Trois contre une

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Trois contre une

26 février 2022




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Meikayla Moore, joueuse de l’équipe nationale de Nouvelle-ZĂ©lande, a passĂ© un match trĂšs compliquĂ© face aux États-Unis lors d’une rencontre de SheBelieves Cup disputĂ© hier.
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On vous laisse admirer cette incroyable performance en vidéo :
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Une reprĂ©sentation de lacs de Wada : en un seul pas, on peut arriver dans diffĂ©rents pays car ils partagent la mĂȘme frontiĂšre. Yves CoudĂšne, Sorbonne UniversitĂ© , Fourni par l’auteur
Accueil » Une contre-intuition mathématique : trois pays séparés par une seule frontiÚre
Serait-il possible de redessiner la carte du monde de façon Ă  ce que tous les pays aient une seule et unique frontiĂšre (ou, en d’autres termes, exactement la mĂȘme frontiĂšre) ?
VoilĂ  une question pour le moins Ă©tonnante, dont la rĂ©ponse peut potentiellement changer notre apprĂ©hension de la notion de frontiĂšre. MĂȘme si une rĂ©ponse affirmative semble dĂ©boucher sur l’absurde, essayons d’imaginer un monde oĂč tous les pays seraient sĂ©parĂ©s non pas par leurs frontiĂšres, mais plutĂŽt par une seule frontiĂšre, commune Ă  tous.
Dans un monde Ă  une seule frontiĂšre, si on est Ă  un point quelconque de la frontiĂšre de tous les pays, nous pouvons en faisant un seul pas dans une direction bien choisie accĂ©der Ă  tout pays de notre choix. Ainsi, Ă  partir d’un point de la frontiĂšre on pourrait en seulement quelques minutes prendre un thĂ© au Japon, un cafĂ© au BrĂ©sil ou assister Ă  un concert en Australie
 On pourrait mĂȘme faire tout cela dans une seule aprĂšs-midi ! Mais un tel monde peut-il vraiment exister ?
À rebours de notre intuition, un tel monde peut exister : il est possible qu’un nombre quelconque de pays soient sĂ©parĂ©s par une seule frontiĂšre, mais malheureusement pour nous, vivre dans un tel monde ne serait pas aussi pratique qu’on peut le penser.
Ce rĂ©sultat a Ă©tĂ© dĂ©crit en 1917 par le mathĂ©maticien japonais Kunizo Yoneyama , qui attribue sa dĂ©couverte Ă  son professeur Takeo Wada. Yoneyama dĂ©crivit le rĂ©sultat non pas en termes de pays sĂ©parĂ©s par des frontiĂšres, mais plutĂŽt en termes de lacs sĂ©parĂ©s par des portions de terre. C’est ainsi qu’aujourd’hui des pays avec exactement la mĂȘme frontiĂšre sont appelĂ©s en mathĂ©matiques des « lacs de Wada ». MalgrĂ© leur nature surprenante, de nos jours, les lacs de Wada apparaissent naturellement dans l’étude des systĂšmes chaotiques .
La vie dans un « monde de Wada » Ă  une frontiĂšre a l’air assez exotique et presque inimaginable, mais peut-ĂȘtre pouvons-nous mieux la concevoir dans les cas d’un monde Ă  deux ou trois pays sĂ©parĂ©s par une seule frontiĂšre.
Peut-on tracer deux pays sur la Terre avec exactement la mĂȘme frontiĂšre ? Il se trouve que non seulement c’est possible, mais aussi que c’est l’unique cas oĂč la vie dans un monde de Wada peut ne pas ĂȘtre si diffĂ©rente de la nĂŽtre.
En effet, imaginez un pays A qui contient tout l’hĂ©misphĂšre nord de la Terre et un pays B qui contient tout l’hĂ©misphĂšre sud. Les deux pays sont sĂ©parĂ©s par l’équateur ; ils ont donc exactement la mĂȘme frontiĂšre.
