Un contraste anale incroyable

Un contraste anale incroyable




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un contraste anale incroyable
J’avais une douzaine d’années dans mes souvenirs.Avec ma mère, on allait parfois voir ma grand-mère. Ma grand-mère a eu sa dernière fille tard. De ce fait, ma mère et ma tante ont une différence d’âge importante.À cette époque ma tante avait aux alentours de 17 ans.
Ce qui me marque le plus aujourd’hui c’est le jour où on a joué à un jeu bizarre.
Mais surtout jamais je n’aurais pu croire que ça se reproduirais plusieurs fois et qu’en même temps ma mère et ma grand-mère seraient dans la maison.

De Saint Léger Sarah
11 avril 2014 à 19 h 54 min - Répondre

Jackie
11 avril 2014 à 22 h 59 min - Répondre

Henri Falloux
12 juillet 2014 à 19 h 48 min - Répondre

christian mangin
27 novembre 2017 à 20 h 24 min - Répondre

Copyright 2017 | Tous droits réservés | Asso Polyvalence



V&B


Contraste en noir


Contraste en blanc


Stopper le mouvement


Police lisible


Souligner les liens



Pendant que ma mère et ma grand mère discutaient, on allait à l’étage dans sa chambre que j’admirais. Je l’admirais ma tante, son caractère, ses airs un peu prétentieux, je la trouvais chiante mais j’aimais passer du temps avec, car pour moi à 17 ans on savait tout.
On passait du temps ensemble à jouer à des histoires pas croyables, à se masser le dos parce que c’était juste trop cool, à manger du nutella caché sous son lit.
J’étais sa fille et nous étions une famille pauvre, le père était mort et on étaient seules à lutter contre la misère. Mais pour gagner de l’argent la fille, donc moi, devait se prostituer pour ramener de l’argent à sa mère.
Jamais je n’aurais pensé qu’en jouant à ça que je me retrouverais nue avec ma tante nue aussi dans son lit et sous sa couette.
Jamais je n’aurais imaginer qu’elle me demanderais de lui toucher les seins, de les masser, pendant que ses mains glissaient sur moi.
Et aujourd’hui c’est très lourd car les rapports avec ma tante sont “normaux”, on s’entend bien, elle me rend parfois des services, etc.
Comme si rien..rien.. n’était arrivé.Avec une situation actuelle comme celle-ci je me suis longtemps demandé si je ne l’avais pas inventé. Mais non les souvenirs sont bels et bien là, les larmes là et la culpabilité aussi.
Et avec du recul j’ai peur.

