Un appel et un verre de vin

Un appel et un verre de vin




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un appel et un verre de vin






Alsace







Bordeaux







Champagne







Corse







Jura







Languedoc-Roussillon







Provence







Sud-Ouest







Val de Loire







Vallée du Rhône







Cahors







Bouches-du-Rhône







Corbières





En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. 
Choisissez les types de cookies que vous acceptez :





Alsace





Bordeaux





Champagne





Corse





Jura





Languedoc-Roussillon





Provence





Sud-Ouest





Val de Loire





Vallée du Rhône





Cahors





Bouches-du-Rhône





Corbières









Cognac & Armagnac





Rhum





Alcool à base de plantes





Liqueur





Autres eaux-de-vie





Whisky





Pineau des Charentes






Accueil



>

Blog


>

Accords mets & vins


> Choisir un verre selon le vin servi


Choisir un verre selon le vin servi






Comment bien choisir votre verre à vin ?






Nos vins




Vin bio




Vin biodynamique




Vin naturel






Le contenu de ce site est interdit aux moins de 18 ans. Confirmez-vous avoir plus de 18 ans ?

Le verre à vin joue un rôle crucial dans la dégustation. Sa taille et sa forme vous permettent d’apprécier les qualités de chaque vin, qu’il soit rouge ou blanc, rosé ou pétillant. Notre sommelier vous aide à choisir le verre idéal en fonction du vin que vous allez servir.
Les caractéristiques de votre verre vont influer sur les aspects visuels, olfactifs et gustatifs des vins que vous allez déguster.
Les verres à vin se déclinent sous différentes formes : évasés ou étroits, en forme de ballon ou de tulipe, etc. La forme de votre verre va diffuser différemment les arômes du vin qui vont remonter le long de la paroi jusqu’à votre nez. Le diamètre de l’ouverture, appelé le buvant, est un élément déterminant pour une bonne diffusion des arômes de votre vin. Et pourquoi sert-on le vin dans des verres à pied ? Tout simplement parce qu’en tenant votre verre par le pied, vous évitez de réchauffer le vin par le contact avec votre main.
Pour servir votre bouteille de vin, vous avez le choix entre différentes tailles de verre, du plus petit au plus grand. Pour profiter pleinement de la dégustation, la taille de votre verre constitue un des critères les plus importants. En effet, elle va permettre une plus ou moins bonne oxygénation . La largeur de la surface de contact avec l’air va influer sur la libération des arômes de votre vin.
D’un point de vue esthétique, il est vrai qu’il existe de beaux verres de différentes couleurs. Mais pour ne pas nuire à l’expérience de dégustation, il sera préférable de porter son choix sur un verre transparent (verre, cristal, cristallin…). Vous pourrez ainsi mieux distinguer la robe de votre vin. Cependant, rien ne vous empêche de jouer sur l’originalité en servant votre vin dans des verres aux pieds colorés.
La forme « tulipe » du verre INAO à l’énorme avantage de convenir à tous les types de vins : blanc, rouge, rosé et même pétillant. Cependant, il existe un grand nombre d’autres formes de verre ayant leurs propres spécificités et qui sublimeront la dégustation des meilleurs crus !
Le sommelier de Petit Bouchon Authentique® vous conseille un verre évasé vers le fond et légèrement resserré vers le haut . Le choix de votre verre dépend de l’origine du vin rouge que vous souhaitez servir. En effet, on distingue trois types de verres :
Notre conseil : remplir les verres à vin rouge à la moitié, soit environ 12 cl.
Si vous servez un vin blanc, vous devez opter pour un verre plus petit et plus resserré vers le haut.
Notre conseil : remplir les verres à vin blanc au tiers, soit environ 8 cl.
Pour préserver l’effervescence de votre champagne ou de tout autre vin mousseux (Prosecco, Vouvray, etc.), les avis divergent…
Notre conseil : remplir les verres à champagne au ¾, soit environ 18 cl.
Et voilà, maintenant, avant de dresser votre table et de servir vos invités, vous saurez quels verres à vin choisir en fonction des bouteilles à déguster…
Et pour choisir le vin qui convient à vos verres, rendez-vous sur la cave Petit Bouchon Authentique® !
Suivez notre actualité sur les réseaux sociaux
Inscrivez-vous à la newsletter pour rester informé de notre actualité et bons plans

Vous devez activer les cookies pour utiliser le site.


