Un dos de mangeuse de bite

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Un dos de mangeuse de bite

Il était une histoire

La femme qui mangeait les hommes


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U ne fois seul, Kiviuq regarda autour de lui et comprit avec effroi que c'était elle qui avait tué tous ses compagnons. Leurs dépouilles et la peau de leurs visages étaient accrochées sur les parois de la tente et servaient de décorations. Quelques instants plus tard, la femme rentra avec un sac de baies sauvages. « Vas-y, mange » ordonna-t-elle à son invité. L'homme plongea la main dans le sac pour se servir mais il sentit quelque chose de dur dans le fond. Il l'extirpa du sac et découvrit avec dégoût qu'il s'agissait d'une main humaine bouillie. « Je ne peux pas manger ça, dit-il. — Mais si, allez, mange, c'est délicieux avec les petites baies. » L'homme replongea la main dans le sac mais prit soin de ne choisir que les fruits. Quand vint le soir, ils allèrent se coucher. L'homme feignit de s'endormir. Lorsqu'il faisait semblant de ronfler, la femme prenait son couteau, mais dès qu'il faisait mine de se réveiller, il entendait le cliquetis d'une lame métallique qui tombait au sol. Il résista longtemps au sommeil et la femme finit par s'endormir. Alors, sans un bruit, l'homme récupéra ses vêtements, mit ses kamiik, prit son kayak sous le bras et s'élança vers le rivage. Mais, comme il courait vers la mer, la femme, réveillée, surgit de sous la tente. Elle se lança à sa poursuite et le rattrapa rapidement. Elle avait atteint la poupe de son kayak quand il donna son premier coup de pagaie. La femme tomba la tête la première dans l'eau glacée. Le temps qu'elle se relève et retrouve ses esprits, l'homme était déjà bien loin. Il pagaya de toutes ses forces jusqu'au campement sans se retourner et raconta son histoire. « Je sais pourquoi nos chasseurs disparaissent quand ils partent vers l'est ; il y a là-bas une femme dévoreuse d'hommes. Elle se nourrit de leur chair et décore sa tente de leurs dépouilles ! » L'homme rêva toute la nuit de la femme cannibale et le lendemain, au lever du jour, il retourna la voir, décidé à venger ses amis disparus.
D ès qu'il fut à proximité de l'île, la femme l'appela comme elle l'avait fait la veille : « Hé l'homme, approche, viens par ici ! » Mais il lui répondit : « C'est toi qui as voulu me tuer hier. — Non, ce n'est pas moi. C'est l'enfant que je porte sur le dos. Mais ne t'inquiète pas, je vais l'en empêcher cette fois-ci ! Allez viens ! » Mais l'homme lui rétorqua : « Je n'ai pas confiance ; Et d'ailleurs, pourquoi l'enfant que tu portes dans ton amauti a-t-il des ongles horribles, longs et pointus et pourquoi te regarde-t-il si étrangement ? Il est effrayant ! » La femme, terrorisée, attrapa l'enfant et, sans même le regarder, le jeta au loin. Il tomba dans la mer et lorsqu'il toucha l'eau, ses sourcils se transformèrent en moules bleues, ses entrailles en algues et ses cheveux en plantes aquatiques. La vieille femme, furieuse contre le chasseur, ordonna à son couteau : « Couteau, transperce-le ! » Et aussitôt, le couteau de la femme fendit l'air en direction du chasseur. Mais se tenant sur ses gardes, celui-ci réussit à amortir le coup. Blessé au bras, il répliqua avec force : « Harpon, transperce-la ! » Son harpon vola vers la femme qui s'effondra sous la violence du choc. « Couteau, transperce-le vraiment cette fois ! », s'écria-t-elle à nouveau. Le couteau heurta l'homme de plein fouet et le blessa grièvement. Mais, rassemblant ses forces une dernière fois, il cria : « Que mon harpon te transperce à mort ! » Et la femme s'écroula. Avant de succomber à ses blessures, elle jeta une dernière fois son couteau vers l'homme en hurlant : « Qu'il meure ! » Mais le couteau ne put atteindre le chasseur car ce dernier était déjà loin. Blessé et exténué, il trouva malgré tout la force de rejoindre les siens. L'histoire s'achève ainsi. À partir de ce jour, les gens du campement purent partir vers l'est ; et en revenir.

