Trou de balle clat elle prend chre

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SĂ©rie Noire En Lot-Et-Garonne

Par Jean-Michel Armand, enseignant chercheur en histoire pénale Publié le 29/08/2018 à 18h11 Mis à jour le 26/02/2019 à 16h39
Alice Crespy, poétesse et romanciÚre, est accusée du meurtre de l'abbé Germain Chassaing, son confesseur... et son amant.
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Six heures viennent de sonner au clocher de l’église Saint-Hilaire ce 17 janvier 1913 quand, au numĂ©ro 20 de la rue Fonnouvelle Ă  Agen , retentit une dĂ©flagration. Quelques instants aprĂšs, une femme sort affolĂ©e et remonte la rue Ă  grandes enjambĂ©es. Quand elle revient avec son mĂ©decin, le docteur FouresliĂ©, ce dernier la rassure : « Ne vous inquiĂ©tez pas chĂšre Alice, il a le trou des suicidĂ©s ». Elle, c’est Alice Crespy, poĂ©tesse, romanciĂšre, amie et ancienne amante de Francis Carco et de Tristan Deresme, tous deux romanciers en vue. L’homme qui gĂźt Ă  leurs pieds, c’est Germain Chassaing, son confesseur et
 son amant , car l’abbĂ© Chassaing est le vicaire de la paroisse Saint-Hilaire. Ses vƓux de cĂ©libat et de chastetĂ© semblent lui avoir toujours pesĂ©s. DĂ©jĂ ...
Six heures viennent de sonner au clocher de l’église Saint-Hilaire ce 17 janvier 1913 quand, au numĂ©ro 20 de la rue Fonnouvelle Ă  Agen , retentit une dĂ©flagration. Quelques instants aprĂšs, une femme sort affolĂ©e et remonte la rue Ă  grandes enjambĂ©es. Quand elle revient avec son mĂ©decin, le docteur FouresliĂ©, ce dernier la rassure : « Ne vous inquiĂ©tez pas chĂšre Alice, il a le trou des suicidĂ©s ». Elle, c’est Alice Crespy, poĂ©tesse, romanciĂšre, amie et ancienne amante de Francis Carco et de Tristan Deresme, tous deux romanciers en vue. L’homme qui gĂźt Ă  leurs pieds, c’est Germain Chassaing, son confesseur et
 son amant , car l’abbĂ© Chassaing est le vicaire de la paroisse Saint-Hilaire. Ses vƓux de cĂ©libat et de chastetĂ© semblent lui avoir toujours pesĂ©s. DĂ©jĂ , Ă  Tonneins, on lui a connu des « histoires ». Des maris chagrins se sont Ă©mus des confessions interminables de leurs Ă©pouses et des
 causeries que l’abbĂ© aimait organiser Ă  la cure. Les rumeurs furent Ă  ce point persistantes que Monseigneur Sagot du Vauroux, Ă©vĂȘque d’Agen, jugea plus prudent de le faire venir auprĂšs de lui. En vain, sĂ©ducteur impĂ©nitent, le sĂ©millant abbĂ© fit de cette quadragĂ©naire fantasque et Ă©ternelle amoureuse sa maĂźtresse attitrĂ©e.
SuicidĂ© ou pas, il faut quand mĂȘme prĂ©venir la police. Quand celle-ci arrive sur les lieux, la dame n’y est plus. On la cherche partout en ville, sans succĂšs. Le lendemain, le rĂ©dacteur en chef du journal « La DĂ©pĂȘche » reçoit un bien Ă©trange courrier. « Monsieur, c’est un malheur Ă©pouvantable qui vient de me frapper. L’abbĂ© Germain Chassaing s’est tuĂ© chez moi, hier Ă  6 h 30.Depuis le 19 septembre 1909, il Ă©tait mon amant. Mais par grĂące, Monsieur, ne l’accablez pas. C’était une Ăąme haute et fiĂšre qui a dĂ» subir une souffrance inhumaine
 car un ordre de l’évĂȘque a guidĂ© sa folie et une toute petite balle de revolver a suffi Ă  anĂ©antir le beau jeune homme Ă  la robe noire et au double parfum Ă  la fois mystique et voluptueux. »
Le journaliste a du mal Ă  contenir un franc Ă©clat de rire tout comme le prĂ©sident Beyries lorsqu’il lira ce courrier Ă  la cour d’assises devant laquelle Alice Crespy comparaĂźtra dĂ©tenue, le 7 aoĂ»t 1913, aprĂšs une enquĂȘte et une instruction durant lesquelles elle s’obstinera Ă  nier toute responsabilitĂ© dans la mort du prĂȘtre .
