Un amour lesbien passionné

Un amour lesbien passionné




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Un amour lesbien passionné

Êtes-vous sûr.e de vouloir vous déconnecter ?



Société
International
Arts & Culture
Vidéos
Santé


Publié le
10 février 2021 à 9 h 55 min

Vanessa Kirby dans « The World To Come », réalisé par Mona Fastvold - Capture d'écran / YouTube
3 questions à Stéphane Bernard, président de Fierté Marseille Organisation
3 questions à Nicolas Derche, directeur national du pôle santé communautaire du Groupe SOS
3 questions à Chiara Piemonte, co-organisatrice des soirées SOROR
Offre Découverte à partir de 1 € J'en profite
Reconnaissance conjointe anticipée : L’association Les Enfants d’Arc en Ciel tire la sonnette d’alarme
Pour les homosexuels au Sénégal, une vie empêchée
Espagne : la communauté gay vers l’abstinence pour se prémunir contre la variole du singe

Félicitations ! Vous êtes maintenant inscrit à la Newsletter La Kotidienne ! Veuillez consulter votre boite email et cliquer sur le lien de confirmation que vous avez reçu…


Komitid ©
2022


À propos


L'équipe



Nos offres d'accès




Utilitaires


Informations légales


Politique de confidentialité - Cookies


Conditions d'utilisation


Contact







Accès dès 1€


Newsletter



Vanessa Kirby aime jouer des femmes complexes et passionnées : révélée par son rôle de jeune princesse Margaret dans The Crown , l’actrice britannique incarne dans son nouveau film, The World to Come , une épouse qui combat les conventions et pressions sociales du 19e siècle pour vivre un amour lesbien.
Le film, qui sort vendredi, suit deux femmes de fermiers piégées par un hiver impitoyable dans une zone reculée de l’est des États-Unis. Pour toute compagnie, elles doivent se contenter de leurs époux négligents et rustauds, jusqu’à ce qu’une liaison interdite et inattendue les rapproche.
« J’aime les femmes qui sont en avance sur leur temps par leur façon de voir les choses »
« J’aime les femmes qui sont en avance sur leur temps par leur façon de voir les choses » , explique Vanessa Kirby à l’AFP. « Je ne voulais pas que mon personnage ait l’air d’une oie blanche cherchant à comprendre comment fonctionne le monde… Je voulais que les gens imaginent qu’elle est animée par une énergie moderne » , insiste l’actrice de 32 ans.
A l’instar de la princesse Margaret, contrainte de renoncer à un mariage avec le héros de guerre Peter Townsend, divorcé et donc persona non grata pour la famille royale, l’Histoire est remplie de personnalités féminines qui ont été « enfermées » par la société et ses attentes sur leur façon de se comporter, déplore-t-elle.
Des femmes comme Tallie, épouse fictive qu’elle incarne dans The World to Come , « ont dû se passer la camisole de force » et n’avaient « absolument pas le choix de ce qu’elles faisaient de la vie, de leur temps, ou de leur amour et de leur cœur » , estime Vanessa Kirby.
Le film est aussi « une célébration des femmes qui ont essayé de forcer le système et qui ont fini par sacrifier leur vie » , ajoute-t-elle.
En 2005, L e Secret de Brokeback Moutain avait déjà abordé le thème d’une relation homosexuelle entre deux cowboys sur fond de grands espaces américains. Mais les films historiques sur des amours lesbiens « se sont longtemps fait attendre » , note Vanessa Kirby.
Récemment, Portrait de la jeune fille en feu de la réalisatrice française Céline Sciamma et Ammonite , avec Kate Winslet, se sont distingués en explorant le sujet, mais pour l’actrice britannique il ne s’agit que « d’une correction de trajectoire » bien méritée.
« Beaucoup de gens disent “ Ah, il y a tant de lesbiennes en corset d’un seul coup ! ” » , ironise sa partenaire dans The World to Come , Katherine Waterston. « Je pense qu’en fait il n’y en a que quelques-unes. Et c’est un problème car il y a beaucoup d’histoires qui restent à raconter » .
The World to Come est produit par Casey Affleck, qui joue l’un des deux époux des protagonistes. Pour ce film, il a retrouvé Ron Hansen, auteur du roman L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford qui avait été adapté au cinéma et avait révélé l’acteur en 2007.
« Ces histoires sont généralement racontées du point de vue du type qui est dans son ranch au 19e siècle… sa femme ne fait que passer dans l’histoire, de la même manière que mon personnage passe dans l’histoire de notre film », explique Casey Affleck à l’AFP.
L’acteur-producteur a insisté pour avoir une femme à la réalisation, Mona Fastvold en l’occurrence, et juge qu’Hollywood n’a que trop tardé à faire raconter des histoires par des femmes.
« Pour des tonnes de raisons dont on entend davantage parler maintenant, on a vu à peu près toujours les mêmes personnes au cœur des récits. On s’y est habitués mais il y a plein d’autres histoires » , lance-t-il.
Tallie et Abigail (Katherine Waterston) doivent faire tourner leur maisonnée, coupées de tout, et participer aux travaux de la ferme tout en affrontant des hivers polaires, des maladies récurrentes et même la perte d’un enfant.
Un drame que vit aussi Vanessa Kirby dans un autre film, Pieces of a Woman .
Déjà primée à Venise pour ce rôle de mère terrassée par un accouchement à domicile qui se passe mal, Vanessa Kirby est considérée comme l’une des favorites pour la course aux Oscars dans la catégorie de la « meilleure actrice » cette année.

