Trop humiliant pour elle

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RH / Management


Droit du travail







Publié le
17/12/2018 à 07:00







RH / Management


Droit du travail




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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

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"J'ai eu un accident de voiture lié à ma souffrance au travail", écrit l'un des collaborateurs d'Aline. Licenciée pour son ton cassant, cette dernière conteste son licenciement aux prud'hommes.
Les conflits qui animent les prud'hommes reflètent quotidiennement notre histoire sociale. L'audience en bureau de jugement est publique. Régulièrement, une journaliste de L'Express assiste aux débats. 

Le président est entouré de deux conseillères et d'un conseiller. Deux avocats sont en face d'eux. 

Le président : Vos demandes et les chefs de demandes ? 

L'avocat d'Aline (1) : Nous demandons au conseil la reconnaissance de la moyenne de salaire à 7515,40 euros et le licenciement abusif. En conséquence, nous réclamons 22 546,22 euros d'indemnité de préavis, soit trois mois de salaire avec 2254,62 euros de congés payés afférents, 3507,18 euros d' indemnité conventionnelle de licenciement , 67 668 euros d'indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, 10 000 euros pour procédure de licenciement vexatoire, 11 788,55 euros de rappel de salaire car ma cliente n'était pas cadre dirigeante et devait bénéficier de 30 jours de RTT, 10 000 euros de dommages et intérêts pour violation de la législation sur le temps de travail, 45 092,40 euros d'indemnité forfaitaire pour travail dissimulé et 2500 euros d'article 700. 

Le président : Une demande reconventionnelle ? 

L'avocat de l'employeur : 4000 euros d' article 700 . 

Le président : Nous vous écoutons. 

L'avocat d'Aline : Ma cliente a été engagée le 11 octobre 2014 comme responsable dans une entreprise pratiquant le commerce de gros dans le secteur alimentaire et qui comprend plus de 1000 collaborateurs. Elle est payée 5000 euros par mois avec un bonus en plus. Elle dirigeait cinq à six salariés dans les entrepôts, en fonction des besoins. Elle a entièrement donné satisfaction à son entreprise et on lui reconnaissait de la rigueur et du sérieux. 

Mais subitement, le 6 janvier 2017, on lui remet sa convocation à l' entretien préalable à licenciement et on lui demande de prendre ses affaires devant tout le monde. L'entretien se déroule le 16. Le 25 janvier 2017, elle est licenciée pour faute grave , sans mise à pied . 

Elle reçoit une très longue lettre de licenciement, sans élément concret. On semble lui reprocher son attitude avec l'un de ses subordonnés. Il n'est pas content que ma cliente ne l'aide pas à avoir une promotion dans un autre service. Finalement, il parviendra à l'obtenir. Où est le problème ? 

On lui reproche aussi ses méthodes de management. Virée pour "manque de patience, manque de bienveillance, trop cassante". L'employeur demande aux salariés de témoigner contre elle du harcèlement moral qu'ils auraient subi. Aucune preuve n'est établie. 

L'avocat de l'employeur : C'est un groupe allemand qui possède des entrepôts partout en France, avec une organisation pyramidale et beaucoup de manutentionnaires. Recrutée en 2014, votre cliente reçoit déjà le 16 juin 2015 un rappel à l'ordre pour des propos incorrects vis-à-vis de collaborateurs. Elle a un devoir d'exemplarité et on le lui rappelle. 

En janvier 2017, elle est révoquée. En droit, c'est une faute grave. Il est impossible de la maintenir à son poste de travail. L'employeur a l'obligation de préserver la santé physique et mentale des autres salariés. Or, cette salariée était responsable de l'audit interne. Elle était là pour assurer le contrôle et avait un lien très important avec l'Allemagne. Mais elle adopte une posture blessante, extrêmement cassante vis-à-vis des autres collaborateurs. 

"J'ai eu un accident de voiture lié à ma souffrance au travail", écrit l'un d'entre eux. Les salariés font part de leur mal-être, les cadres montrent que ça ne va pas. Des personnes dans l'entreprise, qui en sont partis, témoignent dans le même sens. "J'ai été très mal à l'aise quand j'ai vu X se faire houspiller". "En 24 ans, c'est la première fois que je me fais rabrouer". "Elle l'a, une fois de plus, humilié devant tout le monde. Elle lui a dit qu'il doit travailler un peu parce qu'il ne fait rien". "Quand on essaye de s'expliquer, elle commence par : 'Tu baisses d'un ton'." 