Peur d’avoir enfreint le côté moral car j’ai peur d’avoir aimé ces moments.
Le doute est là sans cesse, je lui en veux de m’avoir fait ça, je ne lui dirai jamais car je ne veux pas détruire ma famille. Je lui en veux d’avoir influencé ma sexualité aujourd’hui. Je lui en veux de faire bonne figure devant sa mère alors qu’elle a caressé mon corps nue avant que ma sexualité ne se réveille.
Mais je me tais parce que c’est plus facile, parce que ça éviter de bousculer une famille et que remettre en question le plaisir qui était peut être présent est dérangeant et perturbant.
Que tu aies eu du plaisir ne signifie pas que tu dois en culpabiliser. C’est un des autres aspcts possibles du viol, te mettre dans une situation paradoxale et destructrice entre ton ressenti par rapport au viol et le plaisir que parfois, certaines personnes y prennent. Tu es écartelée entre le traumatisme du viol de ton intégrité et le fait que ton corps ait pu apprécier d’être caressé alors qu’il était à la veille de s’éveiller à la sexualité. Ca culpabilise, forcément. Si tu as apprécié ne serait-ce qu’un peu un viol, ça remet en question qui tu es. Alors que tu n’as rien fait de mal, le corps est fait pour pouvoir jouir, ça ne se controle pas toujours, même au cours d’un viol et surtout quand on ne comprend pas totalement ce qui se passe.
On m’aurait violé en me masturbant à 12 ans (je n’avais pas encore découvert par moi-même la masturbation), il y aurait eu sans doute plus d’une chance sur deux pour que j’y prenne du plaisir, les sensations sexuelles sont si intenses quand on les découvre que mon corps aurait sans doute eu du mal à ne pas trouver cet aspect du viol incroyable. Ca ne justifie en rien le viol et ne diminue pas sa violence. C’est même encore pire, ça viole une pureté et ça détraque qqchose qui est normalement plus sain et simple. Et ca t’a instillé un sentiment de culpabilité qui te ronge.
Tu n’as rien à te reprocher pourtant.
De mon côté, je pense qu’il vaut mieux que tu en parles que tu fasses ressortir l’affaire, mais ce n’est pas à moi de te conseiller de le faire, c’est une façon de voir globale qui m’est personnelle. nJe peux te conseiller le film festen (cest anecdotique) et pêut-etre d’aller consulter un psy (plus important) pour en parler en profondeur avec qqun. Tu devras déjà prendre conscience que si ton corps y a pris du plaisir, c’est qqchose qui n’est pas du tout répréhensible, que tu ne dois pas en culpabiliser mais bien te rendre compte que c’est un facteur aggravant du viol que tu as subi.
La décision d’abimer, peut-etre, ta famille en mettant ce viol au grand jour est une décision qui te reviendra par la suite. Dans un premier temps, je pense que la meilleure chose à faire est le psy et l’opération de déculpabilisation (qui va de pair avec la compréhension que le fait de t’avoir instillé ces doutes sur toi est un facteur démultipliant de la gravité du viol subi).
” Et aujourd’hui c’est très lourd car les rapports avec ma tante sont « normaux », on s’entend bien, elle me rend parfois des services, etc.
Comme si rien..rien.. n’était arrivé. ”
=> le plus important et le plus urgent est d’en parler avec la tante, doucement, intelligemment, pour l’amener à comprendre que ces gestes et situations, créées à son initiative, ont eu des conséquences graves dans ton développement ultérieur. En particulier par la souffrance induite, avec la perte d’une partie de ton innocence, par le trouble qu’elle a suscité entre la tentation d’accepter un plaisir physique et la contrainte morale d’enfreindre un interdit.
Essaie de capter son attention, de lui parler, c’est vraiment une question entre elle et toi. Le reste de la famille n’a pas à savoir, sauf si elle s’est attaquée à d’autres membres de la famille.
Parle-lui avec l’intelligence du coeur, dis lui ta souffrance.
Pas de bla bla bla! La honte n’est pas de ton côté…..Tu n’es pas coupable, basta!
En matière de sexualité….On peut aimer des trucs bizarres car il ne faut pas confondre “ordre moral” et “expérience personnel” sinon, tu risques de ne rien comprendre!
Ensuite, n’imite pas ta tante et ça ira….
Save my name, email, and website in this browser for the next time I comment.
Association Polyvalence
Maison des Associations
8 rue du Général Renault,
75011 Paris

