Un couple de voisin se dévoile

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Entre gêne et fantasmes, la vie sexuelle de mes voisins


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Publié le 11 août 2011 à 9h25 Mis à jour
le 11 août 2011 à 9h25

Les orgasmes de la fille du premier, les branlettes rideaux ouverts du type d’en face, les parties de jambes en l’air des voisins de palier : un immeuble est une communauté sexuelle à part.
Ils avaient tout fait pour être bien dans leur nouvelle chambre : repeint les murs, installé des meubles et accroché quelques tableaux. Ils avaient pensé à tout « sauf à ça », se marre Guillaume*, grand brun, installé avec son ami Louis dans un trois pièces aux Arts et Métiers, à Paris.
« La première nuit, on a entendu les soupirs et les petits cris de la nana d’à côté, des haaaan, haaaan très longs, très langoureux, ça avait l’air très bien. Ça a recommencé la deuxième nuit, la troisième et ainsi de suite. En fait, c’était presque toutes les nuits, et souvent plusieurs fois, au coucher, à 3 heures du matin, au réveil. On a rapidement compris qu’ils avaient une grosse santé. »
Après quelques semaines d’insomnie partielle, Guillaume et Louis ont renoncé. Ils ont abandonné leur chambre pour se replier, penauds, vers le bureau reconverti en vitesse. « Qu’est-ce qu’on pouvait faire ? Sonner chez eux et leur dire ‘excusez-moi, mais vous pouvez pas vous calmer un peu sur la levrette ?’ Comme des vieux cons ? L’ironie, c’est qu’on a fini par devenir hyperpotes avec eux et qu’on leur en a parlé. Au final, on s’est mis d’accord pour dire que le problème, ce n’était pas eux mais les murs en plâtre de l’immeuble… »
Lieux de cohabitation et de promiscuité, souvent mal isolés, les immeubles entremêlent ainsi la vie intime de leurs habitants. Ils laissent passer les bruits, offrent des images furtives, créant une sorte de communauté sexuelle informelle, passive mais bien réelle. On ne couche pas forcément avec ses voisins de palier mais on peut suivre leurs ébats même sans passer son temps l’oeil rivé à la fenêtre ou l’oreille collée aux murs. Habiter dans un immeuble impose cette proximité à tous et d’abord à ceux qui n’avaient rien demandé.
Guillaume se souvient avoir été nettement plus importuné qu’excité par les râles de plaisir de la voisine.
« Elle n’était pas moche, lui non plus, mais c’était hyperdérangeant. Etre quasiment dans le lit avec eux, suivre leur rythme, la pause pipi, les changements de position, les éjaculations, ce n’était absolument pas possible. »
Avec plus de dégoût encore, Anthony, journaliste sportif d’une trentaine d’années, se rappelle être un jour tombé « sur un vieux type chauve qui se masturbait dans sa chambre, devant son ordinateur. Ça a duré une seconde mais franchement, c’était horrible », dit-il avec une grimace. A l’époque, Anthony habitait en haut de la rue du Faubourg-Saint-Denis, près de la gare du Nord. La fenêtre de sa salle de bains offrait une vue plongeante sur les chambres de l’immeuble voisin.
« La fenêtre du salon donnait, elle, rue La Fayette sur un hôtel pas cher, fréquenté par les touristes de la gare du Nord. L’été, les fenêtres étaient ouvertes tout le temps et chaque soir, depuis chez moi, je pouvais voir des filles à poil : des jeunes, des vieilles, des grosses, des biens gaulées. Je me souviens d’une jeune nana, une Américaine je pense, qui est arrivée vers 16 heures et s’est masturbée très longuement. Puis son mec l’a rejointe pour une nuit d’amour. Je me suis planqué pour mater derrière un bout de rideau, le sexe à la main. C’était très bien. »