L'avocat d'Aline : Elle faisait preuve de rigueur et travaillait avec discernement. Elle disait franchement les choses. 

L'avocat de l'employeur : Très virulente, elle a du mal à se contenir. Elle a traité un prestataire de "connard" en public, choquant ainsi les autres salariés. La personne qui a eu un accident de voiture venait le matin avec "les larmes aux yeux et des maux de ventre". Franchement, l'ambiance s'est détendue quand votre cliente est partie. Sur six salariés dans ce département, j'ai six attestations concordantes. 

L'avocat d'Aline : Trois ou quatre personnes se sont succédé auparavant sur le poste et elle est restée deux ans et demi. Elle a eu des problèmes avec ceux qui avaient le plus d'ancienneté et avaient du mal à rendre des comptes à une salariée plus jeune qu'eux. Certains d'entre eux prenaient des libertés, elle était dans son rôle en les rappelant à l'ordre. Si les autres ont démissionné, c'est qu'ils voulaient voir ailleurs. Il n'y a pas eu d'enquêtes, elle s'est défendu bec et ongles sur son travail, mais on ne l'a pas écoutée. 

Le président (à l'avocat de l'employeur) : Pourquoi n'y a-t-il pas eu de mise à pied alors que vous considérez qu'il y a faute grave ? 

L'avocat de l'employeur : On a choisi de la dispenser de travailler avec maintien de salaire... 

L'avocat d'Aline (le coupant) : En lui demandant de quitter immédiatement les lieux. C'est totalement vexatoire. 

Le président : Sur vos autres demandes ? 

L'avocat d'Aline : Elle n'est pas cadre dirigeant (1). Elle doit avoir un réel pouvoir de décision, de management, ce qui n'est pas le cas. Sa rémunération est importante, mais loin d'être excessive. Elle ne fait pas non plus partie du comité directeur. 

L'avocat de l'employeur : Il y a 20 ans, on fêtait les 35 heures. À l'époque, on ne voulait pas mettre les cadres dans les 35 heures et on a inventé le forfait-jour . Pour ceux qui managent d'autres cadres, ce sont des "cadres dirigeants". Ils représentent la pointe de la pyramide et bien sûr qu'ils sont salariés et qu'ils doivent rendre des comptes. 

Quand elle décidait d'une sanction, la RH était son outil. Cette salariée était autonome, indépendante et avait l'une des rémunérations les plus élevées de l'entreprise. Elle partait souvent beaucoup plus tôt le vendredi, on ne lui en pas fait grief. Sa rémunération variable est impressionnante : 23 800 euros pour 2016. Dans un mail elle indique elle-même : "Mon rôle de cadre-dirigeant..." 

Le président : Sur le travail dissimulé ? 

L'avocat d'Aline : L'employeur applique le statut de cadre dirigeant à des salariés qui ne le sont pas. Il détourne la réglementation. 

L'avocat de l'employeur : On parle de délit de travail dissimulé. Il faut donc qu'il y ait un élément intentionnel. Ce n'est pas le cas ici, il n'y a pas d'élément intentionnel, mais de la bonne foi de la part de son employeur. 

11h35 . Le président : Merci. Les débats sont clos. 

Verdict, le 15 octobre. Le conseil dit que la faute grave n'est pas établie, mais estime que le licenciement repose sur une cause réelle et sérieuse. Il condamné l'ex-employeur d'Aline à lui payer 22 546,62 euros au titre de l'indemnité de préavis, 2254,66 euros de congés payés afférents, 3507,18 euros d'indemnité conventionnelle de licenciement et 1200 euros d'article 700. 

L'employeur est soumis à une obligation de santé physique et mentale depuis la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002. Ainsi, l' article L 4121-1 du code du travail précise que "l'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs". S'il ne le fait pas, et si se développe du harcèlement moral , la "faute inexcusable" de l'employeur peut être invoquée. 

La Cour de cassation a indiqué que critiquer l'activité d'une salariée dans des termes humiliants devant les autres salariés n'est pas seulement un fait fautif mais relève du harcèlement moral (8 juillet 2009, pourvoi n° 08-41638 ). 

Elle dispose également que "peuvent caractériser un harcèlement moral les méthodes de gestion mises en oeuvre par un supérieur hiérarchique dès lors qu'elles se manifestent pour un salarié déterminé par des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet d'entraîner une dégradation des conditions de travail susceptibles de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel" (1er mars 2011, pourvoi n° 09-69616 ). En dépit d'un management un peu vif et d'attestations à charge, Aline n'a pas moralement harcelé d'autres salariés, a conclu le conseil des prud'hommes. 

