Un fils ingrat profite de sa mère

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Un fils ingrat profite de sa mère
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Découvrez la solution de votre jeu, les six différences.

Vous écrivez souvent que rejeter son père ou sa mère, c'est se rejeter soi-même avec des conséquences très néfastes. J'adhère totalement. Admettez-vous néanmoins qu'il puisse y avoir des exceptions dans des cas extrêmes? (violences psychologiques ou physiques?). Sans vouloir citer de personne en particulier, je pense par exemple à cette sportive de haut niveau qui a souvent dit publiquement qu'elle va beaucoup mieux depuis qu'elle a coupé les ponts avec son père, qui la rabaissait constamment lorsqu'il l'entrainaît. Je vous remercie. Olivier M.
Quand je parle de fils ou de filles qui rejettent leur parent, je fais mention de ce que je considère pour ma part comme étant aujourd’hui un véritable phénomène de société dont peu de gens, me semble-t-il, constatent l’ampleur. 
Les parents qui sont rejetés par leurs enfants, sont dans leur grande majorité des parents qui certes, comme tous les parents, ont commis des erreurs, mais dont on peut affirmer avec certitude qu’ils n’ont rien à se reprocher de suffisamment grave pour qu’un tel rejet se justifie. 
Dans l’exemple que vous citez, le père de cette championne, on peut garantir qu’il était investi dans son rôle de père puisqu’il était son entraîneur. Le fait qu’elle se soit sentie continuellement rabaissée lui appartient, aussi à elle.
Je suis bien obligé de mettre ici le doigt sur un autre phénomène sur lequel on ferme à mon avis un peu trop les yeux, c’est le nombre croissant de personnes qui peuvent faire preuve d’une extrême susceptibilité sitôt qu’on les contrarie. Combien n’ai-je rencontré de parents, d’éducateurs, d’employeurs etc… qui m’ont fait part de la tendance qu’avaient les jeunes dont ils avaient la responsabilité, de monter les tours sitôt qu’on les contrariait ? 
La décision de rompre avec ses parents semble prendre racine ailleurs que dans cette supposée maltraitance dont les enfants auraient été victimes. Elle intervient comme une sanction, péremptoire et irrationnelle, avec son lot de détresse, car très souvent, ces enfants qui rompent avec leurs parents, ont eux-mêmes des enfants, et privent, par conséquent, les grands-parents de tout contact avec leurs petits-enfants, et également les enfants de tout contact avec leurs grands-parents, qui sont une référence majeure pour eux.
 Sont plus particulièrement visés par cette rupture, les parents divorcés, victimes de ce qu’on appelle l’aliénation parentale : un enfant décide de ne plus avoir de contact avec un des deux parents avec le soutien implicite de celui pour lequel il a pris parti. 
Mais cette rupture touche également les couples mariés dont les enfants sont adultes avec, répétons-le, la douleur de ne plus voir des petits-enfants auxquels ils sont très attachés. 
Il est important de bien comprendre que cette rupture n’est pas dictée par la paresse que l’on pourrait ressentir parfois d’accomplir les devoirs que l’on a vis-à-vis de ses vieux parents, comme on remettrait au lendemain non sans culpabilité le fait d’aller voir sa vieille mère au home. Ce n’est ni un abandon, ni une négligence, mais un rejet envisagé par celui ou celle qui le commet, comme une démarche, une individuation, la preuve que l’on est adulte. Or, être un adulte, ce n’est certainement pas rejeter ses parents auxquels somme toute on n’a rien d’autre à reprocher qu’ils n’ont été «que» des parents, mais de les accepter tels qu’ils sont… 
On observe en outre que c’est le père qui est le plus souvent rejeté. «Tuer le père» pour employer une expression chère aux psys, ce n’est pas l’éliminer pour pouvoir mieux cocooner dans les jupes de sa mère, mais se confronter à lui, pour mieux endurer le fait qu’il manque singulièrement de psychologie et de lui rappeler que l’on n’est plus un enfant. Je ne sais rien de la situation dont vous parlez mais il est probable que si cette jeune femme est devenue une championne, elle le doit aussi pour une part à son père qui sûrement n’était pas un fin psychologue. Les parents doivent-il ainsi qu’on le suggère un peu trop de nos jours, être de fins psychologues ? Attention de ne pas confondre le manque de psychologie et le manque d’amour ! On ne fait pas des champions qu’avec des caresses. 
Espérons qu’elle se soit contentée de changer d’entraîneur et non d’éliminer son père de sa vie ! 
Les causes de ce que je considère comme un véritable phénomène de société, à savoir ce nombre croissant d’enfants qui rejettent leur parent, est à mettre sur le compte des psys dont je fais partie. Ils jouent une part importante dans cette mentalité qui envisage la rupture comme la porte vers le salut. Il appartient à chacun de trouver sa part d’autorité sur celui qui nous touche par ses interventions malvenues, et en particulier avec son père auquel je me dois de faire comprendre que je suis un adulte. 
L’art du psy est un peu trop envisagé de nos jours comme une mise en accusation de la parentalité. Certains ne sont du reste pas loin de considérer cette rupture comme une victoire. Sur le divan, le patient rapporte à son thérapeute les erreurs que ses parents ont commises avec lui. J’ai vu passablement de personnes qui avaient posé cette rupture suite à une thérapie. Mais répétons-le ! L’aboutissement d’une individuation n’est pas forcément la rupture mais de réussir à contenir l’autre pour qu’il ne se sente plus autorisé « à nous rabaisser ».
La confusion n’est pas sans conséquence car rejeter ses parents, c’est rejeter son destin. Ce n’est pas nous qui choisissons nos parents ou alors, comme le disent les Bouddhistes non sans une certaine sagesse, nous les choisissons en fonction de notre karma. En éliminant mes parents de ma vie, c’est mon destin que je rejette. Rejeter ceux à qui je dois d’être de ce monde, n’est pas sans risque même si, parfois, il n’est pas possible de faire autrement… 
 

