Trio avec sa demi soeur et sa copine
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Trio avec sa demi soeur et sa copine
Ma copine mâa suggĂ©rĂ© une relation Ă 3 avec sa mĂšre
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Je suis avec ma copine, CĂ©line, depuis 1 an et demi. Elle vit une relation complĂštement fusionnelle avec sa mĂšre, voire trĂšs Ă©trange. Hier soir quand nous Ă©tions dans le lit, elle mâa demandĂ© si cela me dĂ©rangerait que nous ayons une relation sexuelle avec sa mĂšre, me dĂ©voilant que câĂ©tait un de ses plus grand fantasme. Elle en avait prĂ©alablement parlĂ© Ă sa mĂšre, qui paraissait dâaccord.
Je ne sais comment faire Ă©tant donnĂ© que jâaime ma copine mais je ne peux vraiment pas lui accorder cela. Je trouve cette situation trĂšs malsaine. Je suis tombĂ© sur ce site en cherchant des conseils. Merci de me rĂ©pondre Kevin
Journaliste (Vital...) et chroniqueuse TV (MCS Bien-ĂȘtre...) spĂ©cialisĂ©e dans la forme, le bien-ĂȘtre, la nutrition, la beautĂ©, je suis aussi la crĂ©atrice et rĂ©dactrice en chef de Trucs De Nana !
Moi et ma copine voudrons exercer un plan Ă 3 mais on ne sais comment trouver la fille qui le veulent ?
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A 15 et 17 ans, Pascale et sa sĆur partent vivre seules dans un studio pour poursuivre leurs Ă©tudes. Une excitante libertĂ©, loin des parents, vite transformĂ©e en assujettissement pour Pascale.
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Nous sommes au dĂ©but des annĂ©es 80 : j'ai 15 ans, trois sĆurs (je suis la troisiĂšme des quatre), une mĂšre au foyer et un pĂšre ouvrier et syndicaliste, renommĂ© pour son autoritarisme et ses colĂšres. Nous vivons dans un village isolĂ© du Sud-Ouest oĂč les collĂ©giens prennent le bus pour aller en classe, et les lycĂ©ens sont automatiquement internes, la premiĂšre ville de taille moyenne se trouvant Ă plus de 30 km. Mais pour mon entrĂ©e en seconde, quelle joie, j'Ă©chappe Ă la pension. Laurence, la deuxiĂšme de la fratrie, entame une premiĂšre annĂ©e en BTS, et deux internats coĂ»teraient trop cher. Nos parents dĂ©cident donc de nous dĂ©nicher une location bon marchĂ©. Nous rentrerons tous les vendredis, pour passer le week-end Ă la maison. A la rentrĂ©e de septembre, nous nous retrouvons donc, Laurence et moi, dans deux piĂšces amĂ©nagĂ©es dans la dĂ©pendance d'une vieille maison, Ă l'entrĂ©e de la ville.
Le confort est minimaliste : une cuisine et une chambre, avec un lit à deux places et un canapé. Mais pour nous, vivre à 15 et 17 ans seules dans un studio du lundi au vendredi est une expérience excitante et déroutante. Courses, repas, ménage, autodiscipline, nous devons nous débrouiller tout en faisant nos devoirs le soir. C'est l'apprentissage de la liberté. Loin de nos parents, nous nous détachons d'une atmosphÚre familiale étouffante, de la déprime chronique de notre mÚre, qui sans s'en rendre compte fait peser lourd sur les épaules de ses filles ses frustrations.
A 15 ans, la libertĂ©, pour moi, ça ne veut pas encore dire grand-chose, Ă part fumer une clope en cachette de temps en temps. Ma sĆur, en revanche, a un petit copain depuis dĂ©jĂ quatre ans. Un amour de gosses qui, on ne le sait pas encore, finira par un mariage. Bruno a 20 ans. Ils sont amoureux. Mais aussi trĂšs surveillĂ©s par les parents.Â
Notre mÚre nous rabùche que la sexualité c'est sale, et l'orgasme c'est un truc de salope
Notre pĂšre contrĂŽle les allĂ©es et venues de chacune, surtout les aĂźnĂ©es. Ainsi il fait vivre un calvaire Ă ma sĆur aĂźnĂ©e pendant les mois qui prĂ©cĂšdent son mariage, menaçant de dĂ©barquer en pleine nuit dans son appartement pour vĂ©rifier si elle y est bien seule, alors qu'elle est jeune majeure et travaille. Et il impressionne car il n'est pas avare de gifles. ApprouvĂ© par notre mĂšre â qui nous rabĂąche que la sexualitĂ© c'est sale, et l'orgasme, « un truc de salope » â, il n'admet pas que ses filles aient une vie sexuelle avant le mariage. Non, ce ne sont pas des cathos intĂ©gristes mais des ouvriers qui pensent que la vie est dure et qu'« on n'est pas sur terre pour rigoler ». Pour Laurence et Bruno, cet appartement quatre nuits par semaine est donc une aubaine.
TrĂšs vite, Bruno vient dĂźner avec nous. TrĂšs vite aussi, une gĂȘne s'installe. Je sens bien que ma prĂ©sence est encombrante. Pensant avoir trouvĂ© la solution pour leur laisser un peu d'intimitĂ©, je me couche tĂŽt ces soirs-lĂ , leur laissant la cuisine puisque nous n'avons que deux piĂšces.
