Trop chaud pour être dehors

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Trop chaud pour être dehors

Nadielle Kutlu
LA PRESSE

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Photo Robert Skinner, archives La Presse
« On perd 40 % de la chaleur par la tête, il faut donc une isolation de qualité », rappelle Damien Ternest, thérapeute et copropriétaire de Kinatex Sports Physio.
Être bien habillé de la tête aux pieds, surtout lorsque le mercure chute brutalement comme ces derniers jours, c'est la clé pour ne pas grelotter dehors. «Oui, c'est un investissement, mais c'est un bon investissement, sinon l'hiver sera vraiment long!», lance Damien Ternest, thérapeute et copropriétaire de Kinatex Sports Physio, au Quartier DIX30.
Avant tout, si on est fatigué ou qu'on n'a pas bien mangé, «le corps aura de la difficulté à puiser de l'énergie pour lui donner de la chaleur», met en garde Benoit Lapierre, conseiller chez MEC. Ensuite, le type d'activité extérieure, la météo et sa capacité à tolérer le froid détermineront la manière dont on devrait se vêtir. On n'hésite pas à bouger pour activer la circulation sanguine. Les deux experts donnent quelques astuces pour ne pas geler l'hiver.
«On perd 40 % de la chaleur par la tête, il faut donc une isolation de qualité», rappelle Damien Ternest. On peut opter pour une tuque en tissu synthétique à l'intérieur, comme du polyester, et de la laine à l'extérieur. Comme on aura surtout froid lors des premières minutes, Damien Ternest conseille de couvrir le bas de son visage jusqu'au nez avec son foulard ou sa cagoule, pour «réchauffer la température de l'air qu'on va respirer et faciliter le début de l'activité».
«On perd environ 30 % de la chaleur du corps par les pieds», précise le thérapeute. Les chaussettes en laine de mérinos, une fibre naturelle, permettent de garder les pieds au chaud en plus d'absorber et d'évacuer l'humidité, donc de garder les pieds au sec, ce qui est essentiel. Surtout, on évite les bas en coton qui gardent l'humidité: si on transpire, les pieds deviendront mouillés et on aura rapidement froid. «Les chaussettes, c'est un investissement aussi important que les bottes ou le manteau», souligne Damien Ternest. On peut aussi se tourner vers une solution du «futur»: les chaussettes chauffantes à piles.
La botte doit être montante et surtout isolante. Mais si on fait une activité où l'on transpirera beaucoup, il ne faut pas qu'elle soit trop isolante. La semelle doit être épaisse pour être éloignée du sol froid. Pour les plus frileux ou lorsqu'il fait très froid, on peut utiliser des chauffe-orteils jetables (petites enveloppes de chaleur), des semelles thermiques ou encore des semelles chauffantes à batteries. Mais attention de ne pas les allumer trop tôt. Les bottes devraient être environ une demi-pointure plus grande que notre taille habituelle pour favoriser la circulation de la chaleur, souligne Damien Ternest. Pour ne pas couper la circulation, on ne les serre pas trop. On pense aussi à faire sécher les semelles et on évite de poser directement les bottes sur le calorifère, au risque de les abîmer.
Photo Edouard Plante-Fréchette, archives La Presse
Les bottes devraient être environ une demi-pointure plus grandes que notre taille habituelle pour favoriser la circulation de la chaleur, souligne Damien Ternest.
Pour les mains, on privilégie des mitaines, car les doigts regroupés resteront plus chauds. «Je recommande souvent de porter des plus petites mitaines à l'intérieur», note Benoit Lapierre. Ou alors, on se procure des mitaines déjà doublées. Là encore, on évite le coton. Des chauffe-mains jetables peuvent être utiles. Une fois à l'intérieur, on n'oublie pas de faire sécher les mitaines.
Quand on fait une activité à l'extérieur, les experts suggèrent d'apporter une paire supplémentaire de chaussettes et de mitaines. Surtout pour les enfants. On pourra ainsi les remplacer si elles sont mouillées.
Pour les vêtements, on s'habille avec deux ou trois couches. Et pas de coton! La première couche, la plus mince, sert à absorber et évacuer l'humidité et la sueur. «Elle est cruciale, car elle va nous garder au sec», dit Damien Ternest, aussi spécialisé en course quatre saisons. Il conseille de porter une première couche en laine de mérinos, qui ne pique pas, absorbe et évacue l'humidité en plus d'avoir des propriétés antimicrobiennes. Elle apportera aussi de la chaleur. Comme les vêtements faits de 100 % laine de mérinos sont plus fragiles, on peut opter pour un mélange de fibres synthétiques (comme du polypropylène) et de laine de mérinos. Les fibres synthétiques évacuent l'humidité et rendent le vêtement plus résistant, puisque c'est du plastique.
Plus épaisse que la première, «la deuxième couche doit être isolante et produire un peu de chaleur», poursuit l'expert. Elle peut être en fibre synthétique de polar, par exemple. L'utilité de cette deuxième couche dépend du type d'activité que l'on fait, de sa capacité à absorber le froid et de la température extérieure. Lorsqu'il fait très froid et qu'on restera assez longtemps à l'extérieur, on peut ajouter une troisième couche.
Le manteau d'hiver sert de coupe-vent, il doit être imperméable, résistant, protéger du froid et des intempéries. Pour se promener en ville, on opte pour un manteau assez long qui couvre les cuisses. Il faut qu'il soit isolant, avec un col qui monte jusqu'au nez et des fermetures éclair scellées pour protéger du vent. On évite le manteau à gros duvet lorsqu'on fait une activité exigeante.
Les enfants ne se plaindront généralement pas du froid lorsqu'ils jouent dans la neige, mais ce n'est pas forcément un bon indicatif. Comme leur peau est très fragile, les engelures se font rapidement. Il y a d'ailleurs eu une hausse de cas rapportés dans les hôpitaux ces derniers jours. Damien Ternest conseille de protéger le visage des enfants du vent et du froid avec un corps gras comme de la Vaseline ou une crème antifroid. Même les plus grands peuvent en appliquer. On peut faire un test en faisant une légère pression sur leurs joues avec notre doigt: «Si ça reste blanc, c'est mauvais signe. Il faut qu'il y ait une circulation», prévient M. Ternest. Et on s'assure que le visage des enfants reste sec.
Les gens font souvent l'erreur de porter leur équipement trop tôt, constate Benoit Lapierre. «Si on va faire de la raquette dans les Laurentides, qu'on porte nos bas en laine dans la voiture, après 45 minutes, on aura transpiré et les chaussettes risquent d'être déjà humides. Une fois dehors, on aura froid», explique-t-il. La solution: partir avec deux paires de chaussettes. Une paire que l'on porte dans la voiture et une paire en laine de mérinos que l'on met une fois sur les lieux de l'activité. Et on évite d'habiller les enfants trop vite. «S'ils attentent trop longtemps à l'intérieur lorsqu'ils sont habillés très chaudement, ils vont transpirer et avoir froid dehors», souligne-t-il. Quand on a un trajet assez long à faire en voiture, on retire la tuque, les gants, on ouvre le manteau. On applique la même règle pour les enfants. Si on se promène en ville, qu'on entre dans les magasins ou dans le métro, on prend le temps de se dévêtir, ainsi que les enfants.
Doit-on habiller les enfants avec une couche de plus que nous? «Oui, pour les tout-petits qui ne bougent pas et restent dans la poussette ou la luge, on peut ajouter une couverture en plus», répond Benoit Lapierre, de MEC. Mieux vaut vêtir les enfants d'une cagoule afin de s'assurer que leur cou et leurs oreilles soient bien couverts. Comme la cagoule est souvent mince, on ajoute une tuque ou on la couvre avec la capuche du manteau. Quant aux bottes, on les choisit isolantes, légères et souples, conseille Damien Ternest. Quand on sort avec les enfants, il conseille de toujours amener des chauffe-mains et chauffe-pieds jetables (petites enveloppes de chaleur) à utiliser au besoin, ainsi qu'une paire de chaussettes et mitaines supplémentaires.
Photo Martin Chamberland, La Presse
Pour les mains, on privilégie des mitaines, car les doigts regroupés resteront plus chauds.
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Steven Laureys est un neurologue belge qui enseigne à l’Université Laval. Il est aussi l’auteur de deux livres sur la méditation. Son plus récent, Méditer avec le D r Steven Laureys , est paru plus tôt cette année. En entrevue avec La Presse , il explique pourquoi la méditation fait partie d’une bonne hygiène de vie.


