Trois blondes pour un seul mec

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Trois blondes pour un seul mec

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Louise, jeune stagiaire de 23 ans, craquait sur son collĂšgue ClĂ©ment. Lors d’une soirĂ©e arrosĂ©e, lui et une autre fille du bureau tentent de la sĂ©duire.
La premiĂšre fois qu’on m’a prĂ©sentĂ© ClĂ©ment, je me suis tout de suite dit : « Ce type est canon. » Grand, blond, d’immenses yeux noirs, un sourire Ă  tomber. Mais, manque de bol, c’était aussi mon collĂšgue, et pas le plus proche. Un hochement de tĂȘte Ă  la porte des toilettes, une blague devant la machine Ă  cafĂ©, un geste de la main Ă  l’entrĂ©e du mĂ©tro : voilĂ  Ă  peu prĂšs Ă  quoi se rĂ©sumaient nos relations. J’étais la nouvelle recrue d’un petit thĂ©Ăątre parisien. Stagiaire, un peu timide, et pas encore tout Ă  fait intĂ©grĂ©e Ă  l’équipe. Je passais l’essentiel de mon temps Ă  travailler derriĂšre mon Ă©cran, et on ne peut pas vraiment dire que mon bureau Ă©tait le spot le plus en vue. Je parlais rarement avec les autres, et je n’avais encore jamais passĂ© de temps avec eux en dehors des heures de travail. Mais, ce soir-lĂ , les choses Ă©taient sur le point de changer. Un peu plus que je l’aurais imaginĂ©, d’ailleurs
 Vers 19 heures, MĂ©lissa, des relations presse, est descendue Ă  mon Ă©tage avec une bouteille de rhum. L’occasion rĂȘvĂ©e pour me rapprocher un peu des autres. Il fallait se faire violence. J’ai mis ma timiditĂ© au placard et je suis allĂ©e trinquer avec mes nouveaux collĂšgues. Un verre en entraĂźnant un autre, l’ambiance s’est dĂ©tendue, et j’avoue que je me sentais bien dans mes baskets.
ClĂ©ment s’est approchĂ© de moi, et m’a lancĂ© : « C’est vraiment bien que tu sois restĂ©e. » J’ai acquiescĂ© avec un petit sourire, en essayant de cacher mon contentement. Petit Ă  petit, les uns et les autres sont rentrĂ©s chez eux, et nous n’étions plus que quatre ou cinq Ă  siroter nos verres entre les bureaux. Mathieu, un grand type baraquĂ©, a suggĂ©rĂ© de prolonger la soirĂ©e dans un bar un peu hype, pas trop loin. Pour moi, c’était une belle opportunitĂ© d’en savoir un peu plus sur ClĂ©ment, de passer du temps avec lui, loin du thĂ©Ăątre. Et pourquoi pas, de tenter ma chance
 Mais c’est ChloĂ© qui a grimpĂ© sur son scooter. Elle a enroulĂ© les bras autour de lui, tandis que je partais en taxi avec les autres. Sur le chemin, j’ai eu le temps de ruminer. En y repensant, c’est vrai que ChloĂ© et lui avaient l’air d’ĂȘtre proches. Elle venait souvent tourner autour de son bureau, mais comme plein d’autres. Une fois dans le bar, j’ai essayĂ© de l’oublier. J’étais lĂ  pour me rapprocher de mes collĂšgues, pas pour minauder. Bizarrement, c’est ChloĂ© qui est venue me rejoindre. On Ă©tait toutes les deux assez Ă©mĂ©chĂ©es.
On a commencĂ© Ă  rire, Ă  se raconter nos vies. Pour repousser les vieux beaux qui nous tournaient autour, elle a eu l’idĂ©e que nous fassions mine d’ĂȘtre ensemble. Je n’ai pas refusĂ©, je l’ai dĂ©jĂ  fait pour blaguer, et j’avais envie d’ĂȘtre plus complice avec ChloĂ©. Son bras autour de ma taille, nous avons dĂ©ambulĂ© dans le pub, en riant devant les mines déçues de nos prĂ©tendants. Un peu plus tard dans la soirĂ©e, ChloĂ© m’a abandonnĂ©e pour aller se coller Ă  ClĂ©ment. Ils ont commencĂ© Ă  se chuchoter des choses Ă  l’oreille et, Ă  ma grande surprise, Ă  me dĂ©visager. Le genre de situation qui met vraiment mal Ă  l’aise. Ils parlaient de moi, c’était sĂ»r. Je leur ai tournĂ© le dos pour Ă©viter de trop cogiter, mais je n’apprĂ©ciais pas vraiment d’ĂȘtre Ă©piĂ©e comme ça. De toute façon, il Ă©tait tard, et le bar allait bientĂŽt fermer. Je me suis retrouvĂ©e au milieu d’une foule alcoolisĂ©e et bruyante jouant des coudes vers la sortie, et j’ai atterri brutalement sur le trottoir. Les autres Ă©taient en train de dĂ©battre sur la façon la plus rapide de regagner leur appartement. On m’a proposĂ© de me joindre au taxi qui en emmĂšnerait quelques-uns vers le nord de Paris.
