Un couple tres chaud fait des cochonneries
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Un couple tres chaud fait des cochonneries
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confidences coquines d'une femme mariée
Les confidences coquines, secrÚtes et surtout anonymes d'une femme. Je suis une mÚre de famille investie dans mon travail ainsi que dans des associations. Ce blog sera mon divan secret sans aucun tabou. Alors n'hésitez pas à faire vos commentaires.
Cela faisait presque deux ans quâon discutait rĂ©guliĂšrement le soir venu sur un rĂ©seau social .
Jâavais rencontrĂ© cet homme par le plus pur des hasards un jour sur un forum politique et nous avions Ă©changĂ© nos idĂ©es sur le sujet. Puis de fil en aiguille sur messenger on a parlĂ© de politique, du travail, de nos passions, de notre vie en gĂ©nĂ©ral, mais tout ceci dans le plus parfait respect et sans aucune dĂ©rive fautive.
Lui disait avoir 45 ans, ĂȘtre mariĂ© avec 2 enfants. Il habitait quelque part du cĂŽtĂ© de Poitiers mais finalement je nâen savais rien et je mâen moquais. Il Ă©tait ouvert dâesprit, trĂšs intelligent cultivĂ© et câest ce qui me plaisait dans nos Ă©changes.
Un soir, pour quelle raison je ne sais plus, on a dĂ©cidĂ© dâĂ©crire un petit roman Ă 2 mains et de le publier sur un site bien connu. Sur ce site les textes sont notĂ©s par les lecteurs, puis on sâĂ©tait lancĂ© un dĂ©fi qui consistait Ă se donner un gage en fonction de la notation.
Jâavais pariĂ© sur une note infĂ©rieure Ă 15/20 et lui sur une note supĂ©rieure.
Le gage que je lui donnais Ă©tait de mâenvoyer une photo en selfy de lui avec toute sa famille. En revanche lui voulait aussi une photo mais dont le sujet serait Ă dĂ©terminer le moment venuâŠ.
On publie ce texte, les commentaires sâenchainent tous trĂšs positifs, les notes sont bien supĂ©rieures Ă nos attentes et trĂšs vite la moyenne tourne entre 17 et 18. Au bout dâun mois nous Ă©tions largement au-dessus du 15/20 fatidique.
Le sujet du gage est ensuite tombĂ© Ă lâeau, il me disait Ă chaque fois quâon verra ça plus tard, plus tardâŠ
Il y a quelques jours de cela je suis allée à Paris pour une formation professionnelle avec 2 de mes collÚgues. Voyage de 2 heures en TGV et je me connecte pendant ce temps. Mon ami du soir était connecté également, on discute mais trÚs vite il revient sur mon fameux gage.
« Ce soir avec tes collÚgues vous faites quoi ? »
« On a prévu une soirée dans un cabaret »
« Tu tâhabilles comment, tu seras la plus belle ? »
« Mais bien sĂ»r que je serai la plus belleâŠ.. jâai prĂ©vu une jolie robe de soirĂ©e »
« Alors tu te reconnectes en arrivant au cabaret et je tâexpliquerai »
Le soir venu et comme décidé je me suis discrÚtement reconnectée avant que le spectacle ne commence. Mon visiteur du soir était là .
 « Alors tu es en place, tu as enfilé ta robe de soirée, tu vas me la décrire »
Je lui explique que câest une robe noire, fendue sur la cuisse droite avec des bas autofixants, et prise par lâambiance de la salle je lui avoue mĂȘme quâelle se porte sans soutien-gorge.
« Alors maintenant tu vas aller aux toilettes et mâenvoyer une photo de ta petite culotte. Mais tu devras la poser et la mettre sur le lavabo pour faire la photo puis tu la garderas dans ton sac Ă main »
« Ca va pas !!!! Tu es en train de gùcher notre amitié avec tes fantasmes ? »
« Un dĂ©fi câest un dĂ©fi, un gage câest un gage, tu as donnĂ© ta parole tu ne peux pas te dĂ©filer ! »
 Un long silence dans les messages, il nâĂ©crivait plus rien, jâĂ©tais interloquĂ©e, puis un petit tour dans les toilettes et je suis ressortie la culotte Ă la main.