Pour savoir comment activer les cookies sur votre navigateur, rendez vous sur la page suivante:

http://www.accepterlescookies.com/ 



S'abonner, c'est soutenir un journalisme porteur d'espérance. Découvrir nos offres





Accueil


/ Christianisme


/ Témoignage




[Le sens de la marche 6/6] Dans notre série d’été 2022, un témoin nous accompagne, chaque semaine, dans ses pérégrinations et nous confie un objet qui l’a marqué et porté tout au long de son parcours. Ici, le verre de vin, par le créateur en Côte-d’Or du Chemin gourmand, Pierre Mostacci.

Publié le 12/08/2022 à 13h02 I Mis à jour le 12/08/2022 à 13h02
Vous souhaitez soutenir la rédaction ?
Je m’abonne à 1€ le premier mois


Marche
Vigne
Vins
Bourgogne




Analyse, décryptage, information et débat retrouvent du sens dans La Vie

Choisissez la formule d'abonnement qui vous convient
Je m'abonne



Les sourciers sont-ils des sorciers ?



Découvrez nos offres 100% numérique

1€ le 1 er mois

Gestion des cookies - Tous droits réservés - La Vie 2020
VOUS ÊTES ABONNÉ AU MAGAZINE PAPIER ?
Activez votre compte pour accéder à l'édition numérique incluse dans votre abonnement
Inscrivez-vous pour recevoir nos newsletters
Vous souhaitez offrir un abonnement ?
À chaque étape, les randonneurs goûtent à des crus différents pour découvrir un terroir et partager.
• C. LAPOINTE/RANDONNÉES GOURMANDES
Lors de notre balade pédestre gastronomique en Côte-d'Or, un verre de vin est distribué à chacun. Les gens ne viennent pas pour s’enivrer, mais découvrir et partager. Pour s’imprégner de notre paysage viticole, terroir réputé, quoi de mieux que déguster ses vins ?
À chaque étape, les marcheurs goûtent à des crus différents. Depuis 2015, les climats du vignoble de Bourgogne figurent au patrimoine mondial de l’Unesco. Ce sont des parcelles, chacune avec sa variété géologique, ses qualités gustatives.
Dès le Moyen Âge, les vignes s’y sont développées. Les moines des abbayes bénédictines et cisterciennes voisines, notamment celle de Cîteaux, installés ici vers 1100, ont créé de grands domaines viticoles et contribué au rayonnement de nos vins. Au début du XX e siècle, catastrophe, le phylloxéra a ravagé la vigne. Elle a été replantée à partir de greffons américains. Ici, le vin suscite les célébrations : la Saint-Vincent tournante est une grande fête des vignerons.
Quand nous nous sommes installés dans la région, mes amis du Nord se sont moqués de moi : « Il y a erreur, tu ne connais pas le vin, mais la bière, toi le ch’ti ! » J’ai suivi une initiation à l’œnologie. Car les vins locaux sont complexes, ils se transforment chimiquement avec le temps. Leur robe est assez claire, sauf les années de grand ensoleillement. Nuits-Saint-Georges est aussi le berceau de la Confrérie des chevaliers du Tastevin.
J’ai été intronisé deux ans après mon arrivée en Bourgogne. La confrérie est basée au château du Clos-de-Vougeot, autrefois le cellier des moines de Cîteaux. Ils ont construit là des bâtiments d’exploitation viticoles dès le XII e siècle.
À Nuits-Saint-Georges, je me sens chez moi. J’ai la chance d’avoir vécu une vie professionnelle et familiale heureuse. L’amitié compte aussi pour moi. Le vin représente un élément de convivialité important. En fonction de qui l’on reçoit, la bouteille que l’on met sur la table a plus ou moins de valeur. Je suis devenu un enfant adoptif de la Bourgogne, et ­Francine l’Alsacienne aussi. C’est notre patrie d’élection, celle où nous nous sentons heureux.
La Vie propose une partie de son contenu gratuitement, mais l’information de qualité a un coût. Votre soutien est précieux pour nous aider à préserver notre exigence journalistique et l’indépendance de notre rédaction.

Notre sélection d'articles sur le même sujet


Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Cookies de performances , Cookies strictements néccessaires , Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer









Newsletters
L’Express
Nouvelles vies
Bien-être
Plaisirs



Article réservé aux abonnés

Durée : 3 min







Tendances


Vins et Alcools








Propos recueillis par Stéphanie Gendron


Publié le
05/07/2022 à 07:00







Tendances


Vins et Alcools




Pour suivre l’analyse et le décryptage où que vous soyez
Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement


Offrez gratuitement la lecture de cet article à un proche :

« Pierre Gattaz : "Il y a tout dans un verre de vin" »


L’article sera disponible à la lecture pour votre bénéficiaire durant les 72h suivant l’envoi de ce formulaire, en cliquant sur le lien reçu par e-mail.


