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Depuis 2010 Expert en Poppers - Stimulant - Gels
Il suffit de regarder sur les forums pour se rendre compte que beaucoup de femmes et d’hommes se demandent comment masturber un homme et le faire jouir rapidement . En effet, masturber un homme peut parfois s’avérer long, il est difficile de savoir si Monsieur prend du plaisir.
Il existe pourtant une méthode qui fait de plus en plus d’heureux, très pratiquée chez les étudiants et la communauté gay. Cette méthode américaine peut paraître classique pourtant un accessoire indispensable et quelques trucs et astuces permettent de faire jouir rapidement un homme et le masturber comme jamais il ne l’a été. Alors rendez fou votre homme grâce à cette technique hors norme qui requiert un peu de savoir-faire, et du poppers . 
Elle consiste à pratiquer un va-et-vient, un effleurement, un touché , le plus souvent avec votre main, mais toutes les parties du corps peuvent participer, bras, bouche, seins, fesses. Le plus souvent c’est une méthode mécanique, mais une fois que vous aurez consulté cet article vous allez changer votre vision de la masturbation chez l’homme. Découvrez par la même occasion toutes les zones sensibles érogènes pour le faire jouir rapidement. 
Savoir comment bien masturber un homme n’est pas chose évidente, cela n’est pas iné mais heureusement cela s’apprend facilement. Avec un peu de pratique vous allez devenir un roi ou une reine de la masturbation. Attendez-vous à provoquer une forte dépendance au sein de votre couple grâce à cette pratique. Cette méthode est même recommandée par certains sexologue s lorsqu’un couple traverse une période creuse au niveau sexuel. Voici nos astuces pour accéder à la jouissance:
Prenez un morceau de soie , votre lingerie, culotte ou caleçon , cela procure un effet incroyable sur le désir de l’homme. Vous serez surpris qu’une telle méthode marche aussi bien sur le pénis de votre homme. Pour les femmes évitez d’utiliser un soutien-gorge à cause des baleines (armature du soutien-gorge), cela pourrait faire mal à Monsieur et lui couper l’envie.
Lors de cette étape n’hésitez pas à utiliser vos 2 mains . L’une s’occupera du va-et-vient l’autre va caresser délicatement les testicules. Vous pouvez aussi vous approcher délicatement de son anus, ou encore de ses tétons. N’oubliez pas de prendre votre temps, dans un premier temps commencez doucement, il est inutile d’aller trop vite. Vous pouvez aussi varier la vitesse, cela rend fou les hommes. Par exemple, vous pouvez accélérer progressivement et vous arrêter pour reprendre un rythme très doux.
Les effets incroyables du poppers :
Si cette technique fait autant sensation auprès des jeunes, c’est certainement dû au poppers. Les effets du poppers sont extrêmement puissants et rapides. Il est disponible à l’achat et vendu légalement dans votre boutique Poppers Pas Cher. En vente libre, il est uniquement demandé d’avoir plus de 18 ans, de ne pas avoir de problèmes de santé et de ne pas être enceinte pour l’utiliser.
Cette petite fiole a tout pour elle, son prix bas, ses effets puissants sur la libido et l’augmentation du désir sont à l’origine de son succès. Les marques les plus connues sont le poppers rush et le poppers Jungle Juice . Celles-ci sont connues pour provoquer chez son utilisateur un effet désinhibant qui augmente la libido et provoque une pulsion sexuelle indescriptible. Actuellement c’est le Big One qui fait fureur auprès des jeunes car sa puissance est inégalée. 
De plus, l’effet que provoque un poppers sur l’homme est vraiment incroyable, cela vient du fait qu’il provoque un e vasodilatation sur le corps entier . Cet effet va libérer les hormone du plaisir, dilater les vaisseaux sanguins et ainsi provoquer un grossissement du pénis, et une dilatation de l’anus (idéal pour la découverte de la stimulation de la prostate).
Pour masturber un homme avec du poppers c’est très simple. Installez-le allongé sur un lit, ouvrez le poppers et déposez-le sur la table de nuit ou sur un endroit stable. Le poppers agit comme un parfum d’ambiance érotique. Les vapeurs qui s’en échappent enivrent rapidement la pièce pour transformer votre partenaire et vous-même en bête avide de sexe. Les effets se font ressentir en quelques secondes seulement, n’oubliez pas de bien refermer le bouchon une fois fini et de stocker le produit au frais et à l’abri de la lumière.
Les sextoys ne sont pas faits que pour les femmes. Connaissez-vous le cockring . C’est un anneau qui s’installe sur la base de la verge. Lors d’une masturbation cela provoque un désir intense, n’hésitez pas à choisir un cockring vibrant, son sexe vibrera à la base, sensations garanties. 
Pour bien masturber un homme il faut aussi s’ attarder à l’entrée de l’anus , et insérer un doigt par surprise peut s’avérer fort excitant. Explorer cette région et stimuler la prostate provoque instantanément un profond désir et de l’excitation . La prostate est pour beaucoup d’hommes une source de plaisir insoupçonné qui permet de booster et d’augmenter la jouissance lors d’une éjaculation. Pour cela il est possible d’utiliser votre doigt, mais aussi un plug anal ou encore un chapelet. 
Vous connaissez certainement les lubrifiants intimes mais connaissez-vous les gels chauffants? Ceux-ci sont très surprenants, ils provoquent une sensation de chaleur très agréable amenant une excitation immédiate . L’envie est alors irrésistible. Si c’est une première n’hésitez pas à garder son effet secret car la sensation est surprenante. Si vous n’avez pas de gel vous pouvez utiliser de l’eau, votre salive, cela produit aussi des sensations très agréables.
Sortez votre ordinateur ou votre téléphone et allez sur le site porno préféré de votre partenaire. Mettez-lui une vidéo excitante, cela provoquera un effet immédiat sur la dureté de son pénis. Si vous n’êtes pas à l’aise avec les images vous avez la possibilité de mettre juste le son ou de consulter un podcast ASMR érotique. Le porno, le poppers et la masturbation c’est le combo gagnant, une jouissance garantie que les étudiants et jeunes adorent pratiquer.
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 61
Date de parution originale: Octobre 1993

