Un esclave de son sperme

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Un esclave de son sperme


Publié le 09/08/2017 à 11h10




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Vous lisez actuellement : Le tour du monde du sexe : les Papous Sambia buveurs de sperme



Par VIVE 2022 le 10/10/2017 à 18:06




Par Le Québécois le 15/08/2017 à 01:27




Par Pierre l'Alpin le 09/08/2017 à 15:48


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Comment transformer un jeune garçon tétant le sein de sa mère en homme accompli ? En lui inculquant la peur des femmes et en lui faisant boire du « lait masculin », autrement dit du sperme au cours d'une très longue initiation à connotation homosexuelle.
Dans les années 1970, l'anthropologue américain Gilbert Herdt a séjourné longuement chez les Sambias vivant d'agriculture et de chasse, en Papouasie-Nouvelle-Guinée . Il raconte que l'initiation des jeunes garçons débute entre six et dix ans quand ils sont séparés de leur mère pour vivre ensemble dans une maison commune.
Cette séparation est marquée par une cérémonie de sept jours au cours de laquelle tous les jeunes garçons concernés doivent affronter 18 rituels, certains relevant carrément du supplice. Les hommes de la tribu les entraînent très loin du village pour rejoindre le terrain d'initiation. Pour commencer, chaque garçon est mené près d'un cours d'eau où un guerrier lui fiche un bâton pointu dans les narines pour le faire saigner abondamment. Pendant ce temps, les autres adultes entonnent des chants guerriers. Si un môme effrayé tente de s'échapper, il est traité avec encore plus de cruauté.
Il est maintenant temps de passer à la cérémonie dite le « manger du pénis ». Selon les Sambias, la seule façon pour un garçon de perdre sa part de féminité et de devenir viril, c'est de boire du sperme. Le donneur est un « bachelier », c'est-à-dire un jeune guerrier qui est sur le point d'achever sa propre initiation. Souvent, c'est un oncle du jeune garçon. La fellation s'effectue dans les fourrés et peut se reproduire à plusieurs reprises durant la cérémonie.
Quelques mois plus tard, cette cérémonie se répète, mais avec la nécessité de boire le plus de sperme possible, toujours histoire de devenir le plus valeureux des guerriers. Lors de la puberté des apprentis guerriers, une troisième cérémonie fait d'eux des bacheliers. De buveurs de spermes, ils deviennent des donateurs. Ils sont sévèrement battus et fouettés pour s'endurcir. Le sang doit pisser à flots, du nez, en signe de purification de toute contamination féminine. Enfin, les bacheliers doivent capturer une femme ennemie, et tuer un guerrier étranger après lui avoir fait avaler sa propre semence.
Cette étape franchie avec succès, le jeune guerrier a le droit d'épouser une jeune fille, mais celle-ci doit être tout juste pubère. Et pas question de lui faire l'amour aussitôt. Durant les premières années du mariage, le seul acte sexuel permis est la fellation avec la croyance que la semence favorisera la production de lait de l'épouse après ses futurs accouchements. Quand, enfin, le jeune homme a l'autorisation d'introduire son sexe à l'endroit que la nature a prévu, il devra néanmoins se garder absolument de sentir l'odeur génitale de son épouse. Ce qui l'oblige à n'introduire que l'extrémité de son pénis dans le vagin de celle-ci, sous peine de tomber malade. De même, doit-il boucher son nez avec des feuilles de menthe. Alors, ne parlons pas d'amours anales... Avant de faire l'amour, le guerrier ne doit pas oublier de demander une fellation à sa femme toujours pour que son sperme se transforme en lait maternel. Très important, enfin, à chaque menstruation de sa partenaire, le mari doit se faire saigner du nez pour ne pas être pollué par le sang menstruel.
Le jeune Sambia devient un guerrier à part entière quand il devient père pour la première fois. Le problème, c'est qu'il ne doit plus fréquenter son épouse jusqu'au sevrage de l'enfant, vers trois-quatre ans.
Entre 20 % et 30 % des tribus de Papouasie-Nouvelle-Guinée pratiquaient autrefois cette initiation des jeunes guerriers avec le sperme. Par fellation et même par sodomie. L'aimable donateur est parfois appelé le « père-anus ». Certaines tribus pensent même qu'un jeune garçon ne peut émettre sa première semence qu'après avoir été inséminé oralement ou analement.
Dans toutes ces tribus, dès son plus jeune âge, les garçons sont élevés dans la peur des femmes. Certains ethnologues pensent qu'il faut y voir un lien avec le fait que les époux sont en général bien plus vieux que leurs conjointes. Craignant que celles-ci les trompent avec des jeunes gens vigoureux pour assouvir leurs besoins sexuels, ils auraient donc mis en place cette stratégie de la peur.
Aujourd'hui, sous l'influence des missionnaires, cette belle tradition du sperme virilisant a quasiment disparu. Elle ne se maintient plus que parmi de rares populations isolées.
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Une''manif''et pas de France Insoumise.

