Un beau plan à trois superbe

Un beau plan à trois superbe




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Un beau plan à trois superbe
Laure, débarrassée de Mathilde, mais moi, pas débarrassé d'Hélène. Laure est de plus en plus souvent avec elle, et ça m'énerve un peu. Elle a beau expliquer que ne travaillant pas il faut qu'elle s'occupe, je lui rétorque que si elle veut du boulot, je peux la faire bosser dans ma boîte ou chez une de mes relations. Elle me répond qu'elle se sent bien dans le magasin d'Hélène, que c'est un milieu qui lui convient, qu'elle a affaire quelques fois à de jolies filles ou femmes et que les aider à choisir un joli soutien gorge est un acte plutôt plaisant, et que c'est mieux que d'aligner des chiffres à longueur de journée, puisque c'est à peu prés tout ce qu'elle sait faire professionnellement. « Ok, OK tu as raison, n'empêche que ça me gonfle un peu que tu sois si souvent avec elle » De rage, Laure sort du jacuzzi, entoure sa taille d'une serviette et s'en va, râleuse. Ce n'est pas la première fois qu'on s'accroche sur ce sujet et je suis très mitigé sur ce que je dois en penser. Je suis à peu prés sûr qu'elle ne me ferait pas un coup dans le dos, mais ça ne m'empêche pas d'être anxieux à l'idée que la proximité d'Hélène... Merde, j'ai foiré la soirée, il faut que je récupère le coup. C'est vendredi soir, je propose à Laure une sortie en boîte avec les amis qu'on pourra trouver. « La boîte je veux bien, mais que nous deux » Répond ma chérie d'un air revanchard, qui cherche dans l'armoire le minimum à se mettre. Le minimum, pour elle ça sera ce qu'elle appelle un redresse seins ( qui n'en ont d'ailleurs pas besoin ), en clair un minuscule bout de soutien gorge noir qui mérite vraiment de s'appeler comme ça, puisqu'il ne fait que soutenir ses seins. Évidemment, le string noir qui va avec. Par dessus tout ça, un haut en soie noir qui ne cache pas la moitié de sa poitrine et laisse voir jusqu'à son nombril dés qu'elle se penche, mais ouf, elle met quand même un jean, moulant comme une deuxième peau. J'avais peur qu'elle ne parte en minijupe. La dernière fois qu'elle est sortie « déshabillée » comme ça, il a fallu que je fasse une opération commando avec les potes pour la dégager des trois blaireaux qui envisageaient de la prendre sans vraiment s'occuper de son avis, et du nôtre par la même occasion. Il faut dire qu'avec sa façon de danser, elle leur avait bien « allumé la chaudière ». Sur les trois, deux ont fini par s'excuser mais le troisième voulait sa part du butin, à tel point qu'il a fallu qu'on tape un peu dessus pour le calmer, et qu'on se barre en courant pour éviter de se faire massacrer. Ca va, ce soir elle a fait un peu plus attention. On saute dans la voiture. Pendant le trajet les souvenirs de cette soirée me reviennent, et je lui demande une fois de plus ou elle a appris à danser de la sorte. Cette fois elle veut bien me répondre, et me dit que quand elle était étudiante, pour faire de l'argent elle avait dansé quelques temps dans une boite de striptease. L'ayant vu danser dans des soirées précédentes, le patron lui avait proposé le job, et pour les cours de danse, c'était à la barre avec les autres filles, autrement dit, sur le tas. Je n'ai jamais osé lui demander de quoi le tas était fait !!. C'est à la fin d'une de ces soirées bandantes, que son abruti de copain qui l'avait raccompagnée chez elle l'avait violée. Je fais promettre à Laure de ne pas provoquer d'émeute ce soir, car tout seul je ne pourrai pas faire le coup de poing longtemps si besoin était. Laure qui caresse ma jambe me dit : « Moi aussi, je vais passer les vitesses !! » Sa main remonte doucement jusqu'à mon entrejambe et dose la pression. Je sens que je vais conduire au radar dans un moment. « Finalement j'aurais dû mettre la minijupe » dit ma chérie en se trémoussant pour quitter son jean qui résiste. Jugeant qu'elle va mettre trop de temps, elle s'attaque à ma braguette, plonge la main dedans et son contact chaud finit de parfaire mon érection. Laure dégage mon sexe et