Trois hommes vont se pomper le dard

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Accueil du site > Tribune Libre > Et SĂ©bastien vint nous pomper le Dard !



par Philippe Sage
(son site)



samedi 27 mars 2010



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24 réactions à cet article  

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A mon avis c’est trop tĂŽt pour fixer ces dĂ©tails. Vous pourrez toujours critiquer l’heure venue s’il le faut. A vous de rĂ©clamer participation et transparence. Si le dialogue existe rĂ©ellement vous pourrez voir vous-mĂȘme s’il place seulement ses propres gens ou bien s’il est franchement ouvert et Ă©quilibrĂ© dans le choix des experts.
En fait, on n’arrĂȘte pas de refaire le monde sur ces blogs, sans compter ceux qui planent sans internet ou devant leur tĂ©loche, sans rien de concret. Voila peut-ĂȘtre une occasion, qui d’ailleurs n’empĂȘche pas d’autres.
Je me suis dĂ©pĂȘché de l’écrĂ©mer pour m’afficher encore contre le nihilisme imbĂ©cile qui a toujours Ă©tĂ© un symptĂŽme parallĂšle Ă  la montĂ©e du fascisme dans les sociĂ©tĂ©s qui l’ont subi.
Encore une fois, nous n’avons pas Ă  juger de la vie de quelqu’un dĂšs lors qu’il propose des solutions intĂ©ressantes qui peuvent supplĂ©er avantageusement Ă  certains graves manques de notre « dĂ©mocratie ».
Heureusement M. Philippe Sage, la sociĂ©tĂ© n’est pas faite que de pseudo-intellos et de gogos rabĂącheurs de sottises qui tournent en rond comme vous. Ils y a eu le succĂšs des Restos du Coeur en dĂ©pit des inerties et inepties de tous ceux qui l’ont dĂ©nigrĂ© au dĂ©part. Il y en a toujours pour ça, mais aujourd’hui plus que d’habitude ! L’initiative du Dard parait similaire, mais sur un plan beaucoup plus large que l’alimentaire. Le choix de la guĂȘpe, c’est pour symboliser une force plus indĂ©pendante, toutefois sociale et prĂȘte Ă  rĂ©agir si nĂ©cessaire que n’est l’abeille.
Et bien, si Patrick SĂ©bastien, que j’aime ou non son spectacle (et sa vie est une affaire privĂ©e, lĂ  n’est donc pas la question), arrive Ă  faire sortir un groupe de citoyens des griffes de Michel Drucker ou des bonnes volontĂ©s mielleuses de Bourdin & Co , pour les amener Ă  passer leurs dimanches sur des thĂšmes plus sociĂ©taux, ou Ă  s’occuper des autres, ou Ă  faire valoir des solutions radicales (il y en a) pour le changement, ou Ă  appeler Ă  des boycotts, ou a pĂ©titionner pour des rĂ©fĂ©rendums, en un mot : pour redevenir de vrais citoyens intĂ©ressĂ©s Ă  la vie de leur citĂ© et Ă  l’amĂ©lioration des rapports humains, du confort et du bonheur plutĂŽt que de se laisser endormir , je pense qu’il aura rĂ©ussi.
Et votre attitude au travers de cet article n’en prendra que plus de relief par son crĂ©tinisme Ă©troit et aveugle.
Mais qu’avons-nous fait, bon sang, quelles sont nos fautes, sont-elles
si grandes, pour que ce fut, lui, Patrick
SĂ©bastien qui vint Ă  notre rescousse, brandissant un
manifeste qualifiĂ© par ses soins d’ humaniste , un manifeste
nous invitant non pas à la révolution, eh non, mais à la révolte !
Sommes-nous donc à ce point maudits ? Ah si j’avais su, et comme je
le jure devant Dieu et cette RĂ©publique laĂŻque et indivisible, je me
serais mieux battu ! J’aurais donnĂ© de mon temps et de ma personne !
J’aurais donnĂ© mon sang, ma maison, ma femme, et ce qu’il me reste
d’économies afin d’éviter cette triste issue : notre destin presqu’aux
mains d’un “ tourneur de serviettes ” !
Comment ?

Je serais, vous dites, discriminant, hautain ou arrogant, en traitant monsieur SĂ©bastien de “ tourneur de serviettes " ? Mais, n’est-ce pas ainsi qu’il se prĂ©sente et se dĂ©finit ? N’est-ce pas cette image qu’il trimballe et dĂ©fend ? Et encore, aujourd’hui, dans ce combat auquel il nous convie ? 