     A quarante deux ans, mariée depuis 18 ans, ma vie rangée est consacrée à l’éducation des enfants. Mon mari est beaucoup plus préoccupé par son travail que par ma personne. Châtain, quelques rondeurs, assez grande, une poitrine opulente résument mon physique.     Cette année, nos vacances se déroulent dans un sympathique village de vacances. Ce soir je viens de raccompagner mon mari qui reprend son travail une semaine plus tôt.
     Le TGV vient de s’ébranler et je traverse le hall pour reprendre la voiture. Un conducteur tente vainement de démarrer son véhicule. Mais, vraisemblablement, la batterie vient de rendre l’âme. Je reconnais Teddy : le professeur de gym et de maître nageur du village. Antillais, environ vingt cinq ans, athlétique, ses belles dents blanches, son sourire enjôleur, sa grande stature lui confèrent une aura auprès de la gent féminine.
     - Laissez votre voiture ! Je vous ramène au village !     - Bonsoir Christine merci de m’éviter une longue marche à pied.
     Son regard perçant a repéré que mes seins sont libres sous ma robe légère. Je suis à la fois flattée et gênée :
     - Vous avez de la chance ! Je viens de déposer mon mari à la gare.     - C’est lui qui a de la chance d’avoir avec une si charmante femme !     - Hélas ! C’est son travail qui l’intéresse avant tout     - C’est bien dommage ! Si j’étais à sa place...
     Teddy me dévore des yeux. cela fait bien longtemps qu’un homme ne m’a pas regardée ainsi :
     - A votre age et mignon comme vous l’êtes, les jeunes femmes doivent vous tomber dans les bras. Moi j’ai quarante deux ans ! Alors... !     - Détrompez vous ! J’aime autant les femmes mures !     - Qu’est-ce qu’elles ont de plus ?     - Elles sont plus gourmandes, souvent insatisfaites, enclines à tenter de nouvelles expériences     - Quelles expérience ?     - Je ne sais pas ! Avoir une aventure avec un partenaire plus jeune ou un homme de couleur !
     Son allusion coquine réveille en moi le vieux fantasme de beaucoup de femmes. Sont-ils aussi bien montés et aussi bons amants que le dit la légende ? Mon esprit est tiraillé entre mes scrupules d’épouse fidèle, la crainte que mon mari n’apprenne une éventuelle incartade. Le constat est pourtant amer : ce dernier n’est plus capable de me procurer un orgasme !     Malgré moi, je jette un regard sur Teddy et plus particulièrement sur la bosse imposante qui déforme son jean.     Ainsi, mon age et mes rondeurs parviennent encore à troubler un homme. Je le regarde, amusée :
     - Tu oublies une chose : je suis mariée !     - Tu ne serais pas la première femme mariée à tenter l’expérience ! rétorque malicieusement mon interlocuteur.
     Je deviens rouge de confusion. Le silence s’installe pendant le reste du trajet.
     - Je ne t’ai pas choquée ?     - Pas du tout !
     La voiture s’arrête devant le gîte désert
     - Merci beaucoup ! Viens prendre un verre !     - Je vais voir ce que font mes enfants et je te rejoins !
     Comme l’équipe d’animation organise une soirée dansante pour les adolescents, je suis donc tranquille !     Sous la douche, tandis que l’eau glisse sur ma peau, des pensées inavouables s’emparent de mon esprit : une petite voix me suggère :
     - Profites-en ma fille ! L’occasion ne se présentera pas de si tôt !
     En effet, je rentre samedi et mon mari ne pourra rien savoir. Je travaille à la mairie de notre petite bourgade et les ragots courent très vite. Trop risqué !
     - Tu as un fantasme et l’occasion inespérée de le réaliser ! Profites-en ! me conseille la petite voix
     Je me souviens encore des gémissement de plaisir d’une copine que je savais en compagnie d’un grand black.     J’enfile une robe de coton blanc se boutonnant par le devant et qui peine à contenir mes seins généreux.. Ce soir, je me sens à nouveau belle et désirable ! A mesure que je m’approche du bungalow du beau prof de gym, une douce chaleur commence peu à peu à envahir mon corps. Mon cœur s’est mis a battre la chamade. Je frappe discrètement, jetant un oeil inquiet aux alentours. Mais la nuit d’été enveloppe la pinède
     Teddy porte un short et une chemisette a fleur a demi ouverte sur un poitrail musclé. Il est vraiment craquant ! A la faveur d’un punch bien frais puis un autre, l’alcool commence à me griser gommant mes inhibitions. Rapidement la conversation glisse vers le sexe et les allusions coquines.