l'avale goulument. N'importe ou ailleurs, je ferme les yeux et me laisse faire, mais en roulant il faut que je me concentre à mort pour rester sur la route. « Tu aimes, mon chéri ??, c'est bon ?? » dit Laure entre deux tétées, et reprend sa caresse. Sa bouche et ses deux doigts en cercle font merveille sur mon gland congestionné. Laure a depuis le temps qu'elle est avec moi appris à doser et mesurer ses caresses pour me faire durer, et j'arrive à avaler les Km finalement assez lucidement. En fine stratège elle attend qu'on soit sur la longue ligne droite pour accélérer et quand je la sens passer la vitesse supérieure je ralentis pour ne pas aller encadrer un arbre. Laure crache dans sa main et me branle en me disant des mots cochons, elle sait qu'en plus de la caresse ça me met en transe. Elle me dit qu'elle voudrait avoir une sœur jumelle avec qui elle pourrait s'occuper de moi jusqu'à me faire mourir de plaisir. « A défaut de sœur jumelle, on pourrait faire ça avec Olivia » dis-je déjà parti. « Salaud, tu voudrais baiser ma petite sœur ?? » « Tu m'as bien proposé de faire ça à plusieurs, non ?? Et elle te ressemble tellement qu'elle pourrait passer pour ta sœur jumelle !! » « Tu es dégueulasse, je ne te suffis pas ?? » Pour que j'arrête de dire des âneries, Laure accélère le mouvement, sa bouche finit le travail. Je sens la pression augmenter et Laure reçoit les giclées au fond de la gorge. Comme à son habitude elle en garde un peu dans la bouche et m'embrasse, me rendant un peu du sperme que je lui ai fait avaler. « Tiens, ça reconstitueras un peu tes réserves pour plus tard » Dit Laure. « Sérieusement, tu coucherais avec Olivia ?? » dit-elle un peu angoissée. « Physiquement elle te ressemble beaucoup... Et elle est plus jeune !! » Pas contente du tout Laure me met une tarte. « T'es pas sympa ce soir, Yann. Attends qu'on soit en boîte, si je trouve un mec qui te ressemble, je te jure que je me jette dessus, et tant pis pour la suite. » Ouh là là là là !! ça se gate !! Je me gare sur le parking. Laure saute de la voiture et le temps que je paye, elle a disparu dans l'immense salle. J'ai le cœur qui monte dans les tours, mais d'inquiétude. Je parcours la pénombre des yeux, sans la voir. Je suis con avec mes idées sur Olivia, j'ai foutu le bordel... Je ne sais pas pendant combien de temps je tourne dans la salle disant bonjour à quelques connaissances, avant de l'apercevoir dansant avec un mec, brun comme moi, qui pourrait être moi, même corpulence, à peu prés la même taille. Je m'approche, stoppé net par un geste péremptoire de Laure, qui a décidé de faire sans moi. A ce moment je suis envahi par des sentiments qui jettent le trouble en moi. Je me sens honteux comme un gamin qui a fait une connerie, furieux de voir ma nana se frotter contre un autre mec, et jaloux comme un amoureux. J'ai envie de mettre des pains à tout le monde. Je suis partagé entre l'envie de lui rentrer dedans à lui, et celle de partir en laissant Laure se démerder, mais la raison l'emportant je me calme et décide de rester pour veiller au grain. Une fille brune hirsute ( elle a dû se faire exploser un pétard dans les cheveux ), me voyant planté là m'aborde et me prenant par la main me hurle à l'oreille: « Viens danser. » Hypnotisé par Laure je la suis, en ne perdant pas de vue ma chérie. La brune se déhanche tant qu'elle peut, et elle fait ça relativement bien, pourtant elle a l'air d'avoir déjà bien carburé, à mon avis si elle tombe en panne d'essence en rentrant, elle peut pisser dans son réservoir, la voiture devrait marcher. Tandis que j'essaie tant bien que mal de suivre le rythme, Laure a pris le mec par la taille et a enfourché sa jambe, et l'autre qui n'en demandait pas tant pose la main sur ses fesses et l'attire vers lui. « Putain, encore dix secondes et je le massacre ». Laure se dégage un peu, allongeant ainsi son espérance de vie. Ma cavalière qui a remarqué le manège me sort une phrase à la con du genre: « Laisse la s'amuser, et puis une de perdue, dix de retrouvées, je te plais pas, moi ?? » « Ok