Un fantastique amant transexuel
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Marc stein
sur 25 août 2018 à 23 h 37 min
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â Ah, que je te dise, nous aurons une invitĂ©e samedi pour le dĂźner et pour la nuit. Câest une relation dâune amie de mon club de bridge quâelle ne peut loger momentanĂ©ment, alors je me suis proposĂ©e.
Le samedi suivant vers 19 heures, la sonnerie de lâinterphone retentit, je suis lĂ , je dĂ©croche et jâentends
â Bonjour câest Maya, celle qui vient prendre ses aises chez vous ce soir, Annie mâattend, je suis en bas.
â Ah oui, câest au 4Ăšme Ă©tage Ă gauche, dis-je, me souvenant dâun coup de ce que ma femme mâavait dit quelques jours plutĂŽt. Jâappuyais donc sur le bouton de la porte cochĂšre de lâimmeuble.
â Ătait-ce Maya, me demanda Annie, curieusement affolĂ©e.
â Je la reçois, ne tâinquiĂšte de rien.
Quelques secondes plus tard le carillon de la porte dâentrĂ©e retentit. Annie ouvre et je la vois arriver accompagnĂ©e dâune superbe crĂ©ature dâune petite quarantaine. SĂ»rement un bon mĂštre soixante quinze, des yeux bleus, des cheveux bruns mi longs, Ă lâallure assurĂ©e sur ses escarpins Louboutin et particuliĂšrement distinguĂ©e. Une femme un peu plantureuse mais pour tout dire hyper sexy.
Elle porte un sac de voyage couture et une mallette en cuir noire. Je propose de les lui prendre mais elle refuse.
Annie, Ă©tonnamment brouillonne, fait rapidement des prĂ©sentations : « mon mari, Jean-Serge », je lui serre la main et gardant la mienne dans la sienne, elle me toise et je me sens curieusement jaugé⊠Puis on se dit « à tout Ă lâheure » et elles disparaissent dans lâappartement pour sâinstaller et papoter sans doute.
A lâheure de lâapĂ©ritif, je retrouve Annie qui sâest changĂ©e. Elle est habillĂ©e dâune robe sans manche, assez courte comme jâaime et que je lui ai offerte. Une robe Ă©crue et toute entiĂšre en dentelles et je regrette Ă chaque fois quâil y ait une doublure, je la verrai bien sans rien dessous et sans la doublure Ă©videmment. Je lui en fais compliment en lui touchant les fesses et la complimente aussi sur la visiteuse et ajoute « quâelle peut en inviter dâautre comme cela quand elle veut » Ma rĂ©flexion la fait sourire et Ă lâair de lâamuser⊠« Garde tes ardeursâŠÂ » me rĂ©pond-elle.
Nous nous rendons au salon, notre visiteuse, Maya nous y rejoint.
Elle est superbe dans une robe en mousseline rouge, assez courte, Ă vrai dire trĂšs peu boutonnĂ©e et donc trĂšs Ă©chancrĂ©e laissant deviner une poitrine avantageuse dont les pointes de seins saillent dans lâĂ©toffe et une fois assise je devine facilement quâelle porte des bas. Mon imagination vagabondeâŠ
Je sers du champagne et la conversation sâengage. Jâapprends ainsi sans plus de dĂ©tails quâelle habite lâIsle Adam. Je crois donc comprendre pourquoi elle nous a sollicitĂ©e de loger chez nous ce soir.
Elle exerce la profession de coach ou plutĂŽt dâĂ©ducatrice comportementale, mais nous nâen saurons pas plus pour lâinstant. Nous parlons de tout, de rien. Nous buvons et aprĂšs avoir presque terminĂ©e la deuxiĂšme bouteille se tournant vers moi elle mâassĂšne sur un ton autoritaire : « Mets toi Ă poil »
Je suis heureusement assis sinon je tomberais de lâarmoire mais elle rĂ©itĂšre avec vĂ©hĂ©mence : « A poil ! jâai dit » Je me lĂšve hĂ©bĂ©tĂ© et elle ajoute Ă lâadresse dâAnnie
â Annie, dis-lui que jâai carte blanche, que lâon est bien dâaccord. Je dirige cette soirĂ©e Ă ma guise et je veux quâil se foute Ă poil illico, dit-elle en sâadressant Ă ma femme.