Eh oui jâai osĂ©, jâai osĂ© lâimpensable lâinimaginableâŠmais probablement lâanonymat de messenger et le fait quâil ne connaissait ni mon nom ni mon adresse. Jâai posĂ© cette petite culotte sur le lavabo en priant pour que personne ne rentre Ă ce moment-lĂ , puis je lui ai envoyĂ© cette satanĂ©e photo.
« Alors lĂ bravo, tu mâĂ©pates, je ne tâen croyais pas capable »
« Mais quâest-ce que tu crois ? MĂȘme pas peur, je suis grande ! »
« Alors maintenant tu vas retourner Ă ta place et passer la soirĂ©e comme ça. En rentrant Ă lâhĂŽtel tu me raconteras tout en dĂ©tail, tes impressions ton ressenti, bref tout »
 Le spectacle fini mes collĂšgues veulent aller danser et moi je prĂ©fĂšre prendre un taxi pour rentrer Ă Â lâhĂŽtel.
Traverser les rues de Paris la nuit dans un superbe taxi Mercedes, sentir le cuir du siĂšge Ă mĂȘme les fesses, le froid de ce siĂšge directement sur ma peau, et mĂȘme carrĂ©ment sur mon intimitĂ© avait quelque chose de fantastique dâirrĂ©el et de terriblement excitantâŠjâĂ©tais sur un petit nuage me prenant pour une de ces stars de la tĂ©lĂ©vision. Jâaurai voulu que la course nâen finisse pas tellement lâinstant Ă©tait magique. Puis descendre du taxi devant lâhĂŽtel avec une robe fendue, sans petite culotte et enjamber le trottoir me paraissait ĂȘtre un vĂ©ritable dĂ©fi auquel je nâavais aucune Ă©chappatoire. Je lâai fait en Ă©vitant tous les regards, notamment celui du chauffeur.
Rentrée dans ma chambre je me reconnecte et bien évidemment mon ami attendait impatiemment derriÚre son clavier.
« Alors tu es rentrée, tu me jures que ta petite culotte est toujours dans ton sac à main. Tu me le jures ? »
« Mais oui bien sûr et je vais te le prouver »
Jâai posĂ© mon tĂ©lĂ©phone sur la tablette, je me suis assise devant, branchĂ© la camĂ©ra, jâai ouvert mon sac Ă main et sorti cette fameuse culotte en directe. En mĂȘme temps câest la premiĂšre fois quâil voyait ma tĂȘte, quâil me voyait en chair et en os.
« Waouh tâes superbe dis donc, je ne tâimaginais pas comme ça »
Puis on a discutĂ© un long moment sur messenger en vidĂ©o et pour la premiĂšre fois la discussion sâest encoquinĂ©e assez rapidement avec le rĂ©cit de ma soirĂ©e de mon ressenti au cabaret et enfin dans le taxi.
Toujours avec la camĂ©ra je me suis allongĂ©e sur le lit on sâest racontĂ© comme 2 vieilles amies nos aventures nos fantasmes nos dĂ©sirs nos souhaits et nos dĂ©lires. Une discussion sans aucun tabou sans aucune retenue et en sâavouant mĂȘme nos pires secrets les plus intimes.
Au fur et Ă mesure de cette conversation je me sentais bien, les dĂ©tails sans pudeur commençaient Ă mâĂ©chauffer pour ne pas dire mâexciter. Puis la camĂ©ra dirigĂ©e sur ma figure ma main droite sâest faufilĂ©e sous ma robe et sâest immiscĂ©e entre mes lĂšvres. Doucement, lentement au dĂ©but puis crescendo jusquâĂ ce que je sente le non-retour arriver.
A ce moment-lĂ jâai prĂ©textĂ© tomber de sommeil et vouloir me coucher.
