Un filet pour une Française

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LILIAN CAZABET / HANS LUCAS / HANS LUCAS VIA AFP

Je pense que ce procédé doit être efficace mais peut être pas assez cher pour certains qui aimeraient avoir une enveloppe conséquente pour valider le projet
Bravo à ce Monsieur pour son travail e recherche, pour les résultats qui semblent concluants et on espère qu'il suscitera l'intérêt de nos gouvernants, je le crois et je l'espère ....
Perplexe ! Je suis plutôt surpris par la quasi absence de réactions à la publication de cette invention. Surprenant qu'une possible solution à un problème aussi fondamental que l'érosion des côtes sucite si peu de curiosité de la part des internautes et surtout de la part des scientifiques ! J'espère que les lecteurs de Sciences et Avenir réagiront nombreux .
Perplexe !
Ce n'est pas une invention française mais l'invention d'UN français.
Ce n'est pas l'idée d'un centre de recherche scientifique mais l'idée d'un professionnel. Pourquoi aucune publication de scientifiques qui rende compte des résultats et évalue l'interêt?
On parle peu de cette invention jusqu'à ce qu'un groupe industriel ou investisseur américain s'y intéresse ! Comme quoi nul n'est décidément prophète en son pays. Je souhaiterais vraiment connaitre le devenir de cette invention qui fait sens.
impressionnant et totalement méconnu, pourquoi ?





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Audience certifiée par 





Par

Alexandre Carré






le 29.06.2022 à 16h31





Lecture 5 min.




Un inventeur français a mis au point un filet, unique au monde, capable de capter une partie du sable qui le traverse pour reconstruire des dunes sous-marines. Un outil efficace dans la lutte contre l'érosion des plages.
Un grand panneau sur la plage indique le danger de chutes de pierres dues à l'érosion côtière. France, Nouvelle-Aquitaine, Bidart, 2022.
C’est une toute nouvelle approche pour la lutte contre l’érosion des plages qu’un inventeur français est en train de développer un peu partout dans l'Hexagone. Témoin de l’inefficacité des ouvrages de défenses dures - comprenant les brises-lames ou les épis rocheux, l'un protégeant une plage de la force des vagues, l'autre limitant les courants et flux sédimentaires - Dominique Michon a développé le dispositif S-ABLE. En développement depuis une vingtaine d’années, le procédé destiné à contrôler le transport du sable en milieu côtier est de plus en plus convoité par les municipalités inquiètes pour leur littoral. 
Ancien pêcheur professionnel, l’inventeur a enseigné dans un lycée maritime où il profitait de son temps libre pour inventer des outils à partir de filet de pêche disponible dans l’établissement. “Après plusieurs brevets d’inventions, notamment pour améliorer la pêche à la palangre (beaucoup moins impactante pour la biodiversité, ndlr), c’est en 1999 que j’ai décidé de breveter mon système “S-Able” pour permettre de remédier au problème d’érosion des plages de manière durable et sans impact négatif sur l’environnement” , raconte Dominique Michon à Sciences et Avenir. 
Après plusieurs tests, le projet sera mis en suspens, pour ressurgir 10 ans plus tard. “Les dégâts provoqués par le passage de la tempête Xynthia ( tempête ayant frappé la France les 27 et 28 février 2010, nldr) sur la côte vendéenne m’ont interpellés sur l’efficacité des ouvrages de défenses en dur contre les submersions, interpelle l’inventeur. J’ai donc décidé de reprendre le projet entamé quelques années auparavant, encouragé par le Cerema (le Centre d'Etudes et d'Expertise sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement, ndlr) pour essayer de remédier aux différents problèmes liés à l’érosion de nos plages.”
Dominique Michon devant une maquette de son invention. (source : Émilien Vicens/Actu Perpignan)
Le principe du dispositif est simple : ralentir le flux sédimentaire induit par la houle pour décanter les grains de sable et former une dune sous-marine censée casser la puissance des vagues et ainsi réduire l’érosion de la plage. De plus, et à la différence des ouvrages en dur, l'entrepreneur rappelle que “ le système ralentit mais ne bloque pas les flux et peut être facilement retiré à tout moment, bannissant tous les problèmes liés à l’érosion et à l’accrétion directement induits par le blocage des flux des ouvrages en dur.”
Comment est-ce possible ? Grâce à une série de filets fixés au fond par des chaînes lestées, assemblés sous la forme d’un V inversé maintenu en suspension par des flotteurs. Les filets en polyéthylène, épais et solide, diffusent la force du courant et accumulent les volumes sédimentaires le long du profil. “Le polyéthylène est un choix pertinent car il est neutre à l’eau de mer, a des propriétés de résistance intéressantes et permet aux micro-organismes, crustacés et algues de s’imbriquer dedans, signale Dominique Michon. Les expérimentations menées sur le terrain ont fait état de la présence de multiples espèces au sein des filets et en particulier la présence de juvénile, protégés de la prédation par l’ouvrage.”
Schéma d'une installation du filet S-Able (source : Able/Perpignan Méditerranée métropole)
L’élaboration est une chose, les résultats en sont une autre. Le système S-Able a profité de sa collaboration avec le Cerema pour expérimenter depuis 10 ans son système dans diverses configurations morphologiques de la côte. D’abord au Croisic (en Loire-Atlantique), en 2013, pour le rétablissement d’un chenal déplacé par Xynthia, puis à Saint-Brevin-Les Pins (En Loire-Atlantique également mais de l'autre côté de la Loire) pour rediriger un cours d’eau qui menaçait la plage.
“Les premiers résultats de ces deux expérimentations ont été concluants et nous ont permis de poursuivre nos expérimentations dans d’autres contextes en intégrant le projet Endure (programme de financement européen pour la recherche contre l’érosion côtière et les risques de submersion, ndlr) en 2018, rapporte l’inventeur. Grâce à cela, nous avons pu tester le dispositif en baie d'Authie avec du matériel de haute précision (bathymétrie, modélisation hydrodynamique, ndlr) et l'étudier expérimentalement dans le bassin à houle et courant de l'Ifremer, à Boulogne-sur-Mer. ” 
Carte bathymétrique de la baie d'Authie. Le 11 mai 2017 (à gauche) la baie est en érosion avant l'installation des filets (trait noir). Le 10 août 2017 (à droite) une accumulation de sédiments apparait dans la zone des filets. (source : Cerema/S-Able)
Face à l’érosion du trait de côte, certaines communes peinent à trouver des solutions efficaces pour repousser l’échéance - déjà entrepris pour certaines - du recul de la ligne d’habitations et de commerces face à la mer d’une à plusieurs centaines de mètres. Cette ultime mesure, bien qu’efficace pour réduire les risques, exacerbe les conflits d'intérêts entre les acteurs du littoral, ralentissant les procédures et rendant la tâche compliquée pour les élus. Selon le ministère de la Transition écologique, c’est 22% des côtes françaises qui sont soumises à un phénomène d’érosion avec un risque progressif de submersion, notamment des logements : d’ici 2100, au moins 50.000 logements seront concernés. 
En avril 2022, la loi climat résilience établit une liste de 126 communes très vulnérables " dont l'action en matière d'urbanisme et la politique d'aménagement doivent être adaptées aux phénomènes hydro-sédimentaires entraînant l'érosion du littoral ". Ces communes - où figurent notamment Saint-Jean-de-Luz, Saint-Nazaire et Cassis - bénéficieront d’un appui financier et technique pour faire face au problème d’érosion de leur littoral. 
Le système S-Able fait partie des outils pour parer le phénomène, comme tout récemment en Méditerranée. " Un filet de 200 mètres a été installé en mai dernier pour endiguer l’érosion d’une partie de la plage de Sainte-Marie-La-Mer dans les Pyrénées-orientales et un autre filet est prévu à Vias, en octobre 2022, qui cette fois-ci fera 900 mètres de long, soit notre plus long filet jamais installé jusqu’à maintenant” , conclut Dominique Michon.




