Trouver sa satisfaction dans autre chose

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Trouver sa satisfaction dans autre chose

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Mes 10 conseils ... pour surmonter les Ă©checs durant un parcours PMA
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--> Ces pseudos conseils me mettaient hors de moi de plus en plus mĂȘme si les gens pensaient bien faire. J’essayais de me dire que c’était une marque de bienveillance de leur part pour mieux accepter les choses mais c’était difficile quand mĂȘme de les accepter et de penser Ă  autre chose.
Comment ne plus « penser » Ă  ce dĂ©sir d’enfant alors qu’on voit les mĂ©decins trĂšs rĂ©guliĂšrement, qu’on se fait des piqĂ»res tous les jours, qu’on prend des mĂ©dicaments en continu, que notre calendrier est rythmĂ© par nos rendez vous mĂ©dicaux, que tout le monde nous parle que de ça et surtout qu’on voit des femmes enceintes littĂ©ralement partout 

En quelque sorte, notre vie est conditionnĂ©e par ce dĂ©sir d’enfant 

Contre toute attente, ce slogan s’est avĂ©rĂ© ĂȘtre vrai pour moi, je vais vous raconter ça tout de suite pourquoi:
Comme me l’avait conseillĂ© mon ami, j’ai dĂ©cidĂ© d’ acheter un appartement , aprĂšs tout, nous Ă©tions en location depuis un petit bout de temps et c’était le bon moment pour se lancer dans un tel projet.
J’ai commencĂ© par rencontrer des agents immobiliers, faire des visites et encore des visites, nous n’étions pas toujours d’accord et notre critĂšre Ă©tait d’avoir deux chambres bien Ă©videmment.
Ces visites ont durĂ© trois ou quatre mois puis nous avons enfin trouvĂ© l’appartement aprĂšs avoir eu un rĂ©el coup de coeur, enfin surtout moi. Monsieur a cĂ©dĂ© car je crois que nous en avions vraiment assez de toutes ces visites. Suite Ă  la signature du compromis de vente, le long pĂ©riple pour trouver un financement a commencĂ© puis s’est suivi l’achat du mobilier, de la dĂ©coration et la mise en route des travaux. AprĂšs ces quelques mois, nous Ă©tions fatiguĂ©s mais heureux d’emmĂ©nager dans notre nouvel appartement. Pour le coup, j’ai vraiment trouvĂ© que j’avais bien moins pensĂ© durant ce projet d’achat immobilier et que pour une fois, je me sentais fiĂšre et capable de pouvoir mener un projet Ă  terme !
AprĂšs avoir emmĂ©nagĂ©, dĂ©fait tranquillement nos cartons et fait une jolie dĂ©coration pour notre appartement, cette spirale infernale de la pensĂ©e continue est revenue car effectivement, la grossesse n’était toujours pas là

Quelle dĂ©ception! J’ai attendu quelques mois mais je pensais trop Ă  nouveau et commençais finalement Ă  m’ennuyer de projets. J’avais envie Ă  nouveau de mener un projet Ă  terme comme le prĂ©cĂ©dent. Bon, on allait quand mĂȘme pas encore dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  nouveau, alors j’ai rĂ©flĂ©chi et me suis dit qu’on pourrait acheter Ă  nouveau mais pas pour nous cette fois ci mais pour louer. N’ayant fait aucune formation en immobilier, j’ai pensĂ© suite aux conseils avisĂ©s de mon meilleur ami que se former dans l’immobilier serait une bonne chose!
J’ai donc fait des f ormations dans l’immobilier qui m’ont pris beaucoup de temps mais qui m’ont appris de nombreuses choses. J’y ai mis beaucoup d’argent mais elles m’ont rapportĂ© le double voir le triple donc trĂšs bon retour sur investissement !
Suite Ă  ces formations, j’ai achetĂ© un nouvel appartement pour le mettre en location cette fois ci. Cet achat m’a une nouvelle fois bien occupĂ©e pendant des mois, le temps de courir aprĂšs les banques puis d’entamer la phase de travaux pendant 2 mois puis la mise en ligne ensuite des annonces. AprĂšs des mois de courses, je me suis enfin posĂ©e mais bĂ©bĂ© n’était toujours pas là

