Trois ce n'est pas de trop

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La tenue du match entre Lorient et Lyon est incertaine. (A. RĂ©au/L'Équipe)


V.D., Ă  Lyon

12 août 2022 à 16h22


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© L’Équipe 24/24 - 2022

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Dans sa conférence de presse avant l'éventuel déplacement à Lorient, dimanche (13 heures), l'entraßneur de l'OL Peter Bosz a évoqué l'incertitude sur la tenue de la rencontre, alors qu'une décision est attendue vendredi aprÚs-midi. « Cela ne va rien changer dans notre préparation, insiste-t-il. Normalement, en début de saison, les terrains sont supers partout. Là, j'ai vu les photos, mais c'est difficile pour moi de juger le terrain juste en fonction des photos. Je souhaite juste que ce ne soit pas dangereux pour les joueurs ».
Si le match est maintenu, il aura tout le monde à sa disposition, en dehors de Moussa Dembele, qui s'est entraßné à part, et bien sûr d' Anthony Lopes, suspendu pour trois matches ferme par la commission de discipline aprÚs son expulsion face à Ajaccio (2-1). Alors que le troisiÚme gardien, Julian Pollersbeck, est douteux, Peter Bosz a glissé : « Trois matches, c'est beaucoup, parce qu'Anthony n'a pas fait exprÚs. J'ai regardé Rennes-Lorient (0-1), et la faute de l'arriÚre gauche (Truffert) était beaucoup plus méchante... »
Vu son passif, c'est pas choquant. On devrait mĂȘme instaurer une grille progressive.


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La tenue du match entre Lorient et Lyon est incertaine. (A. RĂ©au/L'Équipe)


V.D., Ă  Lyon

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Dans sa conférence de presse avant l'éventuel déplacement à Lorient, dimanche (13 heures), l'entraßneur de l'OL Peter Bosz a évoqué l'incertitude sur la tenue de la rencontre, alors qu'une décision est attendue vendredi aprÚs-midi. « Cela ne va rien changer dans notre préparation, insiste-t-il. Normalement, en début de saison, les terrains sont supers partout. Là, j'ai vu les photos, mais c'est difficile pour moi de juger le terrain juste en fonction des photos. Je souhaite juste que ce ne soit pas dangereux pour les joueurs ».
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INTERVIEW – Nicolas Dupont-Aignan : sa femme, la politique, Marine Le Pen
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Nicolas Dupont-Aignan : qui est ValĂ©rie Vecchierini, sa femme et mĂšre de ses filles ? - Gala