Mais, bien Ă©videmment, sinon, qu’il a le droit, ce saltimbanque, de monter au crĂ©neau ! Comme Pierre Arditi ! Lilian Thuram ! Ou je ne sais quel Patrick Bruel ! Comme n’importe quelle icĂŽne mĂ©diatique ! LĂ  n’est pas le problĂšme, ni la question ! C’est juste que bon, on eut prĂ©fĂ©rĂ© que ce soye un Voltaire, un MoliĂšre, un Hugo ou un Camus, et mĂȘme, allez, tant pis, au point oĂč nous en sommes, un Sartre ! Il est vrai qu’aprĂšs Sartre, il y eut Montand ! A partir de lĂ , et pour citer Gad Elmaleh (autre philosophe des temps modernes) c’était comme qui dirait “ la porte ouverte Ă  toutes les fenĂȘtres ” !

Cela dit, je l’avoue, j’en conviens, ça ne me va pas plus, mĂȘme ça m’indispose et me dĂ©range, ces Duhamel et autres Aphatie, tous ces confortables qui font la moue, celle du dĂ©goĂ»t, lĂšvent les yeux au ciel, quand devant eux, on Ă©voque, sourires entendus, Patrick SĂ©bastien et son association Ă  but non lucratif, le D.A.R.D. ! Car tel est le sigle - ou le signe de ralliement - dudit manifeste, un sigle qui, selon monsieur SĂ©bastien, ferait et rĂ©fĂ©rence Ă  l’écrivain, l e FrĂ©dĂ©ric , aussi Ă  la guĂȘpe et son essaim. Pourtant, et comme c’est bizarre, dans ce D.A.R.D., on y voit ou entend Ă©galement du Bigard , comme une connotation grivoise, pour ne pas dire graveleuse, celle qui vient du slip, allons enfants du pif et du calendos, Ă  vos majeurs pointĂ©s, on va leur montrer, et leur mettre oĂč je pense, franchouillis , franchouillas , nous voilà ! Une certaine idĂ©e de la France ! Celle qui fait "tagada pouet-pouet " ! Celle qui s’exprime le matin chez Bourdin & Co sur RMC Info ! Celle du “ bon sens ” nous assure SĂ©bastien !

Quoi ? Je ferais lĂ , encore, preuve de suffisance, de cynisme et de dĂ©dain ! Mais non, voyons ! Allons ! La vĂ©ritĂ© est ailleurs , comme le disait Fox Mulder (ah ben puisque la tĂ©lĂ© est dĂ©sormais religion, parole d’évangile, j’y pioche et j’y prends, puisque si bas, nous voilĂ  rendus ou vomis).
Ailleurs, donc, mais oĂč ? Mais j’en sais foutre rien, Ă  la fin ! Personne ne le sait plus, Ă  vrai dire. Du coup, chacun devient lĂ©gitime . Tous les avis se valent. C’est la confusion totale. Plus de repĂšres. NiquĂ©e, la lumiĂšre ! Et toi donc, Voltaire !
De fait, il n’est point Ă©tonnant, tant ça nous pendait au nez, et copieux, qu’il surgisse le camelot, le mĂ©diatique, le bateleur, le gĂ©nĂ©reux, Ă  grands coups de “Je” et d’altruisme conjuguĂ©s ! Oyez, oyez, souffreteux, misĂ©reux, exclus, bouillus et foutus, esgourdez donc c’te invitation Ă  construire une sociĂ©tĂ© nouvelle, vidĂ©e de tout mĂ©pris, de toute suffisance, de cette salope qu’est l’indiffĂ©rence ! Une sociĂ©tĂ© idĂ©ale oĂč l’on ne te volerait plus tes libertĂ©s, sans le moindre abus de pouvoir, parce que, sais-tu, le pouvoir, c’est mal ! ... Bouh ! ... Le bien c’est : l’Amour ! Ami, entends-tu : “L’Amour” ! “Efforçons-nous” (puisque tel est le slogan du D.A.R.D.) d’essayer de “ nous rassembler le plus possible pour que le pouvoir de l’Amour soit plus fort que l’amour du pouvoir ! ” .. Si avec ça, Patrick SĂ©bastien ne dĂ©trĂŽne pas Yannick Noah (autre philosophe d’aujourd’hui) du Top50 des personnalitĂ©s prĂ©fĂ©rĂ©es des français, ou tout au moins, ne dĂ©passe pas, la JosĂ©phine, l’ange-gardien, la Mimie Mathy, je vous le dis, ce sera la chienlit !