Finalement, pourquoi attendre ? J’ai accentuĂ© mes formations en immobilier et j’ai continuĂ© cette course effrĂ©nĂ©e en achetant d’autres biens immobiliers.
-->Au fur et Ă  mesure j’y ai vraiment pris goĂ»t et cet Ă©chappatoire qui Ă©tait au dĂ©part un simple » pansement » est devenu pour moi une rĂ©elle « drogue ».
J’y ai ainsi dĂ©couvert une nouvelle passion qui me permet de rĂ©aliser des projets, chose qui me manque cruellement dans cette envie de fonder une famille, j’y consacre beaucoup de temps et d’énergie pour y rĂ©colter de la satisfaction et de l’argent. VoilĂ  le bilan que je peux tirer aujourd’hui

Evidemment tu ne vas pas le trouver en quelques jours mais suite Ă  un long processus comme j’en parle dans mon article « Comment ACCEPTER son infertilité » .
Comme je l’ai dĂ©jĂ  fait pour de nombreuses femmes, je vais t’aider Ă  te connaĂźtre, te rĂ©vĂ©ler et te transformer pour trouver ton Ă©chappatoire. Rejoins moi sur Facebook, Instagram et commencer par tĂ©lĂ©charger mon ebook pour en savoir davantage.
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DerniĂšre mise Ă  jour : 15/09/2021
‱ ProposĂ© par: oscarmarion (Ă©lĂšve)


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> Le bonheur
> Être heureux, est-ce chercher Ă  satisfaire tous ses dĂ©sirs ?

