Un beau père tente sa chance

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On a osé aimer à nouveau, refaire sa vie avec un autre et ses enfants. Sauf que, de cette tribu-là, les nôtres n’en veulent pas et déclarent la guerre. La relation entre beau-père et enfant, parfois ça passe, souvent ça casse.























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bonjour je cherche quel que conseil car je ss en couple depui plus de 5 et lorssque jais rencontree ma femme elle aptite fille que jais pris sous mon epaule et que jaime comme la miene et la depuit 2 ans elle me fait vivre lenfer la je ne ces plus koi faire je me dement ci le divorce ne cerrais pas la meillieur solution
merci a vous qui pourais mapporter votre conseille


Le role de beau père est très ingrat croyez moi! Tous les inconvénients sans les avantages!


difficile de juger quand on ne le vit pas
personne ne sait ce qu'il peut arriver, ça vous tombe dessus comme la misère


En fait, mon seul soucis est de savoir avec les enfants doivent passer le reste de leurs vies après une séparation. La majorité dira sûrement avec maman mais moi je pense le contraire car le nouveau papa ne va sûrement accepter directement même s'il ne le dit pas. Cependant vivre avec papa est synonyme d'assurance car c'est lui qui gagne la vie et c'est donc à lui d'imposer à la nouvelle maman d'accepter les enfants. Mon conseil : Il vaut mieux ne pas élever les enfants d'un autre car ça
pose souvent des problèmes sur la plan relationnel! Croyez moi, j'en fais l'expérience actuellement

Je vis cette situation mais je suis l'enfant. AU début j'étais rétissante au fait qu'un homme rentre dans notre vie alors que ça faisait 12 ans qu'on vivait toutes les trois seules. Mon père nous as dis un jour après avoir rencontré quelqu'un qu'il avait refait sa vie et que même pour une journée il nous reprendrait pas. Alors c'est sur quand cet homme est venu, je n'ai pas voulu de lui et mené la vie dure à ma mère. Aujourd'hui je commence à l'accepter et à faire abstraction du passé malgrè que j'ai beaucouop de mal à lui faire confiance. Bientot il viendras vivre chez nous et moi je partirais, ce sera un autre moment dure à vivre.
Il faut aussi se mettre à la place de l'enfant et en parler avec lui et ne pas l'enfoncer en lui racontant des mensonges.
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Nous, on pensait harmonie familiale et on se retrouve avec un ou une Tatie Danielle de 8, 12 ou 16 ans, en pleine guerre de tranchées, contre l’intrus qu’est notre nouvel amour, ainsi que ses alliés (dont nous). Notre enfant ne veut pas de cet "autre" dans sa vie, et encore moins dans la nôtre. Surtout s’il est convaincu que c’est lui qui a séparé le couple et brisé la famille. Loyauté oblige, les enfants choisissent toujours le camp de la victime (celui qui est quitté, celui qui n’a pas refait sa vie...) et sont parfois prêts à tout pour la venger. 
"C’est normal qu’un enfant essaie de séparer le couple dans une famille recomposée, car son souhait intime est de parvenir à remettre papa et maman ensemble. Et ce, quel que soit son âge. Y compris si le parent est décédé, car, symboliquement, il est toujours présent pour l’enfant", explique la psychothérapeute de couples Violaine-Patricia Galbert. De là une détermination opiniâtre : ne pas céder une once de terrain à l’arrivant, parfois considéré comme un rival. Plus encore si l’enfant ou l’ado a fait un retour à la case Œdipe, la séparation parentale lui ayant laissé penser que la place était désormais libre dans la vie de son parent. Cependant, il ne s’agit pas "seulement" d’occuper "la" place. Ses manifestations d’hostilité traduisent aussi sa peur. Surtout celle d’un nouvel échec. Et c’est pour se rassurer qu’il va tester la solidité du couple qu’on lui propose en nous mettant à l’épreuve.