Une foule immense se presse Ă  l’entrĂ©e du tribunal et pas moins de quinze journaux, dont cinq Ă©trangers, dĂ©pĂȘcheront leurs correspondants pour ce procĂšs au parfum de scandale qui ravit toujours les lecteurs. Car la thĂšse du suicide de l’abbĂ© , qui s’appuierait sur une dĂ©cision de l’évĂȘque de l’exiler dans une paroisse rurale, Ă  Montastruc, ne rĂ©sistera pas aux expertises des mĂ©decins lĂ©gistes. Les traces de poudre retrouvĂ©es sur le visage de l’abbĂ© attestent que le coup tirĂ© le fut Ă  une certaine distance
 certainement plus d’un mĂštre. Et puis, la balle a pĂ©nĂ©trĂ© la tempe gauche, hors l’abbĂ© Chassaing Ă©tait droitier. « L’inversion de la prise en main d’une arme quand on veut se suicider est extrĂȘmement rare, exceptĂ© chez certains aliĂ©nĂ©s », concluent les docteurs FlĂšche et Couvrat des Vergues. Mais l’expert parisien que la dĂ©fense a fait citer, le professeur Balthazar, fait la dĂ©monstration qu’un droitier peut trĂšs bien tenir son arme de la main gauche et la percuter avec une efficience identique. Mise Ă  mal dans son systĂšme de dĂ©fense Ă  plusieurs reprises, Alice Crespy, qui s’est prĂ©sentĂ©e devant les juges toute de noir vĂȘtue, se pĂąme et proteste de son innocence. Elle dĂ©faille Ă  plusieurs reprises, obligeant le prĂ©sident Beyries Ă  suspendre l’audience. Son avocat lui passe les sels qu’elle respire profondĂ©ment tout en roulant des yeux effarĂ©s sur le public. Tous s’attendent Ă  une sĂ©vĂšre condamnation

Le 8 aoĂ»t, Ă  la reprise des dĂ©bats, le prĂ©sident Beyries demande Ă  l’accusĂ©e de bien vouloir dire Ă  la cour ce qui s’est rĂ©ellement passĂ© en cette fin d’aprĂšs-midi du 17 janvier. D’une voix blanche, presque inaudible, elle raconte que ce jour-lĂ , l’abbĂ© Chassaing est venu la voir chez elle, pour lui annoncer son dĂ©part. Monseigneur Sagot du Vauroux s’est montrĂ© inflexible et a exigĂ© son dĂ©part immĂ©diat d’Agen, plongeant le malheureux homme dans une grande dĂ©sespĂ©rance : « ‘‘Vois-tu, me dit-il, je n’en reviendrai pas’’. Je suis montĂ© alors dans ma chambre pour prendre les livres qu’il m’avait prĂȘtĂ©s. C’est alors que j’entendis une dĂ©tonation. Surprise et inquiĂšte, je suis redescendue prestement et dĂ©couvris avec horreur le corps de l’abbĂ© Chassaing allongĂ© sur le plancher du salon, un filet de sang s’écoulant de sa tempe gauche. Il tenait un petit pistolet Ă  la main
 »
Le rĂ©cit s’interrompt car la voix d’Alice Crespy s’étrangle dans une cascade de sanglots. Avec une ironie non dissimulĂ©e, le prĂ©sident Beyries poursuit le rĂ©cit Ă  sa place : «  Ă©pouvantĂ©e et ne sachant que faire, vous trouvez refuge Ă  l’hĂŽpital Saint-Jacques. Le lendemain, vous adressez une bien Ă©trange lettre au rĂ©dacteur local de ‘‘La DĂ©pĂȘche’’ dont je vais donner lecture Ă  la cour ».
La salle est alors secouĂ©e d’un rire gras tandis que les jurĂ©s tentent de dissimuler leurs sourires comme ils peuvent. Alice Crespy se cache la tĂȘte entre ses mains tandis que son avocat semble tout aussi accablĂ©.