Laure, tu veux t'amuser, on va s'amuser » Et j'attrape à pleines mains les fesses de ma brune, qui laisse faire, vu que visiblement elle était à la recherche d'un peu de piquant ce soir. « Fuuuuu, t'as le feu, toi, comment tu t'appelles ?? », dit la brune « Yann, et toi, c'est comment ?? » « Moi Marianne, arrête un peu de me peloter les fesses et regarde moi plutôt, j'ai des yeux aussi » Obéissant, je lâche ses fesses et fais un peu le tour du propriétaire. Oui finalement elle n'est pas mal, la fille, pas bourrée elle doit être agréable. « Marianne, j'ai un gros service à te demander. Tu vois la fille rousse, à côté ?? est ce que tu peux aller lui dire que si elle n'est pas sur le parking dans 5 mn, Yann rentre à la maison sans elle ?? » « Et pourquoi je ferais ça ??» « Parce que le mec avec qui elle danse n'est pas mal non plus, tu le dragues un peu, tu le récupères pour toi, moi je rentre avec ma nana et tout le monde est content, c'est pas une bonne idée ?? » « Pour toi, oui, pour moi, non. J'ai déjà baisé avec lui ce soir. Ce soir je veux baiser avec tous les mecs qui me plaisent » « ... Et c'était pas bien, avec lui ?? » « Si, mais trop vite fait, dans les toilettes » « Justement, maintenant qu'il est purgé, ça devrait mieux se passer, parole d'homme » « Euh ! Oui... Tu as peut être raison » Il me faudra encore cinq bonnes minutes pour que Marianne acquiesce. Après avoir jaugé du regard la tête de nœud qui danse avec Laure, elle décide qu'il lui plait encore. Elle se détache de moi en disant: « Toi, tu es amoureux !! » « Tu as tout compris Marianne, merci, amusez vous bien. » Et je file vers la sortie, sans me retourner, mais en espérant qu'elle saura être convaincante. Appuyé contre la voiture j'attends un moment qui me paraît interminable et soudain, vois arriver ma superbe Laure, qui se jette dans mes bras « Plus jamais tu ne parles d'Olivia comme tout à l'heure, promis. » « Juré, chérie, juré, excuse moi mais tu me fais perdre la tête quand tu me caresses comme ça. » « Viens on rentre, à force de me frotter contre le mec avec qui je dansais, j'ai un peu l'eau à la bouche, tu es un peu jaloux quand même ?? » « Encore 5 mn et je vous étranglais tous les deux, heureusement que Marianne a su te convaincre. » « Imbécile, tu crois que j'avais besoin d'elle pour me convaincre. En fait j'ai tout expliqué à mon cavalier, en lui demandant d'en rajouter un peu et de surveiller tes réactions. C'est lui qui m'a dit que l'attaque était imminente, et j'ai décidé que ça suffisait. Ta poule est arrivée et je les ai laissés ensembles. » « Ne me fais plus des coups comme ça Laure, je préfère qu'on s'engueule une bonne fois, mais ça c'est insupportable pour moi. Te voir te frotter sur lui ça m'a rendu malade. » « Viens dans la voiture, on va arranger ça. » dit ma malicieuse Laure, « Non pas devant, derrière ». La voiture est dans un coin sombre, mais malgré tout sur le parking d'une boîte. En deux temps trois mouvements Laure s'est débarrassée de son jean, moi de mon futal, et je m'installe les fesses posées sur le bord du siège arrière. Laure se positionne en levrette, j'écarte la ficelle du string. Elle mouille comme j'aime, je plonge la main dans son jean et constate qu'elle a bien pris du plaisir à me torturer. A moins que ce ne soit le mec avec qui elle dansait qui l'ait mise dans cet état... Mais la vue des ses fesses me fait oublier les moments sombres de la soirée. Laure accrochée aux sièges de devant approche sa chatte de moi et je la gobe avec autant d'envie que si c'était la première fois. Elle passe la main entre ses cuisses et prend mon sexe pour le guider vers son puit de plaisir. Elle joue avec moi. Mon gland disparaît en elle, elle me dit que je ne la mérite pas, que j'ai été méchant avec elle, qu'elle aurait dû rester avec son cavalier et faire l'amour avec lui, que je ne dois plus parler d'Olivia comme je l'ai fait. Et plus elle me fait culpabiliser, plus je bande. Plus rien n'existe qu'elle et moi. Les noceurs qui passent à proximité et qui profitent du spectacle ne font pas retomber