La camĂ©ra posĂ©e sur la table de nuit et accidentellement pour ne pas dire volontairement orientĂ©e sur la salle de bain je mây suis rendue, je me suis lavĂ©e les dents, dĂ©maquillĂ©e puis jâai posĂ© ma robe et mes bas, un petit pipi face Ă la porte et je suis retournĂ©e nue vers mon lit. Et surtout nue devant la camĂ©ra !
« Waouh, jâai tout vu, tu lâas fait exprĂšs ou bien ! »
« Bonne nuit, fais de beaux rĂȘves et Ă demainâŠÂ » lui dis-je avec un large sourire un peu hypocrite.
Cette fois-ci seule sur mon lit jâai fini mon travail, la main droite sur mes lĂšvres les doigts sâagitant frĂ©nĂ©tiquement en moi, la main gauche triturant roulant et malaxant mes mamelons, et le point de non-retour a Ă©tĂ© trĂšs largement dĂ©passĂ©.
La nuit a été trÚs courte en partie éveillée et surtout pleine de questionnements.
Le lendemain matin me sentant vraiment fautive vis-Ă -vis des miens je me suis dĂ©sinscrite de facebook et de messenger et je ne lâai plus jamais revu sur le net.
«  Eric, si tu passes par lĂ je te fais un gros clin dâĆil, je regrette profondĂ©ment de mâĂȘtre laissĂ©e aller cette fameuse soirĂ©e mais tu nâaurais pas dĂ» me lancer un tel dĂ©fi.
Vraiment dĂ©solĂ©e dâavoir cassĂ© lâamitiĂ© de nos causeries du soir.
Quelques histoires un peu folles qui me sont arrivées pendant les grandes vacances.
En effet jâai la chance dâavoir 2 mois de congĂ©s en Ă©tĂ© alors que mon mari nâa que 15 jours.
Nous venions dâacheter une maison de campagne dans un endroit particuliĂšrement perdu, une grosse bĂątisse du style maison de maĂźtre avec des dĂ©pendances et un trĂšs grand terrain sur lequel nous avions un petit Ă©tang.
Jâai donc passĂ© 1 mois et demi toute seule dans cette maison Ă mâoccuper des entreprises chargĂ©es des travaux. Un mois et demi de pur bonheur Ă travailler comme une dingue entre le dĂ©frichage, le nettoyage et mĂȘme des travaux du bĂątiment.
Mais en mĂȘme temps un mois et demi Ă ĂȘtre la seule femme sur ce chantier, Ă en profiter un peu, en abuser surement, mais surtout avec des souvenirs mĂ©morablesâŠ
Je ne vous les raconterai pas tous mais franchement avec le recul jâavoue ĂȘtre allĂ©e un peu loin parfois.
Un des moments particuliĂšrement chaud sexy ou coquin remonte Ă cette fin de journĂ©e, vers les 19 heures oĂč je restais seule avec SĂ©bastien, un jeune du village que jâavais embauchĂ© pour dĂ©fricher le fond du parc.
JâĂ©tais au bord de lâĂ©tang avec la dĂ©broussailleuse et lui avec sa pelle nettoyait le ruisseau Ă cĂŽtĂ©. Quand tout dâun coup jâai glissĂ© et me suis affalĂ©e de tout mon long dans lâĂ©tang en partie assĂ©chĂ©. Ce nâĂ©tait quâune marre de boue, de vase et dâalgues puantes visqueuses et franchement immondes.
JâĂ©tais couverte de cochonneries de la tĂȘte aux pieds et heureusement SĂ©bastien était lĂ sinon je nâaurai jamais pu en ressortir seule. Avec le manche de sa pelle il a rĂ©ussi Ă me tirer jusquâĂ la rive.
Bref, me voilĂ sur la berge, ressemblante au bonhomme cetelem qui serait tombĂ© dans une fosse Ă purinâŠ
La situation mâest apparue assez catastrophique car la maison Ă©tant en travaux il nây avait pas dâeau , je nâavais pas de vĂȘtement et je ne me voyais pas rentrer Ă lâhĂŽtel dans cette tenue.
La seule solution pour me nettoyer Ă©tait le tuyau dâarrosage au milieu du parc que les maçons avaient installĂ© pour leurs travaux.
