


étroitement ensemble pour emprisonner ses grandes


lèvres. Deux brindilles supplémentaires furent placées


à l'extérieur de ses lèvres. Alors l'assemblage entier


fut serré ensemble et attaché avec des bandes de cuir


vert. Il sembla à Elisabeth qu'elle sentait presque


immédiatement les brides de cuir brut se serrer


pendant que le cuir vert se desséchait et rétrécissait.


Mais le processus était trop lent pour ses


tourmenteurs. Ils accumulèrent de petites piles de


branchages sous ses seins et sa fourche. Ils


apportèrent ensuite du charbon de bois du foyer, le


placèrent sur les petits foyers et attisèrent la flamme.


Ils maintenaient des feux très réduits afin que


seulement l'air chaud et la fumée atteignent Elisabeth.


Mais ceci accélérait le processus de dessication et


pendant que le cuir vert séchait, les brides se


rétractaient toujours davantage, comprimant


inexorablement la plupart des organes sensibles. Et


comme la pression augmentait, la douleur croissait


également. Elle était régulière et constante. Il n'y avait


rien qu' Elisabeth puisse faire sauf grincer des dents


Des heures plus tard, pendant que le soleil


s'estompait, le chef vint examiner le progrès de sa


torture. Il caressa la poitrine rouge foncé, soupesa les


seins durs et gorgés de sang et donna un ordre. Une


par une, les brides et les bandes furent retirées.


Les Indiens étaient diaboliquement cruels même en la


libérant de ses liens. Chacun était retiré à son tour,


puis ils attendaient avant de passer au prochain. Et


chaque fois qu'une courroie ou une bride était retirée,


Elizabeth sentait une nouvelle vague de douleur la


submerger pendant que l'écoulement du sang était


restauré.Ils la firent hurler pendant une heure.C'était comme si



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