Quoi, j’y vais un peu fort et mĂ©chant ? Plus encore que le Guillon (autre sombre hĂ©ros des opprimĂ©s que nous sommes) ou que le Zemmour ? .. Ah bon ? .. Mais enfin, savez-vous donc ce que signifie ce sigle, le D.A.R.D. ?

D roit A u R espect et à la D ignité !

Voilà oui, rien que ça ! Ni plus, ni moins ! Et ce serait avec (ou par) Patrick Sébastien que nous retrouverions ce droit ?
Eh bien non !
Non, car fallait-il encore qu’auparavant, monsieur SĂ©bastien se dĂ©loque, se dĂ©fasse ou s’affranchisse, qu’il abandonne, un temps, ses autres mandats, les mĂ©diatiques, les tĂ©lĂ©visuels, afin de se consacrer TOTALEMENT Ă  ce combat, cet engagement, tant il rĂ©clame du temps, de l’énergie, du corps et de l’esprit. Tant l’affaire est grave quand on le lit ! Mais si tel est le cas, la situation, alors, c’est Ă  bras-le-corps qu’il faut y aller, s’y plonger, n’avoir aucune autre prioritĂ© que le D.A.R.D., pas jouer en parallĂšle le saltimbanque de cabaret, sinon, c’est pisser dans un violon, ou Ă  la raie, la nĂŽtre en l’occurrence.
Dites, ça relÚve moins du militantisme que du dilettantisme, votre affaire, à mi-temps, monsieur Sébastien ! Non ?
Oh bien sĂ»r, cela ne lui aurait pas Ă©vitĂ© les sarcasmes, les quolibets et autres narquoiseries , tant elle lui colle, sangsue, Ă  la peau, cette image de "tourneur de serviettes", animateur de fin de banquets, mais, il eut Ă©tĂ© moins aisĂ©, s’il s’en Ă©tait dĂ©laissĂ©, ou Ă©cartĂ©, un peu, de mettre son engagement, sa sincĂ©ritĂ©, en doute. Ou de s’en gausser.
Mais non, rien Ă  faire, cette image, l’indĂ©crottable, il ne veut s’en dĂ©partir, et vlan ! Il te la colle, chewing-gum, à son manifeste, par un sigle avant tout grivois, digne du Bigard, le D.A.R.D., et comme c’est bizarre, on y lit moins du FrĂ©dĂ©ric ou je en sais quel essaim de guĂȘpes que ce cri-ci :

” Vous nous l’avez que trop pompĂ©, le dard ! ”

" Vous ", ce sont les politiques, les Ă©lites (qu’on honnit Ă  n’en plus pouvoir, aujourd’hui) les intellectuels (s’il en reste) les sociologues, les experts, les journalistes et toute la clique ! Avec notre D.A.R.D. on va vous en faire voir, mes saligauds ! Et profond ! VoilĂ  ce qu’il est donnĂ© Ă  entendre ! Et de fait, ce “populisme” dont on habille monsieur SĂ©bastien et son initiative, n’apparait pas plus disproportionnĂ© qu’immĂ©rité !
Il aurait fallu, c’était nĂ©cessaire, je le rĂ©pĂšte, avant d’engager ce combat, de nous le proposer, que monsieur SĂ©bastien se “ dĂ©cabarĂ©tise ”, se “ dĂ©petit-bonhomme-en-moussise ”, qu’il envoie valdinguer cette image, celle du "tourneur de serviettes", qu’il renonce Ă  la grivoiserie, au majeur pointĂ© et toutes autres allusions au gaudriolisme .
Qu’il se prĂ©sente nu ou sous un jour nouveau, sĂ©rieux, grave, oui grave ! Puisqu’à l’entendre, la situation l’est.
Un combat, tel que celui-ci, monsieur, ce n’est pas du spectacle, de la magie ou du cabaret ! C’est du velu ! C’est une vie !

