Trio dans le vestiaire

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Trio dans le vestiaire

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© Tous droits réservés. Antoine 122.

Bonjour à tous, j'ai 16 ans et ce que je vais vous raconter c'est passé la semaine passée, à la piscine.

Alors voilà, comme tous les vendredis après-midi, je vais à la piscine avec l'école. Étant en option gym, j'ai la chance d'avoir les plus beaux mecs de troisième ! Donc arriva l'heure de partir pour la piscine. On doit prendre le bus car nous n'avons pas de piscine dans l'école, au moins 15 minutes passent avant d'arriver à la piscine.

Dès que nous arrivons, nous filons directement dans les vestiaires individuels, malheureusement, car il n'y a pas de vestiaires collectifs... Je trouve parfois l'une ou l'autre cabine où il y a un trou dans la paroi et c'est souvent comme ça que j'arrive à voir un mec à poil et même parfois un mec qui se branle.

Le cours commence, on fait nos longueurs, le Prof nous dit de faire telle et telle chose mais mon regard bascule souvent vers l'entrejambe de mes potes... j'essaye de ne pas trop m'attarder sur les paquets de ceux-ci pour ne pas me faire remarquer. Plusieurs de mes potes me font souvent bander comme Bastien, un beau mec de 15 ans, assez musclé pour son âge et un gros paquet dans le boxer. Il y a aussi Lucas, 15 ans et grosse bite à ce que j'ai pu voir une fois dans les vestiaires ; ensuite Max, 15 ans lui aussi et une bonne bite légèrement métisse que j'ai pu voir car il l'a sortie devant tout le monde une fois dans les vestiaires.

Une fois le cours terminé, on va tous dans les douches et puis chacun va dans un vestiaire. Ce jour-là, toutes les cabines étaient prises sauf une et il ne restait plus que Bastien et moi. Il se dirigea vers la cabine et me dit:

— Si tu veux, tu peux venir avec moi.

— Ouais, façon il n'y a pas d'autre cabine, lui dis-je.

On entre tous les deux dans la cabine et chacun commence à se déshabiller. J'avais peur de bander devant un si beau mec et là, je le vois retirer son maillot et dégager sa grosse bite à moitié bandée. Putain elle faisait au moins 15-16 cm sans bander totalement ! Il a bien vu que je le regardais et il me dit en se touchant la bite:

Je ne savais pas quoi répondre alors il me lança:

— Je sais bien que t'es gay alors fais pas ton gêné et touche-la !

Je ne bougeais pas et alors il a pris ma main et l'a posée sur sa grosse queue épaisse. Il savait presque branler sa bite avec deux mains !

— déshabille-toi maintenant, me dit-il.

Je retirai mon maillot et sortit ma bite un peu moins grosse que la sienne car elle mesure 16 cm toute bandée.

— Putain mec, t'es bien foutu! Elle est presque aussi grosse que la mienne !

— Maintenant qu'on est tous les deux bien excités, tu me suces et je te suce après, me dit-il.

J'ai eu du mal à rentrer sa grosse queue entièrement dans ma bouche mais elle était trop bonne! Après quelques minutes il lâcha six gros jets de sperme dans ma bouche que je ne sus avaler entièrement !

— Oh putain tu suces trop bien, dit-il. Maintenant, à moi de te montrer ce que je sais faire.

Il commença à sucer mon gros gland, puis à me lécher les couilles et remonter jusqu'à ma bite et me sucer. Il suçait trop bien ! Après dix grosses minutes, je lâchai sept gros jets de spermes dans sa bouche qu'il avala sans problème !

Après cela, nous nous sommes rhabillés et repartis à l'école et plus rien ne se passa après cette fois-là.