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Marie-HĂ©lĂšne HĂ©rouart
|


jeu. 11 août 2022


Ă  08h09





RĂ©Ă©lu Ă  l’AssemblĂ©e nationale le 19 juin, Nicolas Dupont-Aignan y siĂšge depuis vingt-cinq ans. Au moment d'endosser ce nouveau mandat, le dĂ©putĂ© s’est confiĂ© sur sa vie de famille, ses ambitions et son avenir en politique Ă  Gala.fr.
Nicolas Dupont-Aignan entame son sixiĂšme mandat de dĂ©putĂ© de l’Essonne. Seul membre de Debout la France Ă  siĂ©ger, il est isolĂ© au sein d’une AssemblĂ©e nationale divisĂ©e. AprĂšs trois Ă©checs Ă  la prĂ©sidentielle et plus de vingt ans dans les arcanes du pouvoir, que pense sa famille de cette vie au cƓur du tourbillon politique ? Quelles sont ses relations avec Marine Le Pen, cinq ans aprĂšs son soutien Ă  la prĂ©sidentielle ? Assume-t-il toujours ses positions controversĂ©es ? Nicolas Dupont-Aignan s’est confiĂ© Gala.fr .
Gala.fr : Vous ĂȘtes mariĂ© Ă  ValĂ©rie Vecchierini depuis 1990. Ce tourbillon politique Ă©tait-il l’un de vos projets de mariage ?
Nicolas Dupont-Aignan : Ma femme ne pouvait pas deviner ce qui allait arriver, mais elle connaissait ma passion. Pour autant, c’est une chose de dire qu’on aime le dĂ©bat de la cité ; c’en est une autre de vivre les bassesses politiques.
Votre Ă©pouse a Ă©tĂ© inscrite comme l’une de vos collaboratrices parlementaires jusqu’à ce que la loi pour la confiance dans la vie politique l’interdise en 2017.
Cette loi l’a beaucoup meurtrie. Tout le monde a Ă©tĂ© mis dans le mĂȘme sac. Elle a mal pris d’ĂȘtre suspectĂ©e de ne pas travailler Ă  cause de l’affaire Fillon. Ce jour-lĂ , elle m’a dit : « Je ne veux plus entendre parler de politique. Je me consacre Ă  ma passion qu’est l’art. » Depuis, elle refuse toutes les interviews.
Est-ce que travailler ensemble vous a aidĂ© Ă  faire durer votre mariage ?
Non, ça aurait mĂȘme pu ĂȘtre l’inverse. Enfin, oui et non. Quand j’ai pris la ville de Yerres (Essonne), elle Ă©tait avocate. On ne se voyait plus. Quand j’ai Ă©tĂ© Ă©lu dĂ©putĂ©, je lui ai dit : « Aide-moi, parce que je ne vais pas y arriver. » Elle m’a rĂ©pondu : « Je fais six mois. » Ça a durĂ© vingt ans. C’était dĂ©licat pour elle. Si je lui parlais comme un collaborateur, elle ne l’acceptait pas. On travaillait jusqu’à minuit Ă  la maison. Parfois, elle m’engueulait devant les collaborateurs
 C’était gĂȘnant. En mĂȘme temps, on a fait plein de trucs ensemble.
Quelles ont Ă©tĂ© les consĂ©quences de ce rythme pour votre famille ? Est-ce qu’il y a des moments de l’enfance de vos filles que vous regrettez d’avoir ratĂ©s ?
Les Ă©vĂ©nements, j’arrivais toujours Ă  concilier. Un homme politique est libre de son emploi du temps. Je pense avoir Ă©tĂ© prudent en prenant des vacances, en conservant mes dimanches pour mes filles
 MĂȘme si je suis convaincu que pour elles ce n’est pas assez. La politique les a privĂ©es un peu de leur papa. C’est Ă©vident. En revanche, on n’a jamais exposĂ© notre vie de famille.
Une seule fois en 1997, on a acceptĂ© un article dans Le Figaro Magazine . Je venais d’ĂȘtre Ă©lu dĂ©putĂ©. On a posĂ© comme des cons dans la forĂȘt Ă  Yerres (Essonne) avec ma fille qui faisait du vĂ©lo. Ma femme m’a dit aprĂšs : « Plus jamais. »
Vous cĂ©lĂ©brez vos 32 ans de mariage cette annĂ©e. Comment gĂšre-t-on une crise conjugale quand on a un mandat en cours et une ambition prĂ©sidentielle ?
En se parlant et en se disant la vĂ©ritĂ©. On s’est toujours entraidĂ© dans les moments difficiles. En 2017, il y a eu un dĂ©saccord fort entre nous. Ma femme a Ă©tĂ© extraordinaire. À une rĂ©union de parti trĂšs houleuse aprĂšs le premier tour de la prĂ©sidentielle, j’ai prĂ©sentĂ© les deux choix possibles : soutenir le Rassemblement national ou ĂȘtre neutre. ValĂ©rie a dit devant tout le conseil national : « À titre personnel, j’ai des rĂ©ticences. Je suis plutĂŽt pour la neutralitĂ©. Mais, si Nicolas pense qu’il faut soutenir Marine Le Pen, faites-lui confiance. » À l’époque, je n’avais pas rĂ©alisĂ© que ce choix allait influer sur sa vie. En travaillant dans le milieu culturel, elle en a pris plein la figure.
Vous dites que ValĂ©rie Vecchierini a souffert d’ĂȘtre Madame Dupont Aignan ?
Quand on porte le nom d’un homme politique
 Les gens vous regardent bĂȘtement comme le fils, la fille ou le conjoint de. Être une personnalitĂ© publique, c’est mon choix. Je ne vois que le bon. Ma femme est plus lucide. Elle retient ce que je ne veux pas entendre, comme les « connard » . C’est difficile de prendre les coups par procuration.