Mais pour que son frein à la reconstruction familiale tourne vraiment au sabotage, il en faut plus. L’enfant s’engouffre dans les failles qu’il perçoit inconsciemment chez chacun des nouveaux amoureux et/ou dans leur relation beau-père enfant. Son attitude les accentue, mais ne les crée pas. "Il profite de ces failles pour tenter de prendre le pouvoir, d’expulser celui qui n’est pas son parent. Les femmes sont parfois plus vulnérables, car elles sont confrontées à des conflits de loyauté : concilier la "bonne" mère et la femme. Avec, en plus, la culpabilité, souvent énorme, d’imposer à leurs enfants un autre compagnon, après leur avoir déjà fait vivre la séparation d’avec leur père", analyse Violaine-Patricia Galbert. Et c’est souvent le moment où l’on bascule, comme en attestent les témoignages qui suivent. Fragilisée de ne plus reconnaître notre enfant chéri, déstabilisée par une situation qui nous échappe, parfois déçue par un homme que l’on découvre laxiste, peu enclin à nous soutenir, ou adoptant des points de vue déconcertants... Certaines parviennent à remettre à flot leurs amours et leur maisonnée, d’autres s’enfoncent dans le trou noir. Ce qui fait la différence ? "Tout dépend de la solidité du narcissisme : quand on a confiance en soi, on arrive à surmonter son sentiment de culpabilité par rapport aux enfants, ainsi que les peurs liées au fait de reconstruire un couple : peur d’être abandonnée par son homme, de ne pas être aimée de ses enfants, de subir leurs critiques, de ne pas être à la hauteur, de rater une fois encore. Mais lorsque le narcissisme est fragilisé, c’est insupportable d’entendre : "Je veux retourner chez mon père", cela réactive les angoisses d’abandon", ajoute Violaine-Patricia Galbert. "Que le beau-parent intervienne trop ou pas assez, l’ado trouvera toujours un prétexte pour se plaindre au parent avec lequel il/elle ne vit pas. Cela ravive le conflit parental qui venait juste de s’assoupir. C’est une manière de refaire le couple parental, même en négatif. C’est aux adultes de ne pas entrer dans ce jeu conflictuel", confirme le pédopsychiatre Patrice Huerre. Néanmoins, bonne nouvelle, le couple n’est pas forcément en danger "si les conjoints savent se soutenir dans leur rôle de parent ou de beau-parent et s’ils osent dire non à l’enfant, insiste la psychothérapeute. Sachant que dans une famille recomposée, ce qui est structurant pour l’enfant, c’est que le parent s’épanouisse dans son rôle de femme ou d’homme."
Alix, 43 ans, attachée de presse, un fils de 19 ans "Mon fils est devenu tyrannique et odieux quand Sylvain a emménagé chez moi. Il avait alors 17 ans. Bien qu’il ait son studio indépendant, aménagé dans une maisonnette dans le jardin, il faisait sans cesse intrusion dans notre intimité. Il débarquait sans frapper dans notre chambre pour me poser une question qui aurait pu attendre, il ouvrait la porte de la salle de bains quand nous y étions, sous prétexte qu’il n’avait plus de dentifrice ou de serviettes propres... Chaque fois, il ignorait Sylvain et ne s’adressait qu’à moi. Au petit-déjeuner, il s’étalait avec ses petites amies à demi dénudées. Le jour où Sylvain m’a dit, après avoir louché sur l’une d’elles pendant tout le repas : "Il a du goût, ce sont des bombes ses copines", j’ai commencé à avoir des doutes sur les intentions de mon fils. Mais je n’ai pas osé y croire, c’était tellement malsain. C’était un enfant précoce et brillant, il avait deux ans d’avance à l’école et était en prépa. Mais cette année-là, il a tout laissé tomber et ne s’est même pas présenté à un concours qu’il préparait avec acharnement