(1) "Sont considérés comme ayant la qualité de cadre dirigeant les cadres auxquels sont confiées des responsabilités dont l'importance implique une grande indépendance dans l'organisation de leur emploi du temps, qui sont habilités à prendre des décisions de façon largement autonome et qui perçoivent une rémunération se situant dans les niveaux les plus élevés des systèmes de rémunération pratiqués dans leur entreprise ou établissement" (article L 3111-2 du code du travail). 




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Bonjour a tous. Je suis nouveau. Il y a plusieurs mois, j'ai rencontré une fille. On a commencé a se parler. Puis un jour elle m#a invite a sortir. En gros elle prenait les initiatives. Un jour elle m'a embrassé. Depuis le mois dernier ca ne va pas trop bien. Dimanche dernier je l'ai invitée chez moi, elle a accepté. J'etais très content. Mais... Quand j'ai essayé de l'embrassé elle a refusé. Puis ... Elle m'a dit il y a une facon d'embrasser une fille. Tu dois faire ci, tu dois faire ca, tu dois aussi t'assurer que "ton haleine" ne derange pas. A la fin elle m'a dit "tu vois je suis en train de te former pour une autre femme. C'est souvent comme ca". Je me suis vraiment senti ecrasé comme un insecte. Je lui ai simplement dit " Tu es en train de me former?" Puis elle est partie. Dans la soirée je l'ai appelée pour lui faire savoir que je n'ai pas du tout apprécié la facon dont elle m'a traité. Je lui ai dit que je veux d'elle comme copine et pas en tant que professeur. Elle m'a repondu "Tu sais je veux te proteger. Il y a des choses que tu ne sais pas. Je veux que quand je sors avec toi je sois a l'aise. Si j'ai envie de faire qqch je voudrais pas que ce soit avec un ami que je le fais. Etc" Bref, depuis ce jour la j'ai envie de laisser tomber. Parce que je sais ou ce genre de relation me menera: la frustration. Je voudrais avoir des conseils svp. Merci d'avance pour votre lecture.
Tu as peut être été maladroit dans ta façon d'embrasser, et elle maladroite dans sa façon de t'en parler. C'est la même fille avec qui tu couches sans arriver à aller jusqu'au bout tellement tu te masturbes en amont ? La même qui arrive en retard à vos RDV ? Si oui, et vu la multitude de topics que tu as fait à son sujet, probablement qu'elle ne te convient pas.
Déjà, est-ce que tu es déjà sorti avec quelqu'un? Quel âge as tu? Je te demande pour essayer de comprendre si c'est cette relation là qui t'a mis mal à l'aise ou alors si c'est parce que c'est ta première. C'est possible que cette fille ait été attirée et qu'ensuite, elle s'est rendue compte qu'elle t'idéalisait. Elle a quel âge?
Oui Je suis deja sorti avec une fille. J'ai 29 ans et elle aussi.
Je vais être très crus mais je trouve qu'il saute aux yeux qu'elle ne t'aime pas ,elle ne s'implique pas.
3 topics sur le même sujet : l'humiliation que te fait subir cette nana.