- SĂ©bastien, tu vas venir avec moi pour mâaider Ă me rincer.
-Heu⊠oui Madame⊠(dit-il trĂšs gĂȘnĂ©)
Et nous voilĂ au milieu du parc vers ce fameux tuyau.
Je lui dis alors dâouvrir lâeau et de me rincer la tĂȘte. Ce quâil fit sans souci.
Puis je lui demande de mâasperger de haut en bas pour enlever toute cette vase et ces algues. Ce quâil fit Ă©galement mais la vase Ă©tait imprĂ©gnĂ©e dans les vĂȘtements, jâen avais partout et il avait beau mâasperger jâĂ©tais toujours aussi sale.
Câest alors que jâai posĂ© mon t-shirt et que je me suis mise en soutien-gorge devant lui pour quâil mâarrose comme il faut. Et, le rĂ©sultat a Ă©tĂ© immĂ©diat. Je me suis alors retournĂ©e et jâai posĂ© mon soutien-gorge afin de le rincer Ă©galement et me nettoyer les seins correctement.
La scĂšne avait quelque chose de surrĂ©aliste⊠Je lui tournais le dos mais jâĂ©tais seins nus. !
-Maintenant, SĂ©bastien, tu vas me donner le tuyau et te retourner. Je ne veux pas te voir bouger, si tu tournes la tĂȘte je tâarrache les yeux⊠câest compris ?
-Oui, oui, Madame, ne vous inquiétez pas !
Et câest alors que jâai posĂ© mon jean jâavais les jambes pleines de vase, puis la petite culotte sur les genoux je me suis rincĂ©e abondamment, devant, derriĂšre, ainsi que cette fameuse culotte qui Ă©tait dans le mĂȘme Ă©tat !
Ensuite jâai renfilĂ© mes sous-vĂȘtements trempĂ©s et câest ainsi que nous sommes allĂ©s boire un verre sur la terrasse pendant que mon t-shirt et mon pantalon sĂ©chaient au soleil. JâĂ©tais assise sur le banc en petite culotte et en soutien-gorge !
Je lui ai fait promettre et jurer de ne jamais en parler, pas mĂȘme Ă sa petite amie.
Puis, le restant des vacances, ou plutÎt des travaux, nous étions trÚs complices et copains mais jamais la moindre allusion à cette fameuse soirée.
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Une autre mĂ©saventure survenue quelques jours plus tard mais toujours sur ce mĂȘme chantier.
Un matin jâavais entreprit de nettoyer une grange particuliĂšrement sale, pleine de paille, de toiles dâaraignĂ©es, de poussiĂšres et de gravats. Cette grange nâavait pas dĂ» ĂȘtre nettoyĂ©e depuis des lustres.
A cette Ă©poque la chambre et la salle de bain Ă©taient finies et je nâĂ©tais donc plus Ă lâhĂŽtel.
Et alors ce matin-lĂ en me levant surement lâesprit un peu coquine jâavais dĂ©cidĂ© dâenfiler mon bleu de travail en mode nature, câest-Ă -dire sans rien dessousâŠ. Toute nue sous mon bleu de travail.
Et bien ouiâŠ.. jâavais envie de voir quel effet cela ferait !
Et je peux vous promettre que lâeffet est magnifique et mĂȘme magique, personne le voit, personne le sait, et vous ĂȘtes seule Ă connaĂźtre ce secret.
Je discutais avec tel ou tel artisan sans quâil sâimagine quoi que ce soit. Je me disais « Mon coco ! Si tu savaisâŠ. ! »
Et câest ainsi que jâai passĂ© toute ma journĂ©e Ă nettoyer ratisser trafiquer dans tous les sens en Ă©tant toute nue sous mon bleu.
Le lendemain matin je dĂ©cidais de rĂ©cidiver et jâai alors passĂ© plusieurs heures toujours dans la mĂȘme tenue et avec les mĂȘmes sensations.