A ce moment-lĂ , ChloĂ© m’a tirĂ©e par le bras et m’a glissĂ© Ă  l’oreille : « On va chez ClĂ©ment, tu veux venir ? » Bizarre, cette invitation. Je n’avais pas beaucoup de doutes sur le fait que ChloĂ© avait un sĂ©rieux penchant pour ClĂ©ment. Pourquoi me demander de venir, alors qu’elle pouvait rester seule avec lui ? Je ne savais plus trĂšs bien quoi faire. Ce serait un peu Ă©trange de me retrouver seule entre ces deux-lĂ , qui avaient certainement envie de terminer la nuit ensemble. En mĂȘme temps, l’alcool avait rendu mes idĂ©es floues, je ne voulais pas rentrer chez moi tout de suite, et puis, il faut bien l’avouer, j’avais envie de rester un peu plus avec ClĂ©ment. Finalement, j’ai rĂ©ussi Ă  convaincre Mathieu de venir avec nous. Bonne alternative. Et, cette fois, c’est moi qui ai eu l’honneur de monter sur le scooter de ClĂ©ment, laissant les deux autres nous rejoindre Ă  pied. Sur le trajet, ClĂ©ment ne m’a pas semblĂ© complĂštement indiffĂ©rent. Devant son appartement, il a enlevĂ© mon casque et recoiffĂ© mes cheveux Ă©bouriffĂ©s, en me regardant d’un air entendu. Mais, en arrivant chez lui, grosse dĂ©ception. Apparemment, en don Juan confirmĂ©, ClĂ©ment comptait bien ne pas faire de choix entre ChloĂ© et moi.
Assis sur son canapĂ©, entourĂ© de quelques biĂšres, de la bonne musique en fond, il maintenait l’ambiguĂŻtĂ©. Tactile avec l’une et l’autre, adressant des regards et des sourires enjĂŽleurs Ă  chacune d’entre nous. Quand Mathieu a dĂ©campĂ© une petite heure plus tard, l’atmosphĂšre a commencĂ© Ă  devenir pesante. Nous Ă©tions juste tous les trois. ClĂ©ment s’est jetĂ© sur son lit, dans la piĂšce d’à cĂŽtĂ©, et a proposĂ© Ă  ChloĂ© de nous faire un massage. Elle s’est installĂ©e Ă  cheval sur nous deux, a passĂ© sa main sous mon T-shirt, dĂ©grafant mon soutien-gorge, et commencĂ© sa session de massage. Pendant ce temps-lĂ , ClĂ©ment caressait doucement ma main, cachĂ©e sous l’oreiller. J’étais un peu paralysĂ©e. GrisĂ©e par les caresses du garçon qui me plaisait, et gĂȘnĂ©e de savoir que ma concurrente nous massait tous les deux pendant ce temps-lĂ . ChloĂ©, que je soupçonne de s’ĂȘtre laissĂ© embarquer dans cette histoire bancale par amour pour ClĂ©ment, a dĂ» se sentir un peu abandonnĂ©e. Assez sĂšchement, elle lui a demandĂ© de prendre la relĂšve. LĂ , elle s’est collĂ©e Ă  moi, de façon Ă  ce que ClĂ©ment, une fois sa mission accomplie, ne puisse regagner sa place Ă  mes cĂŽtĂ©s. En vain. C’est lĂ  que les choses ont commencĂ© Ă  dĂ©gĂ©nĂ©rer.
ClĂ©ment s’est mis Ă  m’embrasser et, en mĂȘme temps, Ă  caresser le dos de ChloĂ©. Cela devenait n’importe quoi. Pendant trente secondes, mon corps n’a pas rĂ©pondu. Sous la douceur de ses baisers, j’étais faible, comme engourdie. Et puis j’ai fini par me dĂ©gager de son Ă©treinte. Il s’est alors tournĂ© vers ChloĂ©, l’a embrassĂ©e elle aussi. De plus en plus entreprenant, il a passĂ© sa main sous mon T-shirt, essayĂ© de dĂ©boutonner mon pantalon. Hors de question, pas devant ChloĂ©, pas comme ça. Je me suis tournĂ©e de l’autre cĂŽtĂ©, et j’ai essayĂ© de m’endormir, incapable de me lever et de partir. Mais je les entendais s’agiter prĂšs de moi. Une ceinture qui tombe, un pantalon qu’on glisse aux chevilles...
Aurais-je dĂ» ĂȘtre un peu plus tĂ©mĂ©raire et m’essayer Ă  cette nouvelle expĂ©rience ? J’ai pensĂ© Ă  lundi, Ă  la tĂȘte qu’on ferait tous au bureau. Alors, je me suis levĂ©e d’un coup, j’ai attrapĂ© mon blouson et mon sac, remis mes chaussures en vitesse, et prĂ©textĂ© un rendez-vous. ChloĂ©, gĂȘnĂ©e, s’est prĂ©cipitĂ©e dans la salle de bains, laissant ClĂ©ment seul dans le lit. J’ai su, plus tard, qu’il ne s’était rien passĂ© entre eux. Nous avons repassĂ© quelques soirĂ©es ensemble par la suite, mais jamais seuls. Nous n’avons jamais non plus reparlĂ© de ce qui s’était passĂ© cette nuit-lĂ . MĂȘme quand je suis seule avec ChloĂ©, qui, Ă©tonnamment, est devenue une bonne copine depuis, le sujet reste tabou. ClĂ©ment, lui, continue de me faire des avances. Mais j’ai compris que les plans Ă  trois, ce n’est pas pour moi.
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Sexo