Essayons Ă  prĂ©sent d’imaginer la vie dans un tel monde. Supposons qu’on se trouve Ă  un point de la frontiĂšre entre les deux pays. En partant vers le Nord on pourra en quelques instants visiter des villes ou admirer des paysages du pays A. De mĂȘme, on pourra visiter le pays B en partant vers le Sud.
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Ainsi, notre rĂȘve de voyager en une aprĂšs-midi dans tous les pays du monde Ă  partir d’un point quelconque de leur frontiĂšre commune semble ĂȘtre rĂ©alisable dans ce cas. Malheureusement, il s’avĂšre que le monde de Wada Ă  deux pays constitue l’unique cas oĂč notre rĂȘve est rĂ©alisable, car la vie dans les mondes de Wada Ă  trois pays ou plus devient considĂ©rablement plus complexe.
Comment peut-on tracer sur la Terre trois pays sĂ©parĂ©s par une seule frontiĂšre ? PrĂ©cĂ©demment, en divisant la Terre en deux on a obtenu un monde de Wada Ă  deux pays. Malheureusement, diviser la Terre en trois ne produit pas trois pays avec la mĂȘme frontiĂšre.
Si l’on veut construire un monde Ă  trois pays et une seule frontiĂšre, nous pourrions peut-ĂȘtre nous inspirer de la carte du monde actuel. Regardons plus particuliĂšrement comment trois pays s’intersectent aujourd’hui. Les points d’« intersection triple », autrement dit les intersections entre trois pays, ne sont pas un phĂ©nomĂšne rare de nos jours, mĂȘme pour la France. En effet, il existe entre autres un point d’intersection entre la France, la Suisse et l’Italie, mais proche de ce point dans la frontiĂšre française il n’existe que des points d’intersection double (France-Italie, France-Suisse). La mĂȘme chose se produit pour tous les points triples des frontiĂšres des pays d’aujourd’hui.
Pourtant, si l’on veut construire trois pays sĂ©parĂ©s par une seule frontiĂšre, il nous faudra construire des pays qui ne contiennent que des points d’intersection triple dans leurs frontiĂšres et aucun point d’intersection double. Comment peut-on donc faire en sorte qu’un pays ne contienne aucun point double dans sa frontiĂšre ?
Wada dĂ©crit une mĂ©thode simple pour rĂ©pondre Ă  la question prĂ©cĂ©dente. La mĂ©thode de Wada peut ĂȘtre vue comme une Ă©volution de trois pays dans le temps, Ă  travers une sĂ©rie de campagnes d’annexion sans conflits. Le seul inconvĂ©nient de la mĂ©thode de Wada, c’est qu’ elle prend fin aprĂšs un nombre infini d’étapes d’annexion ; il sera donc impossible de tracer le rĂ©sultat final, mais on pourra peut-ĂȘtre aprĂšs un nombre fini d’étapes terminer le dessin par nous-mĂȘmes en nous laissant guider par notre imagination.
DĂ©crivons ainsi la mĂ©thode de Wada. Commençons par tracer sur la carte de la Terre trois pays : rouge, bleu et vert. Le pays rouge va englober presque toute la Terre sauf un espace qui aura la forme d’un rectangle et les pays bleu et vert vont avoir la forme d’un carrĂ©. L’espace blanc Ă  l’intĂ©rieur du pays rouge n’appartient pour l’instant Ă  aucun des trois pays.
Pendant chaque Ă©tape d’annexion, un pays va Ă©tendre ses frontiĂšres tout en laissant suffisamment d’espace pour que les deux autres puissent davantage Ă©tendre les leurs. En suivant la mĂ©thode de Wada, pendant la premiĂšre Ă©tape d’annexion, le pays rouge va Ă©tendre ses frontiĂšres dans la zone blanche de maniĂšre Ă  ce que tout point de la zone blanche soit Ă  une distance d’au maximum un mĂštre du nouveau pays rouge. Ainsi, aprĂšs la premiĂšre campagne d’annexion, la rĂ©gion blanche sera devenue plus Ă©troite.