Erosion
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Le béluga échoué dans la Seine depuis vendredi a été euthanasié, mercredi, lors de son transport vers Ouistreham, dans le Calvados, où il devait être installé dans une écluse de mer. Son état, déjà préoccupant, s'est détérioré pendant le voyage, a expliqué la préfecture du Calvados.
Le béluga égaré dans la Seine a dû être euthanasié en raison de la dégradation de son état de santé pendant son transfert entre l'Eure et le Calvados, a annoncé mercredi 10 août une responsable des services vétérinaires des pompiers de l'Essonne sur Twitter.
"En cours de voyage, les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état, notamment de ses activités respiratoires", a expliqué à la presse la colonelle Florence Ollivet-Courtois, vétérinaire-cheffe du service départemental d'incendie et de secours (Sdis) de l'Essonne.
Au vu de "la souffrance évidente de cet animal (...) il n'était pas pertinent de le relâcher et donc il fallait procéder à son euthanasie", a-t-elle ajouté.
Le cétacé, dont l'état de santé était préoccupant , avait été sorti dans la nuit de mardi à mercredi de l'écluse de Saint-Pierre-la Garenne (Eure) dans laquelle il se trouvait. Vers 4 h du matin, après six heures d'efforts, le cétacé de près de 800 kg avait été soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il avait été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires.
Le béluga a été sorti de l’eau après de longues heures de préparation et d’efforts. Bravo aux équipes impliquées d’avoir relevé ce défi.Les premiers examens médicaux ont été faits, les résultats seront bientôt connus. Le béluga va maintenant prendre la route vers Ouistreham. pic.twitter.com/Vc8aBMKf6r
Le béluga, animal évoluant en eaux froides, dont la présence dans la Seine est exceptionnelle, avait ensuite pris la route, mercredi matin, en direction de Ouistreham, dans le Calvados où il devait être installé dans une écluse d'eau de mer. Il devait y séjourner plusieurs jours avant d'être relâché en pleine mer.
Le bilan de santé de l'animal était déjà assez pessimiste. "La maigreur de l'animal" augurait selon les vétérinaires "d'un mauvais pronostic vital".
Repéré le 2 août dans le fleuve, le cétacé était retenu depuis vendredi dans le bassin d'une écluse, située à 70 km au nord-ouest de Paris. Le cétacé, qui avait refusé de se nourrir de calmars et de truites vivantes, s'était vu administrer des vitamines et des antibiotiques et son état avait pourtant montré quelques signes d'amélioration durant les premières heures.
Une orque avait déjà été observée dans la Seine en mai, entre Rouen et Le Havre. Elle avait finalement été retrouvée morte et une autopsie avait privilégié un décès par inanition.
Le résumé de
Des ouvriers à fond
Quand ils voient une fille nue ils restent bouche bée
Jolie blonde est une poupée accro au sperme

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