Note obtenue 16/20 (terminale ES). Plan trÚs détaillé en trois parties :
I – La satisfaction de nos dĂ©sirs conduit au bonheur,
II – Le dĂ©sir comme malheur,
III – Restreindre nos dĂ©sirs, la condition du bonheur.
Analyse du sujet et introduction rédigée entiÚrement.
Être heureux : Bonheur signifie bon heur, heur Ă©tant dĂ©rivĂ© du latin augurium, qui signifie « augure, « chance ». C’est quelque chose qui nous Ă©choit, qui ne dĂ©pend pas de nous. La dĂ©finition acadĂ©mique du bonheur est « aspiration commune Ă  tous, Ă©tat durable de satisfaction et de plĂ©nitude ». Bon, dans bonheur suggĂšre l’idĂ©e d’un bien. Mais s’agit-il de l’agrĂ©able ou du bien moral ?
Satisfaire : Obtenir ou rĂ©aliser l’objet du dĂ©sir. Agir de façon Ă  contenter un dĂ©sir, un besoin
DĂ©sir : Le dĂ©sir est la recherche d’un objet que l’on imagine ou que l’on sait ĂȘtre source de satisfaction. Il est donc accompagnĂ© d’un sentiment de manque ou de privation. Pourtant, le dĂ©sir entretient avec l’objet dĂ©sirĂ© une relation ambivalente : se dĂ©plaçant d’objets en objets, il est condamnĂ© Ă  l’insatisfaction.
Le problÚme se pose donc entre la réalisation de mon désir et mon bonheur :
Pour la doxa, la rĂ©ponse au problĂšme posĂ© est oui. Satisfaire ses dĂ©sirs procure du plaisir, en satisfaire le plus possible, voire la totalitĂ©, nous conduirai vers cet Ă©tat de plĂ©nitude qu’est le bonheur. Pourtant, certaines questions mĂ©ritent d’ĂȘtre posĂ©es :
- Est-ce que ce que je dĂ©sire maintenant m’apportera une satisfaction durable, ou aurais-je besoin de toujours dĂ©sirer pour rester dans cet Ă©tat de bonheur ?
- Est-ce que je subis mon dĂ©sir ou naĂźt-il de ma volontĂ© d’ĂȘtre heureux ?
- Le bonheur doit-il ĂȘtre vu comme obligatoirement entier et complet ?
- Dois-je considérer tout désir comme légitime et réalisable ou les faire passer par le filtre de ma conscience ?
Jordan Belfort, personnage principal du film Le loup de Wall Street, de Martin Scorsese, est un multimillionnaire tĂ©mĂ©raire et sans scrupule. A la tĂȘte d’une sociĂ©tĂ© boursiĂšre, il aurait tout pour ĂȘtre heureux : sa fortune lui permet d’obtenir tout ce qu’il dĂ©sire : pouvoir, drogues et femme. Allant ainsi de plaisirs en plaisirs, il est persuadĂ© qu’il va droit au bonheur. Mais lorsque ses plaisirs dĂ©mesurĂ©s le conduisent en prison, peut-ĂȘtre rĂ©alise-t-il que satisfaire tous ses dĂ©sirs ne rend pas Ă  proprement parler, heureux.
Étymologiquement, le bonheur est l’aboutissement d’une activitĂ© (du latin augurium : accroissement, bienfait accordĂ© par les dieux Ă  une entreprise). C’est un Ă©tat de satisfaction complĂšte et durable, auquel tout ĂȘtre humain aspire. On l’oppose au simple contentement et Ă  la joie, qui sont par nature Ă©phĂ©mĂšres. Pour autant, le bonheur est une notion floue et indĂ©terminĂ©e, chaque homme n’aspire pas au mĂȘme bonheur. Pendant des siĂšcles, le bonheur se rĂ©sumait un mot : Dieu. C’est un Ă©tat idĂ©al mais qu’on ne connaĂźt pas, un paradis supposĂ© dont le chemin nous est inconnu.
Le dĂ©sir est, quant Ă  lui, caractĂ©risĂ© par la conscience d’un manque qu’il nous faudrait combler. Contrairement Ă  l’animal, chez qui dĂ©sirs et besoins semblent se confondre, il existe chez l’homme des dĂ©sirs qui ne sont que des dĂ©sirs fabriquĂ©s, artificiels. Nos dĂ©sirs peuvent donc ĂȘtre trompeurs, et dans ce cas, chercher Ă  les satisfaire est une erreur. La religion nous dit que c’est « une tentation du diable », qui est notre ennemi et nous trompe.
Notre sociĂ©tĂ©, Ă  travers la publicitĂ© par exemple, nous encourage Ă  satisfaire nos dĂ©sirs : une nouvelle voiture, une nouvelle machine Ă  cafĂ©, un nouveau tĂ©lĂ©phone
 seraient nĂ©cessaires pour atteindre la plĂ©nitude, la satisfaction et donc, le bonheur. Le dĂ©sir de consommer nous est prĂ©sentĂ© ici comme un tropisme naturel de l’homme, Ă  avoir plutĂŽt qu’à ĂȘtre.
