Un bon missionnaire sur le canapé

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Position de la première fois, position d’appel, position classique… La position du missionnaire est souvent perçue comme légèrement ennuyeuse. Dommage, parce qu’elle est pleine de ressources. Nos conseils pour la regarder et la pratiquer… autrement. 
Parmi les positions sexuelles les plus évoquées et les plus pratiquées , impossible de passer à côté du missionnaire, de l’andromaque, de la levrette ou encore de la cuillère. Mais puisque le monde dans lequel nous vivons nous rabâche que le plaisir dépend particulièrement de notre souplesse, de notre imagination, mais aussi du sel et du poivre qu’il faudrait ingérer pour pimenter le tout, nous avons tendance à nous détourner de la simplicité pour ne pas tomber dans le sexe vanille. La position qui trinque en premier lieu ? Le missionnaire, soit la parfaite superposition : toi dessus, moi en dessous, et bonjour la pénétration. Pour autant, si le missionnaire reste une position basique et accessible, il ne mérite pas d’être rejeté de notre Kamasutra personnel. Pourquoi ? Parce qu’il peut nous procurer beaucoup de plaisir, voire même de nouveaux plaisirs. Nos idées pour le pratiquer sans passer par la case ennui, entre conseils pratiques, nouvelles méthodes et réflexions à mener.
Le souci, c’est que l’on perçoit le missionnaire comme une position de débutants ou de flemmards, et que cette image va à l’encontre du sexe sauvage ou torride. Mais nous faisons erreur : ce n’est pas parce que la position du missionnaire est aussi confortable qu’un canapé rembourré qu’il ne nous permet pas d’atteindre plaisir et orgasme. Au contraire, plus nous nous sentons à l’aise, plus nous nous ouvrons les portes de la jouissance. Car quid du sexe debout qui nous demande de nous concentrer sur notre équilibre ou nos abdos ? Là, c’est compliqué. En missionnaire, nous avons tout le luxe de focaliser sur le moment présent, notre corps et celui de notre partenaire, puisque nous sommes confortablement installés. 
Rien à voir avec le chat, ou votre chat. CAT signifie « Coital Alignment Technique ». Le CAT se pratique en missionnaire et propose un parfait alignement. Comment on fait ? On fusionne… au maximum. Le partenaire masculin, au-dessus, s’allonge « à fond » sur sa compagne (sans non plus l’écraser). Nous, dessous, on serre les jambes ou les enroule autour de notre partenaire. Après ça, on se lance dans des mouvements du bassin à deux (parce que oui, les femmes aussi sont actives pendant l’amour). Il ne s’agit donc pas d’une pénétration rythmée (je rentre, je sors) mais d’un glissement. Ensemble, on ondule, on danse. Magnifique pour jouir.
Ce que le missionnaire propose, c’est avant tout une pénétration « les doigts dans le nez » (l’image est sympa). Mais pour aller plus loin, notamment si on a le sentiment d’avoir fait le tour, on se munie d’un oreiller. C’est facile et pas cher. Mais on en fait quoi, de ce coussin ou de ce polochon ? On le place sous son bassin, tandis qu’on est allongée sur le dos. L’idée : provoquer une douce cambrure qui offrira alors un angle de pénétration nouveau. Ensuite, c’est libre : on peut déplacer le coussin (un peu plus haut, un peu plus bas) pour faire varier les sensations jusqu’à trouver son bonheur. Une variante sans oreiller ? On plonge sa tête dans le vide (le corps reste sur le lit). Et parce qu’on est « penchée » vers l’arrière, on se retrouve à redresser légèrement son torse et son ventre.
Et s’il suffisait de relever ses jambes pour rencontrer de nouveaux plaisirs ? C’est généralement instinctif, et c’est la preuve que le missionnaire ne connaît pas une seule version. L’avantage d’un tel réflexe, c’est que le confort n’est en rien perturbé : nous sommes toujours allongée, toujours à l’aise, toujours tranquille. On peut, au choix, lever les jambes bien haut (comme à la gym), les relever comme si on tentait de ramener ses genoux vers sa poitrine, ou encore les envelopper autour du partenaire. Sinon, on ferme les jambes, mais vraiment. Là, on découvre une autre pénétration. Et c’est fou parce que ça se joue vraiment à un détail. 
La pénétration, donc, c’est bien. Mais dans la vie (sexuelle), il n’y a pas que ça. Le plaisir est un tout, et le rapport sexuel n’a rien d’une succession d’étapes (préliminaires, pénétration, jouissance). Alors pourquoi ne pas pratiquer le missionnaire sans elle, sans cette pratique prétendument incontournable qui est contournable ? Pour cela, on mise sur les frottements, et autant dire que les frottements font partie du missionnaire, c’est d’ailleurs pour ça qu’on l’aime. On se positionne donc l’un sur l’autre et on prend du plaisir à caresser nos corps. On peut même garder nos sous-vêtements dans un premier temps, car la couche de tissu qui nous sépare accentue les sensations. Enfin, on note que le pénis qui caresse la vulve, c’est super. 
Prenons le missionnaire à l’envers… et ça donne l’andromaque. Vous allez nous dire : l’andromaque n’est pas le missionnaire, sinon il ne s’appellerait pas l’andromaque. Mais bon, l’andromaque s’appelle aussi le missionnaire inversé, comme quoi on ne fait pas fausse route. On choisit donc de se retourner. Cette fois, on passe au-dessus, et on profite alors des avantages du missionnaire tout en découvrant du nouveau : avec cette variante, on a davantage le contrôle mais on peut aussi s’abandonner et laisser son partenaire, en dessous, rythmer les va-et-vient (qu’ils soient pénétratifs… ou de simples frottements). Autre surprise : on gère l’angle de la pénétration très facilement puisque les mouvements sont plus aisés.
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Où se délassent les experts du canapé ?