Association Inuksuk , Contes Inuit , ill. Peggy Nille , rue des enfants

L e peuple inuit se répartit sur plusieurs territoires : la Sibérie orientale, l'Alaska, le Canada et le Groenland.
L a langue d'origine est l'inuktitut (dans cette langue, « inuit » est un mot au pluriel qui signifie « les hommes ») mais les Inuit parlent également la langue nationale du territoire sur lequel ils se trouvent.
L e mode de vie traditionnel des Inuit consiste à vivre de la chasse et de la pêche. Ils se déplacent en traîneaux à chiens sur terre et en kayak sur l'eau et vivent dans des igloos ou des tentes en peau de phoque.
I ls chassent essentiellement le phoque, l'ours et la baleine. Ces animaux fournissent à la fois la nourriture (viande), la peau pour fabriquer les tentes et les vêtements, la graisse pour chauffer et éclairer.
Dans ce conte, la femme dévore les hommes. Elle se sert de leur peau pour :
Dans quelles parties du globe les Inuit vivent-ils ?
Cochez la (ou les) bonne(s) réponse(s).
Comment les Inuit se déplacent-ils ?
De quoi sont recouvertes les tentes des Inuit ?
Quel est l'habitat traditionnel du peuple Inuit ?
U ne fois seul, Kiviuq regarda autour de lui et comprit avec effroi que c'était elle qui avait tué tous ses compagnons. Leurs dépouilles et la peau de leurs visages étaient accrochées sur les parois de la tente et servaient de décorations. Quelques instants plus tard, la femme rentra avec un sac de baies sauvages. « Vas-y, mange » ordonna-t-elle à son invité. L'homme plongea la main dans le sac pour se servir mais il sentit quelque chose de dur dans le fond. Il l'extirpa du sac et découvrit avec dégoût qu'il s'agissait d'une main humaine bouillie. « Je ne peux pas manger ça, dit-il. — Mais si, allez, mange, c'est délicieux avec les petites baies. » L'homme replongea la main dans le sac mais prit soin de ne choisir que les fruits. Quand vint le soir, ils allèrent se coucher. L'homme feignit de s'endormir. Lorsqu'il faisait semblant de ronfler, la femme prenait son couteau, mais dès qu'il faisait mine de se réveiller, il entendait le cliquetis d'une lame métallique qui tombait au sol. Il résista longtemps au sommeil et la femme finit par s'endormir. Alors, sans un bruit, l'homme récupéra ses vêtements, mit ses kamiik, prit son kayak sous le bras et s'élança vers le rivage. Mais, comme il courait vers la mer, la femme, réveillée, surgit de sous la tente. Elle se lança à sa poursuite et le rattrapa rapidement. Elle avait atteint la poupe de son kayak quand il donna son premier coup de pagaie. La femme tomba la tête la première dans l'eau glacée. Le temps qu'elle se relève et retrouve ses esprits, l'homme était déjà bien loin. Il pagaya de toutes ses forces jusqu'au campement sans se retourner et raconta son histoire. « Je sais pourquoi nos chasseurs disparaissent quand ils partent vers l'est ; il y a là-bas une femme dévoreuse d'hommes. Elle se nourrit de leur chair et décore sa tente de leurs dépouilles ! » L'homme rêva toute la nuit de la femme cannibale et le lendemain, au lever du jour, il retourna la voir, décidé à venger ses amis disparus.
D ès qu'il fut à proximité de l'île, la femme l'appela comme elle l'avait fait la veille : « Hé l'homme, approche, viens par ici ! » Mais il lui répondit : « C'est toi qui as voulu me tuer hier. — Non, ce n'est pas moi. C'est l'enfant que je porte sur le dos. Mais ne t'inquiète pas, je vais l'en empêcher cette fois-ci ! Allez viens ! » Mais l'homme lui rétorqua : « Je n'ai pas confiance ; Et d'ailleurs, pourquoi l'enfant que tu portes dans ton amauti a-t-il des ongles horribles, longs et pointus et pourquoi te regarde-t-il si étrangement ? Il est effrayant ! » La femme, terrorisée, attrapa l'enfant et, sans même le regarder, le jeta au loin. Il tomba dans la mer et lorsqu'il toucha l'eau, ses sourcils se transformèrent en moules bleues, ses entrailles en algues et ses cheveux en plantes aquatiques. La vieille femme, furieuse contre le chasseur, ordonna à son couteau : « Couteau, transperce-le ! » Et aussitôt, le couteau de la femme fendit l'air en direction du chasseur. Mais se tenant sur ses gardes, celui-ci réussit à amortir le coup. Blessé au bras, il répliqua avec force : « Harpon, transperce-la ! » Son harpon vola vers la femme qui s'effondra sous la violence du choc. « Couteau, transperce-le vraiment cette fois ! », s'écria-t-elle à nouveau. Le couteau heurta l'homme de plein fouet et le blessa grièvement. Mais, rassemblant ses forces une dernière fois, il cria : « Que mon harpon te transperce à mort ! » Et la femme s'écroula. Avant de succomber à ses blessures, elle jeta une dernière fois son couteau vers l'homme en hurlant : « Qu'il meure ! » Mais le couteau ne put atteindre le chasseur car ce dernier était déjà loin. Blessé et exténué, il trouva malgré tout la force de rejoindre les siens. L'histoire s'achève ainsi. À partir de ce jour, les gens du campement purent partir vers l'est ; et en revenir.