Puis, c’est autour des tĂ©moins de venir dĂ©poser Ă  la barre. L’écrivain Tristan Deresme confirme qu’il a bien Ă©tĂ© l’amant d’Alice alors qu’il Ă©tait encore jeune lycĂ©en Ă  Palissy , laquelle lui avait Ă©crit des poĂšmes regroupĂ©s sous le titre « Les Harpes lointaines » en souvenir de leur amour. Il est affirmatif, « jamais Alice n’aurait pu commettre un acte pareil Ă©tant Ă©trangĂšre Ă  tout sentiment de jalousie ». Des tĂ©moins agenais, comme cette dame Carbonel sa modiste, tous dĂ©crivent Alice Crespy comme une hystĂ©rique aux mƓurs douteuses toujours Ă  la recherche de passions nouvelles.
Du miel pour l’avocat gĂ©nĂ©ral Beaugrand qui, faute d’aveux et de preuves irrĂ©futables, place d’emblĂ©e ses rĂ©quisitions sur le plan de la morale : « Qu’avons-nous ?, tonne-t-il. D’un cĂŽtĂ©, une femme fantasque aux mƓurs dissolues et perverties, ne supportant pas qu’on lui rĂ©siste, qu’on lui Ă©chappe.
De l’autre, un jeune prĂȘtre sans doute naĂŻf et faible
 Et puis, n’oublions pas qu’Alice Crespy a laissĂ© l’abbĂ© Chassaing agoniser durant plus d’une heure, en allant chercher son mĂ©decin personnel, alors que le docteur Orliac a son cabinet Ă  moins de cinquante mĂštres de chez elle ». S’attachant Ă  penser que « seul l’esprit exaltĂ© » d’Alice Crespy pourrait Ă©clairer son geste meurtrier, l’avocat gĂ©nĂ©ral Ă©carte par lĂ  mĂȘme la prĂ©mĂ©ditation et rĂ©clame une peine de cinq annĂ©es d’emprisonnement.
C’est au tour maintenant de l’avocat, le meilleur Ă  cette Ă©poque au barreau d’Agen, maĂźtre Dauzon de Noyer qui sort de son banc pour mieux approcher les jurĂ©s. Il rend tout d’abord hommage Ă  monseigneur Sagot du Varoux pour la mesure de ses dĂ©clarations. Il rend aussi hommage Ă  l’Église ce qui n’est pas rien dans ces terres radicales lot et garonnaises. « Mais, assĂšne-t-il brutalement en forçant la voix, les brebis galeuses n’ont pas Ă  ĂȘtre mĂ©nagĂ©es
 Si vous dĂ©clarez coupable ma cliente, sachez que c’est la mort pour elle. Je ne rĂ©clame pas la pitiĂ© parce qu’Alice Crespy est innocente ! », lĂąche-t-il en dĂ©tachant avec emphase chacune des syllabes.
AprĂšs seulement vingt minutes de dĂ©libĂ©rations, la cour rapporte le verdict du jury
 c’est l’acquittement. Dans la salle, se mĂȘlent applaudissements et sifflets !
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Pourquoi les chiens se reniflent-ils le trou de balle?


VĂ©ronique Maitressfemme




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Voila quelques jours que le mercure de mon thermomĂštre fait du yoyo.
Et va qu'il se promÚne entre 39° et 40° et s'amuse à chauffer à blanc les quelques neurones qui me restent en état de marche.
Remarquez cela a du bon : grùce à ce survoltage mental, je crois avoir réussi à résoudre une des plus grandes énigmes de notre temps.
Ce n'a pas été chose facile. Il m'en a fallu des heures et des heures de travail et de réflexion. De jour comme de nuit. De quoi me faire éclater la calebasse comme un marron sur le feu.
Eureka ! J'ai trouvé. Mon nom restera gravé dans les annales (voire les anales en l'occurrence) de l'Histoire.
Pourquoi, les chiens se reniflent-ils le trou de balle sitÎt qu'ils se rencontrent ?
Ne faites pas les étonnés. Tout le monde s'interroge depuis des siÚcles à ce sujet.
Et bien voila, la réponse à cette question existentielle vient de tomber. Jean suis la découvreuse et jeunant suis pas peu fiÚre.
Il y a trĂšs longtemps, dans des temps enchiens alors que nos ancĂȘtres sautaient encore de branche en branche et se niquaient les uns les autres comme des bonobos, il y a eu une pĂ©riode oĂč rĂ©gnait le monde canin : Etymologiquement les fameux « temps enchiens », que notre ignorance a traduit en « temps anciens ».
Heureusement je suis la pour corriger cette erreur grossiÚre !
Pas de quoi non plus devenir cabot pour autant (Lara).