Par Anne Eveillard,






publié le

19/11/2011 à 13:00

19/11/2011 à 13:00


Ils éditent, dessinent ou commercialisent des sièges. Mais sur lesquels se posent-ils et se reposent-ils une fois chez eux ? Un sofa de diva ? Un divin divan ? Un fauteuil pour deux ? Une exclusivité Maison Française...

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- Chez Nicolas Roche, directeur de collection chez Roche Bobois

- Il habite dans une maison bleue, non pas à San Francisco mais à deux pas des Buttes Chaumont, à Paris. C'est ici qu'il vit depuis une dizaine d'années : un brin en marge de l'agitation de la capitale, mais l'architecte ne s'en plaint pas. Au contraire. Cette retraite lui permet de prendre le recul nécessaire pour mieux cerner les attentes d'une clientèle dont les besoins et les envies évoluent au rythme des nouvelles technologies et des nouveaux comportements qu'elles engendrent. Ainsi, en janvier prochain, dévoilera-t-il une table en verre coloré "qui accroche la lumière", un des éléments phares de la collection 2012 de Roche Bobois. Votre définition d'un "bon canapé" ? "C'est celui qui offre le choix de ses attitudes une fois que l'on y est assis. J'aime ne pas être figé et pouvoir bouger sur un canapé." Quelle est l'histoire de celui sur lequel vous posez ? "Il s'agit d'un prototype du canapé "Équation". Créé il y a une dizaine d'années chez Roche Bobois, il a été conçu comme une double chaise longue : on commence par s'y asseoir, puis on s'y affale. Ce modèle a été l'une de nos premières propositions pour répondre à l'émergence du home-cinéma et de cette nouvelle demande de spectacle à la maison." Le partagez-vous avec d'autres personnes ? "Oui. Lorsque je reçois des amis, jusqu'à trois personnes peuvent s'y asseoir en même temps." Quelle est votre position préférée sur ce canapé ? "Allongé ou en tailleur. Dessus, je peux aussi bien faire la sieste que lire ou éplucher les légumes." Quel modèle rêvez-vous d'avoir ? " "L'Anagramme" dessiné par Hans Hopfer pour Roche Bobois . J'aime ses rondeurs, les coussins posés sur l'assise et le jeu des matières entre effet tendu et fripé." Petite confidence entre amis : "Souvent, lorsque je reçois, mes invités et moi finissons par nous asseoir à même le sol. J'aime cette ambiance informelle. Quand on vit toute la journée au milieu des canapés, on a envie de s'en échapper une fois chez soi." Nicolas Roche dans sa maison bleue du XIXe arrondissement de Paris. Canapé "Équation" ( Roche Bobois ), tapis en patchwork de loup de Sibérie, table années 1950 en bois laqué et verre avec dorure sélective à la feuille. Au mur : la vache vue par Andy Warhol choisie pour "ses couleurs saturées qui se recouvrent".