Vous avez Ă©tĂ© trois fois candidat Ă  l’ÉlysĂ©e, trois fois vous avez rĂ©coltĂ© moins de 5 % des suffrages. Une campagne prĂ©sidentielle est Ă©prouvante
 Est-ce que ça en valait la peine ?
La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe. Il faut toujours aller au bout de ses convictions.
Pourquoi cela vous rĂ©volte autant d’ĂȘtre qualifiĂ© de « politique d’extrĂȘme droite » ?
C’est une diffamation. J’ai gagnĂ© mon procĂšs. (Une dĂ©cision du Conseil d'État, rendue en 2021, Ă©tablit que « le classement de la liste Debout la France dans le bloc de clivage extrĂȘme droite » ne s'appuie pas « sur des indices objectifs » , NDLR.) Je suis gaulliste, souverainiste, divers droite et c’est tout le contraire de l’extrĂȘme droite. Si j’appartenais au Rassemblement national, on pourrait le dire.
Vous comprenez qu’il puisse y avoir un amalgame entre le fait que vous appelez Ă  soutenir Marine Le Pen et cette qualification « d’extrĂȘme droite » ?
La qualification « extrĂȘme droite » est stigmatisante dans le langage politique français. Pour moi, le RN n’est plus d’extrĂȘme droite. Il est cataloguĂ© comme ça, mais il n’y a pas autant de Français d’extrĂȘme droite
 Donc c’est une insulte aux Français.
En 2017, vous seriez devenu le Premier ministre de Marine Le Pen si elle avait gagnĂ©. Quelles sont vos relations aujourd’hui ?
Elles sont bonnes. Je pense que Marine Le Pen a commencĂ© Ă  comprendre qu’elle ne m’avalerait pas comme un boa. Je peux ĂȘtre un partenaire de coalition au second tour
 Mais, je garderai toujours ma libertĂ©.
En politique, considĂ©rez-vous que Marine Le Pen est une amie ?
Je ne sais pas si on a des amis en politique. Je ne le crois pas, malheureusement. En revanche, elle fait partie des personnalitĂ©s d’avenir, relativement sincĂšres par rapport Ă  beaucoup d’autres. Elle est injustement attaquĂ©e. Je n’aime pas ça. Mais, je lui ai expliquĂ© cent fois que je suis libre. Si un jour j’estime qu’on ne peut pas la soutenir, je ne la soutiendrai pas. Elle le sait et c’est sain. Cette relation (entre politiques, NDLR.) est trĂšs rare.
Est-ce vraiment utile d’ĂȘtre un dĂ©putĂ© isolé ?
Si les Français se dĂ©tournent de la politique, c’est parce qu’ils ont le sentiment d’un manque de sincĂ©ritĂ©. Justement parce que tout obĂ©it Ă  des clans. Si la moitiĂ© des gens ne votent plus, c’est parce qu’il n’y a pas assez de Nicolas Dupont-Aignan. C’est prĂ©tentieux, mais je le pense vraiment.
On dit parfois que l’on devient ce que l’on fait. Au-delĂ  de la politique, qui ĂȘtes-vous ?
Je suis un politique extraterrestre. Un idĂ©aliste. Un romantique. Un artiste. Je n’ai pas changĂ©. À onze ans, douze ans, treize ans, je passais devant l’AssemblĂ©e nationale et je rĂȘvais d’ĂȘtre lĂ . Je disais Ă  mes parents : « Un jour, j’aimerais ĂȘtre lĂ . » Pourquoi ? Je ne sais pas. C’est venu peut-ĂȘtre de l’histoire de mon grand-pĂšre.
C’était un aviateur, un hĂ©ros. D’ailleurs, il y a un truc qui m’a fait trĂšs plaisir. RĂ©cemment, j’ai reçu un paquet. Dedans, il y avait l’avion de mon grand-pĂšre en miniature. Il s’est Ă©crasĂ© dans la Meuse. Pendant la campagne prĂ©sidentielle, j’avais Ă©tĂ© Ă  l’endroit de l’accident. Un militant de Debout la France a pris de la terre du lieu. Il l’a mise dans une boĂźte plastique et a fixĂ© une maquette de cet avion dessus, puis il me l’a envoyĂ©e. J’étais Ă©mu aux larmes
 Ça m’a fait pleurer.
Vous parliez de politique chez vos parents ?
Pas du tout. La politique Ă©tait bannie. Ma mĂšre n’a jamais acceptĂ© que j’entre en politique. Quand j’ai eu l’ENA, elle Ă©tait fiĂšre comme Artaban ; mais quand j’ai dit : « J’aime le mĂ©tier d’élu  » Ça lui a fait peur. Elle appelait ma femme, qui n’en pouvait plus, pour lui dire : « Il ne faut pas qu’il fasse ça. Il va ĂȘtre malheureux. » Pour elle, c’était un monde trop haut, trop diffĂ©rent. Mes parents Ă©taient de la petite bourgeoisie, des gens simples. Pour eux, c’était un milieu inaccessible, dangereux et un peu sale.
Est-ce que vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ  « sali » justement en politique ?
J’ai peut-ĂȘtre commis des erreurs
 Je ne suis pa
Il veut "transformer" sa sƓur lesbienne
Raquel cherche sa bite
S'Ă©clater avec une bonnasse

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