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Pour changer des tendances malsaines, il faut d’abord en prendre conscience.
FAMILLE - En atteignant l'âge adulte, un enfant voit aussi évoluer sa relation avec sa mère. D'abord totalement dépendant, il apprend à s'en détacher progressivement... En théorie, du moins.
Il arrive en effet qu'au lieu de suivre leur cours normal, ces rapports restent coincés à leur stade le plus primaire. Chacun se retrouve alors cantonné dans son rôle désigné et il devient très compliqué, voire impossible de poser des limites saines.
"La plupart des enfants, au début de leur vie, se reposent totalement sur leur mère. L'un comme l'autre peuvent avoir beaucoup de mal à voir s'atténuer ce lien", explique Tina B. Tessina, psychothérapeute et auteur de It Ends With You: Grow Up and Out of Dysfunction ( Ça finit avec vous: grandir et se libérer d'une relation dysfonctionnelle ), lors d'un entretien avec le HuffPost américain. "C'est pourtant indispensable pour la croissance émotionnelle des deux. Les mamans doivent apprendre à pousser leurs fils et leurs filles vers l'indépendance, et ceux-ci à dépasser le besoin de se retourner vers elles pour mieux tracer seuls leur chemin."
Nous lui avons demandé, ainsi qu'à d'autres thérapeutes, de nous lister quelques signes d'une relation trop étroite entre un adulte et sa mère.
(N.B.: ces exemples présentent généralement une mère dominatrice ou omniprésente et un enfant dépendant et soucieux de lui faire plaisir, mais la situation peut marcher dans les deux sens.)
1. Votre mère exige constamment votre temps et votre attention
Vous vous sentez obligé de tout laisser tomber dès qu'elle appelle, même si vous lui avez déjà parlé dans la journée? Vous annulez régulièrement une sortie avec un ami, un collègue ou votre conjoint parce qu'elle a envie de vous voir? Vous vous trouvez sans doute dans une situation malsaine. Bien sûr, il peut être bon de donner de temps en temps la priorité à sa mère, mais elle n'a pas à prendre le pas sur tout le reste de votre vie.
"Il arrive qu'un parent ne cesse d'appeler son enfant adulte et trouve normal qu'il ou elle lui consacre une grande partie de son temps libre, ou vice-versa", explique Gina Delucca , psychologue clinicienne. "L'autre n'ose pas lui dire non parce qu'il se sent coupable, ou juge que c'est normal et qu'il lui doit bien ça."
Même si vous croyez bien faire en vous soumettant à ces exigences, les conséquences sur votre relation pourraient bien être néfastes.
"Focaliser la majorité de votre attention sur votre mère vous empêche l'un comme l'autre de vous occuper d'autres aspects de votre personnalité et de votre vie", ajoute la thérapeute Amanda Stemen. "Vous risquez de développer un sentiment d'amertume et d'autres émotions négatives dans la relation."
2. Vous vous sentez responsable de son bien-être émotionnel
Il n'est pas sain que les paroles ou les actes de votre mère laissent entendre que son bien-être émotionnel dépend entièrement de vous. Elle seule a le contrôle sur ses sentiments.
"Certains parents ont pour habitude de faire porter à leurs enfants la responsabilité de leurs émotions", explique Amanda Stemen. "C'est ainsi qu'on peut s'entendre dire 'Je m'inquiète parce que tu as fait ça', 'Tu me rends triste quand tu oublies de m'appeler' ou bien 'Si tu n'avais pas fait ceci, je ne serais pas en colère'. Cela commence souvent très tôt, si bien qu'une fois adultes, les personnes concernées en sont encore à se battre en permanence pour rendre heureux ou apaiser leur parent."
Une position si déséquilibrée risque aussi d'influencer vos autres relations.
"L'enfant peut ensuite avoir du mal à gérer ses liens affectifs et reproduire inconsciemment, se retrouvant à nouveau dans des situations de co-dépendance ."
3. Vous lui mentez pour éviter de la décevoir
Certes, au lycée, il a pu vous arriver de lui mentir sur ce que vous faisiez par souci d'éviter des ennuis. Mais une fois adulte, vous ne devriez pas craindre que la vérité ne vous vaille sa désapprobation. Si vos décisions ne lui plaisent pas, alors tant pis.
"En grandissant, vous devenez responsable de vos actes et de leurs conséquences", souligne Aaron Anderson , thérapeute spécialisé dans les relations conjugales et familiales. "Vous n'avez plus besoin de l'avis de votre mère pour faire la différence entre le bien et le mal."
Si vous vous sentez tout de même obligé de lui cacher des choses, votre relation est peut-être restée coincée sur vos anciens rôles. Faire preuve d'honnêteté vous aidera tous deux à avancer.
"Soyez franc avec elle sur vos actions présentes ou passées et leurs raisons. C'est la meilleure manière de créer un vrai lien d'adulte à adulte."
4. Vous êtes financièrement dépendant d'elle
Face au chômage ou aux difficultés financières, n'importe qui peut être contraint de demander un coup de main à sa mère (ou son père). Pas de honte à ça. Mais la plupart du temps, si vous êtes en mesure de travailler, elle n'a aucune raison de financer votre vie!