Vers les 11 heures le carreleur vient me voir.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Je vais Ă Casto-Brico-Machin Truc. Je vous emmĂšne que vous choisissiez les faĂŻences de la cuisine.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Oui, je vais me changer et jâarrive.
-         Mais non ! on nâa pas le temps, et puis vous ĂȘtes trĂšs bien en bleu, on va pas Ă un dĂ©filĂ© de mode âŠâŠ
Et câest ainsi que je me suis retrouvĂ©e presque de force dans la cabine du camion.
Une demi-heure plus tard nous arpentions les allĂ©es du magasin Ă choisir les faĂŻences et la sensation initiale assez coquine sâest transformĂ©e en une trĂšs forte sensation de gĂȘne et dâexhibitionnisme.
Une expĂ©rience Ă vivre que je ne regrette absolument pas mais je ne suis pas certaine dâoser la rĂ©Ă©diter un jour !
Si vous ĂȘtes dans cet Ă©tat dâesprit je vous suggĂšre dâessayer un jour pour vivre cette sensation assez fabuleuse de se sentir terriblement vulnĂ©rable.
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Et une petite derniÚre pour la route !
Le tout dernier jour des travaux, il ne restait que les maçons. Le matin ils avaient fini de remballer lâĂ©chafaudage et leurs derniers outils quant Ă moi jâĂ©tais allĂ©e en ville pour des rendez-vous.
Pour une fois jâĂ©tais habillĂ©e en femme et non en bleu de travail ou en jean dĂ©chirĂ© et plein de peinture. Jâavais une petite robe dâĂ©tĂ© mi-cuisses, blanche et assez sexy avec deux fines bretelles sur un joli dĂ©colletĂ© sans soutien-gorge. Plus dans le style minette quâouvriĂšre de chantier !
Quand je suis rentrĂ©e Ă midi et comme prĂ©vu je leur ai offert lâapĂ©ritif ainsi que le repas au bord de lâĂ©tang.
CâĂ©tait mes 3 ouvriers prĂ©fĂ©rĂ©s, ils Ă©taient lĂ depuis le dĂ©but des travaux en ayant fait tous les crĂ©pis, les dalles en ciment ainsi quâun mur complet sur une grange. Bref on se connaissait bien et on avait sympathisĂ©.
A midi on boit le pastis tous les 4, on plaisante, on rigole et petit Ă petit lâambiance dĂ©gĂ©nĂšre un peu.
Il faisait chaud on Ă©tait en pleine canicule et au bout dâun moment comme un des gars se plaignait de la chaleur jâai pris le seau de glaçons et je lui ai vidĂ© dans le cou entre le t-shirt et la peau du dos.
Imaginez les cris les hurlements du gars et sa rĂ©action a Ă©tĂ© immĂ©diateâŠ
PiquĂ© debout face Ă moi il mâa basculĂ©e sur son Ă©paule et mâa embarquĂ©e jusquâau ruisseau un peu plus loin. Bien sĂ»r les deux autres ont suivi et je me suis retrouvĂ©e allongĂ©e dans le ruisseau avec les 3 gars sur moi me plaquant au fond de lâeau en mâempĂȘchant de me relever.
On sâest comportĂ© comme des gamins de 10 ans Ă hurler de rire et Ă sâasperger, et moi Ă moitiĂ© nue, pour pas dire au trois quartsâŠâŠ
Chacun son tour sâest retrouvĂ© allongĂ© et roulĂ© au fond du ruisseau, le tout dans des cris et des Ă©clats de rire qui devaient rĂ©sonner au loin.
Jâai fini en petite culotte et seins nus⊠des vrais gamins de 10 ans, je vous dis, des vrais gamins !
Un jour il mâest arrivĂ© quelque chose de complĂštement dingue.
Pour situer un peu, jâĂ©tais en plein divorce et comme souvent cela se passait mal. Avocat, coups bas, partage des biensâŠbref jâĂ©tais en pleine dĂ©pression.
Jâavais dĂ©cidĂ© dâaller passer quelques jours chez mes parents dans leur maison de campagne perdue au centre de la France. Comme mon mari avait rĂ©cupĂ©rĂ© la voiture je nâavais donc que le train pour me dĂ©placer.