Date de publication/archivage: 2017-08-20

Auteur: Robert
Titre: J'aime ligoter les beaux mecs
Rubrique: À voile et à vapeur
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 4904 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je m'appelle Robert et j'ai vingt-deux ans. Je vous écris pour vous raconter comment j’ai vécu un fantasme qui me hantait depuis le tout début de mon attirance pour les garçons. Ce fut également ma première expérience sexuelle. Ce fantasme comporte deux éléments indissociables. Premièrement, d’aussi loin que je me souvienne, la vue d’un beau mec en slip m’a toujours fasciné, davantage d’ailleurs que lorsqu’il est entièrement nu. À douze ans, j'ai été placé dans un pensionnat, et tous les jours, soit au dortoir ou aux vestiaires, je me régalais en présence de mes confrères en petite tenue. J’aimais voir déambuler librement les plus beaux parmi ceux-ci lorsqu’ils n’avaient sur eux que leur petit caleçon. J’étais assez discret pour qu’on ne remarque pas mon avidité, vu la pression sociale anti-gay, mais j’étais alors comme dans un paradis. Et puis, quand j’étais en présence d’un beau mec ainsi dévêtu, je rêvais de le voir ligoté sur un lit, avec les mains attachées derrière le dos et les chevilles liées ensembles. Pendant trois ans, je n’ai vécu mon fantasme que dans mon imaginaire, et je me suis masturbé en pensant à de telles images.

