Un cunnilingus de l'époque

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Publié le
15/06/2019 à 07:00







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De plus en plus pratiqué, le cunninlingus reste un sujet tabou dans le couple.
Des séquences de pole dance interminables, des plans qui s'attardent sans fin sur des corps dénudés et une scène de cunnilingus de 13 minutes dont il se murmure qu'elle n'aurait rien d'une fiction : lors du dernier Festival de Cannes , de nombreux spectateurs ont quitté la salle de projection de Mektoub, my love, intermezzo d'Abdellatif Kechiche, jugeant le film plus proche du porno que du cinéma d'auteur. 

Si la représentation sur grand écran du sexe oral au féminin gêne, l'acte, lui, est entré dans les moeurs et l'intimité de la majorité des Français. Selon les chiffres de la dernière grande enquête sur la sexualité , publiée en 2006, 85% des hommes et des femmes auraient déjà pratiqué "au moins une fois dans leur vie" le cunnilingus. 

Rechigner à s'y essayer, c'est souvent prendre le risque d'être taxé de prude, coincé dans une vision anachronique de la sexualité. "Aucune de mes partenaires n'a jamais refusé de me faire une fellation. Dès le début de ma vie sexuelle, j'ai compris que c'était donnant-donnant", résume Florent, 30 ans. La bonne volonté n'empêche pas l'appréhension des premières fois. "J'avais 18 ans et j'étais plein d'ambivalences. J'oscillais entre excitation, peur de mal faire, et il faut l'avouer, un peu de répulsion." 

Hors de question pour Florent de se confier à ses amis de l'époque. "J'aurais eu l'impression d'une atteinte à ma virilité." Encore moins de poser des questions à sa copine. "Parler de mon inexpérience aurait été un aveu d'échec." Le manque de connaissance de l'anatomie féminine - et notamment du clitoris - et la prépondérance du porno comme unique initiateur à la sexualité hétéro entérinent l'omerta. 

L'embarras est loin de n'être que masculin. "Jusqu'à mes 23 ans, je n'aurais jamais laissé mon copain me faire de cunnilingus, déplore aujourd'hui Fleur, 30 ans. Je visualisais ma vulve comme un amas de chairs un peu dégoûtantes et j'avais peur de sentir mauvais. Je me disais que je ne pouvais pas lui 'imposer' ça." Le pénis de son partenaire, lui, n'est pas touché par cette violente dépréciation. "Je lui faisais des fellations sans me poser de question sur mon plaisir ." 

Cette vision négative du sexe féminin évolue. Sur les réseaux sociaux , elles sont de plus en plus nombreuses à aborder la question sans détour. Pour Fleur, la découverte de comptes féministes a été le point de départ d'une prise de conscience. "Il n'y a rien de dégoûtant ou de honteux à se faire lécher. Le cunnilingus n'est pas un préliminaire à faire à la va-vite, pour se donner bonne conscience. C'est une pratique hédoniste, profondément féministe. Il replace le corps de la femme au centre de la sexualité." 

Reste que certains clichés ont la vie dure. Pour beaucoup, sexualité lesbienne et expertise dans le domaine vont de pair. "Ça n'est pourtant pas dans les gènes, s'amuse Faustine, 37 ans. Lors de ma première fois avec une fille, à 16 ans, je n'en menais pas large. Chaque corps est unique. Les goûts et les couleurs aussi." 

Pour ne pas décevoir, Florent a longtemps joué la carte du premier de la classe. "J'étais appliqué, c'est le moins que l'on puisse dire, mais ça ne devait pas produire l'effet escompté car ma copine de l'époque coupait systématiquement court au bout de cinq minutes. Elle a fini par m'avouer qu'elle avait l'impression d'être chez le gynéco avec ma tête entre ses jambes." 

François, 32 ans, a connu les mêmes réactions physiques chez certaines de ses partenaires. "On le sent tout de suite quand on fait mal, analyse-t-il. Une jambe qui se crispe, une cuisse qui se referme ou une tête qui se relève, ce n'est pas très bon signe. Longtemps, j'ai préféré me dire que certaines filles n'aimaient pas ça. En en parlant avec ma bande d'amies, j'ai fini par comprendre que je m'y prenais sans doute mal et que mes partenaires ne savaient pas comment me le dire." 

Par curiosité - "et aussi un peu par orgueil" - François s'est penché sur la question. "J'ai regardé des planches d'anatomie féminine sur Internet pour visualiser où étaient le clitoris, les grandes et les petites lèvres. J'ai même visionné des tutoriels sur YouTube pour apprendre à bien faire un cunnilingus." 

"Savoir donner du plaisir n'a rien de dégradant, bien au contraire, affirme François. Tout faire pour être un bon coup me permet de m'affirmer dans ma sexualité." Le cunnilingus, arme de virilité massive ? C'est aussi ce que revendique l'acteur américain Dwayne Johnson, alias The Rock, connu pour ses rôles testostéronés dans des films à gros budgets. Il a pris parti l'année dernière pour les rapports buccaux en réponse à une interview du rappeur américain Dj Khaled qui affirmait ne pas s'y adonner, contrairement à sa femme, car "il y a des règles différentes pour les hommes". "En tant qu'homme, je suis très fier de maîtriser TOUTES les pratiques sexuelles", a-t-il écrit sur son compte Twitter. 