Mais puisqu’il n’a pas su, ou voulu se dĂ©partir de cette image, puisqu’il a souhaitĂ©, mordicus, qu’elle l’accompagne, alors, dĂ©jĂ , par son manifeste, c’est lui, SĂ©bastien qui nous le pompe, et grave, le dard.
Et franchement, vu oĂč qu’on est, rendus - ou perdus - c’était vraiment pas le moment ! Ah ça non ! Ni l’endroit !
Pas dur , si Voltaire Hugo Camus et MoliĂšre sont morts et qu’ il n’ y a plus que vous de vivant montez le C-U-L le DARD Ă©tant dressĂ© ....
À supposer que cette initiative gĂ©nĂšre de grandes quantitĂ©s de propositions (sous couvert de l’anonymat offert par les pseudonymes), rien n’est dit sur qui sont les « experts » qui en feront l’analyse et la synthĂšse pour Ă©laborer une alternative cohĂ©rente.
P.S. : Il est curieux de se comparer d’emblĂ©e Ă  un nuisible, la guĂȘpe, plutĂŽt qu’à l’abeille... LĂ©gĂšreté ?
Supposons donc que oui, ça marche avec les propositions, eh bien pourquoi n’allez-vous pas poser la question des experts sur le web du dard.com ? Bougeons-nous au lieu de douter !
Philippe Sage, vous avez parfaitement raison. Si P.SĂ©bastien s’était prĂ©sentĂ© comme nouveau philosophe digne descendant de Sarte et Camus, nous ne lui aurions pas ri au nez, mais nous l’aurions pris au sĂ©rieux sans le moindre rictus. A l’image de nos Ă©lus, il est aussi normal de lui demander de na pas cumuler plusieurs activitĂ©s ; qui pourrait croire que l’on puisse ĂȘtre dĂ©putĂ©, sĂ©nateur, membre de conseil rĂ©gional ou maire Ă  mi-temps ou Ă  tiers-temps ? Personne de sensĂ©. Il particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©able que ce comique troupier se prĂ©sente tel qu’il est. Nous aurions prĂ©fĂ©rĂ© qu’il s’entoure de conseillers en communication, et qu’il Ă©change ses costumes de bouffons contre celui des moines de la vraie pensĂ©e politique dĂ©blatĂ©rant un discours marketing, insipide certes, mais tellement plus rassurant. Il est choquant de voir qu’il prĂ©tend que sa dĂ©marche est apolitique, d’autant qu’il dĂ©fend des idĂ©es plus que douteuses : « Il est urgent de s’engager dans cette lutte pacificatrice, sous peine que le pourrissement des valeurs essentielles Ă  une sociĂ©tĂ© plus juste ne fasse, Ă  plus ou moins long terme, le lit de l’ultraviolence ». Le respect et la dignitĂ© sont des valeurs absurdes : nous on veut du pognon pour nous, et pour les autres s’il en reste. « Mon propos est Ă©tayĂ© moins de connaissances spĂ©cifiques que de ce que nous appelons communĂ©ment « le bon sens » » : Cette citation montre bien son incompĂ©tence de fait. Il avoue n’avoir aucune connaissances et le bon sens n’est jamais citĂ© par les journalistes ni les politiques comme valeur de rĂ©fĂ©rence (CQFD).
GrĂące Ă  la vigilance populo-gaucho-droito-comptoiriste finement utilisĂ©e par l’auteur, ce genre d’énergumĂšne ne nous fera pas prendre des vessies pour des lanternes.
 Vous écrivez : « Le respect et la dignité sont des valeurs absurdes... »
 Vous auriez rĂ©agi comment si aujourd’hui vous aviez reçu une lettre vous expliquant que ce n’est pas la peine de venir travailler lundi matin parce que l’usine est fermĂ©e mais que vous pouvez toujours aller travailler en Hongrie pour 450 Euro Ă  condition de parler le hongrois ?
 Si le problĂšme vous Ă©chappe, c’est que vous faites encore partie (pour combien de temps ?) de ceux qui sont passĂ©s entre les gouttes. Cordialement.
Article vraiment chi.nt et n’apportant rien d’utile.
Message approuvĂ© Ă  200% ! Fort heureusement, il y a encore des personnes de bonne volontĂ© qui pensent que le fait de « lancer » une idĂ©e, peut ĂȘtre interĂ©ssant ! Le Sage en question prend position... C’est son droit. Moi je prend aussi position en consacrant une page du D.A.R.D. sur mon site ! http://www.ganagobie.com
Une évolution politiquo-médiatique que Régis Debray résume bien :