Puis j’ai connu d'autres gars de mon âge qui m’attiraient beaucoup. Je me suis particulièrement lié d’amitié avec Sylvain, un beau châtain aux yeux noisette, du genre “rocker”. Sylvain était superbe : assez grand, il avait une allure un peu de loubard, toujours vêtu de pantalons et de vestes en blue-jean, et les filles craquaient littéralement pour lui. Il était très sympa et enjoué, et même un peu fanfaron. Sylvain adorait jouer de la guitare électrique. Comme je craquais moi aussi pour lui, je me suis rapidement découvert une passion pour le rock; et ainsi, nous étions souvent ensemble, lui et moi.

Il était tellement beau en slip, et son corps imberbe mais fort et viril attisait mon désir. En le contemplant parfois dévêtu, je le voyais dans mon esprit ligoté et prisonnier de mes caresses. À force de frôler la tentation, j’en suis arrivé à penser concrétiser mon fantasme avec Sylvain. M’étant un jour fermement décidé, je me suis mis à la recherche d’un plan, et le caractère de Sylvain, très fantasque, était propice à mon projet. Voici comment c’est arrivé.

Un jour, n'en pouvant plus, je me suis procuré deux bouts de corde d’un mètre de longueur chacun. J’ai choisi avec soin une corde blanche, grosse comme un petit doigt, très souple et solide. Quelques jours plus tard, je mets les deux cordes dans la poche de ma veste et le soir, vers neuf heures, je rejoins Sylvain au billard. Je lui parle d’un nouveau “jeu d'endurance” très original et lui demande s’il ne veut pas essayer, sans lui dire de quoi il s’agit. Pour apporter du piquant, je lui parie une cartouche de cigarettes s’il remporte l’épreuve, et connaissant sa nature fanfaronne, je ne suis pas surpris de le voir relever le défi. Je lui explique que cela peut se faire chez lui dès maintenant et devrait durer jusqu'au lendemain matin, mais que ce n’est qu’une fois dans son appart qu’il connaîtrait la nature du “jeu”. Sans tarder, nous nous dirigeons chez lui, et une fois arrivés, je lui explique que l’épreuve consiste à ce qu’il demeure ligoté à partir de maintenant jusqu’au matin. Sylvain éclate de rire et me dit que je suis cinglé. Pris au dépourvu, je lui rétorque, pour le défier, que je laisse tomber parce qu’il est trop poule mouillée, et à ma grande joie, il répond :

— Tu veux rire ? Je suis prêt, vas-y, attache-moi! De toutes façons, je n’ai plus de cigarettes, tu devras donc m’en donner demain!

Je sors les cordes de ma poche et lui réponds qu'il passera la nuit ligoté sur son lit, et que je resterai pour le surveiller et le libérer à son réveil. Je lui suggère alors, en m’efforçant de paraître indifférent, qu’il serait mieux pour lui de se dévêtir avant d’être ligoté, puisque c’est pour la nuit, histoire d’être bien plus confortable. Sylvain me dit :

— Bien sûr, ce sera mieux comme cela.

Et il se lève de sa chaise et se déshabille sur-le-champ, devant moi. À partir de cet instant, une grande fébrilité m’envahit et l’idée que c'est à ma demande qu’il se déshabille m’excite beaucoup. Je prends plaisir à regarder Sylvain enlever sa chemise blanche et quand il défait sa ceinture et baisse son jean, je sens mon cœur palpiter en apercevant son magnifique slip rouge, ni trop sérré, ni trop ample, dont la forme adhère à son sexe et à ses fesses, et dont la couleur met en évidence sa belle peau légèrement bronzée. Enfin, il ôte ses chaussettes et l’air amusé, il me montre ses mains en me disant :

Sylvain est tellement beau en slip et le voilà devant moi, ainsi dévêtu, prêt à recevoir mes liens. Je le regarde quelques secondes, et tremble légèrement, excité par mon rêve qui se réalise, et je lui dis simplement :

— Let’s go! Me dit-il en se retournant.