Florent essaye d'être attentif aux messages corporels de sa partenaire. "Plutôt que de me vexer et de passer à autre chose, je préfère demander comment faire pour m'améliorer, quitte à casser un peu l'ambiance." Faustine recommande avant tout de faire preuve d'imagination. "Pour faire un bon cunnilingus, il n'est pas obligatoire d'y passer des heures. Parfois, un coup de langue bien placé suffit à faire monter le désir. Et puis, il n'y a pas que le clitoris qui compte. Toute la zone génitale est innervée et peut donner du plaisir. On peut donc se concentrer sur les lèvres ou sur l'entrée du vagin pour de nouvelles sensations." 

"On se met beaucoup trop de pression avec l'orgasme , ajoute François. On veut souvent à tout prix faire jouir sa partenaire de cette façon. Si on n'y parvient pas, ce n'est pas grave. C'est en lâchant prise que l'on donne du plaisir et que l'on en prend." 


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Le cunnilingus, c’est d’abord l’histoire d’un mot qui aurait dû s’écrire autrement. Étymologiquement, le terme vient du latin cunnus, qui désigne la vulve, et du verbe lingere, qui signifie lécher, sucer. Le mot lingus est apparemment mal formé et aurait dû être remplacé, selon certains puristes, par linctus. Quand vous faites un cunnilingus ou en recevez un, vous êtes donc coupable d’une erreur de langue, qui ne nuit en rien, rassurez-vous, au résultat final. Attention aussi à ne pas écrire « cunilingus », avec un seul « n », car le cuni en question fait plutôt référence au lapin, animal fort sympathique au demeurant, mais dont le léchage reste une activité marginale.
On ne peut pas en dire autant du broutage de minou, qui connaît depuis trente ans une spectaculaire progression, comme le montre la grande enquête CSF réalisée en France en 2006. Au moins 85 % des répondants, hommes et femmes confondus, ont ainsi avoué avoir déjà expérimenté la chose au moins une fois. Cela place tout de même le gamahuchage en pôle position par rapport à la fellation ! Plus étonnant, les femmes les plus léchées et les hommes les plus lécheurs se retrouvent dans la catégorie des 25-49 ans. À ces âges, ils sont 70 % à pratiquer parfois, voire souvent, cette activité récréative. Une autre étude française menée en 2008 par l’Inserm révèle un autre fait tout aussi étonnant : plus une femme est diplômée, plus elle a de chances de se faire brouter le gazon ! Entre 25 et 49 ans, les femmes bénéficiant d’un BAC sont ainsi 76 % à profiter de ce genre d’aubaine bucco-clito-vulvaire, contre 53 % seulement pour celles qui ne disposent même pas de l’équivalent d’un CAP, BEP ou brevet.
Ce quasi plébiscite pour la tyrolienne à crinière est cependant récent. Rarement représentée chez les Égyptiens, hormis dans les scènes homosexuelles, la dégustation du clito et de ses environs immédiats est par exemple mal vue à Rome, où on va jusqu’à la considérer comme plus obscène que la sodomie. Elle est en tout cas indigne de tout homme libre qui se respecte, juste bonne à être pratiquée par les femmes, les esclaves et les obsédés sexuels. Cela ne s’arrange évidemment pas au Moyen Âge, ni à l’époque moderne, où le cunnilingus est parfois même puni par la loi, comme en Angleterre entre le XVIIe et le XVIIIe siècle. Honni soit qui mâle y broute ! Pire, en 1952, cette savoureuse caresse buccogénitale était encore considérée comme une perversion sexuelle dans la première édition du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, mieux connu sous le nom de DSM, au même titre que la fellation et la masturbation !
Il n’y a guère que la Chine, et dans une moindre mesure l’Inde, à avoir prôné le grumage de vulve. Les manuels chinois du Taoïsme, qui décrivent la pratique avec force détails, vont jusqu’à affirmer qu’elle procure énergie et vitalité. Cette conception a peut-être inspiré voici quelques années un pseudo thérapeute installé sur la Côte d’Azur, jugé depuis pour exercice illégal de la médecine et agression sexuelle. L’homme, qui affirmait pratiquer la médecine traditionnelle chinoise, était parvenu à convaincre ses clientes qu’elles souffraient d’un blocage du « chakra du sexe ». Le traitement qu’il proposait ensuite associait acupression du vagin et de l’anus, cunnilingus et boules de geisha. L’une d’elles a heureusement fini par déposer plainte. Le plus étonnant est que d’autres patientes n’aient rien trouvé à redire à cette thérapie. Certaines y envoyaient même leurs amies !
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Anonyme64731 
Le 29/06 à 09:44
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8 hommes sur 10 ont déjà expérimenté ce baiser audacieux. Mais combien ont apporté satisfaction à leur belle ? Gérard Leleu, le médecin sexologue spécialiste des caresses buccales n’a pas de chiffres. En revanche, il sait exactement comment réussir un cunni...

