Un interrogatoire bien bandant

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Un interrogatoire bien bandant
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Vous avez reçu une convocation pour une mise en examen ? C’est une Ă©tape obligatoire si vous ĂȘtes soupçonnĂ© d’avoir commis une infraction assez grave ou complexe. Pour quelles infractions ? Comment se dĂ©roule l' entretien devant le juge d'instruction ? Faut-il faire appel Ă  un avocat ? Toutes nos explications...

La mise en examen est une mesure grave qui permet au juge d'instruction de s’assurer que vous rĂ©pondrez prĂ©sent Ă  ses convocations.
Vous serez obligatoirement convoquĂ© devant le juge d’instruction si l'on vous soupçonne d’avoir commis un crime : viol, braquage, trafic de stupĂ©fiants en bande organisĂ©e, racket en bande organisĂ©e

Pour les dĂ©lits les plus graves nĂ©cessitant une enquĂȘte approfondie, vous pouvez avoir affaire Ă  un juge d’instruction si le procureur de la RĂ©publique le demande.
Classement des infractions selon leur gravité
Les infractions sont classĂ©es en 3 catĂ©gories : de la moins grave Ă  la plus grave. La contravention est l’infraction la moins grave. Le contrevenant ne risque pas la prison. Le dĂ©lit est une infraction grave. Le coupable risque la prison. Enfin, le crime est une infraction tellement grave que les peines de prison sont trĂšs lourdes. 
Que vous soyez convoquĂ© par le juge d’instruction ou directement conduit Ă  lui par la police Ă  la suite de la garde Ă  vue, vous serez informĂ© que vous avez le droit d’avoir un avocat. Si vous n’en connaissez pas, le juge d’instruction vous en proposera un commis d’office.
C’est important d’ĂȘtre assistĂ© d’un avocat. Car il aura accĂšs au dossier et pourra vous dire ce qu’il y a ou non contre vous dans le dossier. Il vous conseillera sur la stratĂ©gie de dĂ©fense Ă  adopter.
Attention ! Si vous n’avez pas d’avocat pour le premier interrogatoire, le juge ne pourra pas vous poser de questions. Mais si vous faites des dĂ©clarations spontanĂ©es, le juge a le droit de les noter et elles pourront ĂȘtre retenues contre vous par la suite. Si vous n’avez pas d’avocat lors du premier interrogatoire, il vous est conseillĂ© de ne pas parler. 
Au cours du premier interrogatoire, le juge d’instruction vous informera qu’il envisage de vous mettre en examen. Il vous suspecte officiellement d’avoir commis une infraction assez grave.
Vous pouvez :
-   vous taire ;
-   faire des déclarations spontanées ;
-   répondre à ses questions.
Chaque option a ses avantages et ses inconvénients. Il est donc conseillé d'avoir l'appui d'un avocat à ce stade.
Se taire est le moyen d’éviter de se nuire en s’enfonçant davantage.
Exemple : vous niez l’évidence alors que les preuves du dossier sont accablantes. Le juge vous prendra pour un menteur et sera forcĂ©ment plus sĂ©vĂšre avec vous.
Se taire signifie aussi ne pas coopĂ©rer. Cela peut s’avĂ©rer risquĂ© si le juge d’instruction envisage de demander votre placement en dĂ©tention provisoire .
Mais, si vous n’avez pas d’avocat, le mieux est quand mĂȘme de vous taire.
Vous pouvez, au cours du premier interrogatoire, donner votre version des faits au juge d’instruction sous la forme de dĂ©clarations. Il s’agit de coopĂ©rer en indiquant au juge que vous ĂȘtes d’accord pour vous expliquer sur les faits, sans vous prĂȘter au jeu des questions rĂ©ponses d’un interrogatoire auquel vous n’ĂȘtes pas prĂ©parĂ©.
C’est souvent ce que l’on choisit de faire lorsqu’il y a un risque de dĂ©tention, mais que l’on n'a pas eu le temps de bien prendre connaissance du dossier. Exemple : vous ĂȘtes amenĂ© chez le juge d’instruction directement aprĂšs la garde Ă  vue et votre avocat n’a eu que quelques heures pour prendre connaissance du dossier.
Attention ! Si vous n’avez pas d’avocat, faire des dĂ©clarations prĂ©sente un risque. Si votre version ne colle pas avec les preuves qu’il y a dans le dossier, vous passerez pour un menteur et ce n’est jamais trĂšs bon devant un juge.
Cette solution est de loin la plus risquĂ©e si vous n’avez pas eu le temps de prĂ©parer l’interrogatoire.
Elle ne doit ĂȘtre privilĂ©giĂ©e que si vous avez Ă©tĂ© convoquĂ© devant le juge d’instruction et que vous avez eu le temps de prĂ©parer votre dĂ©fense avec votre avocat.
Si le juge a une trĂšs bonne connaissance du dossier, il ne manquera pas de vous confronter aux preuves et Ă  chercher les contradictions.
Lorsque vous ĂȘtes convoquĂ© devant le juge d’instruction, deux options s’offrent Ă  lui :