Assurez-vous que la personne à laquelle vous offrez l’article concerné accepte de communiquer son adresse e-mail à L’Express.
Les informations renseignées dans ce formulaire sont destinées au Groupe L’Express pour l’envoi de l’article sélectionné à votre proche, lequel sera informé de votre identité. Pour toute information complémentaire, consulter notre Politique de protection des données .


Vous venez d’offrir à mail@mail.com l’article suivant :


« Pierre Gattaz : "Il y a tout dans un verre de vin" »


Une erreur est survenue. Veuillez réessayer.

Profitez du 1er mois offert, sans engagement
Profitez du 1er mois offert, sans engagement

Offre Découverte​

1 er mois offert

sans engagement

Pierre Gattaz, propriétaire du Château de Sannes
L'Express : Pourquoi avez-vous choisi d'investir dans le vin, qui plus est en famille ? 

Pierre Gattaz : C'était à la fin de mon mandat au Medef. J'avais mené près de cinq ans de combat pour les réformes économiques et sociales, avec beaucoup de passion. Je voulais monter un projet entrepreneurial, territorial et environnemental, en phase avec mes valeurs. Or il y a tout dans un verre de vin : l'expertise locale, la météo, la géographie, la géologie, la nature, la religion, l'histoire. C'est l'excellence française ! Quant au côté familial, j'ai quatre enfants, deux filles et deux garçons. Je ne les ai pas beaucoup vu grandir. Avec mon épouse, nous les avons donc embarqués dans cette aventure. Cela a tout d'une start-up. 

Comment les rôles sont-ils répartis ? 

Chacun a son périmètre de prédilection : la production, le commerce, la communication... Et tous participent aux dégustations . Pas en même temps, mais en fonction de leurs agendas professionnels. Nous avons toujours un ou deux enfants au chai, au moins une fois par mois, et nous échangeons deux ou trois mails tous les soirs. Ce projet leur apprend le management, le calcul d'un prix de vente, les marges, les investissements, la créativité, l'innovation... 

Pourquoi avoir choisi la Provence ? 

J'ai toujours adoré cette région où j'allais en vacances chez mes grands-parents. Je suis imprégné de ses arômes, de ses lumières. Nous sommes tombés sur cette propriété dans le Luberon, qui a l'avantage de ne pas être pas trop loin de Paris en train. Le domaine appartenait à une Anglaise, veuve de l'éditeur Paul Hamlyn. Le domaine comprend 70 hectares, dont 35 hectares de vignes, et trois bâtisses, notamment une du XVIIe siècle et un moulin restauré... C'est un concentré de Provence, chargé d'histoire, mais le chai avait été détruit. Les grappes étaient vendues aux coopératives du coin. Nous avons alors décidé de recréer un chai de vinification... Le vigneron était ravi ! 

C'est vraiment une création à partir de zéro. Nous avons fait appel à un architecte local qui a conçu un très joli chai gravitaire de 40 cuves. Nous avons été certifiés bio en septembre 2020. C'était important pour moi. Nous essayons de faire un très bon vin. Le Luberon n'est pas une appellation connue, mais elle est en train de monter en gamme. Nous bénéficions d'un terroir composé de calcaire argileux au nord et de sables argileux au sud, situé à 350 mètres d'altitude. Il y a un vrai potentiel de développement. Nous avons la météo de la Provence et la géologie de Châteauneuf-du-Pape. 

Justement, quelle est votre vision pour les prochaines années ? 

Nous avons vendu 45 000 bouteilles en 2020, 65 000 bouteilles en 2021 et tablons sur au moins 80 000 cette année. Nous aimerions monter à 200 000 ou 300 000 bouteilles. Nous avons créé une boutique et développons une activité oenotouristique ­ avec des rencontres littéraires et musicales, des circuits de sylvothérapie, des cours de yoga­, ainsi qu'une activité événementielle. 

C'est un projet autour du vin, bien sûr, mais nous associons la nature, le bien-être des visiteurs, la culture, le partage et la convivialité. Nous voulons faire vivre ce domaine. Nous avons recruté et essayons de participer au maximum à l'écosystème local. C'est un véritable investissement, avec une prise de risque, pas une maison secondaire pour rester au bord d'une piscine ! 


Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

Une femme sexy et bonne se prend le tout
Une allemande chaude et infidèle
Une ado grosse suce dans le gloryhole portable

Report Page