Depuis quand pratique t-on le cunnilingus ? Certainement depuis la nuit des temps ! Mais contrairement à la fellation , il n’existe pas de représentation de cette pratique. Certainement parce que la scène est graphiquement compliquée à dessiner ou à sculpter. En revanche, des tableaux ou des œuvres littéraires témoignent de l’adoration des hommes envers le sexe féminin à toutes les époques. Officiellement, ce baiser est resté longtemps tabou. Chez les Romains qui considèrent la femme comme un être inférieur, c’était devenir esclave de son plaisir. Pire cela impliquait de salir l’organe sacrée par excellence : la bouche, siège de la parole. Plus tard, l’Occident chrétien a désigné cette pratique comme un péché. Derrière ses positions, une même motivation inconsciente : garder le pouvoir sur les femmes, ces créatures qui donnent la vie et enivrent les hommes jusqu’à perturber leur destin ou les affaiblir en tant de guerre ! Officieusement, les hommes cèdent à leurs pulsions et s’adonnent à cette pratique dans la culpabilité. Il faut attendre les années 70 pour que le tabou explose. Le cuni devient un acte d’amour partagé.

Tous les hommes savent-ils le pratiquer ? Je pense que c’est un acte naturel que chaque homme peut expérimenter sans avoir à apprendre. Un baiser qui vient spontanément à l’esprit d’un homme en adoration devant sa partenaire et curieux du corps de la femme. La langue s’avère plus experte que les doigts. Et la bouche un organe fait pour rencontrer la vulve tant ils partagent de similitudes : chaleur, fragilité, douceur, extrême sensibilité… Mais il est vrai que l’absence de représentation dans le cinéma érotique et pornographique (très rarement à la gloire de la femme et destinés à son bon plaisir…) rendent le cuni assez mystérieux. Il requiert aussi de connaître un minimum l’anatomie féminine. Sans compter la tendresse et la délicatesse nécessaires qui n’appartiennent pas à tout le monde… Et pourtant, le cuni reste la "reine des caresses", pour certaines femmes, la seule qui permet d’atteindre l’orgasme !
Regardez la vidéo Comment atteindre l'orgasme ?
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Comment expliquer les réticences de certaines femmes et de certains hommes ? Côté féminin, il existe plusieurs causes . La mauvaise expérience (gestes brusques, rupture de rythme, manque de subtilité) peut refroidir certaines partenaires. La pudeur, voire la honte de son propre sexe limite aussi les possibilités. La vulve serait un lieu malodorant à cause des urines, impur à cause des règles, hirsute à cause des poils, laid de surcroît (combien d’artistes en ont gommé l’apparence sur leurs œuvres ?!) ! Et c’est justement tout ce discours avilissant (tenu depuis des siècles de machisme) qui peut aussi provoquer un blocage chez certains hommes.

Quels sont vos 5 conseils pour maîtriser l’art du cunnilingus ? 1/ S’approcher du sexe féminin avec un respect quasi-religieux. La femme ne s’ouvrira que si elle se sent adorée, admirée comme un objet précieux. « Tu es belle, tu sens bon » sont des mots à susurrer sans retenue.
2/ User d’une infime délicatesse car la zone hypersensible ne saurait supporter une langue trop vigoureuse ou une barbe piquante... Soyez gourmands, pas voraces !
3/ Prendre son temps. Le cunni doit au moins durer un quart d’heure et le rythme ne doit pas être rompu. Pour éviter d’avoir mal au cou, les hommes ont intérêt à adopter une position confortable dès le départ. Tête bêche, allongé sur le ventre et parallèle à leur partenaire allongée sur le dos, semble le plus simple. A noter : il ne s’agit pas du fameux 69 qui lui, empêche chaque partenaire de se concentrer sur le plaisir de l’autre …
4/ Étendre le baiser à toute la vulve. Les hommes ne doivent pas se limiter au clitoris mais explorer toute la géographie des lieux… Les points culminants, l’entrée du vagin mais aussi le mont de Vénus et l’intérieur des cuisses. Tout est bon à lécher, sucer, embrasser , titiller de la pointe de la langue…
5/ Choisir le bon moment. Le cunni se propose après diverses caresses de la racine des cheveux aux doigts de pieds en passant par les seins. Pour profiter du baiser et atteindre la jouissance , la zone doit être humide et gonflée, prête à s’offrir.
En savoir plus : L'art de la fellation , l'art du cunnilingus , Gérard Leleu, éd. Leduc.s
J'adore ce que vous écrivez : "S’approcher du sexe féminin avec un respect quasi-religieux. La femme ne s’ouvrira que si elle se sent adorée...". J'ai longtemps été célibataire alors je réalise aujourd'hui la chance que j'ai d'avoir une femme dans ma vie, dans mon lit. J'aime lui faire du bien, c'est une sensation merveilleuse, et en plus disons la vérité : une femme chouchoutée et à qui on procure du plaisir vous le rend au centuple.
merci pour cet article, il est important de bien s'y prendre pour qu'il soit réussit
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