Très vite, le charme a disparu. « J’ai fini par me lasser, cela me déprimait de voir des gens baiser alors que j’étais célibataire et réduit à la branlette. En prime, un couple s’est s’installé au même moment dans l’appartement mitoyen du mien. Ils étaient jeunes et n’arrêtaient pas de faire l’amour, bruyamment, plusieurs fois par jour. J’ai commencé par changer mon lit de place puis j’ai pris l’habitude de mettre de la musique mais je les entendais encore. J’en ai parlé à la vieille proprio qui m’a expliqué que les murs étaient très étroits car la cloison n’était pas d’origine et avait été montée il y a une vingtaine d’années lors d’une rénovation. Elle ne voulait pas me payer une isolation et je n’avais pas les moyens de me l’offrir. Quelques mois plus tard, en partie à cause de ça, j’ai déménagé… »
Cette vie sexuelle partagée est loin de déplaire à tout le monde. Nicolas, graphiste de 37 ans, se souvient avoir bénéficié un soir d’une vue imprenable sur les ébats d’une voisine d’origine suédoise et de son ami.
« Il avait mis un tapis par terre dans le salon, pas très loin de la fenêtre. Je ne sais pas s’il voulait qu’on les voie, mais c’était très réussi. »
Pauline, jolie blonde de 29 ans installée dans un studio à Nation, se rappelle l’orgasme de sa voisine du dessus, au tout début de cet été. « Ça m’a réveillée, dit-elle. Ils avaient laissé la fenêtre ouverte, je l’ai entendue monter, monter, puis jouir d’un bel orgasme, profond, sans être caricatural. J’étais seule cette nuit-là et je me suis fait jouir dans la foulée. »
« En fait, la frontière entre le très glauque et le très excitant est très fragile, continue-t-elle. La première fois que j’ai entendu des gens baiser dans un appartement, c’étaient mes parents, j’avais 9 ans et je peux dire que les soupirs de mon père n’avaient absolument rien de plaisant. Plus tard, j’ai vécu à côté d’un couple d’Italiens qui baisait beaucoup. La fille poussait des petits cris de cochon qu’on égorge, ça n’avait rien d’excitant non plus. En fait, je pense que ça l’est surtout la nuit, à moitié endormie, dans tes rêves. Si en plus, tu connais un peu tes voisins et que tu les trouves mignons… » Depuis quelques jours, Pauline avoue d’ailleurs laisser volontairement sa fenêtre ouverte, « au cas où »…
Pour jouir de la vie sexuelle de la copropriété, d’autres vont plus loin. « J’ai toujours eu un petit côté voyeur, reconnaît Paul, cadre dans la banque, aujourd’hui installé dans une résidence à Montrouge. Je suis du genre à regarder par la fenêtre, à jeter un coup d’oeil dans l’oeilleton ou par le visiophone de l’entrée. Ma curiosité naturelle me pousse également à récolter des informations sur la vie sexuelle de mes voisins. »
Il s’en amuse, mais il est très sérieux sur le sujet, il a ses astuces, ses préférences. S’il ne conçoit évidemment pas d’habiter une maison individuelle, il aime les immeubles avec une cour intérieure, chaque fenêtre pouvant, dans cette configuration, donner chez l’autre. Il est aussi amateur de stores vénitiens qui lui permettent de regarder à l’extérieur sans être vu. Paul, divorcé et papa d’une petite fille, fait attention à tout.
« Quand j’ai visité l’appartement, dit-il, j’ai demandé si celui d’à côté était occupé par un couple. Et quand j’ai emménagé, j’ai tout de suite cherché à savoir où était la chambre des voisins, pour installer mon lit dans la pièce mitoyenne, la tête du lit collée au mur. »
Prêt à toute éventualité. « J’habite ici depuis seulement huit mois mais je connais déjà leurs habitudes. Ils le font surtout le samedi, en rentrant de soirée vers 1 heure, ou alors le mercredi. En général, cela dure un gros quart d’heure… Cela me suffit pour faire mon affaire mais ils ne sont pas particulièrement chauds. » Selon les observations de Paul, il se passerait nettement plus de choses de l’autre côté de la cour, au deuxième étage. « La fille a beaucoup de visiteurs hommes et elle laisse souvent sa fenêtre ouverte. Les voisins doivent se régaler. Mais cela ne vaudra jamais l’hôtel. » Il en est sûr, « pour entendre les autres faire l’amour, l’hôtel, c’est le must ».
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Kelly Liesse Kelly Liesse
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Kelly Liesse Kelly Liesse s'est vengée de son voisin en se faisant passer pour son amant.

