Un couple emboîtés au salon

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Un couple emboîtés au salon
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Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
La nouvelle façade sur jardin présente une imbrication de trois volumes, en remplacement des anciennes «annexes» . Chaque grand châssis vitré est encadré par des ébrasements en béton qui, obtenus par coffrage, font l’effet de cadres biseautés. Leur mise en couleur en accentue la profondeur. 
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
La salle à manger fait le plein de lumière grâce à une grande baie vitrée coulissante en aluminium et à des châssis fixes verticaux (H 265 x L 90 cm) à doubles vitrages thermo-acoustiques feuilletés (3.3/15 Argon/4.4). 
La couleur verte structure l’espace
L’extension donne une identité forte à la maison, notamment avec la récurrence de la couleur vert anis à l’extérieur comme à l’intérieur. Dès l’entrée, le salon TV est ainsi cloisonné par un meuble réalisé sur mesure en MDF laqué vert anis.
La couleur verte structure l’espace
Ce vert se retrouve aussi sur le nouvel escalier de la maison, menuisé sur mesure en hêtre, et également sur la colonne de rangement en MDF qui marque la séparation entre la cuisine et la salle à manger. Par ailleurs, certaines ouvertures comme, à l’intérieur, les châssis fixes et les puits de lumières et, à l’extérieur, les baies vitrées, sont marquées du même vert. Autre élément important : la maison existante a été décloisonnée au maximum pour laisser la lumière naturelle circuler.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
La limite entre la salle à manger et la cuisine est matérialisée par un meuble en MDF laqué vert, aux étagères accessibles de part et d’autre, et par la différence de revêtement au sol : carrelage en grès cérame gris contre parquet en chêne. Dans la cuisine, le toit plus élevé a permis de prévoir une fenêtre malgré la deuxième extension en contrebas. 
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Aménagée le long d’un seul mur, la cuisine ouverte bénéficie d’un puits de lumière. Elle fusionne aisément avec l’ensemble des espaces grâce à des façades de placard en MDF laqué blanc (modèle « Melia » en blanc brillant verni, avec poignées « Philia » de Mobalpa, réalisation MDC Mobalpa Courbevoie ; appareils électroménagers, Whirlpool).
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Autrefois cloisonnés, le salon, la cuisine et la salle à manger forment aujourd’hui, après dépose des cloisons et création de l’extension, une seule et même grande pièce à vivre. La couleur verte de la bibliothèque et des limons de l’escalier crée l’unité.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Côté rue, la porte d’entrée est aussi encadrée par un ébrasement en béton coffré peint en vert, pour une complète cohérence architecturale.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Entre l’entrée et l’escalier, un salon TV est séparé par une cloison courbe en MDF à cintrer laqué en vert, dessinée par l’architecte. Son arrondi dégage l’entrée tout en créant un rythme élégant. Une porte coulissante à galandage ferme le salon en toute discrétion et, côté intérieur, des rangements ouverts et fermés accueillent le téléviseur et autres appareils vidéo.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Une seconde structure sépare ce petit salon de l’escalier. Sur le même principe que la précédente, un aménagement intérieur forme un coin bureau blotti en angle.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Dans son épaisseur, la cloison courbe intègre des niches qui forment le long du mur et en hauteur une bibliothèque équipée de bandes d’éclairage à Leds. Elle se termine en un claustra près de la fenêtre ; la lumière naturelle circule ainsi jusque dans l’entrée !
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Comme trois blocs emboîtés, l’extension a permis de réorganiser entièrement l’espace intérieur de cette petite maison francilienne, en la décloisonnant pour lui apporter lumière et confort.
Situé dans la petite couronne autour de Paris, ce pavillon des années 40 est typique de l’habitat populaire construit durant l’Entre-deux-guerres. Au fil des décennies, la maison avait été agrandie au moyen d’une véranda et de deux modestes extensions qui formaient un ensemble hétéroclite et vétuste, aux volumes incommodes, plus proches d’une juxtaposition de couloirs que d’un enchaînement de pièces à vivre.