Le bonheur est prĂ©sentĂ© comme une rĂ©alisation de tous les dĂ©sirs et une disparition des troubles qui leur sont inhĂ©rents, alors que le dĂ©sir est dit diarrhĂ©ique, insatiable car en permanence dĂ©valorisĂ©, au profit d’une jouissance plus Ă©levĂ©e. Une fois une nouvelle voiture, achetĂ©e, pourquoi ne pas en convoiter de nouveaux modĂšles, comme la superbe voiture que mon voisin vient d’acheter ?
Être heureux semble donc ĂȘtre un Ă©tat particuliĂšrement difficile Ă  atteindre. A priori, cette difficultĂ© pourrait s’expliquer par le caractĂšre subjectif du bonheur : qui de l’indien d’Amazonie ou du pompeux PDG est le plus heureux ? Selon les critĂšres de l’un ou de l’autre, le premier est forcĂ©ment malheureux puisqu’il est « non civilisĂ© », et le second est malheureux parce qu’il est possĂ©dĂ© par ses biens et n’a plus le sens de la rĂ©alitĂ©.
Est-ce que ce que je dĂ©sire maintenant m’apportera une satisfaction durable, ou aurais-je besoin de toujours dĂ©sirer pour rester dans cet Ă©tat de bonheur ? Est-ce que je subis mon dĂ©sir ou naĂźt-il de ma volontĂ© d’ĂȘtre heureux ? Dois-je considĂ©rer tout dĂ©sir comme lĂ©gitime et rĂ©alisable ou les faire passer par le filtre de ma conscience ? Le bonheur doit-il ĂȘtre vu comme obligatoirement entier et complet ?
Le bonheur semble au premier abord consister en la satisfaction de tous nos dĂ©sirs. NĂ©anmoins, satisfaire certains dĂ©sirs peut provoquer le malheur. Sachant qu’ils sont source d’insatisfaction, restreindre ses dĂ©sirs peut sembler une voie viable et rĂ©aliste vers le bonheur.
A – Le dĂ©sir, moteur de nos actions
o Travailler dur pour s’offrir une belle voiture : Nous anticipons le plaisir que nous procurerait la satisfaction de nos dĂ©sirs, cette prĂ©vision nous encourage Ă  tout mettre en Ɠuvre pour atteindre l’objet du dĂ©sir. Je peux par exemple, dĂ©sirer ĂȘtre riche et dans ce cas, travailler dur pour parvenir Ă  cet Ă©tat, supposĂ© contribuer Ă  mon bonheur.
o DĂ©sirer peut revenir Ă  se donner un but : Sans dĂ©sirs, nous perdrions le goĂ»t de vivre et serions condamnĂ©s Ă  l'ennui ou la mort. « Le dĂ©sir est l’essence de l’homme » dit Spinoza.
B – La quĂȘte continuelle du plaisir
o Nous sommes des ĂȘtres imparfaits, aller de dĂ©sir en dĂ©sir peut rendre heureux, car enfin le dĂ©sir ne dĂ©pend pas de l’objet, mais le prĂ©cĂšde et le produit en dĂ©sirant : Il n’y a pas de dĂ©sirable en soi. Autrement dit, ce n’est pas la satisfaction de nos dĂ©sirs qui importe tant, mais le fait mĂȘme de dĂ©sirer.
o « Ce n’est pas parce que nous jugeons bonne une chose que nous la dĂ©sirons, mais au contraire, c’est parce que nous la dĂ©sirons que nous la jugeons bonne » Ă©crit Spinoza.
o Pour Dom Juan par exemple, le dĂ©sir est une « force en mouvement » qu’il s’agit de sans cesse renouveler, il ne cherche pas un Ă©tat (la vie en couple), mais une succession de plaisir (celui de sĂ©duire). Une fois son dĂ©sir satisfait, il s’empresse alors de charmer une autre femme.
Le dĂ©sir bien qu’infini, agit sur nous comme un stimulant, mais qu’en est-il de l’objet du dĂ©sir ? Est-ce une quĂȘte noble ou au contraire, un dĂ©sir malsain ?
A – Le plaisir immĂ©diat peut provoquer le malheur
o Tout plaisir n’est pas nĂ©cessairement un bien. Les drogues par exemple, provoquent le plaisir dans un premier temps : le toxicomane dĂ©sire plus que tout sa « dose ». Le problĂšme est que, souvent, nous confondons plaisir et bonheur. Cette quĂȘte du plaisir Ă  court terme est Ă©videmment source de malheur.
o Schopenhauer écrit dans Le Monde comme volonté et comme représentation, « Tout vouloir procÚde d'un besoin, c'est-à-dire d'un manque, c'est-à-dire d'une souffrance. La satisfaction y met fin ; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés ».
o Le dĂ©sir est en effet bien moins satisfait qu’insatisfait, entre autre parce que ce que nous dĂ©sirons ne met pas seulement notre personne en jeu, mais aussi les autres. Le bonheur ne dĂ©pend pas uniquement de nous.
o Pour ÉpictĂšte, les dĂ©sirs nous enchaĂźnent, les abandonner nous rendrait libre : « Le bonheur ne consiste pas Ă  acquĂ©rir et Ă  jouir, mais Ă  ne rien dĂ©sirer, car il consiste Ă  ĂȘtre libre ». En effet, dĂ©sirer c’est d’abord vouloir quelque chose d’extĂ©rieur, c’est devenir dĂ©pendant. Il paraĂźt impossible d’ĂȘtre heureux sans ĂȘtre libre.