depuis un an. Dès que nous étions seuls, j’essayais de lui parler, mais il vomissait sur Sylvain, il le traitait de gigolo ou de mac. Ça me faisait mal que mon enfant salisse l’homme que j’aimais. Puis un jour, à l’occasion d’une dispute, il l’a directement insulté en le taxant de "proxo" et de "gros con". J’étais ravagée par ces conflits perpétuels. Pour assurer au boulot, j’ai commencé à prendre des anxiolytiques la journée et des somnifères la nuit, jusqu’au jour où, n’en pouvant plus, Sylvain a lâché prise et m’a posé un ultimatum : "J’en ai marre de m’en prendre plein la tête. Avec ton fils, c’est invivable, il flingue notre vie. Tu choisis, c’est lui ou moi." J’ai basculé, et je me suis enfoncée dans l’horreur. J’étais épuisée, mon avenir était bouché, il m’était impossible de choisir. Je savais que Sylvain ne supporterait plus ces humiliations et qu’il allait me quitter pour de bon. Je ne comprenais pas que mon enfant refuse l’homme que j’aimais si fort, ni que Sylvain ne comprenne pas que j’étais aussi une mère. Alors un soir, j’ai avalé tous les cachets que j’avais. Je voulais vraiment mourir, mais je me suis réveillée à l’hôpital. Sylvain ne venait pas me voir et, n’ayant pas le téléphone dans ma chambre, je pleurais toute la journée. Par la suite, Sylvain m’a appris que mon fils lui avait fait interdire l’accès, en l’accusant de m’avoir poussée à la mort. Paradoxalement, mon fils était, lui, plutôt en forme, énergique, plus motivé que jamais pour ses études. En travaillant après avec mon psy, j’ai compris qu’il avait voulu évincer l’homme qui remplaçait son père et qu’il avait réussi, son but étant de prendre le pouvoir sur Sylvain et moi. C’est assez terrifiant de découvrir que son propre enfant puisse nourrir des intentions aussi néfastes, mais c’est mon fils, je l’aime et je continuerai à tout faire pour lui. Je n’ai plus d’homme dans ma vie, mon fils habite toujours à la maison et on m’a raconté récemment que Sylvain venait d’avoir une petite fille.
Christelle, 40 ans, photographe, un fils de 14 ans et une fille de 12 ans. Après mon divorce, j’ai eu des aventures, mais jamais rien d’officiel. Je m’arrangeais pour voir mes " fiancés " les soirs ou les week-ends où mes enfants étaient chez leur père. Avec Florian, c’était différent, on voulait vivre ensemble. Ils lui ont tout de suite fait la gueule, après avoir décrété que ça ne les intéressait pas de le connaître ! Je leur avais pourtant expliqué que rien ne changerait dans mon cœur, que je restais la même maman, que je les aimais toujours aussi fort. Mais ils se sont braqués. Quand Florian était là, ils me faisaient la tête, et quel que soit le plat que je cuisinais, mon fils marmonnait : "C’est dégueulasse..." Et dans les disputes, ça donnait : "La bouffe est trop nulle ici, ça pue. Au moins papa fait des trucs trop bons, en plus on va au resto." Tout semblait mieux chez leur père, il avait tout ce que je n’avais pas : les bons programmes du câble, les derniers dvd... Je me suis sentie très mal quand mon garçon est passé au chantage : "On ne veut pas être à la maison quand il est là. S’il vient on va chez papa." Ils ont même refusé de partir en vacances avec nous, ce fut mes premières vacances sans eux, totalement ratées, évidemment. Je les sentais s’éloigner de moi, j’étais déchirée et malheureuse. Je les aime, mais parfois je me disais qu’ils n’avaient pas à décider de ma vie, et j’accordais des soirées à Florian, morte de culpabilité. Eux se vengeaient. Mon fils a été renvoyé trois jours du collège pour avoir fumé du cannabis et traité son prof de sport de " bouffon", puis il a découché