Me voilĂ donc avec mon sac et ma gueule dâenterrement dans le TER.
Il y avait pas mal de monde et jâĂ©tais perdue dans mes pensĂ©es. De lâautre cĂŽtĂ© de lâallĂ©e 2 jeunes italiens, 18-20 ans, assez bruyants qui riaient beaucoup, bref complĂštement opposĂ©s Ă moi.
Ils engagent la conversation, je rĂ©ponds par politesse. Ils insistent, je mâouvre doucement et suis un peu plus loquace. Au bout dâune Âœ heure la conversation devient plus ouverte.
A la gare suivante je descends pour prendre une correspondance et la chance aidant eux aussi prenaient cette correspondance.
Âœ heure dâattente, on dĂ©cide dâaller boire un verre ensemble au bistrot de lâautre cĂŽtĂ© de la place.  Â
Je me surprends moi-mĂȘme Ă commencer Ă sourire. JâĂ©tais presque heureuse avec eux deux.
Le moment venu on reprend le train. Le wagon Ă©tait assez vide, tout au plus une dizaine de personnes. Un des jeunes sâassied Ă cĂŽtĂ© de moi et lâautre debout dans lâallĂ©e face Ă moi.
La discussion va bon train, on plaisante, je ris et jâen viens mĂȘme Ă rigoler franchement Ă leurs pitreries. On parle de vacances, de plage, de maillots de bain et de fringues. Jâavoue mĂȘme faire du monokini sur la plageâŠ
Le plus grand des 2 me dit : tu nous montres tes boups ?
Moi un peu interloquĂ©e : câest quoi des boups ?
Et je viens dâapprendre une chose, les boups ce sont les seins, les nibards, les nichonsâŠ
Les 2 gamins voulaient voir mes seins ! Jâavais 10 ans de plus quâeux et ils me demandaient de leur montrer mes seins dans le train, lĂ , maintenant, tout de suite !
Jâai cru rĂȘver et je nâai pas relevĂ©. La discussion a continuĂ© toujours sur le mĂȘme ton lĂ©ger et hilare.
Au bout dâun moment la question est revenue : Aller, sois sympa, fais nous voir tes boups, ils doivent ĂȘtre superbes, et puis sur la plage tu les montres bien Ă tout le monde !
 JâĂ©vite encore le sujet mais au bout dâun moment la question revient une nouvelle fois.
Je me souviens trĂšs bien, jâai fixĂ© le gamin droit dans les yeux, jâai attrapĂ© mon pull que jâai relevĂ© jusquâau menton, je lâai bloquĂ©, et ⊠acte complĂštement dingue pour moi jâai relevĂ© le soutien-gorge
libérant mes fameux 2 boups sous leur nez à 50 cm et tout en les secouant de gauche à droite.
La scĂšne a durĂ© peut ĂȘtre 15 secondes et les 2 gamins sont restĂ©s comme 2 statues les yeux Ă©carquillĂ©s plantĂ©s droits dans mes seins.
Ensuite on est partis dâun Ă©clat de rire tous les 3 Ă ne pratiquement plus pouvoir respirer.
Je nâavais pas autant ri depuis trĂšs trĂšs longtemps, jâĂ©tais mĂ©connaissable.
A la gare suivante je devais descendre. On sâest fait la bise et je suis partie.
Sur la place mon pĂšre mâattendait en voiture, quand il mâa vu arriver en riant aux Ă©clats il nâa pas compris pourquoi jâĂ©tais dĂ©pressive et que je voulais aller me reposer chez eux.
Cette histoire remonte Ă une vingtaine dâannĂ©es alors que jâĂ©tais toute jeune adolescente, puis elle aura jouĂ© un rĂŽle important dans mon Ă©volution, ma sexualitĂ© et mes fantasmes. A lâĂ©poque mes grandâ parents possĂ©daient un manoir dans un endroit perdu de la France profonde, mais ce manoir Ă©tait le ciment de toute la famille, nous nous retrouvions en Ă©tĂ© avec les on
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