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D ès qu'il fut à proximité de l'île, la femme l'appela comme elle l'avait fait la veille : « Hé l'homme, approche, viens par ici ! » Mais il lui répondit : « C'est toi qui as voulu me tuer hier. — Non, ce n'est pas moi. C'est l'enfant que je porte sur le dos. Mais ne t'inquiète pas, je vais l'en empêcher cette fois-ci ! Allez viens ! » Mais l'homme lui rétorqua : « Je n'ai pas confiance ; Et d'ailleurs, pourquoi l'enfant que tu portes dans ton amauti a-t-il des ongles horribles, longs et pointus et pourquoi te regarde-t-il si étrangement ? Il est effrayant ! » La femme, terrorisée, attrapa l'enfant et, sans même le regarder, le jeta au loin. Il tomba dans la mer et lorsqu'il toucha l'eau, ses sourcils se transformèrent en moules bleues, ses entrailles en algues et ses cheveux en plantes aquatiques. La vieille femme, furieuse contre le chasseur, ordonna à son couteau : « Couteau, transperce-le ! » Et aussitôt, le couteau de la femme fendit l'air en direction du chasseur. Mais se tenant sur ses gardes, celui-ci réussit à amortir le coup. Blessé au bras, il répliqua avec force : « Harpon, transperce-la ! » Son harpon vola vers la femme qui s'effondra sous la violence du choc. « Couteau, transperce-le vraiment cette fois ! », s'écria-t-elle à nouveau. Le couteau heurta l'homme de plein fouet et le blessa grièvement. Mais, rassemblant ses forces une dernière fois, il cria : « Que mon harpon te transperce à mort ! » Et la femme s'écroula. Avant de succomber à ses blessures, elle jeta une dernière fois son couteau vers l'homme en hurlant : « Qu'il meure ! » Mais le couteau ne put atteindre le chasseur car ce dernier était déjà loin. Blessé et exténué, il trouva malgré tout la force de rejoindre les siens. L'histoire s'achève ainsi. À partir de ce jour, les gens du campement purent partir vers l'est ; et en revenir.