â Maya que tu vois lĂ , a dĂ©sormais tous les pouvoirs sur toi Ă partir de cet instant et tant quâelle le jugera nĂ©cessaire. Tu lâĂ©coutes, tu fais tout ce quâelle ordonne , tu es sa chose. Elle disposera de toi comme elle lâentend, je suis absolument dâaccord avec tout ce quâelle dira, fera, ou exigera de toi qui nâa dâautre solution que de lui obĂ©ir sans broncher.
Mes jambes ne me portent plus et Maya mâexplique alors quâelle est en fait dresseuse dâhommes et de femmes pour les transformer en soumises ou soumis destinĂ©s Ă devenir des objets sexuels assumĂ©s.
â Jâai Ă©tĂ© engagĂ©e par ta femme Annie pour te confondre et tâĂ©duquer.
Je compris tout de suite sa profession restée équivoque.
â Ta femme sait que tu fantasmes sur la soumission depuis longtemps. Elle a dĂ©couvert tes habitudes sur le net oĂč tu surfes assidument sur des sites de Dominas, de Sissy, de Travestis, de Transgenres et mĂȘme de Gays. Que tu rĂȘves secrĂštement dâĂȘtre travesti et offert. GrĂące Ă mes connaissances, elle a eu accĂšs Ă ton pseudo et Ă certains des textes trĂšs explicites que tu as Ă©crits. Elle a donc dĂ©cidĂ© dâavoir recours Ă la professionnelle que je suis pour te dĂ©couvrir et te cerner, tâobserver dans la satisfaction forcĂ©e de tes fantasmes, et dâapprendre Ă te driver pour en profiter ultĂ©rieurement.
Tout sâĂ©clairait dâun coup ou plutĂŽt tout devenait sombre. Le piĂšge Ă©tait bien montĂ© et jây Ă©tais tombĂ© tout droit.
â Tu mâappelleras maintenant MaĂźtresse, et ta femme, tu lâappelleras Ă partir de maintenant Madame. Tu es notre jouet dont on va user et abuser. Tes vices inavouĂ©s vont nous y aider. Donc recule toi et mets toi nu.
Quand ce fut fait Maya me demanda de tourner sur moi mĂȘme, de lui montrer mes fesses, de les ouvrir, de me pencher en avant pour voir pendre mes attributs. Elle fĂ©licita Annie sur mon cul quâelle trouva plein de promesses.
â Voici une liste de pratiques que tu connais au moins de nom en me tendant un bristol.
Sur ce papier cartonnĂ© Ă©taient Ă©crits les mots : sado-masochisme, bondage, uro, scato, fĂ©tichisme, caudaulisme, fĂ©minisation, sissy-training, face-sitting, ball-busting , god-ceinture, chastetĂ©, laisse et collier, soubrette, humiliation, lingerie, cuir, latexâŠ
Elle me demanda dâen choisir 3 rapidement qui me faisaient secrĂštement fantasmer.
« â Avoues que tu as de la chance que nous te proposions de choisir le thĂšme de ta soirĂ©e, nâest ce pas Annie ?
â Oui, je suis curieuse de connaĂźtre ses choix.
â Tu vas mĂȘme les voir se rĂ©aliser et de plus les filmer, dit Maya en accrochant Ă ma femme une camĂ©ra go pro montĂ©e sur un serre tĂȘte ».
AnĂ©anti mais finalement obligĂ© de jouer leur jeu je rĂ©pondis « fĂ©minisation, collier et laisse et sissy-training », mes fantasmes prĂ©fĂ©rĂ©s. La MaĂźtresse apprĂ©cia ce choix, siffla et se tournant vers ma femme elle dit en me regardant :« quelle salope tout de mĂȘme, elle assume, tout Ă©tait donc bien vrai tu vois !
« Bon, eh bien je vais préparer cette salope pour la suite des réjouissances » dit Maya.
Elle ouvrit une boĂźte prĂ©parĂ©e dâavance et me tendit une paire de bas, puis un corset largement ouvert Ă lâentre jambe avec porte jarretelles, enfin des escarpins Ă ma taille.