Il y en avait partout (tout): des gros, des minces, des grands avec des dents comme ma cuisse, des petits boudins avec des pattes Louis XV, des frisĂ©s, des Ă  poils durs, des Ă  poils longs (chiens chilas), des gentils, des chasseurs (chien de fusil), des vieux (chiens de garde) ou des jeunes chiots qui font partout (d'oĂč le mot chiottes, I prĂ©sum), etc.
Certains ont eu des descendants célÚbres. A titre d'exemples :
Joe (coker): à la voix rauque et à la « rock and roll attitude »
Ou bien Shirley (basset) qui jappait si mélodieusement malgré sa petite taille
Sans oublier le sud africain Desmond, toutou à poil noir frisé, qui lutta courageusement pour la libération du chenil de Soweto.
Ooooh ! Pardon ! Je vous laisse un instant.
Un chameau vient de sauter dans la piscine.
V'la t-y pas qu'il fait la planche maintenant ;
C'est vrai que d'avoir deux boss sur le dos toute la journée, ça doit porter sur les nerfs !!!!!
Le mois dernier c'étaient des nuages de haute altitude qui nous amenaient de fines traces de sable du désert.
Normal que maintenant les chameaux suivent.
Encore un effet pervers du réchauffement climatique !
Il y a deux ans c'Ă©tait celle des hannetons.
L'an dernier des milliards de moustiques.
Cette année, je vous l'annonce, sera celle des chameaux.
Pas Ă©tonnant qu'il y ait des milliers d'Ă©migrants qui arrivent par bateaux depuis la Libye.
En fait, ce sont les chameliers qui viennent récupérer leurs troupeaux.
Il fait son intéressant en attaquant un crawl à présent.
Inutile de vous prĂ©ciser qu'avec tous ces clĂ©bards qui pondaient tous les dix mĂštres des trucs infĂąmes, ils ne savaient plus oĂč marcher tant le sol Ă©tait jonchĂ© de crottes.
C'Ă©tait aussi trĂšs dangereux pour ceux qui s'occupaient du transport. (Chiens de traineau)
DĂ©jĂ  que de nos jours les trottoirs se transforment en crottoirs, je vous laisse imaginer ce que cela devait ĂȘtre Ă  l'Ă©poque.
Bref ! A force d'Ă  force, mĂȘme eux finirent par craquer.
On eut beau multiplier les rondes de chiens policiers, rien n'HIFI.
Enfin, un brillant acadamichien interpella leurs sommités scientifiques (chiens savants) et les somma de résoudre ce délicat problÚme d'hygiÚne publique.
Un imminent chirurchien, associé à un électronichien bricoleur, trouvÚrent la solution.
Ils inventĂšrent le trou de balle amovible.
Une simple opération et vous vous retrouvez avec une rondelle clipsable.
Une petite pression sur un bouton et voila le croupion qui se démonte. Pour le remettre en place, il suffit de s'asseoir dessus.
Toutes les rondelles furent réquisitionnées et consciencieusement conservées dans un casier nominatif.
Deux fois par jour, chaque propriétaire venait récupérer son bien avec obligation d'en faire usage, sous haute surveillance, dans un lieu approprié.
Le problĂšme semblait dĂ©finitivement rĂ©glĂ© jusqu'au jour oĂč les employĂ©s de cette administration firent grĂšve.
Re pardon !! Je dois faire une nouvelle pause.
Il y a un jet de vapeur bleue qui me sort des narines.
(Du bleu narine en quelque sorte !)
Autant aller à la cuisine pour y faire cuire des légumes à la vapeur.
C'est la que je vais aborder le moment le plus délicat de mon récit.
Parler de transit et de tous nos petits problĂšmes de tuyauterie sont des sujets tabous.
Et pourtant, Dieu sait si c'est important.
Tant pis je me lance (l'eau du Lac)
SitÎt levés, nous commençons une premiÚre escale aux toilettes, « vidanger l'eau des poissons » comme dit le poÚte.
Puis aprĂšs un petit dĂ©jeuner, re-escale « aux cagoinces », cette fois pour presser nos tripes comme un tube dentifrice (l'image est osĂ©e, j'en conviens, mais Ô combien Ă©vocatrice !).
Un vrai rituel, trÚs efficace lorsque tout le processus est bien huilé (si j'ose dire)
Un petit coup d'Ɠil discret du connaisseur au fond de la cuvette pour se rassurer (Sissi tout le monde le fait) et hop un coup de chasse d'eau.
Voila une belle journée qui commence.
Mais lorsque la machine s'enraye, c'est une toute autre chanson.