Je m'approche donc derrière lui avec ma corde, et docilement, il me présente ses mains derrière lui ; je les saisis et lui place ses poignets en les croisant l’un sur l'autre, juste au-dessus de la taille de son slip. Je regarde quelques secondes ses mains ainsi présentées et son slip, et j’en bande à mort. Puis j’enroule la corde autour des poignets réunis, de façon lâche d’abord, puis en resserrant peu à peu. J’aime frôler alors son dos et la bande de son slip en enroulant la corde. Je suis au septième ciel. Sylvain teste mes nœuds en tortillant un peu ses mains et il me dit :

Et il se retourne vers moi, tout souriant. La vue de son torse qui me semble mis en évidence par ses bras retenus par l’arrière me fait presque craquer, mais je retiens mes ardeurs. Nous nous dirigeons ensuite vers sa chambre, et Sylvain s’étend sur le dos dans le lit. Je lui place l’oreiller sous la tête, et ensuite, je me rends au pied du lit. et rapproche ses chevilles et les lie ensembles. Pendant ce temps, Sylvain avait l’air tout à fait décontracté. Quand j’ai eu fini de l’attacher, je lui ai demandé si cela allait et s’il voulait quelque chose. Toujours en riant, il me demande une cigarette. Comme il est ligoté, je dois l’aider. J’allume une cigarette et la place sur ses lèvres. Il en aspire quelques bouffées et j’enlève la cendre pour lui. Assis près de sa tête, tout en le faisant fumer, je le regarde. Il me paraît superbe, et je crois rêver en le voyant ainsi en petite tenue, les mains attachées derrière le dos et les pieds liés. Je le désire fortement mais je n’ose encore rien tenter.

Sylvain me demande une autre cigarette. Voilà au moins deux heures qu’il est ligoté. Il commence à faire nuit. J’allume la lampe et baisse la toile de la fenêtre. Je m’asseois à nouveau sur le bord du lit, près de sa tête, j’allume une cigarette que je dépose à ses lèvres. Le désir que je ressens devient de plus en plus irrépressible. Un climat d’intimité et de complicité s’installe peu à peu entre nous. La cigarette terminée, je l’éteins, puis je me réinstalle au bord du lit et je regarde Sylvain dans les yeux. L’air amusé et étonné, il me demande ce que j’ai. Alors, et c’est plus fort que moi, je lui avoue que je me sens très attiré par lui et je passe ma main dans ses cheveux, doucement. Sylvain éclate de rire en me disant :

— Me voilà bien pris! Attaché et en petit caleçon avec un copain qui se dit attiré par moi!

Mais il paraît plus amusé de la situation que fâché. À ma grande surprise, il rajoute :

— Je me doutais que tu étais pédé, parce que je te voyais me manger du regard quand je me mettais en caleçon, mais je n’ai rien contre ça.

Je deviens confus et gêné, ne sachant quoi dire. Sylvain, plus fanfaron que jamais, me facilite la tâche en me disant alors :

— Bon, je comprends maintenant ton manège. Ton “jeu d’endurance”, c’était pour me faire déshabiller et m’attacher. Qu’est-ce que tu vas me faire?

Je lui réponds nerveusement que je ne voudrais rien faire qu’il n’ait accepté. Il insiste encore :

— OK! Qu’est-ce que tu vas me faire? N’aie pas peur, je suis ouvert...

La parole hésitante, je lui dis que j’aimerais le caresser et le sucer. Sylvain me dit alors :

— Attaché comme je suis là, tu pourrais me violer, je n’y pourrais rien. Puisque j’en suis là, j’aime autant consentir, et d’ailleurs, je pourrai connaître le feeling de me faire sucer par un gars.

Je n’en crois pas mes oreilles. Je lui demande s’il est sûr de lui, et il me repond :

— Mais oui, j’ai le goût, n’aie pas peur!