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- Chez Stéphanie Marin, designer et directrice de Smarin

- À 38 ans, Stéphanie Marin fonctionne à l'instinct et suit les chemins de traverse. Hors du moule, en marge de Paris, elle a fait son bonhomme de chemin. Sans compromis. Depuis 2004, cette Marseillaise basée à Nice a créé Smarin, une société qui édite mobilier et objets. Indépendante, la designer prône une conception responsable en écodéveloppement et une fabrication 100 % française. "C'est la gestuelle induite par l'utilisation" qui la guide tout au long du travail de création. Son univers sort ainsi des sentiers battus, tout en confort, tout en douceur, féminin et en même temps pensé pour faciliter le quotidien en solo, en duo ou en famille. Votre définition d'un "bon canapé" ? "Il doit avoir une bonne assise, c'est la base de tout. Ensuite, le corps doit y être heureux, se sentir bien, être libéré des tensions pour laisser l'esprit s'évader." Quelle est l'histoire de celui sur lequel vous posez ? "C'est le modèle que j'ai baptisé "Nénuphare". Je l'ai voulu léger, facile à bouger, voire à emporter. Il est modulable, à géométrie variable, avec ses sphères ou demi-sphères colorées, et peut s'adapter à différents moments de la journée, notamment selon la présence - ou non - des enfants dans la maison." Le partagez-vous avec d'autres personnes ? "C'est le canapé du partage, un lieu de rassemblement et d'échange. Les membres de ma famille, dont mes quatre enfants, comme mes amis y sont les bienvenus. L'esprit de propriété, c'est petit." Quelle est votre position préférée sur ce canapé ? "Les jambes en l'air. J'aime bien m'y renverser." Quel modèle rêvez-vous d'avoir ? "J'en ai rêvé, je l'ai dessiné et il est désormais chez moi. Il s'agit du "Hasard", ce n'est pas un canapé mais le complément du sofa "Nénuphare". Il se compose d'un banc, d'une tablette et de deux étagères : c'est à la fois un paravent, une assise, une table basse, un bureau, une bibliothèque... pour remettre un peu d'ordre dans le chaos." Petite confidence entre amis : "Je viens de créer un petit tabouret à trois pieds qui, seul, permet de s'asseoir, mais en nombre devient un véritable système de rangement ." Chez Stéphanie Marin , à Nice. Son canapé préféré : le "Nénuphare", pour lequel elle a imaginé un "satellite" baptisé "Le Hasard" avec banc, tablette et étagères (le tout Smarin ). Atelier Smarin : Impasse Laurenti. 32, avenue Henri-Dunant, 06100 Nice. Tél. : 04 93 52 89 26.



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- Chez Pierre Perrigault, fondateur de Meubles et Fonction

- À plus de 80 ans, Pierre Perrigault vient de confier la direction générale de Meubles et Fonction à sa fille et à son gendre. Malgré cela, il reste présent dans les coulisses de cette institution parisienne qu'il a fondée en 1959. Un showroom de référence, car c'est ici qu'il a fait découvrir des talents tels que Verner Panton , Arne Jacobsen , Alberto Meda ou encore Pierre Paulin . "Je suis très attaché au design pur et sincère", dit-il. Ancien élève de l'école Boulle, il a vite compris qu'il n'avait pas le talent du crayon, mais celui du jugement et de l'exigence. "Ma vocation n'était pas de créer, mais de promouvoir la création." Surnommé "le missionnaire du design", il a reçu les hommages du musée des Arts décoratifs en 2009, avec l'exposition Pierre Perrigault, une passion, une donation. En effet, le fondateur de Meubles et Fonction a fait don au musée parisien de plusieurs pièces significatives. Votre définition d'un "bon canapé" ? "Il doit être actif. C'est-à-dire compact et donc facile à déplacer, mais aussi modulable, confortable, propice à la conversation et sa garniture ne doit pas être trop moelleuse afin de bien soutenir le dos." Quelle est l'histoire de celui sur lequel vous posez ? "Ce canapé, imaginé par Le Corbusier, Jeanneret et Pe
Sa copine doit aussi goutter à sa queue
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