Pendant la deuxiĂšme Ă©tape d’annexion, le pays bleu va Ă©tendre ses frontiĂšres dans la nouvelle zone blanche de maniĂšre Ă  ce que tout point de la zone blanche soit Ă  une distance d’au maximum 1 &frasl ; 2 mĂštre du nouveau pays bleu. Ainsi, la taille de la zone blanche aura davantage diminuĂ©.
On va poursuivre le procĂ©dĂ© d’annexion de la mĂȘme façon. Pendant la n-Ăšme Ă©tape d’annexion, Ă  tour de rĂŽle un des pays va Ă©tendre ses frontiĂšres de maniĂšre Ă  ce que tout point de la zone blanche ait une distance d’au plus 1 &frasl ; n mĂštre du pays. Ainsi, la zone blanche deviendra tellement Ă©troite qu’elle sera de moins en moins visible Ă  l’Ɠil nu.
AprĂšs un nombre infini d’étapes, la construction de Wada prendra fin. On obtient ainsi trois pays, le pays rouge, bleu et vert qui serpentent l’un autour de l’autre et une zone blanche qui est infiniment Ă©troite ! De plus, par notre construction, on a successivement assurĂ© que le pays rouge se trouve Ă  une distance d’au plus 1 mĂštre, ensuite 1 &frasl ; 2 mĂštre, puis 1 &frasl ; 3 mĂštre, 1 &frasl ; 4 mĂštre, etc de tout point de la zone blanche. Ainsi, arbitrairement proche de tout point de la zone blanche, il existe une zone appartenant au pays rouge. De mĂȘme pour les pays bleu et vert. Par consĂ©quent, les trois pays s’accumulent sur la mĂȘme zone blanche infiniment Ă©troite qui a survĂ©cu Ă  la sĂ©rie infinie d’annexions. C’est ainsi que la zone blanche finale va former une « ligne » de sĂ©paration des trois pays ou, autrement dit, la frontiĂšre commune du pays rouge, bleu et vert.
Notez que les pays qu’on a obtenus ne ressemblent en rien Ă  des pays qui existent sur la carte du monde actuel. En effet, afin d’annexer des zones blanches de plus en plus Ă©troites (presque infiniment Ă©troites), les pays eux-mĂȘmes vont par endroits devenir trĂšs Ă©troits par rapport Ă  la taille humaine. Ainsi, un humain proche de ces rĂ©gions infiniment Ă©troites ne pourra qu’appartenir Ă  plusieurs pays en mĂȘme temps.
Cela entraĂźnerait de nombreuses complications sur le plan de la vie quotidienne dans un monde Ă  trois pays sĂ©parĂ©s par une seule frontiĂšre. Afin de sortir du pays rouge et de passer au pays vert, un humain, Ă  cause de sa taille, serait obligĂ© de sortir et de rentrer au pays vert une infinitĂ© de fois, avant qu’il puisse accĂ©der Ă  une zone du pays vert assez large pour contenir une personne. Ainsi, bien qu’on puisse visiter en quelques minutes une partie trĂšs Ă©troite du pays vert, les zones du pays vert suffisamment grandes pour contenir une ville se trouvent peut-ĂȘtre loin de nous. On pourrait mĂȘme ĂȘtre Ă  une distance de plusieurs centaines de kilomĂštres de la ville du pays vert qui est la plus proche de nous.
Il semblerait que dans ce cas notre rĂȘve de pouvoir en une seule aprĂšs-midi voyager dans des villes de tous les pays du monde Ă  partir d’un point quelconque de leur frontiĂšre commune ne peut malheureusement ĂȘtre rĂ©alisĂ©. Cependant, l’existence d’un monde oĂč tous les pays partagent une seule frontiĂšre reste une idĂ©e d’une beautĂ© remarquable et constitue une preuve de la puissance de notre imagination : de remettre en cause notre intuition et de trouver le beau dans le contre-intuitif.