Je me rapproche de lui, et je caresse ses épaules, puis je m’étends près de lui, je l’encercle en me maintenant avec mes bras à sa hauteur; nos regards se croisent longuement. Le silence règne. Puis je dépose un petit baiser sur son cou. Je suis nerveux mais maintenant décidé. Avec mes deux mains, je caresse encore ses épaules, et mes lèvres se collent à sa peau, j’embrasse, je lèche son torse, mes mains descendent lentement le long de celui-ci, mes doigts frôlent la bande de la taille de son slip, et je prends plaisir à en toucher le tissu soyeux, je m’attarde aux contours, à la taille et aux cuisses. Je descends jusqu'à ses jambes, les caresse jusqu’à la corde des chevilles, et je remonte en léchant les cuisses de Sylvain. Revenu à la hauteur du slip, je suis émerveillé par la bosse immense qui le déforme. Je baisse alors juste un peu le slip, du moins assez pour que le sexe de Sylvain se dresse devant mes yeux, raide de désir. Je le contemple, c’est la première fois que je vois un sexe, un membre bandé. Puis je le tâte, le caresse avec ma main, timidement au début mais avec de plus en plus d’assurance. Sylvain soupire dès que je touche sa queue. Pendant au moins dix minutes je caresse légèrement ce membre, approchant de temps à autre mes lèvres mais hésitant à passer à l’acte.

Puis enfin, je me décide, je dépose un petit baiser sur le gland. J’aime la sensation de ce doux et chaud contact de mes lèvres; ma langue s’active lentement. Je lèche d’abord le gland et ma langue l’entoure de plus en plus, puis je l’introduis dans ma bouche et je commence une succion qui me comble de jouissance. Sylvain gémit de temps à autre, je le sens se tortiller pour se défaire de ses liens, mais en vain. Il s’abandonne, ne bouge plus. La cadence de mes succions s’accélère, je prends de temps en temps de courtes pauses, mais c’est pour recommencer avec plus de vigueur.

Puis je saisis le sexe d’une main et maintiens ma bouche refermée sur le gland, en suçant avidement. Un léger goût salé se fait sentir dans ma bouche. J’aime et cela me donne encore plus de vigueur. Puis je sens le sexe sursauter subitement, et peu après, un liquide chaud et épais se répand dans ma bouche. Je suis surpris d’en aimer le goût, et j’avale sans crainte la semence de Sylvain. Puis je libère le sexe et dépose ma tête sur le ventre de Sylvain. Après quelques minutes, je replace son slip et je m’assois au bord du lit. Je regarde Sylvain et il me dit : “Tu as bien fait ça!!!” Et s’en moque un peu. je lui demande alors s’il veut que je le détache. Il me dit qu’il n’en est pas question, que le pari demeure et qu’il veut ses cigarettes le lendemain matin.

Je me réjouis alors de son attitude, qui me permettra de l’admirer dans ses liens et son slip toute la nuit. Il est déjà tard. Je m’étends sur un autre lit qui est à côté du sien. Sylvain, non sans peine, réussit à se retourner sur le côté, étendu cette fois-ci face à moi. On parle encore un peu, mais il est fatigué. Je le laisse alors dormir. Je dois avouer que j’ai peu dormi cette nuit-là. Ayant laissé la lampe allumée, je me suis masturbé à quelques reprises en le regardant ainsi dévêtu et ligoté, et il dormait paisiblement. Sa posture et ses liens me le rendaient encore plus viril et attirant à mes yeux. Puis j’ai dû dormir quelques heures.

Au matin je me suis éveillé et Sylvain dormait encore dans ses liens. Je l’ai réveillé. Sylvain était tout enjoué. J'avais encore envie de lui, et je lui ai demandé si je pouvais le sucer de nouveau avant de le détacher. Il accepta et me demanda même d’être “aussi bon que la veille”. Je crois avoir satisfait sa demande.

Depuis ce temps, mon identité sexuelle s’est de mieux en mieux affirmée. J’ai revu Sylvain de temps à autre, et on a recommencé la même chose, toujours avec des cigarettes pour enjeu, à cinq reprises. Après trois ans j’ai perdu sa trace. Mais souvent, dès que je rencontre un beau mec consentant, je le fais déshabiller en slip et je le ligote, pour ensuite passer des heures de jouissanc
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