Un cul de teen ça fait oublier tous les problèmes

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« Je jouis à tous les coups sans capote, rarement avec. Alors je décide de jouir »


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Publié le 3 janvier 2015 à 11h13 Mis à jour
le 3 janvier 2015 à 11h13

Eric Zemmour (Photo Jacky Naegelen) et le casting d'"Hélène et les garçons" (Photo AB Productions)
Réduction de l’usage du préservatif et dépistage en berne, les pratiques sexuelles à risques continuent d’augmenter chez les jeunes. Bilan d’une tendance à la non-vigilance.
« La capote c’est relou, quoi qu’il arrive ». Paul, Mehdi, Arthur et Olivier, étudiants en classe préparatoire et en licence de Staps, âgés de 19 à 21 ans, se disent « prévoyants en la matière ». « C’est à dire qu’on a des préservatifs mais qu’on ne les utilise pas forcément ». Sur les quatre étudiants, trois s’accordent à reconnaître que « tout dépend de la personne que tu as en face de toi. Si c’est une amie ou une connaissance, on a tendance à s’en passer ». Même discours chez Juliette, 24 ans: « Si je connais un peu le garçon, je ne mets pas de préservatif, jamais. Je me dis qu’on est protégés par notre quotidien, notre catégorie sociale, que nous ne sommes pas des personnes à risque. Mais je sais que c’est complètement débile, c’est nul ». Tous clament leur volonté de jouir sans entrave ni filet de protection. « Je jouis à tous les coups sans capote, rarement avec. Alors je décide de jouir », avoue Juliette. Même argument pour Bob, 25 ans :
« Ma bite ne supporte plus le préservatif. C’est comme si on avait des millions de terminaisons nerveuses qui aboutissaient… sur un morceau de plastique. C’est ingérable. Et pour tous mes amis c’est pareil. Certains n’en mettent jamais. On s’accommode difficilement de cette barrière entre les corps ».
C’est devenu beaucoup plus abstrait, irréel
Selon la dernière étude Harris Interactive pour la mutuelle étudiante Smerep, en 2014 un étudiant sur trois fait l’amour en n’utilisant jamais de préservatif, un tiers d’entre eux n’effectuent pas de test de dépistage, et ils ne sont plus que 33% à se protéger systématiquement (contre 41% en 2013). Ces « chiffres alarmants » et qui « augmentent en permanence » confirment et aggravent « une tendance observée depuis plusieurs années » souligne Pierre Faivre, chargé de la prévention à la Smerep. En cause, selon lui, la banalisation des infections sexuellement transmissibles et l’évolution des regards portés sur le VIH :
 » Il y a quelques années, la lutte contre le sida était une cause commune. C’est devenu beaucoup plus abstrait, irréel. La nouvelle génération a intégré la dimension technique et informative de la prévention autour du préservatif, mais elle ne construit pas forcément une sexualité normée et réfléchie. Si seulement les chiffres du dépistage augmentaient, il y aurait moins de problème ».
Alain Legrand, directeur général de l’association AIDES, martèle que « le premier instrument de prévention reste et restera le préservatif. C’est le meilleur outil, le plus utile ». Mais il reconnaît qu’aujourd’hui « les campagnes de prévention sont moins axées sur le préservatif que sur le dépistage ». Une évolution qu’il explique par la nécessité de déceler et de traiter au plus tôt les nouvelles contaminations :
« En terme de santé publique, pour arrêter l’épidémie, il faut se concentrer sur les personnes qui sont porteuses du virus sans le savoir. Si les jeunes prenaient cette habitude, ils pourraient vivre dans un pays où il y aurait très peu de risques de transmission. Ce ne sont pas les personnes séropositives et qui prennent des traitements qui le transmettent, ce sont les personnes au statut incertain ».
Le sida, ça nous dépasse complètement
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), 150 000 personnes séropositives sont aujourd’hui décomptées sur le territoire français, dont 30 000 à 50 000 qui ignorent encore leur statut sérologique ou ne bénéficient d’aucun suivi médical. Par ailleurs, environ 6 300 nouvelles contaminations sont enregistrées chaque année. Un nombre qui ne diminue pas depuis 2007 et qui s’agrège aux 35 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde.
Pour Paul et ses amis, la petite vingtaine, « le sida, ça nous dépasse complètement. Dans notre imaginaire, ça reste la maladie du Botswana. On n’a aucune idée du nombre de personnes séropositives en France par exemple. Et concrètement, même quand on utilise une capote et qu’elle craque, on pense davantage aux problèmes de contraception qu’au dépistage ». Même discours chez Bob : « On n’a pas été touché directement par cette maladie. On n’en connaît pas exactement les méfaits. On sait aussi qu’on ne peut toujours pas la guérir, mais qu’on peut la traiter. Alors, on s’autorise à se relâcher ». Citant pêle-mêle le développement des traitements préventifs par antirétroviraux et les progrès de la recherche relatifs aux vaccins thérapeutiques, ils en arrivent à assimiler le sida à une maladie chronique. Sur le terrain, Pierre Faivre constate que « les jeunes ne se rendent pas compte de la difficulté de vivre avec le sida ».
Une insouciance déjà signalée par Yaëlle Amsellem-Mainguy, chargée de recherche à L’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep) et auteur, en 2013, d’une étude intitulée Le VIH/sida chez les jeunes: idées fausses toujours tenaces et érosion relative des connaissances :
 « Les jeunes ayant commencé leur vie sexuelle après 1996 l’ont fait dans un contexte épidémiologique et social du sida différent de celui des générations antérieures. En effet, ceux qui se sont eux-mêmes appelés la « génération sida » ont débuté leur vie sexuelle dans les années noires de la maladie (entre 1981 et 1995), et ont bénéficié plus longtemps que les jeunes d’aujourd’hui de campagnes de prévention et d’une visibilité de l’épidémie plus importante ».
Outre-Atlantique, consciente de la désaffection croissante pour le préservatif, la fondation Bill et Melinda Gates a décidé de financer le projet d’une équipe de chercheurs fermement décidés à développer le préservatif du futur. Sans latex et composé d’un puissant hydrogel, il est censé offrir la « seconde peau » idéale. En France, AIDES réagit en lançant une nouvelle campagne « Pas de préservatif, pas de sexe », rappelant notamment et sans détour que 10% des nouvelles contaminations concernent les 15-24 ans, ce qui représente 2 jeunes touchés par jour.
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De Ayasta - Posté le 14 avril 2014 à 16h36 dans Culture