"Vous tourner constamment vers votre mère pour lui demander de l'argent, c'est lui donner un plein droit de regard sur vos finances — ce que vous dépensez et pourquoi, votre budget mensuel, votre loyer et autres charges", fait valoir Aaron Anderson. "Elle est également impliquée dans vos décisions, qu'il lui revient de soutenir matériellement ou pas. Tout cela vous empêche de devenir autonome."
"Vous pouvez très bien accepter des cadeaux, parfois demander un peu d'aide en cas de mauvaise passe — mais dans tous les autres cas, évitez de lui réclamer de l'argent."
5. Vous la laissez prendre en charge toutes vos responsabilités
Un adulte en bonne santé physique et mentale doit pouvoir faire sa lessive, son ménage, prendre un rendez-vous chez le docteur ou réserver des vacances. Si votre mère peut avoir envie de s'en occuper pour dire de vous rendre service, la laisser faire risque de nuire sérieusement à votre développement en tant que personne.
"On peut y voir des gestes d'affection, mais en fait, ils compromettent surtout la capacité de l'enfant à mener une vie indépendante et à prendre soin de lui-même", déclare Gina Delucca.
6. Elle s'attend à ce que vous lui demandiez son avis avant toute décision
Il n'est pas normal de se sentir incapable de prendre des décisions courantes sans l'approbation ou la permission de sa mère. En tant qu'adulte, vous devez vous sentir prêt à faire vos propres choix sans crainte. Oui, vous pouvez lui demander ce qu'elle en pense, mais sans impression de contrainte!
"Vous pouvez sans problème partager vos choix avec votre mère — mais si vous vous y sentez obligé, craignant de lui faire de la peine autrement, alors il y a quelque chose qui cloche", explique Tina B. Tessina.
De plus, si vous n'écoutez pas ses conseils, elle risque de tenter de vous manipuler.
"Quand leur enfant choisit de gérer les choses à sa manière ou exprime des pensées, des croyances ou des opinions différentes, certaines mères peuvent se mettre en colère, multiplier les critiques, tenter de le culpabiliser ou encore le punir en prenant leurs distances", ajoute Tara Griffith , autre thérapeute familiale et conjugale . "Tout cela risque d'entraîner une incapacité du jeune à s'affirmer, un manque d'estime de soi et une difficulté à s'exprimer sainement."
7. Elle s'attaque régulièrement à votre vie privée en lisant vos SMS, emails, relevés bancaires, etc.
Une relation saine s'appuie avant tout sur une confiance mutuelle. Ça implique de ne pas ressentir le besoin de fouiner ou de porter atteinte à la vie privée de l'autre.
"Si votre mère lit votre courrier, vous surveille sur les réseaux sociaux avant de vous harceler sur ce que vous y faites, débarque chez vous sans prévenir, ou encore exige votre temps, votre attention et votre considération et se sent blessée au moindre refus, vous avez cruellement besoin de fixer des limites", affirme Tina B. Tessina.
8. Vous avez parfois l'impression d'être en compétition avec elle
Dans tout rapport normal, le parent est fier des qualités, des talents et des réussites de son enfant et vice versa; aucune forme de jalousie là-dedans. Si un sentiment de rivalité entre en ligne de compte, tentez d'en comprendre l'origine.
"Il peut s'agir d'une jalousie ou d'une pulsion de compétition touchant à l'apparence physique, l'attention des autres (y compris le père), les réalisations personnelles, etc.", énumère Lynsie Seely , thérapeute familiale et conjugale. "Tout cela pousse l'enfant à se mettre en retrait afin de laisser tout l'espace à sa mère. Il peut aussi en venir à porter sur lui-même un regard excessivement critique ou négatif, estimant n'être jamais à la hauteur."
9. Elle vous laisse faire n'importe quoi ou vous montrer irresponsable
Une mère peut être tentée d'arranger les choses pour vous afin d'atténuer les conséquences d'un comportement imprudent ou malsain. Mais cette volonté de vous venir en aide peut s'avérer plus néfaste qu'autre chose, nourrissant vos mauvaises habitudes en vous protégeant de leurs retombées.
"Il peut aussi arriver qu'elle se sente coupable, craignant d'avoir été une mauvaise mère, ou aspire à empêcher son enfant de prendre trop d'autonomie. Elle peut alors par exemple le faire porter malade au travail, alors qu'il ou elle a juste trop fait la fête", dit Tara Griffith.
10. Elle vous fait part de tous les détails de sa vie intime
Vous arrive-t-il de vous dire "Franchement, je n'ai pas besoin de savoir ça!" en l'entendant vous raconter une énième expérience sexuelle? À moins que ce ne soit elle qui vous questionne sur les moindres évolutions de votre vie amoureuse... S'il est formidable de profiter d'une relation ouverte et franche, ça ne veut pas dire qu'il vous faut tout savoir l'un(e) de l'autre.
"Il peut être normal et sain d'être très proche de sa mère et de pouvoir aborder pratiquement tous les sujets — mais ça n'interdit pas de poser des limites sur ce qu'on a envie ou non de dévoiler", confirme Gina Delucca.
Cet article, publié à l'origine sur le HuffPost américain , a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast For Word .
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Le Modérateur , February 2