« Enfile-moi tout ça, et viens lĂ que je te lace ton bustier puis assied toi sur la table basse face Ă moi, je vais parfaire ta transformation physique de putasse que tu es et dans laquelle tu vas devoir dĂ©sormais tâhabituer Ă Ă©voluer
Ma femme sâĂ©tait absentĂ©e un instant. Je devais lâavoir vraiment excitĂ©e car elle revint rapidement, doublure de la robe et sous vĂȘtements envolĂ©s. Vision inespĂ©rĂ©e depuis des annĂ©es et tout simplement fantastique. Maya apprĂ©cia aussi et lui dit « Je vois que tu commences Ă apprĂ©cier la situation et Ă en tâen inspirer, nâest ce pas ? Câest trĂšs bien, lĂąche toi, tu vas voir, tu vas vraiment te rĂ©galer et prendre de lâassurance».
Ma femme aida mĂȘme Maya Ă finir de me maquiller outrageusement. JâĂ©tais fin prĂȘte en vraie pute, entiĂšrement disponible.
Maya avec lâassentiment dâAnnie mâaffubla du prĂ©nom de « Sucette » cela promettait pour la suite. Alors Maya saisit son autre mallette quâelle ouvrit en la partageant en deux puis en quatre comme une trousse Ă outils. Et câĂ©tait le cas, on y trouvait rangĂ©s par ordre de taille des gods, des gods ceinture, des plugs, des pinces Ă seins, des colliers et des laisses, des cockrings, des menottes enfin des fouets, lâattirail de la parfaite dominatrice.
« A toi lâhonneur, dit-elle Ă ma femme en lui tendant un collier dâesclave et une laisse. « Parfais son allure de soumise, en lui passant cet attribut dâesclave et promĂšne cette chienne Ă quatre pattes en laisse
« Allez Sucette, remercie Madame de te diriger comme une chienne que tu es.
â Je suis Ă vos ordres, Madame, dis-je Ă ma femme que je ne reconnaissais pas et qui entrait de plus en plus dans le jeu ».
Elle me promena ainsi fermement tirĂ© par le cou et Ă genoux et presque nu dans lâappartement. JâĂ©tais totalement asservi et cela lui plaisait fort semble-t-il.
Maintenant, Sucette, regarde bien ce qui tâattend, ordonna Maya qui, sâĂ©tant mise debout commença Ă dĂ©grafer sa robe qui tomba Ă ses pieds. Elle portait des bas noirs accrochĂ©s Ă une guĂȘpiĂšre magnifique en cuir noir et un string de la mĂȘme matiĂšre. Elle sâapprocha et mâordonna « Baisse mon string avec ta bouche, petite salope ».
Je mâappliquai avec les dents pour le descendre jusquâĂ ses pieds et quand je relevai la tĂȘte je dĂ©couvris une belle queue que je ne pouvais imaginer. Ma femme non plus dâailleurs qui se montra autant surprise que moi mais apprĂ©cia au plus haut point ce travesti si jâen jugeais par son visage Ă©panoui et lâimagination dont ses yeux pĂ©tillants se faisaient le rĂ©vĂ©lateur.
Maya sâinstalla dans le canapĂ© jambes bien Ă©cartĂ©es et dit Ă ma femme de prendre son sexe fermement en main Ă sa base, de tirer ma tĂȘte vers celui-ci.
« Fourre lui ma queue dans la bouche et quâil me fasse bander, tu peux me branler si tu le sens. Ta salope de mari, elle nâa quâĂ sucer. Arrange toi pour la contrĂŽler, pour la guider, pour quâelle me titille bien le gland avec la pointe de sa langue, pour quâelle me lĂšche toute la queue dessus et dessous et aussi les couilles, et quâelle mâavale la bite Ă fond comme il se doit. Nâoublie pas que câest une pute, qui doit montrer tout son savoir faire. Tu la surveilles, tu lâencourages en la fouettant câest toujours nĂ©cessaire. Tu vas voir tu vas y prendre du plaisir. Pense Ă tout ce quâil tâa cachĂ© depuis des lustres et tu vas finalement te rĂ©galer de sa nouvelle condition dâesclave dont tu vas pouvoir profiter Ă loisir Ă ton tour»
Ma femme prenait manifestement un plaisir sadique Ă mâhumilier et mâobligeait Ă une pipe totale en appuyant sur ma tĂȘte.
La queue de Maya sous les effets de ma langue avait pris une ampleur considérable voir étonnante
Elle pria alors Madame, ma femme de mâagenouiller sur le canapĂ© les cuisses bien Ă©cartĂ©es, le cul tournĂ© vers elle. Madame me tira par la laisse et me menotta les bras dans le dos. Son visage exprimait une jouissance non contenue. Maya lui demanda alors de me prĂ©parer la rondelle avec un des onguents qui se trouvait dans sa mallette ainsi que le fondement.