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15 méthodes de torture qu'on ne souhaite à personne

Depuis l'apparition des conflits, les hommes ont rivalisé d'ingéniosité pour obtenir des informations de la part de soldats capturés - ou simplement pour le désir de vengeance, ou encore le plaisir de l'humiliation. Et lorsque l'on pense à la créativité qui a été déployée dans le seul but de faire souffrir, ça fait froid dans le dos. Voici 15 méthodes de tortures qu'on ne souhaite à absolument personne (même à nos pires ennemis).
Principalement utilisée au Moyen-Âge, cette méthode consiste à enfermer une personne dans une cage en fer ayant la forme d'un corps humain. La cage est ensuite levée dans les airs, où le supplicié est laissé jusqu'à sa mort. Si les corbeaux n'arrivent pas avant.
Cette pièce de métal, pointue au deux extrémités, était attachée au cou des prisonniers (comme ci-dessus). Ceux-ci étaient ensuite suspendus dans une position rendant le sommeil très difficile. Et si jamais ceux-ci s'endormaient, la fourchette perçait leur gorge et leur sternum.
Fait en métal ou en bois, ce collier est à la fois douloureux et humiliant. Les piques bloquent absolument tout mouvements, empêchant le supplicié de s'allonger, de manger ou simplement de bouger la tête dans n'importe quelle direction.
Très connue grâce à son utilisation sur un personnage biblique (pas besoin de vous faire un dessin), cette méthode de torture consiste à attacher ou clouer une personne sur une grande croix en bois, où elle était ensuite laissée suspendue jusqu'à sa mort.
Cet instrument de torture à la forme d'un sarcophage est fait de fer ou de bois. De longues pointes métalliques garnissent l'intérieur des portes, et transpercent lentement l'occupant lorsque le couvercle se referme, plus ou moins rapidement. Cependant, il n'existe aucune trace historique de son utilisation.
Cette torture consiste à forcer une personne à s'asseoir sur une barre large et pointue. Celle-ci est ensuite mise à la verticale, et la victime descend petit à petit le long de la barre à cause de son poids. Il fallait parfois attendre 3 jours avant que la personne ne meure.
Le supplicié est placé dans une "baignoire" en bois, seul la tête étant en contact avec l'extérieur. Le visage est ensuite recouvert de lait et de miel, ce qui attire de nombreux insectes. La victime est également nourrie et se retrouve vite dans ses propres excréments. Les vers et asticots finissent par dévorer le corps de la personne, qui est encore en vie.
Utilisé en Grèce, il s'agit d'une énorme pièce de métal ayant la forme d'un taureau, avec une porte sur le côté. La victime était placée à l'intérieur, puis un feu allumé en dessous. Le métal chauffait énormément. La victime finissait par rôtir vivante. Grâce à une ouverture, les cris de la victime était amplifiés.
Fait de longues griffes métalliques, cet objet était chauffé à blanc avant d'être fixé sur le sein d'une femme. Si la poitrine n'était pas violemment arrachée par le bourreau, les victimes étaient suspendues au plafond. Sous leur poids, la peau s'étirait, augmentant le saignement jusqu'à ce que mort s'en suive.