Vous mettre en examen . Il a des indices "graves ou concordants" Ă  votre encontre et vous notifie officiellement que vous ĂȘtes soupçonnĂ©. Dans le cadre de l’enquĂȘte, vous aurez le droit de participer en faisant des demandes d’actes : faire entendre telle ou telle personne, faire une expertise
 Le statut de mis en examen permettra au juge de vous placer sous contrĂŽle judiciaire , de vous obliger Ă  porter un bracelet Ă©lectronique ou de demander votre placement en dĂ©tention provisoire.

Vous octroyer le statut de tĂ©moin assistĂ©. S’il n’y a pas d’indices graves ou concordants contre vous, mais que quelqu’un vous dĂ©nonce ou que certains Ă©lĂ©ments laissent penser que vous pourriez ĂȘtre impliquĂ© dans une infraction, le juge d’instruction peut vous placer sous statut de tĂ©moin assistĂ©. Vous pourrez alors ĂȘtre assistĂ© d’un avocat, avoir accĂšs au dossier et demander Ă  ĂȘtre confrontĂ© avec les personnes qui vous mettent en cause. Vous ne pourrez pas ĂȘtre placĂ© sous contrĂŽle judiciaire, porter un bracelet Ă©lectronique ou ĂȘtre placĂ© en dĂ©tention provisoire si vous bĂ©nĂ©ficiez de ce statut.

Conclusion : le rĂŽle de l’avocat au cours du premier interrogatoire sera d’essayer de dĂ©montrer qu’il n’y a pas d’indice grave ou concordant dans le dossier Ă  votre encontre pour vous faire Ă©chapper Ă  toute mesure de contrĂŽle judiciaire et surtout, Ă  la prison en dĂ©tention provisoire.

Exemple d’indice grave : on vous voit sur une vidĂ©o en train de braquer un boulanger.
Exemple d’indices concordants : un tĂ©moin vous identifie et on retrouve une empreinte vous appartenant sur les lieux d’une infraction.

Si ces Ă©lĂ©ments sont rĂ©unis, l’enjeu de l’interrogatoire de premiĂšre comparution de l’interrogatoire sera ce que l’on va faire de vous pendant le temps de l’enquĂȘte menĂ©e par le juge d’instruction.
Mineurs : vous n’ĂȘtes pas Ă  l’abri d'une mise en examen !
En principe, si vous ĂȘtes mineur, l’instruction est menĂ©e par un juge des enfants. Deux exceptions : si l’infraction que l’on vous reproche est complexe (trafic de stupĂ©fiants, vol Ă  main armĂ©e, association de malfaiteurs
) ou si des majeurs sont mis en cause dans la mĂȘme affaire. Dans ce cas, vous aurez Ă  faire Ă  un juge d’instruction qui, gĂ©nĂ©ralement, est moins sensible aux questions relatives aux mineurs que le juge des enfants.
CIDJ © CIDJ