Mon pere m'a raconté que l'epouse de mon vieil, grand oncle Jacob l'oblgeait à couch er au pied du lit lorsqu'elle croyait ne pas etre féconde. Imaginez apres qu'elle furt ménaposée... Ca se passait à la campagne dans les années 20. Et on se croit civilisés.

Cette rafale d'articles du Point sur la sexualité de par le monde - et à travers les âges - est des plus intéressantes. Car au delà de détails anatomiques qui passionneront le lecteur et la lectrice, on réalise surtout l'étendue prodigieuse de la diversité sexuelle du monde humain, si bien représentative de ce bas monde. Nos missionnaires ont mis le holà, mais ils ne furent pas les seuls à vouloir imposer leur vision du sexe. La pensée unique actuelle est encore plus obscure en occident, et en France. Nous ne sommes pas les seuls à nous reproduire ? Ouf !
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L’idée qu’on soit toujours actif, sexuellement parlant, passé 75 ans inspire souvent une réaction de dégoût.
SEXUALITÉ - J’ai croisé Patrick par hasard. Nous nous étions perdus de vue depuis des années.
Lorsqu’il s’est installé dans mon village avec sa femme, nous échangions quelques mots à l’occasion, mais nous n’étions pas proches. Après la mort brutale d’Irène, il est parti et je n’ai plus eu de nouvelles.
À le revoir, trois ans plus tard, je l’ai trouvé bel homme, en forme, et je le lui ai dit. Comme je faisais mes achats pour Noël, j’ai agité dans sa direction ma branche de gui et cavalièrement réclamé qu’il m’embrasse. Pris par la chimie sexuelle, nous avons échangé un baiser qui n’avait rien de chaste. Une semaine plus tard, nous avons fait l’amour passionnément devant sa cheminée.
Je savais qu’il était nettement plus âgé que moi (j’avais 49 ans à l’époque), mais j’ai été stupéfaite d’apprendre qu’il était dans sa 80 e année. Je lui donnais dix ans de moins et il a dû lire dans mes pensées: “Je comprendrais que cela te rebute”, m’a-t-il dit.
Mais j’ai toujours aimé les hommes plus âgés que moi. J’ai perdu ma virginité à 17 ans avec un homme qui en avait 37, alors j’ai l’habitude. Le rapport que Patrick et moi venions d’avoir était torride et intense (il m’a avoué plus tard qu’il s’était fait prescrire du Viagra pour cette soirée) et il me plaisait déjà beaucoup. En quoi l’âge était-il un problème?
Reconnaissons-le, la sexualité des seniors prête souvent à rire. On ne compte plus les plaisanteries et les dessins humoristiques sur les corps flasques, les pertes de mémoire et l’absence de désir. L’idée qu’on soit toujours actif, sexuellement parlant, passé 75 ans, inspire souvent une réaction de dégoût et mon entourage n’y a pas fait exception.
“Houlà, je ne veux rien savoir”, m’a lancé une amie en se bouchant les oreilles. D’autres, au contraire, voulaient beaucoup trop de détails. Il arrive vraiment à bander? (Oui, à l’aide d’un médicament. Rien de compliqué, il faut juste prévoir). Son corps fripé ne te refroidit pas? (Non. Il est en meilleure forme que bien des quinquagénaires). Et ma préférée: tu n’as pas peur qu’il meure en pleine action? (Comment peux-tu me poser une question pareille sur l’homme dont je suis en train de tomber amoureuse?)
Quand on a un amant âgé, les gens se permettent de plaisanter sur sa mort imminente, ce qui serait totalement inacceptable s’il avait trente ans de moins. Pour information, le cœur de Patrick n’a montré aucun signe de faiblesse avant, pendant ou après nos ébats. Nous sommes évidemment conscients que le temps lui est compté, mais aucun de nous ne souhaite s’y attarder davantage que s’il avait 53 ans. La vie est imprévisible; qui plus est, si quelqu’un doit mourir au lit, ce sera moi, tellement c’est bon.
Mais, pas de fausse pudeur; nous sommes évidemment confrontés à un certain nombre de problèmes. Le Viagra auquel Patrick a recours laisse peu de place au sexe spontané. L’éjaculation est un luxe rare à cet âge-là et je me sens coupable quand il n’y parvient pas (bien qu’il m’assure être heureux et, les fois où il y arrive, c’est fantastique pour nous deux). Il n’est pas aussi souple et endurant qu’un homme plus jeune, mais il faut reconnaître qu’à mon âge je ne le suis plus non plus. Ce n’est peut-être pas un marathon, mais il y a dans nos relations sexuelles des préliminaires à foison, une volonté d’expérimenter (marié puceau à 26 ans, Patrick parfait son éducation sexuelle sur le tard) et une tendresse que j’ai rarement connus auprès d’hommes plus jeunes.
Avec une population toujours plus vieillissante, il est temps de se faire à l’idée que les gens seront sexuellement actifs bien au-delà de leurs 70 ou 80 ans car nous sommes plus que jamais destinés à vieillir en bonne santé.