Que cette tentative reste improductive et nous voila aussitĂŽt inquiet. On y retourne quelques minutes plus tard plein d'espoir.
Mais rien de rien ! Pas le moindre plouf
Tel Roland soufflant dans son cor à Roncevaux, on est prÚs à se faire péter les veines jugulaires à forcer comme des brutes.
Devant un nouvel échec, on finit par se résigner, remettant à plus tard ce combat singulier.
Mais on va y penser toute la matinée et sitÎt l'heure du déjeuner arrivé on se précipitera sur les épinards, les asperges on n'importe quoi d'autre susceptible de débloquer la situation.
Si le lendemain le mĂȘme schĂ©ma se rĂ©alise un commencement de panique s'installe.
Le pillage de la pharmacie s'organise.
Quant au troisiÚme jour c'est carrément le tocsin que l'on est prÚs à sonner.
On envisage l'hospitalisation, l'éventualité d'une césarienne ou n'importe quelle potion magique qui nous ouvrira enfin les voies de la libération.
A ce stade, on doit bien se l'avouer, les voies du seigneur sont impénétrables
Je ne vais pas non plus m'étendre trop longtemps dans la situation inverse qu'engendre la « tourista ».
Les chutes du Niagara, c'est du pipi de chat en comparaison :
gargouillements de tuyauterie percée, frémissements du ventre et frisson glaciale le long de la moelle épiniÚre.
C'est aussi sans compter sur les vapeurs toxiques qui transformeront les lieux en zone sinistrée, hautement radio active, pour au moins un quart de siÚcle.
On ne s'éloigne jamais plus de dix mÚtres d'un lieu d'aisance et on vérifie plutÎt deux fois qu'une que le stock de PQ est à la hauteur de nos exigences.
L'ensemble de nos neurones se focalise sur le sujet. Plus rien n'a d'importance.
On peut nous annoncer que notre banquier s'est barré avec toutes nos "éconocroques" ou que le Pape nous invite à visiter le Vatican, ON N'EN A RIEN A FOUTRE.
Notre humeur est massacrante, tant nos nerfs sont en pelotes.
Il y a intĂ©rĂȘt Ă  nous parler avec douceur.
MĂȘme mĂ©daillĂ© d'or olympique de karatĂ© ou de lutte grĂ©co romaine nous sommes tous logĂ©s Ă  la mĂȘme enseigne devant une « castapiane » carabinĂ©e.
Prenez mĂȘme le Capo di Tutti Capi. Un dur, un velu, un teigneux.
Enfermez-le dans une cellule aprÚs lui avoir soudé hermétiquement le pot d'échappement.
AprĂšs un rĂ©gime intensif Ă  base de cassoulet toulousain de deux ou trois jours, il vous avouera tous ses crimes et mĂȘme ĂȘtre l'auteur de l'assassinat de la Mer Morte si vous insistez un peu.
Je vous le redis, personne n'y résiste
Alors imaginez maintenant ces pauvres cabots, privés de leur trou de balle et face à une grÚve (dite à la française) dont l'issue est par essence (plutÎt GPL dans ce cas) incertaine.
AprĂšs tout, ce ne sont que des bĂȘtes !
Deux jours passent dans un calme relatif.
Puis, dĂšs le troisiĂšme jour, la meute s'organise
Une mouche s'est posée sur mon front.
On n'atterrit, pas comme ça, sur un volcan en irruption
.
Le drame se produisit à l'intérieur du bùtiment.
Les mĂąchoires claquaient comme les castagnettes de danseuses de flamenco.
Des ventres perforés, se vidant brusquement de leur gaz si longtemps comprimé, propulsaient dans les airs les pauvres victimes, comme des ballons percés.
La poche de gaz ne cessait de grossir.
Souvenez-vous de vos cours de chimie.
HÂČS est hautement inflammable, voire mĂȘme explosif.
Tout a pété (c'est le cas de le dire)
Le drame, vous l'avez compris, c'est que tous les trous de balle (ceux qui n'avaient pas été détruits) se trouvÚrent éparpillés aux quatre coins du pays.
La suite fut une cohue indescriptible.
Chacun se précipita sur la premiÚre rondelle trouvée.
Pas question de s'assurer de sa taille ou du nom du légitime propriétaire.
La suite est facile à deviner maintenant que vous connaissez la véritable histoire des temps enchiens.
MĂȘme encore de nos jours chaque
Porno allemand Ă  la piscine
Canon aux gros seins a une chatte parfaite
Se fait baiser dans la salle de bain

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