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je me sens humilié par mon conjoint
J'ai été humilié en voulant faire l'amour à une amie
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A t'elle agi en amie ou m'a t'elle humilié 
Bonjour, J'ai 19 ans et m'a meilleure amie m'a fait vivre l’humiliation de ma vie, elle dit que c'est pour mon bien, mais je doute et je n'ose me confier à personne. Lors d'une soirée "arrosée" moi et d'autres amies étions j'en conviens trop pompettes pour reprendre la route et même pour sortir à pied. Apparemment, nous n’étions pas de cet avis, et nous voulions repartir. Après négociation avec ma meilleure amie, j'ai accepté de prendre une douche avant de partir (pour m'éclaircir les idées). Quand je suis sortie de la douche elle avait prit mes vêtements. Elle a refusé de me les rendre et m'a dit qu'a moins de rentrer toute nue j'allais devoir coucher chez elle. Elle m'a laissé toute nue et m'a mené jusqu’a une chambre. Comme j'étais un peu ivre, je n'ai pas dût marcher très vite entre la sdb et la chambre et je me souviens qu'elle ma mis des tapes sur les fesses pour me faire avancer. Arrivé dans la chambre, j'ai réalisé qu'elle avait déjà administré le même traitement à mes deux autres amies qui dormaient déjà dans le lit. Elle m'a tout de même mise au lit. Et le lendemain, on c'est réveillé à poil dans le même lit, comme trois cruches alors que l'on ne se connaissaient pas si bien que cela. Je me demande si mon amie à vraiment fait ça pour me protéger. Je sais que je ne pouvais par sortir comme ça, mais de là à me faire traverser sa maison toute nue en me mettant des tapes sur les fesses et de me retrouver au lit à poil avec des filles avec qui je ne suis pas si intime que ça..... J'ai trop honte pour demander conseil, vous pensez qu'elle a agit pour me protéger ?
Ha ha ! Alors si tu confirme toi même, qu'elle n'avait pas tellement d'autres solutions, il me parait claire, que outre la gène occasionné, qu'elle a agit comme elle le devait. $ 🙂
Bonjour, Je trouve qu'elle a eut un très bon réflexe, cela vous a éviter de partir de chez elle ivre. Ensuite une bonne lecon aussi, apprendre à faire la fête en buvant avec modération, je trouve qu'il vaut mieux être à poil à coté d'une personne de même sexe si on est hétéro, que d'être à coté d'un parfait inconnu de l'autre sexe et se retrouver en cloque quelques semaines après. Un coté de protection, mais autant en profiter pour se moquer un peu gentiment
Je vais pas me mentir et te mentir "peutêtre64" au moment des "faits" ma perception et mon raisonnement sont pas mal altéré par l'alcool. Je ne suis pas sur que je ne serai pas partie sans clés, manteau et chaussures. Ou peut être même que j'aurai mit des chaussures dans l'entrée. Franchement je n'arrive pas à juger le moyen employés ont était 3 filles complètement ivre qu'elle devait gérer seule et on voulait toute sortir voir conduire. Elle à peut être été au plus radical donc au plus efficace. Il faut surement que je lui en parle. Ou que j'en parle aux autres filles.
Oui, c'est vrai. Je pense que je vais la remercier. Mais j'ai tellement honte que je ne sais même pas si je vais pouvoir la regarder dans les yeux. Au réveil on se sentait toutes ridicules.
On pourrait aussi dire que vous projetez sur elle l'humiliation que vous avez fait sur vous même, car être bourré et facilement suivre les autres c'est pas très glorieux. Après c'est à vous de rire de votre propre betise
Je pense que je vais la remercié de m'avoir empêcher de sortir. Mais que je vais lui que je trouve le traitement qu'elle ma fait subir humiliant. Les claques sur mes fesses nues pour me mener au lit et tout ça.....
De toute façon, je pense que tant que tu reste ouverte et avenante, en abordant le sujet. Qu'elle sent que tu ne cherche pas à l'accuser mais à exprimer ta honte sur le moment. Il ne devrait pas y avoir de problème !
Je ne sais pas, d'un coté je me sens humilié et furieuse. De l'autre je suis contente qu'elle nous ait empêcher de partir. C'est une preuve d'amitié que de nous protéger et prendre soin de nous plutôt que de nous laisser partir et nous mettre en danger. J'hésite entre ne plus lui parler, la remercier ou lui dire qu'elle m'a blessé.
Bonjour, La prochaine fois, tu pourras lui dire qu'il suffit de prendre les clefs de voiture, les chaussures, voir le manteau pour que ce soit un peu plus dissuasif, plutôt que TOUS les vêtements ! Car même si ça parait d'une bonne intention, le résultat n'est pas totalement satisfaisant. Puisque tu t'es senti humilié. Mais ceci dit, je pense que tout le monde à un souvenir plus ou moins honteux en rapport avec une soirée bien arrosée, alors je pense que tu t'en remettra !

La découverte de l’infidélité est une expérience traumatique. Il est souvent difficile d’être objectif lorsque nous traversons des situations déstabilisantes. Parlons en sans complexe.
Pas le temps de répondre (suis sur le départ), mais pas envie de te laisser seul...
Je reviens dés que possible!!

Nous sommes nombreux par être passés par les affres de l'infidélité...
Bien à toi!
Liive11 a écrit : il y a 2 mois de cela, ma femme pianotait sur l'audit sur un site de "sorties" car elle disait s'ennuyer la semaine. (nous vivons
Une hollandaise se fait baiser la bouche
Claque de boules pendant la baise
Pipe Perri cherche un vrai mec

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