Alors, préparez-vous, les moins de 40 ans, parce que selon une étude de 2015 plus de la moitié des hommes et un tiers des femmes de plus de 70 ans seraient sexuellement actifs; un tiers, hommes et femmes confondus, disent avoir des relations sexuelles au moins deux fois par mois. À cet âge, les hommes comme les femmes travaillent encore, voyagent dans le monde entier, courent des marathons… Pourquoi devraient-ils être qualifiés de vieux pervers, voire pire, s’ils ont aussi une vie sexuelle? Pourquoi sommes-nous si déterminés à reléguer nos parents et grands-parents à la casse sexuelle?
Je sais bien que, même avec le Viagra, nous verrons, dans un futur pas très lointain, la fin de l’aspect sexuel de notre relation. Il est en pleine forme, mais je suis consciente que tout peut changer rapidement. Je franchirai cette étape à ses côtés le moment venu.
En attendant, j’ai l’intention de profiter à fond de notre vie sexuelle. Il est grand temps que nous acceptions la sexualité des seniors. Statistiquement, nous allons être plus nombreux que jamais à vivre après 80 ans. Il est donc grand temps que cette pensée cesse de nous faire grimacer. Croyez-moi, la sexualité n’a pas d’âge.
Ce blog, publié sur le HuffPost britannique , a été traduit par Catherine Biros pour Fast ForWord .
À voir également sur Le HuffPost: Pour prendre du plaisir à deux, commencez par là
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Depuis l’ouverture du tunnel de base du Ceneri, les voyages en train vers le Tessin sont encore plus rapides: les temps des trajets au départ de Genève et de Lausanne sont réduits de 20 minutes. Les voyages à l’intérieur du canton sont également devenus plus simples, car le nouveau réseau express régional tessinois réduit leur durée de moitié.
J’ai rencontré cette femme sur internet. On a rapidement convenu d’un rendez-vous dans un bar genevois de la rive gauche. Au premier verre, j’étais séduite et pas seulement par son esprit. Gaulée comme Kim Kardashian, tout ce que j’aime!
Au début, elle s’est présentée comme une opératrice de téléphone rose. J’étais déjà moyennement emballée par son choix de carrière. Pas le genre de trucs que t’as envie de raconter à tes parents quand tu leur présentes ta copine. Déjà que suis bisexuelle, autant ne pas en rajouter…
Au bout de quelques jours, elle m’a avoué qu’elle avait un autre job: maîtresse dominatrice SM.
Ah bon. Finalement le téléphone rose c’était très bien! C’est peut-être à ce moment-là que j’aurais dû prendre mes jambes à mon cou, mais j’avoue que la bougresse avait réussi à titiller ma curiosité. Rien de tel que ce genre de bizarreries pour réveiller ma fibre d’écrivaine en devenir.
Elle m’a raconté qu’elle avait des «soumis» qui lui payaient des Louboutins. Des hommes, souvent haut placés et très puissants, qui adoraient venir se faire chier sur la gueule dans son petit appartement genevois. Voilà qui expliquait pourquoi elle avait une collection de poppers dans son frigo, une tripotée de gods «à faire pâlir tous les Marquis de Sade» et une cage accrochée dans un coin de sa chambre.
Du coup, je n’arrêtais pas de lui poser des questions, en mode conseillère d’orientation, histoire de comprendre un peu mieux ses choix de carrière. Elle m’expliquait qu’elle voyait son rôle comme de la «sado-thérapie» . Elle préférait que ces tarés viennent se faire écraser les mains à coup de talons aiguilles chez elle, plutôt qu’ils aillent assouvir leurs pulsions autrement… Pas sûre que ce genre de pratiques soit remboursé par la LAMAL, mais soit. Elle en parlait librement et parvenait à conférer à son discours un sens qui a fini par chambouler ma vision de la «normalité».
Quand on couchait ensemble, c’était soft, bien sûr. Pas de fouet, ni d’insectes à bouffer sur son corps. Parce que moi, j’étais «vanille», comme elle disait. Elle trouvait très drôle de tâter mon ventre pour me dire s’il était plein et où j’en étais dans mon processus de digestion, vu qu’elle avait une certaine expérience des estomacs chargés avant de voir ses «patients».
Un soir, elle a tenu à me présenter ses amies, avant qu’on aille en boîte lesbienne SM . Je savais même pas que ça existait. On a fait l’apéro avec deux filles et une travestie qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à ma cousine, en plus grande. D’après ce que j’ai compris, ce petit groupe profitait de se retrouver pour laisser exprimer sa véritable nature. Au quotidien, chacune remet son uniforme bon chic, bon genre.
Arrivées dans la boîte, il y avait des films pornos lesbiens sadomasochistes sur des écrans télé un peu partout. Une
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