Elles sont utilisées depuis des siècles dans les médecines traditionnelles et font un retour en force, propulsées par l’appétit des consommateurs pour les produits offrant des bénéfices pour la santé. Les plantes « adaptogènes » aideraient l’organisme à mieux répondre au stress et à retrouver son équilibre. Qu’en est-il vraiment ? Notre journaliste fait le point.


Les vacances ont reposé votre corps et votre esprit ? Alors que le mois d’août déjà amorcé nous rapproche tranquillement de la rentrée, voici cinq suggestions d’évènements et d’activités pour se centrer, rester connecté et faire le plein d’énergie positive !


(Montréal) Une faible masse musculaire est associée à un déclin cognitif plus rapide chez les aînés, ont constaté des chercheurs montréalais.


(Montréal) Les bébés prématurés qui ont reçu les plus grandes quantités de lait maternel, aussi bien pendant qu’après leur hospitalisation à l’unité de soins intensifs néonatals, s’en tiraient mieux à l’école quelques années plus tard, ont constaté des chercheurs américains et australiens.


(Washington) Sa patiente avait besoin d’une interruption de grossesse pour survivre. « Médicalement, je savais quoi faire. Mais légalement… » : comme nombre de gynécologues américains, Mae Winchester a perdu sa sérénité le 24 juin.