Association Inuksuk , Contes Inuit , ill. Peggy Nille , rue des enfants

L e peuple inuit se répartit sur plusieurs territoires : la Sibérie orientale, l'Alaska, le Canada et le Groenland.
L a langue d'origine est l'inuktitut (dans cette langue, « inuit » est un mot au pluriel qui signifie « les hommes ») mais les Inuit parlent également la langue nationale du territoire sur lequel ils se trouvent.
L e mode de vie traditionnel des Inuit consiste à vivre de la chasse et de la pêche. Ils se déplacent en traîneaux à chiens sur terre et en kayak sur l'eau et vivent dans des igloos ou des tentes en peau de phoque.
I ls chassent essentiellement le phoque, l'ours et la baleine. Ces animaux fournissent à la fois la nourriture (viande), la peau pour fabriquer les tentes et les vêtements, la graisse pour chauffer et éclairer.
Dans ce conte, la femme dévore les hommes. Elle se sert de leur peau pour :
Dans quelles parties du globe les Inuit vivent-ils ?
Cochez la (ou les) bonne(s) réponse(s).
Comment les Inuit se déplacent-ils ?
De quoi sont recouvertes les tentes des Inuit ?
Quel est l'habitat traditionnel du peuple Inuit ?
U ne fois seul, Kiviuq regarda autour de lui et comprit avec effroi que c'était elle qui avait tué tous ses compagnons. Leurs dépouilles et la peau de leurs visages étaient accrochées sur les parois de la tente et servaient de décorations. Quelques instants plus tard, la femme rentra avec un sac de baies sauvages. « Vas-y, mange » ordonna-t-elle à son invité. L'homme plongea la main dans le sac pour se servir mais il sentit quelque chose de dur dans le fond. Il l'extirpa du sac et découvrit avec dégoût qu'il s'agissait d'une main humaine bouillie. « Je ne peux pas manger ça, dit-il. — Mais si, allez, mange, c'est délicieux avec les petites baies. » L'homme replongea la main dans le sac mais prit soin de ne choisir que les fruits. Quand vint le soir, ils allèrent se coucher. L'homme feignit de s'endormir. Lorsqu'il faisait semblant de ronfler, la femme prenait son couteau, mais dès qu'il faisait mine de se réveiller, il entendait le cliquetis d'une lame métallique qui tombait au sol. Il résista longtemps au sommeil et la femme finit par s'endormir. Alors, sans un bruit, l'homme récupéra ses vêtements, mit ses kamiik, prit son kayak sous le bras et s'élança vers le rivage. Mais, comme il courait vers la mer, la femme, réveillée, surgit de sous la tente. Elle se lança à sa poursuite et le rattrapa rapidement. Elle avait atteint la poupe de son kayak quand il donna son premier coup de pagaie. La femme tomba la tête la première dans l'eau glacée. Le temps qu'elle se relève et retrouve ses esprits, l'homme était déjà bien loin. Il pagaya de toutes ses forces jusqu'au campement sans se retourner et raconta son histoire. « Je sais pourquoi nos chasseurs disparaissent quand ils partent vers l'est ; il y a là-bas une femme dévoreuse d'hommes. Elle se nourrit de leur chair et décore sa tente de leurs dépouilles ! » L'homme rêva toute la nuit de la femme cannibale et le lendemain, au lever du jour, il retourna la voir, décidé à venger ses amis disparus.
D ès qu'il fut à proximité de l'île, la femme l'appela comme elle l'avait fait la veille : « Hé l'homme, approche, viens par ici ! » Mais il lui répondit : « C'est toi qui as voulu me tuer hier. — Non, ce n'est pas moi. C'est l'enfant que je porte sur le dos. Mais ne t'inquiète pas, je vais l'en empêcher cette fois-ci ! Allez viens ! » Mais l'homme lui rétorqua : « Je n'ai pas confiance ; Et d'ailleurs, pourquoi l'enfant que tu portes dans ton amauti a-t-il des ongles horribles, longs et pointus et pourquoi te regarde-t-il si étrangement ? Il est effrayant ! » La femme, terrorisée, attrapa l'enfant et, sans même le regarder, le jeta au loin. Il tomba dans la mer et lorsqu'il toucha l'eau, ses sourcils se transformèrent en moules bleues, ses entrailles en algues et ses cheveux en plantes aquatiques. La vieille femme, furieuse contre le chasseur, ordonna à son couteau : « Couteau, transperce-le ! » Et aussitôt, le couteau de la femme fendit l'air en direction du chasseur. Mais se tenant sur ses gardes, celui-ci réussit à amortir le coup. Blessé au bras, il répliqua avec force : « Harpon, transperce-la ! » Son harpon vola vers la femme qui s'effondra sous la violence du choc. « Couteau, transperce-le vraiment cette fois ! », s'écria-t-elle à nouveau. Le couteau heurta l'homme de plein fouet et le blessa grièvement. Mais, rassemblant ses forces une dernière fois, il cria : « Que mon harpon te transperce à mort ! » Et la femme s'écroula. Avant de succomber à ses blessures, elle jeta une dernière fois son couteau vers l'homme en hurlant : « Qu'il meure ! » Mais le couteau ne put atteindre le chasseur car ce dernier était déjà loin. Blessé et exténué, il trouva malgré tout la force de rejoindre les siens. L'histoire s'achève ainsi. À partir de ce jour, les gens du campement purent partir vers l'est ; et en revenir.

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