Nos partenaires et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits.
Avec votre permission, nos partenaires et nous-mêmes pouvons utiliser des données de géolocalisation précises et d’identification par analyse du terminal. En cliquant, vous pouvez consentir aux traitements décrits précédemment. Vous pouvez également refuser de donner votre consentement ou accéder à des informations plus détaillées et modifier vos préférences avant de consentir. Veuillez noter que certains traitements de vos données personnelles peuvent ne pas nécessiter votre consentement, mais vous avez le droit de vous y opposer.
Vos préférences ne s'appliqueront qu’à ce site Web. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site web ou en consultant notre Politique de confidentialité.


Nouveau Têtu ! Disponible chez votre marchand de journaux.


Découvrir




Commander le dernier numéro


S'abonner




Voir les archives
Fermer les archives











Société & Politique


Exclusif abonnés


Nos vies Queer


Culture


Sexo & Santé





Abonnez-vous
Connexion


Abonnez-vous
Connexion


Par
Juliette Harau
le 07/02/2019


drag race La France sacre sa queen


Têtu.com, votre dose quotidienne d’actualité LGBTQI+


Vie Privée et Politique de confidentialité


Inscrivez-vous à notre newsletter et ne manquez plus rien de l’actualité LGBT+.


Conception by CosaVostra
2021

Contribue avec le montant mensuel de ton choix et reçois :
La cinéaste turque Dilara Elbir, installée aux Etats-Unis, a décidé de rendre hommage au cinéma lesbien. Dans cette compilation qu'elle a postée sur Twitter, elle rassemble des scènes issues de 34 films.
« Ce ne sont pas tous mes préférés, et tous les films lesbiens que j'aime n'y sont pas , précise-t-elle dans un tweet, avant que vous me demandiez 'Où est tel film ?' » . Le résultat est réussi en tout cas. On adore !
Les larmes amères de Petra Von Kant
Tout va bien, the kids are all right
Et pour retrouver plus de vidéos TÊTU, abonnez-vous à notre chaîne YouTube !