Sur le papier, seulement 5 m2 ont été gagnés, car les anciennes extensions ont été remplacées par de nouvelles, qui occupent quasiment la même surface au sol. Mais la réorganisation complète de la maison en a grandement amélioré le confort. Pour ce faire, les propriétaires (un couple avec deux enfants) ont fait appel à l’architecte Francesca de Marchi. Ils voulaient de la lumière, le confort thermique, une circulation rationnelle et surtout de beaux volumes, agréables à vivre. S’inspirant de l’existant, l’architecte a transformé ce qui n’était qu’une accumulation de pièces rapportées en un savant jeu de cubes emboîtés, offrant au bâtiment la lumière, le confort et une sacrée personnalité. Et, à l’intérieur, tout a radicalement changé…
La maison, long rectangle imbriqué dans un bâti dense, ne présentait aucune ouverture dans ses façades latérales. Quant au rez-de-chaussée, il n’était éclairé que par une fenêtre sur la façade principale, côté rue, ou par un second jour, côté jardin. En effet, le salon était aveugle, car la véranda et l’ancienne extension abritant la cuisine avaient été ajoutées sans souci de faire circuler la lumière naturelle. Autre détail critique, l’escalier raide qui descendait au jardin représentait un réel danger pour deux petits enfants à demeure.
Après la dépose de la véranda et des deux anciennes « annexes », une première extension a été totalement intégrée à la maison, dans son prolongement direct, côté jardin. Elle se partage en deux parties qui abritent d’une part le salon, d’autre part la cuisine. Une deuxième construction, plus petite et indépendante, a été accolée en bout d’extension : elle est consacrée à la buanderie, à laquelle on n’accède que par le jardin. Bâtie à un niveau plus bas, elle laisse visible la partie haute de la première extension qui accueille la cuisine, et dégage ainsi une fenêtre qui apporte de la lumière directe là où les repas sont préparés.
Extérieurement, les volumes donnent l’apparence graphique de trois cubes de dimensions différentes qui semblent emboîtés les uns dans les autres. Leur point commun est de présenter, côté jardin, des baies vitrées soulignées par les mêmes ébrasements peints en vert anis, qui font l’effet de cadres de tableaux biseautés.
L’emprise au sol de la maison rénovée correspond, à peu de chose près, à celle du plan initial comprenant les deux « annexes » d’origine. Néanmoins, l’élévation des extensions a nécessité la mise en œuvre de nouvelles fondations. Étant donné la pente du terrain, la deuxième extension repose sur une dalle de béton indépendante, mise en place à un niveau plus bas que le plancher en béton de la première extension, qui demeure dans la continuité du reste de la maison. La réalisation de ces nouvelles semelles en béton armé a permis de remettre aux normes tous les réseaux d’eau et de gaz. Et les planchers ont été isolés à l’aide d’entrevous moulés en polystyrène (entreprise générale Grosos Constructions).
Les murs des extensions, maçonnés en parpaings de béton, sont isolés par l’intérieur au moyen de panneaux de doublage thermique haute performance collés, composés de panneaux de polystyrène expansé (PSE-Graphite) associés à des plaques de plâtre (ép. 10 mm, indice de conductivité thermique λ = 32, « Prégystyrène Th 32 » de Lafarge Plâtres). Les toitures plates en bac acier sont isolées en sous-face par de la laine de verre (ép. 20 cm), et par l’extérieur, sous l’étanchéité, au moyen d’une couche de laine de roche (ép. 10 cm).
Anciennement, la maison ne communiquait avec les « annexes » qu’au moyen d’une seule et simple porte battante. Afin de fluidifier la circulation, d’ouvrir les volumes et de gommer le passage entre partie ancienne et partie nouvelle, l’ancienne façade a été entièrement ouverte, après la pose d’une poutre horizontale de reprise des charges en acier (IPN). Les trois grands châssis vitrés en façade, avec vue sur le jardin, favorisent l’entrée de la lumière naturelle jusque dans le salon, dorénavant ouvert sur la salle à manger et la cuisine. Ce flot de lumière est relayé par des puits de lumière pratiqués dans les toits terrasses (fenêtre-coupole pour toits plats, Velux), et par des châssis fixes verticaux qui ouvrent de manière régulière la façade latérale. Du fait de la proximité de la maison voisine, certaines de ces fenêtres ont nécessité l’accord des voisins et l’installation de vitrages dépolis qui, tout en laissant passer la lumière, occultent la vue.