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WINNIPEG — La soirée a été historique en ce sens qu’elle a permis d’assister à la première victoire de la concession dans les séries, ainsi qu’au premier but en carrière de Patrik Laine en séries éliminatoires – un filet comme seul lui peut les marquer, d’ailleurs.
Mais ce qui m’est avant tout resté à l’esprit après que les Jets de Winnipeg eurent résisté à une équipe du Minnesota prête à tout, pour finalement l’emporter 3-2 dans le match d’ouverture de leur série de premier tour mercredi soir, ç’a été le niveau de jeu du quatrième trio, celui d’Adam Lowry.
Sauf que je ne sais pas pendant combien de temps encore on va me laisser qualifier cette unité de quatrième trio.
Dès les premiers moments du match, Lowry y est allé d’une solide mise en échec sur Nate Prosser, Brandon Tanev sur Eric Staal… Le trio d’Andrew Copp a eu un impact important sur la rencontre alors que les principales menaces offensives du club avaient besoin d’un peu plus de temps pour se mettre en marche.
Témoin de tout ça depuis la galerie de presse, il y avait Kirk Maltby, qui épiait le match dans son rôle de recruteur pour les Red Wings. Lui qui, justement, faisait partie de la Grind Line de la glorieuse formation de Detroit de la fin des années 1990.
C’était là une unité pivotée par Kris Draper qui a marqué de gros buts tout en se montrant solide lorsqu’on lui confiait des minutes de jeu importantes à l’occasion d’affrontements cruciaux.
« Ça m’a pris du temps avant de réaliser ce que nous étions capables de faire en tant que trio, ça m’est arrivé seulement lorsque nous avons amorcé le premier match de la finale de la Coupe en 1997 contre le trio Legion of Doom des Flyers », a raconté Maltby à Athlétique après le match de mercredi.
Il y avait de quoi être fier. C’était tellement utile aux Wings qu’ils puissent déployer leur quatrième unité contre n’importe quel trio ce printemps-là.
« Nous savions que nos vedettes joueraient comme des vedettes, de Stevie (Yzerman) jusqu’à tous les autres; quant à nous, notre approche, c’était que si notre trio pouvait contribuer en marquant un but de temps à autre tout en empêchant l’adversaire de marquer, ça aiderait notre équipe énormément », a indiqué Draper à Athlétique lors d’un entretien téléphonique, mercredi soir, pendant qu’il revenait d’un match auquel il avait assisté en tant que recruteur.
« Nous avons pu jouer contre le trio de Gretzky dans les séries quand il était à St. Louis cette année-là, a ajouté Draper. Scotty Bowman nous faisait confiance dans toutes sortes de situations. Cette confiance de l’entraîneur, ça te permet d’avoir confiance en ta capacité de contribuer offensivement et donner de bonnes minutes de jeu. »
Maltby voit le même genre de potentiel dans le trio de Lowry.
« Ce trio-là de Winnipeg a la même opportunité de réussir ce genre de choses contre les meilleurs trios adverses », a noté Maltby, qui a marqué cinq buts en 20 rencontres éliminatoires au printemps 1997. « Quand ils peuvent aller sur la glace et disputer des minutes face à l’un ou l’autre des deux premiers trios du Minnesota, ça permet aux deux premiers trios de Winnipeg d’avoir des confrontations qui sont plus favorables. Et ça, ça peut avoir une grande influence sur les chances de succès de ton équipe au fil d’une série. Nous avions été en mesure de faire ça, surtout lors de ce premier parcours vers la Coupe, et aussi de donner un coup de main avec quelques gros buts.
« Ce trio de Lowry a disputé des minutes de jeu de qualité ce soir. »
Le trio des Jets a été remarquable dans la dernière portion du calendrier régulier et a poursuivi dans la même veine lors du premier match des séries. Comme l’a fait remarquer l’entraîneur-chef Paul Maurice, il ne s’agit pas ici seulement d’un trio qui donne des mises en échec et qui donne de l’énergie à l’équipe, mais d’une unité qui a un impact sur la façon dont la rondelle circule et qui réalise des jeux. C’est un atout important dans le hockey d’aujourd’hui, où tout est centré sur le contrôle disque.