Daily News a rapporté le cas horrible d'un fils qu'ils ont qualifié "d'ingrat" en référence à la légende des deux buffles - Thorapha et Thoraphee qu'on trouve dans le Ramayana (Ramakian) . C'est l'euphémisme de 2022.


La police de Na Yong, dans la province de Trang, dans le sud de la Thaïlande, a été appelée après un meurtre dans un bungalow de leur district.


Phol, 73 ans, gisait morte avec de la cervelle éclaboussant les alentours. Son dentier était loin du corps.


L'agresseur a rapidement été identifié comme étant son fils de 39 ans qui s'était enfui sur une Honda Wave. La moto a été retrouvée dans une plantation de caoutchouc et l'homme se trouvait à proximité. Il tenait toujours un morceau de bois taché de sang de 1,5 mètre de long. Il avait aussi un couteau à la ceinture.


La police l'a arrêté au bout de 3 heures.


Phol avait deux enfants - l'agresseur, toxicomane depuis 20 ans, était l'aîné. Il y a quelques années, il a tenté d'assassiner son propre père en lui tranchant le cou avec un couteau. Il avait été libéré et avait fait l'aller - retour liberté - prison 3 ou 4 fois.


Son dernier contact avec la police remonte à 2019 lorsqu'il a été arrêté pour consommation de Ya Ba et pour avoir résisté à son arrestation. Il était sorti il y a seulement 3 mois.


Il avait appelé sa mère pour lui demander son obole habituelle de 100 à 200 bahts pour la drogue, mais cette fois-ci, elle a refusé. Il a donc conduit sa Honda sans plaque jusqu'à la maison de sa maman à 200 mètres de chez lui et l'a battue à mort en la frappant au moins 10 fois à la tête.


Il est actuellement en garde à vue dans l'attente de poursuites.








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