o Pour les philosophes, n’est pas heureux celui qui est aliĂ©nĂ© par ses passions, ses dĂ©sirs. Pour Leibnitz, « la satisfaction de nos dĂ©sirs nous rendrait stupide ».
o Jean de La Fontaine, dans Le savetier et le financier, nous montre que le bonheur n’est pas celui que l’on croit. Si aujourd’hui, le but de bien des hommes est de devenir riche – assez riche du moins, pour satisfaire leurs dĂ©sirs – ils peuvent en devenir malheureux : le savetier ne parvient plus Ă  trouver le sommeil tant il a peur de se faire voler l’argent que le financier lui a donnĂ©.
A – Distinguer les besoins des dĂ©sirs
o On a coutume de distinguer possible, rĂ©el et nĂ©cessaire : le nĂ©cessaire, c'est ce qui ne peut pas ne pas ĂȘtre ; le rĂ©el, c'est ce qui est ; le possible, c'est ce qui peut ĂȘtre.
o Si une personne n’a pas ce dont elle a besoin, on peut dire qu’il lui manque quelque chose de nĂ©cessaire (manger et boire pour survivre par exemple).
o L’envie provient d’un manque par comparaison, on compare souvent son bonheur avec celui, possible, des autres : « Si on ne voulait qu'ĂȘtre heureux cela serait bientĂŽt fait. Mais on veut ĂȘtre plus heureux que les autres et cela est presque toujours difficile parce que nous croyons les autres plus heureux qu'ils ne sont. » avance Montesquieu
o Une fois que l’on a atteint le but recherchĂ© (ĂȘtre riche par exemple), on est confrontĂ© au rĂ©el : ce n’était pas un besoin, mais bien un dĂ©sir vain puisque je ne suis jamais assez riche pour ĂȘtre satisfait.
o Pour Platon, le désir est un tonneau percé : nous aurons beau continuer à le remplir, il ne sera jamais plein. Par conséquent, satisfaire ses désirs ne nous permettra pas de parvenir au bonheur.
o « Tous les hommes recherchent le bonheur, mais bien peu savent ce qu'il faut chercher », écrivait SénÚque le Jeune dans De la vie heureuse.
o Les philosophes stoĂŻciens notamment, prĂŽnent l’ataraxie, il faut selon eux, passer ses dĂ©sirs au crible et les sĂ©lectionner. Le bonheur serait la simple absence de trouble liĂ© au caractĂšre infini du dĂ©sir.
o Pour Marc-AurĂšle la condition du bonheur est l’abolition de tous les dĂ©sirs vains : « Donnes-moi l’intelligence d’accepter ce qui ne dĂ©pend pas de moi, le courage de changer ce qui en dĂ©pend et la sagesse de distinguer le premier du second ».
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« Le sens de la vie est la plus pressante des questions » Albert Camus
La question peut sembler un peu dĂ©lurĂ©e, n’est-ce pas ? Est-on obligĂ© d’y rĂ©pondre d’ailleurs ? A vrai dire, non. Vous ĂȘtes libres, et faites ce que vous voulez. Mais tous les penseurs l’ont prouvé : pour ĂȘtre heureux, vous devez trouver un sens Ă  la vie . Ou plus exactement, vous devez lui donner du sens. Pour cela, il faut en faire quelque chose. Il faut que votre vie serve Ă  quelque chose, Ă  quelqu’un, bref, qu’elle ne consiste pas qu’à manger, boire et dormir.
C’est en cela que nous diffĂ©rons des animaux. L’un des hommes les plus brillants du siĂšcle dernier, Albert Einstein, en Ă©tait convaincu. Il a dit par exemple :
« L’homme qui considĂšre sa vie comme dĂ©nuĂ©e de sens n’est pas simplement malheureux ; il n’est tout bonnement pas fait pour la vie ».
C’est un fait, et c’est la raison pour laquelle les hommes s’investissent dans de nombreuses activitĂ©s et domaines si diffĂ©rents. Ils veulent faire quelque chose de leur vie. Si vous prenez conscience de cette nĂ©cessitĂ©, vous ferez en sorte que votre vie soit utile et vous procure de la satisfaction. Pour que vous puissiez avancer dans la vie et ne pas Ă©prouver de regrets plus tard, j’aimerais vous proposer de commencer par ces 2 Ă©tapes fondamentales : dĂ©terminer les valeurs auxquelles vous ĂȘtes attachĂ© et construire autour de celles qui comptent le plus.
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