La victime, attachée à une table et consciente, reçoit une incision au niveau de l'abdomen. Le bourreau attrape alors un bout d'intestin et l'accroche à un crochet, qui est relié à une manivelle. L'intestin grêle est alors lentement retiré du corps. Le système pouvait sortir de 3 à 6 mètres de viscères.
Faisant exactement ce que son nom indique, cet instrument utilise une vis pour comprimer le crâne de la victime. Les dents étaient les premières à y passer, suivies par les yeux et pour finir par le cerveau.
La victime est positionnée sur le sommet de la pyramide, de façon à ce que tout son poids repose sur celui-ci. Des cordes étaient ensuite utilisées pour forcer une descente lente de la victime. Cette torture finissait généralement par empalement ou par une infection de l'orifice arrière. 
Ces ciseaux surdimensionnés ne sont pas coupant, mais permettent d'attraper une langue et de bien la bloquer entre les pinces. Une fois la prise assurée, le bourreau n'avait plus qu'a tirer un coup sec.
Cette torture atroce consiste à piéger un rat dans un seau, puis poser ce seau sur le ventre de la victime en position retournée. Le bourreau commence alors à chauffer l'extérieur du seau. Par instinct de survie, le rat va chercher à s'enfuir loin de cette source de chaleur intense. La seule sortie étant sous lui, il va donc creuser son chemin dans le corps de la victime à grands coups de crocs et de griffes.
Utilisé par l'Inquisition espagnole, cet outil est absolument terrifiant. La victime devait s'asseoir sur le dessus d'une structure en forme de V. Le bourreau attachait alors des poids aux pieds de la victime jusqu'à ce que celle-ci soit découpée en deux.
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Par Realys , il y a 7 ans (en réponse à MechaOtaku ):

Le genre d'article sympa à lire au pieux, après tu fais des beaux rêves : Merci Hitek ! *cours aux toilettes*
Fausse propagande, c'est écrit 25 pis il y en a juste 15, je veux un remboursement sur la marchandise

Par Ayasta (Rédacteur) , il y a 8 ans (en réponse à Hidaway ):


Par Dam , il y a 8 ans (en réponse à Hidaway ):

Oui c'est la vidéo qui en a 25, donc rembourses ce qu'ils t'ont remboursé :p

Par KeyBladeMaster05 , il y a 8 ans :

Whaou, il y en avait des psychopathes et de l'imagination avant O-O


Par fa , il y a 8 ans (en réponse à KeyBladeMaster05 ):

Oh si ça peut te rassurer, ils n'ont pas changé, les psychopathes. :)
Il y a peut-être de nouveaux instruments qui sont actuellement à l’œuvre ou les anciens toujours de mise.
C'est plutôt malheureux d'ailleurs, soit dit en passant, mais j'en suis persuadée !

Par serge verger , il y a 6 ans (en réponse à fa ):

les hommes d,eglise qui font cela et apres il faut croire en un dieu mon cul

Par L.N Bescherelle , il y a 8 ans (en réponse à KeyBladeMaster05 ):

Aujourd'hui la torture subsiste sous de nouvelles formes : Justin Bieber, One Direction...

Par bibikefta , il y a 8 ans (en réponse à L.N Bescherelle ):


Par Phoenix , il y a 8 ans (en réponse à L.N Bescherelle ):


Par Plopina , il y a 8 ans (en réponse à KeyBladeMaster05 ):

Renseigne-toi sur les armes modernes. Genre les bombes qui émettent un gaz inflammable qui est respiré par l'ennemi avant d'être enflammé (histoire de cramer les poumons). Tu verras que niveau psychopathe et imagination, de nos jours, on a encore un bon level.