Histoires d'amour lesbiennes la première fois
Nous accordons la plus haute importance aux données personnelles que vous nous confiez. L'utilisation de cookies nous permet uniquement d'analyser notre trafic.
Ok Non Politique de confidentialité
Au sommaire de cette page vous pourrez trouver toutes les histoires d’amour lesbiennes la première fois . Pour les lire il suffit simplement de cliquer sur le nom de chacune d’entre elles.
Une page est spécialement dédiée à cette thématique car c’est le mot clé en tête des recherches.
Le taxi venait de s’arrêter dans la cour du château. Les traits tirés par le long voyage en train, Louise se sentit tout d’un coup défaillir. En effet elle n’avait pas imaginé un seul instant que son séjour en maison de repos, de surcroît pris en charge par la sécurité sociale, se passerait dans un lieu aussi prestigieux. Le plus difficile maintenant était de descendre de la voiture et de régler les formalités administratives. Heureusement le chauffeur avait, grâce au pourboire, poussé l’amabilité jusqu’à lui porter sa valise dans le hall d’entrée. En la quittant il la salua et lui remit sa carte de visite. Quand elle se sentirait mieux, peut-être aurait-elle envie aussi de visiter la région.
Louise le remercia sans pouvoir néanmoins imaginer l’utilité réelle de la carte. Elle souffrait de dépression et c’est son médecin qui, avec son accord, avait organisé cette hospitalisation. Louise devait ainsi profiter de ces quelques semaines pour se reposer mais également réfléchir à son avenir. 
Un après-midi au parc. La municipalité dans le cadre de son jumelage avait organisé un concours de chorales d’amateurs. Ambre, ajointe à la mairie en charge de la culture, avec Bob son homologue américain avaient mis un an à monter ce projet.
C’était un spectacle gratuit qui rassemblait musiciens et chanteurs des deux continents. Tous les soirs à 18 heures durant une heure, elles se relayaient chaque jour durant tout le mois de juillet dans le jardin public, au kiosque à musique. Ensuite chaque auditeur disposait d’une heure pour élire la chorale de son choix. Que la meilleure gagne.
Aussi pour la population voir débarquer ces chorales américaines en France, c’était l’attraction. La ville était située près d’un parc d’attractions à thèmes dont les héros étaient ceux de célèbres dessins animés américains. Elle appartenait à une communauté de communes assez riche grâce aux retombées économiques des touristes…
« Jess lève-toi ! Tu vas être en retard au lycée, » lança Vanessa, sa mère, depuis la cuisine où elle s’activait à préparer le petit déjeuner.
Malgré le ton autoritaire, ce rappel resta sans réponse. Jess tira la couette jusque sous son nez alors qu’elle avait cours toute la journée. Seulement aujourd’hui c’était au-dessus de ses forces. Impossible de se motiver. Vanessa, inquiète de ce comportement inhabituel décida d’aller voir. Elle frappa à la porte et sans réponse de Jess, entra. La pièce était plongée dans le noir. Aussi Vanessa appuya sur l’interrupteur ce qui eut pour effet de déclencher un cri perçant de Jess. « Éteins, ça me brûle les yeux ! »
Pour ne pas la contrarier sa mère lui obéit puis s’assit sur le bord du lit tout en caressant doucement les cheveux de sa fille.
« Qu’est-ce qui ne va pas Jess ? Pourquoi tu ne veux pas aller au lycée ?
Mardi matin. Pauline laissa un mot pour la femme de ménage afin de lui dire que dorénavant il y aurait la deuxième chambre à nettoyer. Pour le moment elles continueraient à faire chambre à part. En effet Pauline était insomniaque. Afin de terminer sa nuit sans avoir à ruminer les problèmes professionnels elle lisait ou regardait la télévision.
Elles étaient aussi passées au tutoiement. Cependant pour l’agence, leur relation n’étant pas encore officielle elles garderaient le vouvoiement. Quant à la voiture, Jess et Pauline continueraient à prendre chacune la leur. Leur activité leur occasionnait de nombreux déplacements. Finalement le seul changement visible était la nouvelle tenue de Jess. Costume et chemise habillée, plus rien à voir avec ses tenues adolescentes.
Pauline ne put s’empêcher de la complimenter pour son élégance. Elle dut aussi se faire violence pour ne pas lui faire l’amour car la vision de son amante déclencha en elle une pulsion difficilement contrôlable. Heureusement qu’elle tenait à son maquillage …
Jade regarda sa montre. Il lui restait deux heures pour tout boucler. Ses affaires étaient prêtes. Elle ne devait surtout rien oublier. L’ordinateur, la tablette, le téléphone portable ainsi que les cordons, les batteries de rechanges et bien sûr les disques durs externes. Ensuite bien vérifier que tout était rangé et propre, la poubelle vidée. En effet Jade partait pour un mois dans la villa familiale pour les vacances d’été.