 « Être , Ă  prĂ©sent , c’est ĂȘtre vu. C’est la camĂ©ra qui donne la visibilitĂ© sociale , aprĂšs on est bon pour l’influence , et mĂȘme pour un ministĂšre......quant Ă  nos acteurs, sportifs, chansonniers , animateurs, ils ont la lĂ©gitimitĂ© . Quand Sarkozy pose Ă  cotĂ© de son pote Johnny , le patron ,c’est Johnny : il met nĂ©gligemment la main sur l’épaule de Nicolas....la politique est devenue une filiale parmi d’autres du show-biz » .
la rĂ©flexion de RĂ©gis Debray est juste, mais elle est l’apparence du thĂ©Ăątre qui nous est jouĂ©. Si cette apparente nonchalance et ce jeu de dupes oĂč les discours sont sans substance par rapport au pillage organisĂ© auxquel se livre wall street envers TOUS SES ALLIES SUPPOSES tandis que les Ă©crans montrent les pĂ©ripĂ©ties romantiques prĂ©sidentielles, du vrais Dr J’y vagues eaux et les romans-fleuve des amours vaches entre partis... c’est parce que les maĂźtres des coulisses, (tout ce qui importe vraiment puisque le dĂ©cor n’est que la face extĂ©rieure d’un machinerie complexe qu’il faut pour changer les dĂ©cors et permettre aux acteurs de passer d’un bord de scĂšne Ă  l’autre sans ĂȘtre vus, de les costumer et les Ă©clairagistes, les maquilleurs et les souffleurs, les assistants de plateau, les convoyeurs et les caissiers, les gardes et bien sĂ»r l’administration, puis, tout en-haut, la direction du thĂ©Ăątre... bref) les directeurs, semblent en difficultĂ© et resserrent les boulons du grand manĂšge tous les jours. Ils sont presque au bout de leur folie. on y a Ă©chappĂ© de peu Ă  Copenhagen. Je dis cela bien sĂ»r au cas oĂč il y aurait encore des blaireaux qui ne le verraient toujours pas malgrĂ© la profondeur abyssale des mensonges auxquels on nous abreuve depuis 4000 ans et dont les rĂ©vĂ©lations lumineuses de l’histoire et des fondements de l’univers sont autant d’exaltation prĂ©occupante pour les tenants qui avaient presque rĂ©ussi Ă  endormir tellement la masse que les aom ainsi aplatis se miraient eux-mĂȘmes en grand publc et acceptaient d’ĂȘtre appelĂ©s ainsi. Le grand public, masse difforme et informe dont le seul rĂŽle est spĂ©cifiquement stipulĂ©, le public observe, subit, se tait, s’émeut et aplaudit, se tourmente, se lamente ou s’enivre au grĂ© de la piĂšce, au rythme des acteurs, mais en aucun cas le public ne dĂ©cide-t-il de la piĂšce qu est jouĂ©e. Et dans le cas qui nous occupe assure absolument toutes les chianteries que nĂ©cessitent ce thĂ©Ăątre macabre fait de guerres et de ravages. Curieusement, le public d’aujourd’hui, qui doit aussi maintenir le thĂ©Ăątre, semble toujours en attente de la piĂšce qui doit s’y jouer, alors on lui sert des hors-d’oeuvre sur Ă©cran ou en stades,au plus grand bĂ©nĂ©fice des directeurs. Du temps des grecs encore, les citoyens pensaient avoir Ă  faire aux dieux en personne. Les changements de dĂ©cor peuvent ĂȘtre spectaculaires. Aujourd’hui des cadres virtuels tels « second life » leur offrent une ultime Ă©chappatoire pour fumer dans les chiottes, oĂč c’est interdit aussi, mais « pas vu pas pris » disait je ne sais plus qui. Ce n’est pas une vie que de vouloir ĂȘtre sous contrĂŽle et que chaque pas soit normĂ©.. Le grand tour de force est de faire croire aux acteurs qu’ils devaient tenir un thĂ©Ăątre dans lequel une piĂšce va se jouer imminemment. 4000 ans que ça dure oui et c’est la mort, immanquablment qui clĂŽt la piĂšce macabre, la mort de chacun des acteurs. DrĂŽle de piĂšce. Les acteurs de la vie n’en Ă©civent plus leurs scĂ©narios... ils avaient peur du bloc de l’est oĂč l’état dictait leur fonction aux aom... et ils en viennent Ă  accepter bien pire. De se faire plotter dans les aĂ©roports par des gens dont ils paient le salaire. La direction du thĂ©Ăątre a perdu toute retenue et joue la piĂšce des dix petits nĂšgres. « On dĂ©popule pour votre bien » et quelques clowns savants forcent la grimace. et puis franchamont par compassion pour nous, vos lecteurs, comme beaume contre les tonnages de jugements insipides e
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