sans prévenir. Quant à sa sœur, elle s’est mise à somatiser : elle faisait des crises d’asthme phénoménales, pendant lesquelles j’annulais tout pour rester auprès d’elle, puis elle a fait des poussées d’acné terribles qui la faisaient pleurer. J’ai fini par délaisser mon homme pour me consacrer à eux. Florian, lui, ne comprenait plus mes revirements et ces mises à distance. Jusque-là, on s’était toujours réconciliés sur l’oreiller ; désormais, on ressassait nos problèmes au lieu de faire l’amour. Souvent, il explosait. Je voulais m’engager avec lui ou pas ? Il me disait qu’il se sentait rejeté, il a même eu une aventure avec une autre femme. Pourtant, un jour, il m’a demandée en mariage. J’en ai pleuré de bonheur, puis pleuré tout court. Mon fils a fait une crise mémorable en l’apprenant : il a jeté son assiette de pâtes par terre en disant qu’il refusait que " ce connard vienne chez lui et que s’il s’installait ici, il irait vivre chez son père" . Je me suis mariée, mais mon fils n’est pas venu à la cérémonie. Et il a effectivement demandé à changer la garde alternée pour ne venir qu’un week-end sur deux (et encore...), et rester chez son père toute la semaine. Florian n’avait pas d’enfant et crevait d’envie de fonder une famille avec moi. Ce qui aurait dû me combler de joie m’a plongée dans l’angoisse. J’aurais bien eu un petit troisième, mais j’avais un peu évoqué le sujet, et mon fils avait été cinglant : "Déjà que c’est naze ici, si en plus ça pue la m... avec un nain... On reviendra quand il sera grand ! En plus, il sera sûrement débile." Les conséquences ont été dramatiques : j’avais tellement peur d’une grossesse, malgré la pilule, que je n’arrivais plus à faire l’amour avec Florian. J’ai perdu tout désir, j’étais bloquée. Même nos jeux érotiques, si excitants auparavant, me laissaient inerte. Je l’aimais, mais j’avais une forme de dégoût à le laisser me toucher et à le caresser. Son désir de paternité était si fort et si pressant que j’étouffais. Un an après notre mariage, nous ne faisions plus l’amour, je maigrissais de plus en plus et je dormais mal. Nous avons fini par divorcer. Aujourd’hui, mes enfants ont repris le rythme de la garde alternée. Je les aime, mais je leur en veux un peu quand même – et à moi aussi – de ne pas avoir su quoi faire pour éviter ce drame. Nous avions tout pour être heureux.
Corinne, 44 ans, consultante en marketing, deux fils de 17 ans et de 11 ans et une fille de 8 ans. D’emblée, mon fils aîné de 17 ans a appelé mon compagnon " l’autre ", et quand on s’est installé tous les cinq, il est devenu exécrable, y compris avec son frère et sa petite sœur. Dès qu’il rentrait, les portes claquaient, la musique était à fond, il donnait des ordres au lieu de demander. Un jour, j’ai reçu un coup de fil du proviseur : il passait en conseil de discipline parce que, en cours, il avait sifflé à plusieurs reprises sa prof de physique. Elle était jeune, et avec sa bande de copains, ils lui auraient, en plus, fait des avances. Evidemment, il avait intercepté les courriers du lycée dans la boîte aux lettres, et je n’avais rien su. Une autre fois, il est rentré avec un lecteur MP3 visiblement "tombé du camion"... On lui a imposé de le rendre, il nous a ri au nez en nous traitant de bourgeois fachos. On aurait dit un coq qui pérorait. Je me sentais fautive, je lui en avais sûrement trop demandé depuis mon divorce parce qu’il était l’aîné. Il avait eu la place de petit roi à la maison et il se mettait maintenant en rivalité avec mon compagnon. Lequel fuyait les conflits en filant à l’extérieur pendant des heures. Le père de mon fils