En fait vacances c’était vite dit. Jade quittait la ville pour la campagne. Même si la piscine et le beau temps assuré donnait un air de farniente, ces congés seraient studieux. De toute manière Camille ne manquerait pas de l’appeler plusieurs fois par jour pour le lui rappeler. Jade et Camille avaient toutes les deux 26 ans. Elles étaient donc jeunes et se lançaient à corps perdus dans la création de leur start-up. En plus d’être jeunes elles étaient ambitieuses. Jade est une jeune femme de son temps, pressée, urbaine, mondialisée. 
Lundi 13 janvier 1992 – ENTRETIEN AVEC LA PSYCHIATRE
« Raptus suicidaire ». La psychiatre m’a dit que la thérapie allait entrainer de nombreuses crises d’angoisses et le risque était le raptus suicidaire. C’est pourquoi une seule de ses consœurs a accepté de me prendre. J’avais rendez-vous avec elle demain. Par ailleurs compte-tenu de ce qui s’était passé un homme était contre-indiqué, il y aurait trop de résistances.
D’autre part la psychiatre n’était pas très chaude pour que je m’installe seule même si mes parents ne sont pas loin. Au moins à l’hôtel il y a quelqu’un si jamais je me sens mal y compris la nuit avec le veilleur. Elle va appeler mon père et revoir avec lui les modalités de mon emménagement. J’ai alors pleuré car j’en ai marre qu’on me traite en petite fille. Je vais avoir 29 ans, je suis une adulte, je peux me prendre en charge.
Bonne à rien, nulle en tout. Ce jugement paternel sans appel résonnait encore dans les oreilles d’Émilie. Elle en était profondément blessée car à quinze ans, on est sensible, les émotions étant exacerbées. Victoire était sa meilleure amie, à la vie à la mort. Inséparables elles étaient jusque dans la fusion. Rien de plus banal à l’adolescence que de traverser par cette étape, de l’amitié trouble qui ne dit pas son nom. Le père d’Émilie était un psychorigide qui n’acceptait pas de voir sa petite fille chérie grandir et devenir une femme. Il pestait contre Victoire qu’il voyait d’un mauvais œil car elle avait une influence détestable en détournant Émilie de ses études. Encore que ce fût vite dit.
Émilie était toujours une excellente élève, vouée à une carrière brillante. Bien qu’elle ne se consacrât plus uniquement aux études, elle apprenait également à s’éveiller à autre chose.
Le verdict venait de tomber. Condamnée à une peine de huit ans d’emprisonnement dont deux avec sursis, Line assise dans la boxe des accusés, prit la sentence sans broncher car elle avait été jugée pour meurtre.
Line, célibataire, habitait dans une citée, un minuscule deux pièces, dans une ville dortoir de banlieue où elle travaillait dans l’hypermarché du coin en tant que caissière. Sa voisine de palier, Sylvie, mariée à Yves, un routier plus souvent sur les routes qu’au domicile conjugal, était également sa collègue. Toutes deux la petite trentaine se retrouvaient tout naturellement sur leur lieu de travail et c’est ainsi qu’elles devinrent vite deux amies intimes inséparables. Ainsi Line invitait son amie Sylvie pour boire un café, le soir après le boulot mais c’était surtout un prétexte pour papoter.
Colette n’en pouvait plus de ses kilos superflus. Il y avait bien longtemps que son mari ne lui susurrait plus des mots d’amour et les rares fois où il avait encore envie d’elle, c’était le matin, certain que son érection tenait plus de la mécanique que de la libido. Ses copines l’avaient bien entraînée à la piscine. Mais le calvaire du maillot de bain noir une pièce trop serré pour elle et des regards ironiques quand elle entrait dans l’eau, l’avait peu à peu découragée.
C’est son médecin, qui au regard de sa tension aussi élevée que l’Everest et de son taux de cholestérol qui se portait mieux que le cours de la bourse, qui lui parla d’une cure thermale. Colette n’aurait aucun mal à obtenir de la sécurité sociale une prise en charge pour les soins, resterait à ses frais l’hôtellerie. Colette était ravie de cette proposition. Ce serait l’occasion de partir sans son mari qu’elle ne supportait plus.
Suzanne et Jean-Pierre étaient mariés depuis trente ans. Leurs deux filles, âgées de 29 et 28 ans, étaient bien établies, mariées et mères de famille. A cinquante ans Suzanne avait tout d’une femme comblée. Elle avait rencontré son mari au lycée. Première amour, amour de jeunesse, depuis ils ne s’étaient plus quittés.
La vie de Suzanne avait été une longue ligne droite. Avec Jean-Pierre ils avaient hérité de l’entreprise familiale. Une société de bus, spécialisée dans les transports scolaires. Leur
Après la réunion de famille
Frère curieux sucé par sa sœur
Une baise allemande dans la salle de bain

Report Page