Article mis Ă  jour le 21/05/2018
/ créé le 04-02-2015
Crédit photo : Contrastwerkstatt - Fotolia




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Bien que la rĂ©ouverture progressive des palais de justice ait dĂ©butĂ© le 1 er juin dernier, il y a fort Ă  parier que les progrĂšs rĂ©alisĂ©s Ă  vitesse grand V menant Ă  la tenue virtuelle d’auditions et d’interrogatoires ne seront pas mis de cĂŽtĂ© de sitĂŽt. Nous anticipons en effet que la tenue d’auditions et d’interrogatoires Ă  l’aide de moyens technologiques devienne pratique courante pour les mois Ă  venir.
Si vous devez participer Ă  distance Ă  un interrogatoire, une confĂ©rence de rĂšglement Ă  l’amiable ou une audition, que ce soit Ă  titre de tĂ©moin, de partie ou d’avocat, voici certains Ă©lĂ©ments Ă  mettre en place afin de s’assurer que le tout se dĂ©roule de façon optimale.
Puisque les moyens technologiques permettent aux diffĂ©rents intervenants de participer dans le confort de leur foyer, nous avons assistĂ© Ă  certains lĂ©gers dĂ©rapages. Des Ă©vĂ©nements ont Ă©galement Ă©tĂ© rapportĂ©s dans les mĂ©dias Ă  l’effet que certaines personnes se prĂ©sentaient torse nu, dans leur lit ou vĂȘtus de maniĂšre inappropriĂ©e.
Or, l’interrogatoire ou l’audition, qu’ils aient lieu Ă  distance ou non, impliquent un certain dĂ©corum. Les participants ont souvent tendance Ă  oublier le fait que chacun des participants peut les observer tout au long de l’interrogatoire.
Il y a donc lieu de soigner son comportement et sa tenue vestimentaire de la mĂȘme maniĂšre que si l’audition ou l’interrogatoire avaient lieu en salle de Cour. En effet, le systĂšme de justice contradictoire reposant en grande partie sur la crĂ©dibilitĂ© des tĂ©moins entendus, il est important de faire preuve de respect Ă  l’égard de la Cour et de dĂ©montrer son intĂ©rĂȘt et le degrĂ© d’importance que l’on accorde Ă  la cause entendue.
Le fait de fumer, manger ou mĂȘme consommer des boissons alcoolisĂ©es, ce qui a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© observĂ©, est Ă©galement Ă  Ă©viter, bien que le participant se trouve dans sa rĂ©sidence. Des pauses ou des pĂ©riodes prĂ©vues pour les repas sont pratique courante lors d’interrogatoires ou d’auditions et il vous est toujours possible d’en demander au besoin.
Durant les pauses, il est fortement recommandĂ© d’éteindre le micro et mĂȘme parfois la camĂ©ra, puisque les participants, les avocats et le juge pourront voir et entendre tout ce qui se dĂ©roulera dans la piĂšce. L’enregistrement du stĂ©nographe ou de la salle de Cour pourraient Ă©galement demeurer en fonction durant les pauses.
Finalement, tout enregistrement clandestin de la session par les participants est Ă  proscrire, le tout Ă©tant rĂ©servĂ© au personnel du palais de justice ou au stĂ©nographe officiel mandatĂ© pour produire les notes stĂ©nographiques de l’interrogatoire.
Encore une fois, le fait qu’un avocat, une partie ou un tĂ©moin puissent participer Ă  partir de sa rĂ©sidence ne veut pas dire que tout soit permis ou acceptable. Il est prĂ©fĂ©rable de choisir un emplacement calme et bien Ă©clairĂ©. Une piĂšce fermĂ©e est Ă  privilĂ©gier, lorsque possible. Il serait prĂ©fĂ©rable d’aviser les autres occupants de la rĂ©sidence de la tenue de l’interrogatoire ou de l’audition, afin d’éviter la circulation inutile et le bruit ambiant.
Afin de prĂ©server son intimitĂ©, il y a Ă©galement lieu de vĂ©rifier ce que l’ensemble des participants peut apercevoir en arriĂšre-plan et ainsi Ă©viter des situations embarrassantes ou dĂ©tourner inutilement l’attention.