était en poste au Moyen-Orient, mais ils gardaient une belle complicité malgré la distance, et il lui remontait régulièrement les bretelles au téléphone. Hélas, cela n’a pas suffi. Il s’est mis à boire de l’alcool avec ses copains et sa chambre ressemblait à une poubelle. Puis il a commencé à piquer des bricoles dans les magasins. Nous l’avons puni et privé de sa semaine de ski pendant les vacances, avec interdiction de sortir. Lorsqu’il a essayé de faire le mur, on en est presque venus aux mains, mais ce sont ses paroles qui m’ont le plus blessée : "De toute façon, t’es jamais là. Quand c’est pas pour ton mec, c’est ton taf ! Tu n’as qu’à nous mettre à la DDASS, tu seras débarrassée ! " Il n’y avait plus que de la violence entre mon fils et moi. Et dès que mon homme ouvrait la bouche, il le rembarrait d’un " T’es pas mon père !" J’étais à bout, pas une soirée ne se passait sans disputes, mon compagnon disait de plus en plus souvent qu’il aimerait davantage de calme en rentrant chez lui, que si ça continuait, il irait dormir ailleurs pour se reposer un peu. Le pire, c’est que les petits en subissaient les conséquences. Ça m’a fendu le cœur quand ma fille a dit : "Il ne fait que des bêtises, vous vous occupez tout le temps de lui et personne ne s’intéresse à nous." Mon couple partait à vau-l’eau et je me sentais la plus mauvaise mère du monde. Mon ex-mari et moi avons décidé qu’il irait s’installer chez lui sans attendre la fin de l’année scolaire – pour ce qu’il y faisait... – et qu’il serait inscrit au lycée français là-bas. Tout est redevenu calme, mais je culpabilisais : ça donnait raison à mon fils, je m’étais "débarrassée" de lui pour donner une chance à notre famille. Pourtant, rien n’était plus pareil avec mon compagnon. En fait, je trouvais que mon ex-mari avait beaucoup plus assuré que lui, malgré la distance, tandis qu’il y avait eu beaucoup de lâcheté chez lui, qu’il avait mis du temps à m’épauler. Notre histoire a duré encore un an, mais je ne saurais dire si c’est mon fils qui nous a séparés ou s’il a été le révélateur : étions-nous faits l’un pour l’autre ?
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Bonjour, Je vis dans une famille recomposée depuis environ 3 à 4 ans si je ne m'abuse. Dans cette famille, Ma mère : follement amoureuse de mon beau-père, elle tente à chaque fois de régler les situations et essait au mieux d'arranger les soucis, quels qu'ils soient ; Mon frère : ancien teuffeur (rave-party : drogue, alcool...), agé de 20 ans, vit avec nous. Il paye une petite somme pour avoir sa chambre étant donné qu'il travaille. Seulement, il est en arrêt maladie depuis un mois pour déprime (à cause de son patron) ; Mon beau-père : Homme fier de ce qu'il est et de ce qu'il fait, ne lâche jamais le morceaux et a toujours raison. Il est selon sa fierté "l'homme de la maison" (il n'a pas dit ça, je le pense) et croit tout diriger, il croit que nous sommes ses enfants et croit pouvoir tout nous faire faire. S'il a raison, alors on doit le suivre (hum... hum... j'en viens à moi juste après). C'est un homme gentil certes, mais qui a des sautes d'humeur à la con, il faut l'avouer. Il nous traite parfois (souvent) comme des merdes moi et mon frère. Cependant, ses enfants à lui sont des dieux, c'est évident... Moi, la plus jeune : J'ai 17 ans (bientôt 18) et ne constate seulement ce qu'il se passe dans cette maison recomposée. Je fais ma vie seule et ne participe pas trop à la vie en "famille". Je reste dans ma chambre à faire ma vie donc. Je participe cependant à lécher le cul de celui-
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