Invitez-vous dans mon plan à 3 (réussi !) avec mon mari et une autre femme




Une madmoiZelle

05 oct 2021


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madmoizelle



Sexo



Cette lectrice bisexuelle raconte ce que cela fait de réaliser son fantasme de plan à trois avec son mari et une autre femme, rencontrée sur Internet.

@Jus d'orange au sel : j'ai lu l'article, trĂšs intĂ©ressant d'ailleurs, mais un trouple polyamoureux c'est quand mĂȘme trĂšs diffĂ©rent d'une expĂ©rience ponctuelle de plan Ă  3 sexuel. Par contre c'est marrant je voyais pas la dĂ©finition de "chasse Ă  le licorne" comme ça.

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Article initialement publié en janvier 2019
Je suis en couple depuis huit ans avec mon chéri. Nous avons respectivement 27 et 32 ans et nous filons plutÎt le parfait amour.
CĂŽtĂ© sexualitĂ© aussi ça roule bien, carrĂ©ment bien mĂȘme. Notre relation a dĂ©marrĂ© trĂšs rapidement sur le plan sexuel, Ă  savoir que l’on a couchĂ© ensemble lors de notre premier rendez-vous, et que, mĂȘme si ce rapport-lĂ  Ă©tait plutĂŽt rapide et brouillon, j’ai su tout de suite qu’au lit, ça allait le faire.
Au quotidien, on ne parle pas Ă©normĂ©ment de notre sexualitĂ© et pas mal de choses vont d’elles-mĂȘmes, mais on n’hĂ©site pas Ă  s’exprimer lorsque le besoin s’en fait sentir. Bref, notre sexualitĂ© est Ă©panouie et heureuse .
AprĂšs notre mariage en 2016, nous avons eu le projet de faire un enfant. Ce dĂ©tail a de l’importance, car c’est le moment oĂč j’ai arrĂȘtĂ© la pilule , moi qui la prenais sans rĂ©flĂ©chir depuis une dizaine d’annĂ©es.
J’ai alors redĂ©couvert mon corps. Ma libido Ă©tait sens dessus-dessous. Moi qui pensais ne pas avoir de problĂšme de dĂ©sir, j’ai compris combien ces hormones i
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