(Montréal) Des étudiantes en nutrition de l’Université de Montréal iront à la rencontre d’aînés pour les aider à mieux s’alimenter, dans le cadre d’un nouveau projet de transfert de connaissances dont les retombées profiteront éventuellement à toutes les personnes âgées de la province.


(Montréal) Le Canada exigera d’ici 2026 que les fabricants d’aliments emballés affichent, sur le devant, un symbole indiquant que l’aliment est riche en graisses saturées, en sucres ou en sodium.


Quand elles ont des enfants à un âge avancé, les femmes sont responsables de leur difficulté à concevoir et (surtout) des risques qu’elles font courir au bébé à naître. C’est du moins ce qui se dégage du discours dominant qui entoure la maternité tardive, estime Francesca Scala, professeure de science politique à l’Université Concordia. Elle vient de publier un article sur le sujet dans la revue Health, Risk and Society . Entrevue.


Pour la deuxième fois cette année, Justin Trudeau a annoncé cette semaine qu’il avait eu un test positif à la COVID-19. Le premier ministre est l’incarnation d’une réalité qui nous guette tous : on peut être réinfecté par le SARS-COV-2, le virus qui cause la COVID-19. Et, de toute évidence, on va l’être.


(Montréal) De jeunes adultes pourtant en bonne en santé ont commencé à prendre du poids quand on les a privés d’une bonne nuit de sommeil, ont constaté des chercheurs américains.


(Paris) Passer plus d’une heure devant les rayons alimentaires pour lire la composition de chaque produit, mâcher 50 fois pour donner l’impression à son cerveau de manger plus : l’orthorexie, ou l’obsession de manger sain, se développe à l’heure de la mode « healthy ».


(Paris) C’est l’un des troubles le plus courants chez une femme enceinte : le diabète de grossesse fait courir de multiples complications, que l’on connaît de mieux en mieux. Mais il peut se gérer avec une alimentation adaptée, sans sombrer dans des privations dangereuses.


(Montréal) On aurait avantage à miser sur une amélioration du mode de vie dans la lutte contre l’obésité, plutôt que de chercher à tout prix à atteindre une perte de poids, ont fait valoir des experts jeudi, lors du 89 e congrès de l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (Acfas).


Les critiques dont fait l’objet la culture des diètes amènent ses acteurs à revoir leur message. Mais, ne soyons pas dupes face à ces déguisements : une diète est une diète, rappelle l’organisme ÉquiLibre dans le cadre d’une campagne orchestrée pour la Journée internationale sans diète, qui a lieu ce vendredi.


Après se l’être fait imposer pendant près de deux ans, les Québécois seront bientôt maîtres de leur propre masque. Dans les lieux publics fermés, ils le porteront s’ils le veulent, quand ils veulent, où ils veulent. Conseils pour mieux s’y retrouver, et pour mieux se protéger, au besoin.

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Consultez le bulletin météo local. La première chose à faire est de consulter la météo locale. Regardez le bulletin météo à la télé ou cherchez la température du jour sur Internet. Faites attention au mauvais temps et soyez particulièrement à l'écoute d'un avertissement pour des températures extrêmes, chaudes ou froides.
Notez la température si vous possédez un thermomètre extérieur. Cela vous donnera une petite idée des conditions extérieures. Mais n'oubliez pas qu'il n'indique pas tous les paramètres : les thermomètres indiquent la température de l'air. Ils ne mesurent pas la force du vent ou l'indice de la chaleur, ce qui pourrait vous faire croire qu'il fait plus chaud ou plus froid que la température indiquée.


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Gardez les enfants à l'intérieur en cas de très basses températures. Les froids extrêmes peuvent provoquer une hypothermie, lorsque la température naturelle du corps est trop faible ou des gelures. La Société canadienne de Pédiatrie recommande que les enfants jouent à l'intérieur quand la température est inférieure à -25 °C  [1]
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. Cependant, cela correspond à la limite absolue, quand la peau commence à geler en à peine quelques minutes.

L'état d'Oklahoma recommande que les enfants jouent à l'intérieur quand le facteur vent descend en dessous de -12 °C  [2]
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. Cependant, les enfants ont besoin de rentrer à l'intérieur pour faire une pause toutes les 20 à 30 minutes quand le facteur vent est en dessous de 0 °C  [3]
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Aux États-Unis, l'agence météorologique nationale va émettre un avis ou un avertissement de refroidissement éolien quand il sera suffisamment bas pour mettre en danger la vie humaine. Si votre région est concernée par un tel avertissement, vous devriez définitivement garder vos enfants à l'intérieur.


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Gardez les enfants à l'intérieur en cas de fortes températures. Des températures très élevées peuvent soumettre les enfants à des risques de coups de chaleur, à des insolations, à des brulures à cause du matériel de l'aire de jeu, à des coups de soleil et à une soif excessive, en particulier pendant des jeux intenses. Faites en sorte que les enfants restent à l'intérieur quand la température dépasse 35 à 40 °C et attendez qu'elle rafraichisse  [4]
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Si vos enfants sont très actifs ou si vous vivez sous un climat plus chaud

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