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Kelly Liesse Kelly Liesse est originaire de Brighton, au Royaume-Uni.

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Elle a envoyé une carte de Saint Valentin Elle s'est vengée d'une très curieuse manière !

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La carte de Saint Valentin envoyée par Kelly Liesse Elle a rédigé une carte de Saint Valentin en se faisant passer pour l'amant de son voisin.

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La carte de Saint Valentin envoyée par Kelly Liesse Sur le devantde la carte, on peut lire les mots "J'aime que tu puisses être toi, que je puisse être moi, et que l'on soit si heureux ensemble".

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Après avoir été dénoncée par son voisin pour stationnement gênant, une femme originaire de Brighton, au Royaume-Uni, s'est vengée d'une très curieuse manière.
La vengeance est un plat qui se mange froid et ça, Kelly Liesse en sait quelque chose. Sur le réseau social TikTok, cette jeune britannique originaire de Brighton a raconté comment, après avoir été dénoncée par son voisin pour stationnement gênant, elle a décidé de lui faire payer en lui envoyant une carte de Saint Valentin en se faisant passer pour son amant. " Mon voisin a décidé de me dénoncer pour m'être garée sur les lignes jaunes de notre quartier , a-t-elle écrit dans une vidéo, donc je lui ai envoyé ça pour la Saint Valentin. Avec un peu de chance, c'est sa femme qui la verra en premier ."
Dans la suite de sa vidéo, Kelly dévoile la carte et son contenu. Sur le devant, on peut lire les mots " J'aime que tu puisses être toi, que je puisse être moi, et que l'on soit si heureux ensemble ", tandis qu'à l'intérieur, la jeune femme a rédigé un message personnalisé : "Mon Simon. Joyeuse Saint Valentin, mon chéri. Je n'arrive pas à croire que je t'ai trouvé, mais nous sommes faits l'un pour l'autre. Je suis toujours là pour toi et tu es toujours là pour moi. Personne d'autre dans ce monde ne pourrait me faire ressentir cela, et mon amour pour toi grandit chaque jour un peu plus. J'ai hâte de te revoir, tu me manques. Beaucoup d'amour, de la part de ton homme."
Dans la section commentaires, de nombreux internautes se sont amusés de la vengeance de Kelly. D'autres, en revanche, ont trouvé la punition trop sévère par rapport au crime. "Tu as totalement tort d'avoir fait ça. Peu importe ce qu'il a fait, sa pauvre femme ne mérite pas ça" , a souligné un utilisateur. " Donc vous vous êtes mise en colère parce que vous aviez tort et décidé de ruiner un mariage pour votre erreur ?" , a renchéri un autre. Loin de se démonter, Kelly a répondu que de toute façon, ses voisins sont "d'affreuses personnes" et que "le karma finit toujours par frapper" . Ça, c'est dit.
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Quand on entame une partie de vengeance, il ne faut pas oublier que "celui d'en face" peut être beaucoup plus imaginatif et méchant que vous... Donc pour avoir une chance de "gagner" il faut être déterminé à aller plus loin que l'autre, quelles que puissent être les conséquences. C'est celui qui se dégonfle le premier qui perd. Au pire du pire il y a un match nul avec deux morts.
Sa vacherie n'a pas dû prendre bien longtemps vu qu'elle s'en vante partout !
Il y a des représailles qui doivent rester discrètes, sous peine de retour de bâton...
A vacherie, pire vacherie: l'inscrire "à l'insude son plein gré" sur un site de rencontres payantes..
La délation doit être puni ? Dans mon secteur il y a certaines personnes qui passent leur journées à "patrouiller" en campagne pour voir si quelqu'un ne fait pas un feu , ou abat un arbre, ou fait des travaux sur des voitures et appellent (dénoncent) à la gendarmerie si bien que ceux ci viennent vérifier voir ce qu'on fait ( et tout est parfaitement légal) alors ils s'excusent ! Mais parmi ces "délateurs" certains sont connus et donc suscitent la méfiance de tous (mis à l'écart) . Est ce que ce n'est pas mérité !
@ Pouah: un soir, j'ai découvert un goret qui s'était garé "en épi", carément l'avant de sa voiture sur mon perron. Pour rentrer chez moi, il m'a fallu prendre appui sur une roue AV, puis passer sur le capot.. Mais comme je baladais une lourde (> 20 kg) caisse à outils, j'ai dû la déposer sur ce capot, puis la traîner vers ma porte... Kesskecékon, ça a copieusement rayé la peinture, et pas celle de la caisse à outils. "Skrîîîîîk !" Le cochon a eu l'excellente idée de ne pas venir demander des comptes... Une grosse clef à molette FACOM, sur un crâne, ça fait gros bobo.
D'un autre coté, si un soir en rentrant du boulot tu trouves la voiture de ta voisine garée devant le portail de ta maison et que t'es obligé de mettre ta propre voiture 3 rues plus loin parce que tu ne peux pas la rentrer chez toi à cause de ladite voisine, tu envisagerai peut-être la notion de "délation" sous un nouvel angle...
Vous faites de votre cas une généralité. Ce n'est pas parce que ça se passe comme ça dans votre trou que c'est le cas partout ailleurs ou que c'est pareil avec ce qui est arrivé avec la fille de cet article..
mon dieu, ya bcp d'obcd du stationnement ici
Ce n'est ni "rigolo", ni juste ! Cette SALE personne se gare mal, c'est une faute, point. Elle se venge sur une personne qui n'est pas en tord, en espérant détruire une famille ou il y a peut-être des enfants, 2ème faute. Elle s'en vante, donnant l'exemple ou l'idée à d'autres écervelées de son espèce, 3ème faute. Si la justice était juste il faudrait détruire sa famille, mais la justice ne l'est pas. Je c.h.i.e. sur sa famille et p.i.s.s.e sur sa descendance.
Et bien, il ne vous faut pas grand chose pour vous faire ressentir une haine profonde, pourtant je suis d'accord avec vous, sauf pour les deux dernières phrases.
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