Quand tu es une équipe qui cherche à réaliser un long parcours ce printemps, tu ne peux pas toujours te fier sur tes grandes vedettes à l’attaque pour aller chercher la victoire. Les équipes championnes sont celles qui obtiennent aussi une certaine production de la part de leurs joueurs de soutien, comme les Penguins de Pittsburgh en ont fait la démonstration à maintes reprises ces deux dernières années.
Alors qu’il regardait le match à la télé, l’entraîneur deux fois champion de la Coupe Stanley Darryl Sutter avait ceci à dire par texto, mercredi soir, lorsque je lui ai demandé ce qu’il pensait du trio de Lowry: « Trio des séries. Paul peut les jumeler à n’importe qui, dans toutes les situations. »
C’est un trio qui donne aux Jets une saveur un peu plus épicée, en contraste avec le côté givré de leurs talentueux joueurs offensifs.
« Quand tu regardes la composition d’une équipe, tu ne peux pas avoir juste un style de jeu, a noté Lowry après le match de mercredi. Je pense que c’est un élément qu’amène notre trio, un élément un peu différent. C’est du jeu plus lourd, plus direct, nous n’allons pas nous présenter à leur ligne bleue et faire des passes en retrait, et nous n’avons pas nécessairement de franc-tireur dans notre trio non plus. Nous jouons donc du hockey lourd, en faisant circuler la rondelle le long des bandes, et je pense que c’est un bon complément pour notre équipe. Nous ne sommes quand même pas très loin du reste de l’équipe en termes de vitesse, c’est juste que ce n’est pas aussi joli, pourrait-on dire. »
Ce qui est également évident quand on regarde ces trois-là jouer, c’est qu’il y a vraiment une bonne chimie entre eux et leur niveau de confiance est à son maximum en ce moment. On ne sent aucune crainte chez eux, peu importe qui ils affrontent.
« Les choses se passent bien pour notre trio, a reconnu Tanev. C’est facile quand l’entraîneur a assez confiance pour nous envoyer sur la glace contre leur meilleur trio. Nous avons tous un style de jeu similaire – rapide, robuste et solide. Nous savons ce que les deux autres vont faire, alors ça rend les choses plus faciles. L’aspect robustesse nous aide beaucoup, ça permet de créer de l’espace, de s’emparer de la rondelle et de provoquer des opportunités en zone offensive. »
Lowry, encore plus que les autres, fonctionnait à plein régime en début de match. Le reste de l’équipe a fini par emboîter le pas.
« C’est un joueur phénoménal, a dit Tanev. Vous l’avez vu à la fin du match, il était là à prendre les mises en jeu. Il a fait de l’excellent travail. Il est costaud, il est rapide et il comprend très bien le jeu. »
Mais les Jets pourront-ils le garder en santé? Lowry a retraité au vestiaire au moment où il restait 50 secondes à faire en première période, mais il est revenu pour la deuxième après y être allé de quelques coups de patin sur la glace, question de voir s’il était correct.
Il ne nie pas qu’il s’est fait mal vers la fin du premier engagement.
« Oui, mais ça va. Je serai prêt pour le deuxième match », a déclaré Lowry sans hésiter.
Il a raté 37 matchs en raison de blessures durant la saison régulière et bien que les Jets n’aient pas ralenti peu importe qui était blessé cet hiver, leur profondeur leur permettant de bien faire malgré les absences successives des Mark Scheifele, Dustin Byfuglien et Jacob Trouba, entre autres, il n’a pas trouvé ça amusant du tout de rater une partie de la belle aventure des siens.
« C’était frustrant de revenir après avoir raté quatre semaines, de disputer deux matchs et ensuite de devoir s’absenter pour encore six semaines et demie, a indiqué Lowry. Mais c’est beaucoup plus facile de rester à l’écart quand ton équipe gagne. Regardez le succès que l’équipe a eu même si Scheif ou Troubs ou d’autres n’étaient pas là. C’est certes plus facile d’être dans l’entourage de l’équipe quand tout le monde est de bonne humeur, quand les gars gagnent et jouent bien.
« Mais oui, je n’ai pas été très chanceux côté santé cette saison. Je me sens bien. Je ne crois pas que ceci va trop me déranger. »
Cela dit, Lowry a quitté le vestiaire avec précaution, en boitant quelque peu. Mais sa promesse, celle à l’effet qu’il sera de la partie lors du deuxième match, est tout ce qui compte.
Car l’histoire qu’il s’est mis à écrire dans ces séries ne fait que commencer.
(Photo: James Carey Lauder-USA TODAY Sports)

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