Cet article est republiĂ© Ă  partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’ article original .
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Dans une pĂ©tition publiĂ©e le lundi 11 juillet sur le mĂ©dia TĂȘtu, une centaine d’élus et de personnalitĂ©s du monde associatif demandent le retrait de trois ministres au passĂ© « Manif pour tous » . Dans leur ligne de mire ? GĂ©rald Darmanin, ministre de l’IntĂ©rieur et des Outre-mer, Caroline Cayeux, ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  la CohĂ©sion du territoire et Christophe BĂ©chu , ministre de l’Écologie et de la transition Ă©nergĂ©tique.
Le point commun de ces membres du gouvernement ? Une adhĂ©sion plus ou moins affichĂ©e Ă  la Manif pour tous en 2012, alors en plein dĂ©bat sur l’ouverture du mariage et l’adoption aux couples de personnes de mĂȘme sexe.
GĂ©rald Darmanin, avait indiquĂ© en 2013 : « Si je suis maire de Tourcoing, je ne cĂ©lĂ©brerai pas personnellement de mariages entre deux hommes et deux femmes ». Quant au nouveau ministre de l’Écologie, Christophe BĂ©chu, c’est sa tribune chez Valeurs Actuelles intitulĂ© « La dĂ©naturation du mariage ; la RĂ©publique fragilisĂ©e » que dĂ©nonce la centaine de signataires. Autre fait d’arme reprochĂ© au maire d’Angers ? « En 2016, il a pris la dĂ©cision de retirer des affiches d’une campagne de prĂ©vention contre le VIH, au motif qu’elles prĂ©sentaient des couples d’hommes. »
La pĂ©tition Ă©pingle le gouvernement pour son inaction : « Comment croire que ce gouvernement respectera le principe d’égalitĂ© entre toutes et tous, s’engagera dans la lutte contre les discriminations et garantira la libertĂ© de genre quand le gouvernement comporte trois LGBTQIAphobes notoires ? »
Il convient donc de rappeler que la loi pour le #mariagehomosexuel n'oblige pas les maires a célébrer les mariages personnellement
« Le Mariage pour tous et le droit Ă  l’adoption n’est pas simplement un dessein qui va contre nature mais c’est plus grave » : entre ces guillemets, les propos de l’actuelle ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  la CohĂ©sion du territoire, Caroline Cayeux . Alors sĂ©natrice en 2012, elle qualifiait le mariage pour tous de « caprice » et « d’une ouverture de droit irrespectueuse de la nature et insensĂ©e ».
Alors invitĂ©e de Public SĂ©nat mardi 12 juillet, l’ancienne sĂ©natrice rĂ©itĂšre. « Je maintiens Ă©videmment mes propos », dĂ©clare-t-elle. PrĂ©cision supplĂ©mentaire, elle a beaucoup d’amis « parmi tous ces gens-lĂ . »
Vague d’indignations. La ministre rectifie le tir dans la journĂ©e et tente de se justifier : « Depuis ce matin, je lis et entends vos messages. Mes propos ont blessĂ© nombre d’entre vous. Je les regrette profondĂ©ment, ils Ă©taient naturellement inappropriĂ©s. L’égalitĂ© des droits doit toujours ĂȘtre une prioritĂ© de notre action. » Peut-on lire sur sa page Twitter.
Depuis ce matin, je lis et entends vos messages. Mes propos ont blessĂ© nombre d’entre vous. Je les regrette profondĂ©ment, ils Ă©taient naturellement inappropriĂ©s. L’égalitĂ© des droits doit toujours ĂȘtre une prioritĂ© de notre action.
Pour rappel, la derniĂšre Ă©valuation annuelle de la situation des droits des personnes LGBTI en France , rĂ©alisĂ©e par la branche europĂ©enne de l’Association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexuĂ©es (ILGA Europe) en 2019, donne un score global de 56 %, classant le pays en 13e position parmi les 49 pays Ă©valuĂ©s sur le continent.
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