     - Ton mari a de la chance !     - Il ne me regarde plus !     - Je peux le remplacer si tu veux ! en posant ses mains sur ma poitrine.
     Je reste paralysée par son sourire aguicheur et attendrissant. La chaleur envahit mon entrejambe. La pointe de mes seins se tend sous l'étoffe légère. Teddy s'en est aperçu. Ses mains, plus pressantes, se promènent dans ma robe. Ses doigts s'attardent sur mes mamelons. Les yeux clos je m’abandonne ! Il se décide a ôter chaque bouton de ma robe en commençant par libérer ma poitrine. Sa main explore mon ventre., ôte les derniers boutons. tremblante d’excitation, je suis quasiment nue seulement vêtue de ma petite culotte. Il s’attarde sur le mince rempart de coton.     Je n'en peux plus ! Je suis liquéfiée ! J’ouvre les jambes. sa main s’immisce dans mon slip. Son index s'enfonce dans ma grotte tandis que son pouce s'attarde sur mon clitoris.. Ma petite culotte est détrempée. François l'enlève délicatement. Mon sexe est ouvert comme un fruit mur, mon clitoris dressé. Il m'embrasse dans le cou.
     Pendant que je le débarrasse de sa chemisette, la bosse de son short, frotte contre mon pubis.. Ses mains douces caressent mon dos. Ses doigts descendent fouiller a nouveau mon intimité. Quel contraste entre mes seins a la peau laiteuse se pressant sur son poitrail sombre ! Complètement excitée, je pense à son sexe, je l´imagine gros ! épais ! près à me faire jouir ! c’est plus fort que moi ! je veux savoir ! mes mains plongent dans son slip. Je ne     suis pas déçue : un long pieu que ma main n'arrive pas à entourer complètement. Je ferme les yeux imaginant un tel engin dans mon vagin. Mon sexe ruisselle tandis ma main masturbe doucement la longue tige de chair qui grossit sous mes caresses.     Les doigts de François s'attardent sur mon clitoris dressé. Il me sourit :
     - Tu as envie ?     - Oh oui ! mais tu es si gros ! j’ai peur d’avoir mal ! Tu es mon premier black ! Et cette nuit j'assouvis un fantasme ! Tu es comme dans mes rêves !     - Laisse-moi faire ! Après tu ne pourras plus t’en passer !
     Il s'accroupit et entreprend un délicieux cunnilingus. Cette langue est si bonne, elle tourne autour de mon clitoris, descend vers l’entrée de mon vagin, goutte lentement à tous les replis de mes lèvres.     Mmmmh ! J’adore, je ruisselle de plaisir en écrasant ma chatte sur sa bouche gourmande. Il me boit en insinuant sa langue dans mon vagin. Ses mains me prennent les seins, les palpes sans ménagement. Jamais je n’ai gémis aussi fort, jamais je n’ai eu mon bassin qui ondulait si violemment sous le plaisir. Aaaaah ! Oh ouiiiiii ! Ca vient, je jouis dans sa bouche, je coule. Je râle de plaisir pendant de longues secondes,. Oh quel amant !
     Je mets de longues secondes à reprendre mes esprits. Mon amant me lèche doucement les lèvres attendant que je revienne à moi.
     Pendant que nous échangeons un baiser goulu ou nos langues s’entremêlent fougueusement, je descends fébrilement son short, libérant son sexe. qui se plaque contre mon ventre.
     Pendant qu’il achève de se déshabiller je suis fascinée par cette verge imposante droite et tendue, prête a me faire jouir. Il s’approche, glisse son sexe sur mon clitoris, mes lèvres détrempées. Je ferme les yeux subissant un délicieux supplice ! N'en pouvant plus, je rouvre les yeux, presse le sexe d'ébène a l’entrée de ma grotte. Son mandrin investit complètement ma paroi vaginale. Il recule, revient. A chaque poussée il va un peu plus loin. Puis délicatement, le pieu d'ébène fraye son chemin où seul lui peut aller. C'est divin !. Mon fourreau se dilate pour l'accueillir. Mon amant achève de me pénétrer. Ses testicules viennent toucher mes lèvres intimes.. C´est incroyable comme il me remplit, j´ai l´impression d´avoir mes parois complètement distendues par cet engin d´une grosseur phénoménale ! Je savoure cet instant en caressant son dos. nos langues se mêlent pour un baiser qui n’en finit plus tandis que mes mains se posent sur ses fesses musclées.