Par Mykyta , il y a 7 ans (en réponse à KeyBladeMaster05 ):

Salut et non c est plutôt contre les psychopathes
Humain, élu meilleur bourreau de l'univers!
J'ai été voir un musée des tortures en Espagne dans un petit village médiéval, Santillana del Mar, c'est super intéressant !
L'imagination de l'homme n'a pas de limite quand il s’agit de faire du mal à autrui.

Par Brigitte Bardot , il y a 8 ans (en réponse à eliox ):

C'est ce que je me suis dit en voyant tout ça...

Par andréadu44 , il y a 8 ans (en réponse à eliox ):

Moi aussi je suis aller le voir ! Super interessant mais en sortant on ne se sent pas super super ..

Par Dima , il y a 8 ans (en réponse à eliox ):

Quand j'avais 6 ans j'ai vu pareil mais en italie a San Giminiano
Et dire que notre cerveau n'a pas évolué depuis, juste les moeurs et cultures. Ca fait peur.

Par Hervé , il y a 8 ans (en réponse à segoth ):

Je ne vois pas le rapport, sur 15 il y a une seule torture clairement identifiée étant inquisitrice, il en reste 14 qui ne le sont pas.

Par Ombrias , il y a 8 ans (en réponse à Hervé ):

les n° 1, 4,5,6,7,8,12,14, et 15 ont été utilisées "au service de la religion" (le plus souvent pas l'inquisition, mais pas uniquement)
Il suffit de faire quelques recherches sur Google.
Je ne veux pas ouvrir un débat (mais je sens que je vais en ouvrir un quand même....) mais la religion a toujours été une source de violence et de barbarie pour l'Homme.

Par firelele , il y a 8 ans (en réponse à Ombrias ):

La politique aussi, devrait on bannir la politique pour autant? Evidement que non, de plus tu sembles oublier que la religion est ce qui donne un sens à la vie de beaucoup d'hommes depuis la nuit des temps, qui leur donne le sourire à des moments où ils devraient pleurer, qui leur pousse à surpasser leur égoisme et les rend généreux là où ils ne le seraient pas. Ce que je veux dire c'est que peut être que la religion, comme beaucoup d'autres choses, a pu entrainer guerres et horreurs, mais les bénéfices qu'elles apportent sont fantstiques!

Par Ahura , il y a 8 ans (en réponse à firelele ):

Ouais elle nous apprends que travailler c'est mal mais prier c'est bien. Alors que travailler est nôtre punition. Donner un tant soit peu d'importance à un homme et il fera tout pour la garder. Les instruments de torture datent du Moyen Âge et étaient utilisé pour punir les hérétiques. Mais à cette époque la religion était indisociable de la politique. Et c'était les religieux qui avait le pouvoir et qui était le plus terrifiant. Un monarque s'il est terrifiant c'est normal mais un homme d'Eglise ça l'est moins, c'est plus terrifiant.

Par Lestat de Lioncourt , il y a 8 ans (en réponse à firelele ):

firelele ton commentaire est à revoir, il n'a jamais dit que la religion était à bannir, ne part donc pas sur des idées à la con en comparant ça à la politique on t'en remerciera. Pour le reste, la religion à, c'est vrai, délivré les hommes à l'époque. Seulement il n'en reste pas moins qu'ils étaient barbares, simple constat!

Par Manu , il y a 8 ans (en réponse à firelele ):

Donc d'après toi , la religion sort l'homme de sont égoïsme et le rend généreux ?
Tu t'es demander si l'homme de foie n'est pas généreux par égoïsme ?
Personnellement je préfère recevoir 1 pièce par un athée sincère que recevoir 10 pièces par 10 hommes de foie qui veulent faire bonne figure devant leurs dieu ;)

Par Laurianne , il y a 8 ans (en réponse à Manu ):

Qui te dis qui le font tous par bonne figure ? Les Hommes croyant ne sont pas tous les mêmes, c'est vrai que certain font ça pour ce vanter d’être bon mais d'autre le font avec une générosité sincère et un athée peut très bien te donner de l'argent parce que tu lui fait simplement pitié et non par générosité...


Par Harry , il y a 8 ans (en réponse à firelele ):

C'est le seul point positif de la religion. Ca

Par Rom852 , il y a 8 ans (en réponse à firelele ):

La politique n'est pas supprimable une société à besoin de la politique pour exister c'est juste ceux qui la pratique qui ne sont pas toujours bon.. Concernant la religions désolé mais on a pas besoin de ça pour surpasser son égoïsme ou être généreux avec autruis !! Ça s'appelle juste de l'altruisme

Par Calitho , il y a 8 ans (e
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