la pression. Je fais monter et descendre le vagin de Laure sur ma bite en feu, car Laure n'est plus à ce moment là qu'un vagin. Je la pénètre le plus loin possible pour me libérer de la tension de cette soirée. Laure se masturbe et me griffe les boules. J'attrape ses mains et les maintiens dans son dos pour la posséder complètement. « Barrez vous, barrez vous », crie Laure. Trois jeunes sont appuyés sur le capot de la voiture et nous matent. Laure dans cette position leur offre une vue imprenable sur ses seins, ils ont l'air d'apprécier, mais elle ne s'arrête pas. Elle s'empale sur moi de plus belle et les mouvements de son bassin me font comprendre qu'elle va jouir. Je lâche ses mains, et accrochée aux sièges elle jouit en criant comme une folle. Les 3 voyeurs doivent imaginer une fille comme Laure dans leur lit. L'un d'eux se lèche les lèvres, l'autre applaudit, et le 3ème tape contre le pare brise en disant : « Laisse la moi, laisse la moi » On s'en va, tous les deux à moitié à poil, il faut qu'on se sorte de ce parking au plus vite les 3 mateurs ont rameuté du monde. Laure rit, moi je fais craquer les vitesses du break, et on va se rhabiller un peu plus loin, en espérant qu'il n'y ait pas une ronde de flics... Sur le chemin du retour, Laure aborde subtilement à nouveau le sujet un peu tabou pour moi, de faire l'amour à plusieurs. « Comment as-tu connu Hélène ?? » demande t'elle « Quand je suis arrivé dans cette ville, et que je cherchais ou acheter des fringues, un jour je suis tombé sur son magasin. Elle était en train de refaire sa vitrine, et je t'avoue que je suis rentré dans le magasin plus pour elle que pour ce qu'elle vendait. » « Mais il n'y a pas de fringues pour hommes chez elle !! » « A l'époque, si. Mais elle a arrêté parce qu'elle n'en vendait pas assez » « Et alors, raconte, comment ça s'est passé avec Hélène ?? » Bon allez c'est l'heure des confessions, Laure est décidément curieuse de tout. « Hélène dans sa vitrine n'était pas particulièrement sexy, mais il y avait je ne sais quoi dans ses yeux, qui m'a décidé à entrer ». J'essaie de me rappeler exactement ces moments. « Son sourire n'était pas complètement commerçant, je ne sais pas comment dire... Peut-être en attente de plus qu'une discussion de vendeuse à client ». Laure recroquevillée sur son siège, est accrochée à mon bras et attend la suite. « En fait je crois que j'ai trouvé dans son regard la même chose que dans le tien, de la spontanéité, de l'écoute, de l'attention... » « Enfin, je suis rentré, elle est venue vers moi, ma première impression a été que c'était une jolie nana, qui portait bien les vêtements qu'elle vendait. Pas jeune, pas vieille, je lui donnais 35 ans à peu prés. » Laure fait le calcul vite fait et dit : « C'était en quelle année ?? » et après ma réponse annonce « Elle avait 32 ans » « Comme elle avait des bagues à tous les doigts, impossible de dire si elle était mariée. Je me souviens qu'elle portait un parfum très, très heu... enivrant ! » « Après lui avoir annoncé mes goûts, elle a déballé un tas de fringues et m'a conduit à une cabine. » « Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas, appelez moi. » « Et bien sur, j'ai eu besoin d'elle,… Madame, s'il vous plait ! » Hélène s'approche, je la regarde par l'interstice du rideau et la trouve vraiment pas mal du tout. Brune autant que Laure est rousse, de grands yeux noirs, très fine sans être maigre et pratiquement aussi grande que moi. « La chemise est sympa, mais les boutons sont un peu raide à boutonner ! » Elle rit. « Tous les mêmes ces hommes, des vainqueurs en puissance, mais ça a du mal pour fermer trois boutons » Dit-elle en me regardant droit dans les yeux. Mais elle aussi a du mal pour fermer les dits boutons, et ses mains s'attardent sur mon ventre et ma poitrine. « Vos clients hommes doivent être ravis du service, si vous le poussez jusque là » dis-je un peu narquois. « Pas pour tous, pas pour tous, il y en a qui sont plus agréables que d'autres... » Ravi de la réponse, je vais encore me faire couillonner en lui achetant