Pourquoi avoir repris l’idée de volumes imbriqués côté jardin ?
Mes clients souhaitaient conserver la plus grande part possible de l’existant. Même si l’on ne réalise pas toujours des économies en reprenant des murs, cela a été le cas ici. En plus, les trois volumes d’origine (cuisine, salle à manger, buanderie) ont permis de créer un rythme côté jardin. Il a suffi de redéfinir un caractère et un dessin bien précis pour que le projet soit complet.
Qu’est-ce qui vous a motivée ? La recherche de volume et de lumière. Le client souhaitait au départ garder la chambre du fond fermée par des cloisons traditionnelles et une porte. Or, dans un petit espace, chaque apport de profondeur ou de luminosité est important. La nouvelle cloison arrondie, dans l’entrée, crée une séparation tout en douceur, tout comme la bibliothèque entre la cuisine et la salle à manger. Je tiens beaucoup, dans mes projets, à la réalisation de meubles sur mesure, qui répondent à des besoins spécifiques.
Quel est le point fort de cette extension ? La lumière, car le RDC était terriblement sombre à l’origine, mais aussi le confort thermique, grandement amélioré !
Budget total 97 740 € HT dont : – Gros œuvre 40 050 € – Ravalement 11 280 € – Modification de la structure de la partie existante 16 825 € – Menuiseries intérieures et extérieures 12 890 € – Plomberie et chauffage 6 687 € – Électricité 8 008 € – Terrasse 2 000 €
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Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
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La salle à manger fait le plein de lumière grâce à une grande baie vitrée coulissante en aluminium et à des châssis fixes verticaux (H 265 x L 90 cm) à doubles vitrages thermo-acoustiques feuilletés (3.3/15 Argon/4.4). 
La couleur verte structure l’espace
L’extension donne une identité forte à la maison, notamment avec la récurrence de la couleur vert anis à l’extérieur comme à l’intérieur. Dès l’entrée, le salon TV est ainsi cloisonné par un meuble réalisé sur mesure en MDF laqué vert anis.
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Ce vert se retrouve aussi sur le nouvel escalier de la maison, menuisé sur mesure en hêtre, et également sur la colonne de rangement en MDF qui marque la séparation entre la cuisine et la salle à manger. Par ailleurs, certaines ouvertures comme, à l’intérieur, les châssis fixes et les puits de lumières et, à l’extérieur, les baies vitrées, sont marquées du même vert. Autre élément important : la maison existante a été décloisonnée au maximum pour laisser la lumière naturelle circuler.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
La limite entre la salle à manger et la cuisine est matérialisée par un meuble en MDF laqué vert, aux étagères accessibles de part et d’autre, et par la différence de revêtement au sol : carrelage en grès cérame gris contre parquet en chêne. Dans la cuisine, le toit plus élevé a permis de prévoir une fenêtre malgré la deuxième extension en contrebas. 
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Aménagée le long d’un seul mur, la cuisine ouverte bénéficie d’un puits de lumière. Elle fusionne aisément avec l’ensemble des espaces grâce à des façades de placard en MDF laqué blanc (modèle « Melia » en blanc brillant verni, avec poignées « Philia » de Mobalpa, réalisation MDC Mobalpa Courbevoie ; appareils électroménagers, Whirlpool).
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Autrefois cloisonnés, le salon, la cuisine et la salle à manger forment aujourd’hui, après dépose des cloisons et création de l’extension, une seule et même grande pièce à vivre. La couleur verte de la bibliothèque et des limons de l’escalier crée l’unité.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Côté rue, la porte d’entrée est aussi encadrée par un ébrasement en béton coffré peint en vert, pour une complète cohérence architecturale.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Entre l’entrée et l’escalier, un salon TV est séparé par une cloison courbe en MDF à cintrer laqué en vert, dessinée par l’architecte. Son arrondi dégage l’entrée tout en créant un rythme élégant. Une porte coulissante à galandage ferme le salon en toute discrétion et, côté intérieur, des rangements ouverts et fermés accueillent le téléviseur et autres appareils vidéo.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Une seconde structure sépare ce petit salon de l’escalier. Sur le même principe que la précédente, un aménagement intérieur forme un coin bureau blotti en angle.