     Me sentant prête, Teddy commence son va et vient. D'abord lentement puis le mouvement s'accélère. Je me colle à lui. Son long bâton de chair laboure mon minou en feu. Je n'ai jamais été remplie ainsi ! Je ne pense plus qu´à ce sexe énorme qui me laboure. C´est doux, c´est chaud. Chaque coup de butoir augmente mon plaisir., je sens monter au fond de mon ventre de nouvelles sensations mon sexe palpite, mon vagin se contracte violemment Je ne suis plus qu´une sauvage en rut en train de se faire monter et mon corps tressaute de plaisir. Mon sexe se resserre puis se relâche.     Je jouis et il continue à besogner et je jouis à nouveau en pleurant. Ooooooh, comme c´est bon !     Mes jambes enlacent mon partenaire pour mieux le sentir en moi. Cette sensation de domination me rend folle et je jouis à nouveau avant de m´écrouler sur la banquette.     Son pieu profondément enfoui au fond de mes entrailles, il triomphe :
     - Alors ton premier black ?     - C’est super ! Ta bitte me rend folle de plaisir ! Continue !
     Encouragé, il continue à me besogner avec vigueur. Puis il se dégage, s'assoie sur la banquette. Je m'empale en lui tournant le dos. Ses belles mains sombres se posent sur mon ventre et accompagne le mouvement de mon bassin qui glisse sur sa tige luisante de mon miel. Je me colle à lui je sens son souffle chaud contre mon cou. Il me mordille une oreille. Je ne peux résister très longtemps à cette caresse. Il l'a deviné. Une main se plaque doucement sur mes lèvres détrempées.     Ma respiration devient haletante. Son pénis accélère son mouvement. Je n'en peux plus retenir. Une vague de plaisir m'inonde et je ne peux que crier ma jouissance. mes esprits. Cette fois, je m’empale face a lui
     Sa langue pétrit à nouveau la pointe de mes seins. Ses mains caressent mon dos. Son long sexe me remplit pleinement. Je me cambre en arrière. Quel contraste entre ma peau claire et celle, sombre de mon partenaire, entre mon minou blond entourant son pieu d'ébène. Je ferme les yeux.. il est infatigable mais surtout très attentif à mon plaisir.     Il semble deviner toutes mes faiblesses et par deux fois il m'amène à l'extase. J'oublie tout,. Moi la sage mère de famille, je suis devenue une femelle avide de plaisir. Enfin il me prend en levrette avec une violence inouïe. Ses testicules heurtent mes fesses avec un clapotement indécent. je ne vois plus sa queue, mais la sensation est intense. Son pénis cogne contre mon utérus m’arrachant un hurlement de plaisir a chaque assaut! Le plaisir en est presque douloureux ! C´est incroyable d’être pilonnée ainsi par cet engin d´une grosseur phénoménale.     Mes seins ballottent en cadence
     - Tu me sens bien ?me crie Teddy dans un souffle     - Oh oui ! Bien a fond !Encore plus fort !
     Mon amant force encore son mouvement ; l'orgasme arrive à nouveau violent, spectaculaire. Mon vagin se contracte sur la longue tige de chair. un flot de sperme déclenche Un orgasme encore plus violent que les précédents parcourant mon corps en vagues successives... Nous jouissons tous les deux bruyamment.     Teddy reprend ses esprits allongé sur la banquette-lit, la tête posée sur ma cuisse
     Je ferme les yeux en me remémorant des instants de plaisirs insensés
     - Cela fait des années que je n’ai pas joui ainsi ! Avec mon mari j’avais oublié comment c’était si intense ! J ai encore envie !     - Tu es insatiable ! Laisse-moi récupérer !.     - Laisse moi faire !
     Je m'allonge sur lui tête bêche pour saisir son sexe. Une main caresse le long pieu d'ébène alangui. L'autre main joue avec ses testicules. Aimera t’il cette caresse ?. Je m´applique en le titillant avec ma langue tout en le massant avec ma main. Je le suce avec application, caressant ses couilles puis ses fesses. Très vite sa queue grossit dans ma bouche.. J'ai envie de le faire gémir de plaisir.
     Son gland distend maintenant ma mâchoire. Je tourne ma langue avec délicatesse tandis que ma main continue à jouer avec ses bourses. Sa respiration devient rapide. Son sexe remplit totalement ma bouche. ses grandes mains se posent sur mes fesse Sa langue s'insinue dans ma grotte, agile, douce puis revient sur mon petit bouton. C'est divin ! je serre le long pieu d'ébène dressé devant moi.. je masturbe la longue tige de chair puis ma langue l’explore sur toute sa longueur. Je me redresse un instant pour contempler l’effet produit. A nouveau, ma langue     tourne autour de son gland puis l'aspire, titille les points sensibles. La langue qui me fouille devient moins précise. Les homm
Un mec se fait sucer la bite par deux grosses
Bien défoncer une brune
Fille indienne baise - Princesse

Report Page