un tas de fringues, et continue la discussion pendant qu'elle emballe tout ça. Je lui dis entre autres que ça ne fait pas longtemps que je suis dans cette ville, ce n'est pas vrai, mais pas grave, que je ne connais pas beaucoup de monde, ça c'est vrai, à part une autochtone qui a bien voulu partager ma vie pendant quelques temps et que j'ai larguée parce qu'elle était très instable, et avait trop souvent mal à la tête à mon goût !!, mais ça je ne lui dis pas !!. Sinon, des relations de boulot, pour certaines amicales, et pour les autres, juste commerciales. « Et vous ravissante commerçante, comment vous appelez vous ?? » « Hélène, et vous même Monsieur l'indiscret ?? » « Yann pour vous servir, si vous ne savez pas quoi faire ce soir, ou un autre. » « Ce soir non, mais demain … peut-être !!! » « Hélène je ne sais pas coudre, et les ourlets... » « Ah bien sur mais il faut que je les ébauche sur vous » Me revoilà en slip à essayer les pantalons, pour le premier je me change dans la cabine, pour les suivants, Hélène me dit que ça serait plus simple de faire ça devant elle, si ça ne me gêne pas. Et me voilà à peine habillé devant une nana que je connais depuis ½ heure à peine. Elle a l'air d'apprécier ce qu'elle voit, et moi j'apprécie la réaction. « Laure, tu dors ?? » « Non j'écoute, écarte un peu ton siège, que je pose la tête sur tes genoux. » Ma main s'égare sur ses seins, elle déboutonne son jean, qu'elle arrive à défaire. « Continue à me raconter ta rencontre, ne t'occupe pas de moi. » Je vois ses mains caresser son ventre à la limite du string et l'envie d'elle me reprend. Laure qui sent ma bosse appuie sa joue dessus par à coups pour me faire bien bander. Tant bien que mal je continue mon histoire en lui disant qu'Hélène me plante là pour aller s'occuper d'une cliente, vite expédiée puisqu'elle ne trouvera pas ce qu'elle cherche. « Bon, je m'occupe de vous. » Elle met des aiguilles pour délimiter les ourlets et s'écarte de temps en temps pour voir le résultat. Tout le temps qu'elle est penchée j'en profite pour la détailler, et j'ai de plus en plus envie qu'il se passe quelque chose « Vous êtes mariée charmante dame ?? » Elle se relève et me regarde, l'air de dire: « Il est gonflé lui !! » mais répond quand-même. « Non, mais ça vous intéresse tant que ça ?? » Question purement féminine car si je n'étais pas intéressé, je n'aurais pas posé la question. Laure a fermé les yeux et une de ses mains a disparu entre ses jambes. L'autre me caresse le bras. « Hélène, je ne vais pas vous cacher que je vous trouve charmante, et si vous ne changez pas d'avis, il me tarde d'être à demain soir. » Ma chérie soulève son bassin et se débarrasse de son string en gémissant. « Continue, raconte, je veux savoir ». Laure que mon histoire excite visiblement me met son string sous le nez. « Regarde comme je mouille, raconte, raconte. » dit-elle en reprenant l'exploration de son corps. Je vois son doigt entrer et sortir de son vagin. Son bout de tissu est trempé par sa liqueur. Je fais des efforts de concentration pour, me souvenir, conduire et ne pas perdre une miette du plaisir solitaire de ma délicieuse compagne qui en plus essaye de me faire décharger dans mon pantalon, simplement par la caresse de sa joue sur mon sexe qui commence vraiment à se sentir à l'étroit. « Hélène garde les pantalons et me dit de venir les récupérer le lendemain soir vers 19h00, sans me dire si elle accepte l'invitation. Tu penses bien que je n'aurais pas été en retard, tu me connais. » Le lendemain à l'heure dite, je déboule dans le magasin, Hélène est habillée comme une écolière, pas un bout de peau ne dépasse. « Bonjour Yann, vos pantalons sont faits, je ferme dans 10 mn, et je vous emmène dans un petit resto à quelques rues d'ici, ça vous va, on fera plus ample connaissance ?? » En fait de quelques rues, elle m'a fait faire 3 Km à pieds, pendant lesquels on a
Elle se tape l'agent lors d'un casting
Milf en manque bave sur une bonne bite
Ouvrir en grand son joli petit cul

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