Madame, ma femme ne se fit pas prier, elle vida littĂ©ralement le contenu sur ma raie et ma rondelle tout en introduisant un doigt, puis deux et jugeant que cette dĂ©sormais chatte Ă©tait bien souple et bien prĂȘte elle encouragea Maya Ă me dĂ©foncer.
« Quel pied, sâexclama-t-elle, il va connaĂźtre ce que je lui ai toujours refusĂ©. DĂ©fonce-lui le cul, Maya, je vais adorer voir cela de prĂšs et le graver sur la pellicule »
JâĂ©tais totalement apeurĂ© mais cela dĂ©cuplait son plaisir.
La Maitresse appliqua son gland sur ma rondelle et me pĂ©nĂ©tra sans mĂ©nagement jusquâĂ la garde.
« Putain, quel cul de salope , tu lâas toute avalĂ©e, me dit ma femme Ă lâoreille. Je prierai Maya de me faire elle mĂȘme lâhonneur de ce plaisir inconnu, avec douceur bien sĂ»r, et je sens finalement que cela me plaira⊠tu pourras en profiter mais de loin, mon ami ! Pour lâinstant, rend toi complĂštement utile, me dit-elle en sautant sur le dossier du canapĂ©. Elle retroussa sa robe sous laquelle elle Ă©tait toute nue, ouvrit grandes les cuisses et exigea que je lui aspire sa chatte trempĂ©e et pleine de dĂ©sir. Elle apprenait vite.
Pendant ce temps, Maya me limait avec ardeur et je gĂ©missais sous ses coups de boutoir. PrĂȘte Ă se vider, elle se retira puis attrapa une main de ma femme tout en lui demandant de me tourner et de diriger sa queue vers ma bouche quâelle mâintima dâouvrir celle-ci largement en tirant la langue. Alors elle Ă©jacula copieusement dessus exigeant que je nettoie tout avec application et dĂ©lectation.
« Montre-nous que tu aimes cela, que dis-je, que tu adores et que tu souhaites que ce ne soit quâun dĂ©but » dit-elle.
Ma femme sâĂ©tait bien vengĂ©e et je me demande si je ne lui avais pas rendu sans le savoir, un fier service. Elle mâaccrocha par la laisse, toujours Ă moitiĂ© nu, Ă une poignĂ©e de porte.
« Désormais et en accord avec ton coach, dit-elle, cette tenue de soumise serait dorénavant la tienne et pour longtemps.
â Nous nâallons pas nous arrĂȘter en si bon chemin. Nous la sortirons en public et pour cela, nous lui ajouterons une perruque et une mini jupe afin dâĂȘtre prĂ©sentable et surtout suggestive. Jâai plein de projets pour elle dans ma tĂȘte, dit la MaĂźtresse Ă ma femme qui acquiesça et finit par applaudir.
â Maya, tu me diras Ă quoi tu penses sâil te plaĂźt, et tu continueras bien le training autant que nĂ©cessaire ? SâinquiĂ©ta vicieusement ma femme. Mon petit mari sera Ă ta disposition chaque fois que tu en auras besoin pour toi, tes amis, tes soirĂ©es, ajouta-elle. »
Les deux femmes si je puis dire, riaient et se rĂ©jouissaient de la sĂ©ance et envisageaient dĂ©jĂ Ă voix haute dâen organiser rapidement dâautres avec de multiples et diffĂ©rents partenaires.
â Cette salope a manifestement dâexcellentes prĂ©dispositions Ă notre service. Nous allons maintenant peaufiner sa transformation en femelle lubrique, gourmande et accueillante. Une belle soumise quâon nous enviera et quâon voudra venir voir de loin et surtout essayer bien sĂ»r. Tu me le permettras Annie ?
â Mais bien sĂ»r que oui, chĂšre Maya, lui rĂ©pondit-elle ! Puis me jetant un regard dâune assurance inquiĂ©tante, elle me dit, nâoublie pas la vidĂ©o, elle est dorĂ©navant le gage permanent de ta dĂ©votion dĂ©finitive Ă notre imagination sans limite, et gage de ta nouvelle condition de sissy ».
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Histoire Ă©rotique Ă©crite par
Phil91270
Fantasme
Publié le
31 mai 2013
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