Finalement, participer ou assister virtuellement Ă  un interrogatoire ou Ă  une audition dans un lieu public est Ă  proscrire, tout comme l’utilisation d’un rĂ©seau sans fil public.
La tenue d’une audition ou d’un interrogatoire Ă  l’aide de moyens technologiques nĂ©cessite Ă©videment un minimum d’équipement et de prĂ©paration. Tout participant devra disposer d’un ordinateur, d’un ordinateur portable ou d’une tablette munis d’une camĂ©ra et d’un micro fonctionnels. Dans certains cas, il peut ĂȘtre prĂ©fĂ©rable pour une partie d’utiliser des Ă©couteurs ou un casque d’écoute.
Bien que l’utilisation d’un tĂ©lĂ©phone cellulaire soit possible, on ne devrait l’utiliser qu’en dernier recours, Ă©tant donnĂ© la dimension limitĂ©e de l’écran et la difficultĂ© d’y consulter les documents ou d’y voir les nombreux participants.
L’équipement choisi devra Ă©galement disposer d’une connexion internet assez puissante et stable. Bien qu’un rĂ©seau sans fil puisse faire l’affaire s’il n’y a pas d’autres utilisateurs connectĂ©s sur le mĂȘme rĂ©seau, il est recommandĂ© de connecter l’appareil directement, par cĂąble, Ă  un routeur ou Ă  une prise internet, afin d’assurer une connexion constante, sans interruption soudaine.
Afin de s’assurer du bon fonctionnement de la plateforme choisie par les parties (Zoom, Webex, Teams, etc.) ou imposĂ©e par la Cour (WebRTC ou Teams) pour tenir l’interrogatoire ou l’audition, il est recommandĂ© de procĂ©der Ă  un test prĂ©liminaire. Cette pratique permet Ă©galement aux participants de se familiariser avec les quelques fonctionnalitĂ©s permettant d’activer et d’éteindre le micro et la camĂ©ra.
Toute partie dĂ©sirant rĂ©fĂ©rer Ă  des documents lors de l’interrogatoire ou de l’audition doit s’assurer que ces documents soient en possession de l’ensemble des participants.
Les avocats doivent donc fournir aux tĂ©moins les documents en question, ainsi que les procĂ©dures et les piĂšces et porter une attention particuliĂšre Ă  la nomenclature des documents transmis. Ils doivent ĂȘtre identifiĂ©s de façon uniforme et prĂ©cise, afin que l’ensemble des intervenants puisse y rĂ©fĂ©rer et les retracer rapidement.
Les tĂ©moins ou les parties doivent quant Ă  eux s’assurer d’ĂȘtre en mesure d’y accĂ©der pendant l’interrogatoire, de les voir lorsqu’ils sont projetĂ©s Ă  l’écran ou de les consulter Ă  l’aide d’un second support (ordinateur, tablette, tĂ©lĂ©phone ou en version papier).
Si un tĂ©moin rĂ©fĂšre Ă  des documents ou des notes personnelles qu’il a en sa possession mais qui n’ont pas Ă©tĂ© prĂ©alablement transmis aux autres intervenants, ces derniers pourront requĂ©rir d’obtenir copie de tous les documents qu’il a consultĂ©s au cours de l’interrogatoire. Il serait prĂ©fĂ©rable pour les avocats qui interrogent de valider en dĂ©but d’interrogatoire ce que le tĂ©moin a en sa possession, lorsque l’écran n’est pas positionnĂ© de maniĂšre Ă  montrer une vue Ă©largie de la piĂšce.
Il est primordial, que ce soit pour un tĂ©moin ou un avocat, d’attendre la fin de l’intervention de la personne qui s’exprime avant de rĂ©pondre. En effet, des dĂ©lais ou des interruptions sont parfois causĂ©s par la plateforme ou la connexion internet, ce qui complique la retranscription et la comprĂ©hension lorsque les interventions sont simultanĂ©es.