Extension lumineuse : un jeu de cubes bien ordonné
Dans son épaisseur, la cloison courbe intègre des niches qui forment le long du mur et en hauteur une bibliothèque équipée de bandes d’éclairage à Leds. Elle se termine en un claustra près de la fenêtre ; la lumière naturelle circule ainsi jusque dans l’entrée !
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Maison & Travaux est le 1er magazine sur l'univers de la rénovation et de l'aménagement.
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Comme trois blocs emboîtés, l’extension a permis de réorganiser entièrement l’espace intérieur de cette petite maison francilienne, en la décloisonnant pour lui apporter lumière et confort.
Situé dans la petite couronne autour de Paris, ce pavillon des années 40 est typique de l’habitat populaire construit durant l’Entre-deux-guerres. Au fil des décennies, la maison avait été agrandie au moyen d’une véranda et de deux modestes extensions qui formaient un ensemble hétéroclite et vétuste, aux volumes incommodes, plus proches d’une juxtaposition de couloirs que d’un enchaînement de pièces à vivre.
Sur le papier, seulement 5 m2 ont été gagnés, car les anciennes extensions ont été remplacées par de nouvelles, qui occupent quasiment la même surface au sol. Mais la réorganisation complète de la maison en a grandement amélioré le confort. Pour ce faire, les propriétaires (un couple avec deux enfants) ont fait appel à l’architecte Francesca de Marchi. Ils voulaient de la lumière, le confort thermique, une circulation rationnelle et surtout de beaux volumes, agréables à vivre. S’inspirant de l’existant, l’architecte a transformé ce qui n’était qu’une accumulation de pièces rapportées en un savant jeu de cubes emboîtés, offrant au bâtiment la lumière, le confort et une sacrée personnalité. Et, à l’intérieur, tout a radicalement changé…
La maison, long rectangle imbriqué dans un bâti dense, ne présentait aucune ouverture dans ses façades latérales. Quant au rez-de-chaussée, il n’était éclairé que par une fenêtre sur la façade principale, côté rue, ou par un second jour, côté jardin. En effet, le salon était aveugle, car la véranda et l’ancienne extension abritant la cuisine avaient été ajoutées sans souci de faire circuler la lumière naturelle. Autre détail critique, l’escalier raide qui descendait au jardin représentait un réel danger pour deux petits enfants à demeure.
Après la dépose de la véranda et des deux anciennes « annexes », une première extension a été totalement intégrée à la maison, dans son prolongement direct, côté jardin. Elle se partage en deux parties qui abritent d’une part le salon, d’autre part la cuisine. Une deuxième construction, plus petite et indépendante, a été accolée en bout d’extension : elle est consacrée à la buanderie, à laquelle on n’accède que par le jardin. Bâtie à un niveau plus bas, elle laisse visible la partie haute de la première extension qui accueille la cuisine, et dégage ainsi une fenêtre qui apporte de la lumière directe là où les repas sont préparés.
Extérieurement, les volumes donnent l’apparence graphique de trois cubes de dimensions différentes qui semblent emboîtés les uns dans les autres. Leur point commun est de présenter, côté jardin, des baies vitrées soulignées par les mêmes ébrasements peints en vert anis, qui font l’effet de cadres de tableaux biseautés.
L’emprise au sol de la maison rénovée correspond, à peu de chose près, à celle du plan initial comprenant les deux « annexes » d’origine. Néanmoins, l’élévation des extensions a nécessité la mise en œuvre de nouvelles fondations. Étant donné la pente du terrain, la deuxième extension repose sur une dalle de béton indépendante, mise en place à un niveau plus bas que le plancher en béton de la première
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