Les participants devraient s’assurer d’éviter tout bruit ambiant susceptible d’altĂ©rer l’enregistrement. Pour la mĂȘme raison, ils devraient fermer leur micro lorsqu’ils n’interviennent pas, tout comme leur camĂ©ra. Cela aurait Ă©galement pour effet de prĂ©server la bande passante et limiter les problĂ©matiques de ralentissement ou d’interruption complĂšte de la connexion internet, nuisant grandement au dĂ©roulement de l’interrogatoire et pouvant mĂȘme mener ultimement Ă  son report.
En temps normal, un participant devrait ĂȘtre seul dans la piĂšce oĂč se tient l’interrogatoire ou l’audition en mode virtuel. Le fait de demander qui est prĂ©sent ou d’effectuer une tournĂ©e de la piĂšce Ă  l’aide de la camĂ©ra pourrait ĂȘtre requis par l’avocat avant de dĂ©buter son interrogatoire.
La prĂ©sence de plusieurs personnes dans une mĂȘme piĂšce lors de l’interrogatoire sera permise si elles sont parties Ă  la mĂȘme cause; des codemandeurs ou codĂ©fendeurs qui sont Ă©galement des conjoints ou des membres d’une mĂȘme famille, Ă  titre d’exemple.
Ces personnes doivent toutefois Ă©viter de discuter entre elles pendant l’interrogatoire et de rĂ©pondre collectivement ou en alternance aux questions qui sont posĂ©es. Cela complique grandement le travail de tous les intervenants et complexifie la comprĂ©hension et la retranscription.
Le respect de ces quelques rĂšgles d’usage rendra la tenue d’interrogatoires et d’auditions en mode virtuel plus agrĂ©able pour tous les intervenants. Les parties peuvent Ă©galement convenir d’un protocole concernant la tenue d’interrogatoires prĂ©alables par un moyen technologique, afin d’en dĂ©terminer les modalitĂ©s et les balises. Il s’agit Ă©videmment d’une adaptation du systĂšme judiciaire Ă  la situation de crise, mais cette pratique est appelĂ©e Ă  se dĂ©velopper puisqu’elle prĂ©sente des avantages pratiques certains, notamment la rĂ©duction des dĂ©placements.
Pour des questions en matiĂšre de litige et adressez-vous aux membres de notre Ă©quipe en litige ici ou encore Ă  l’auteure du prĂ©sent billet :
Me Jessica Gauthier, Associée
Jessica.gauthier@steinmonast.ca
418 640-4434
Édifice Stein Monast
70, rue Dalhousie, bureau 300
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La maĂźtrise de certaines techniques d’interrogation de base est essentielle pour obtenir des informations de meilleures qualitĂ©s au cours d’une discussion. Ces techniques permettent : - d’engager ou nourrir une discussion - d’élucider des faits en obtenant des renseignements pertinents - de confirmer la comprĂ©hension de l’interlocuteur en l’aidant Ă  remettre ses idĂ©es en place Avant d’entrer dans le vif du sujet, quelques recommandations : Lorsque vous interrogez une personne, les questions doivent ĂȘtre concises, claires et appropriĂ©es. Il est prĂ©fĂ©rable d'employer un vocabulaire simple, de poser une seule question Ă  la fois et d'Ă©couter attentivement. Un des grands dangers de l’exercice est de poser une question maladroite ou inefficace. Au pire, elle donne l’impression d’un parti pris, au mieux, elle brouille l’explication de l’interlocuteur. C’est pourquoi on doit absolument s’abstenir de poser une question jusqu’à ce que la personne ait fourni une explication complĂšte. 3 types de questions Les questions ouvertes : Elles encouragent l’interlocuteur Ă  parler et Ă  donner le plus de renseignements possible. Elles permettent de cerner les causes du problĂšme et de trouver des solutions. Exemple : « 
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