Un soir, j'entends la porte s'ouvrir dans l'obscuritĂ©, et je comprends qu'ils sont lĂ tout prĂšs de moi, sur le canapĂ©, Ă quelques centimĂštres de mon lit. Ce moment est Ă eux, et rien ne les en privera. Je ne peux pas croire qu'ils vont rester lĂ , et faire⊠quoi ? Des choses que je n'ai encore jamais faites, mais dont je sais qu'elles ne se font pas en prĂ©sence d'une tierce personne. J'ai honte d'ĂȘtre lĂ , honte aussi qu'on fasse mine de m'ignorer, que ma prĂ©sence compte pour si peu, et je me cache sous ma couette. Dans le noir, j'entends tout. Les baisers, les soupirs, les frottements, les vĂȘtements qui sont retirĂ©s. L'empressement, l'excitation, les corps qui bougent sur ce canapĂ©. Et ces bruits deviennent insupportables, chargĂ©s d'une intimitĂ© qui tourne Ă l'obscĂ©nitĂ©, pour moi qui, Ă 15 ans, ne peux qu'imaginer les caresses, les corps qui s'encastrent. Il y a les insupportables bruits de bouche, de succion, de dĂ©sir. Et les va-et-vient, les grognements, les commentaires, les accĂ©lĂ©rations, les gĂ©missements, le paroxysme de l'excitation, toutes ces choses que mon corps ne connaĂźt pas me sont ici rĂ©vĂ©lĂ©es par ce couple qui fait l'amour Ă quelques centimĂštres de moi. Je devine qu'ils ne se soucient de rien d'autre que du temps volĂ© aux parents. Car ils volent le droit de faire l'amour. Je suis tellement sidĂ©rĂ©e qu'ils osent faire comme si je n'Ă©tais pas lĂ que je ne sais comment rĂ©agir. TĂ©tanisĂ©e par l'Ă©normitĂ© de ce manque de considĂ©ration, je fais semblant de dormir, je me bouche les oreilles, en vain.
C'est un moment d'une violence incroyable. En quelques minutes, intruse, voyeuse bien malgrĂ© moi, j'ai assistĂ© Ă une scĂšne d'une cruditĂ© inouĂŻe, dĂ©couvert les bruits de l'amour physique, ressenti la charge Ă©rotique de la scĂšne sans encore en connaĂźtre les sensations.Â
Pendant des mois, ils recommencent. Et je continue Ă faire semblant de dormir. J'ai honte et je sombre lentement dans un profond mal-ĂȘtre dont je ne peux parler Ă personne. J'apprĂ©hende le soir, les dĂźners Ă trois. Mes 15 ans deviennent une pĂ©riode noire, de repli total. Qu'on puisse aussi facilement faire abstraction de ma prĂ©sence dans des moments aussi intimes et impudiques Ă la fois est forcĂ©ment la preuve que je ne compte pas, que je suis transparente, que je n'existe pas.
Mes parents finissent par remarquer les changements dans mon comportement puis, comme ça dure, m'accablent de reproches : je suis devenue taciturne, irritable, invivable. Alors un jour, je craque, et je dĂ©balle tout. Les rĂ©actions sont terrifiantes. Ma grande sĆur se fait traiter de pute. Elle est « la honte de la famille ». En retour, elle et Bruno me vouent une haine fĂ©roce pour les avoir dĂ©noncĂ©s. Ils m'accusent de vouloir leur gĂącher la vie par jalousie.
Personne ne comprend ce que ça m'a coĂ»tĂ© de supporter la situation sans parler. Dans l'indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale, je continue de sombrer. Je deviens boulimique, je grossis, et une peur monstrueuse m'envahit. Je passe des nuits entiĂšres sans sommeil, dans un semi-dĂ©lire paranoĂŻaque, persuadĂ©e qu'un agresseur va se jeter sur moi. Puis viennent les cauchemars. Toujours la mĂȘme vision : c'est la nuit, j'entre dans la cuisine et trouve mes parents pendus au plafond et portant une grande cape noire. Chez moi, on n'a pas lu Françoise Dolto, et les Ă©tats d'Ăąme n'ont pas bonne presse. Alors je garde mon mal-ĂȘtre pour moi, comme on vit avec une longue maladie. Un an aprĂšs, nouveau lycĂ©e, en pension cette fois, nouvelles copines.
Si je raconte cet Ă©pisode de mon adolescence, c'est pour sensibiliser les parents
Petit Ă petit, je retrouve des couleurs, mais c'est une psychothĂ©rapie qui m'a aidĂ©e, bien plus tard, vers 30 ans, Ă me libĂ©rer d'une famille toxique. Je repense Ă ma mĂšre, qui nous interdisait toute sexualitĂ© tout en se fichant devant nous de notre pĂšre devenu impuissant. Heureusement, elle n'a pas rĂ©ussi Ă me rendre frigide, ni coincĂ©e. Mais j'ai compris que si j'ai toujours choisi des partenaires dĂ©cevants, frustrants, c'Ă©tait pour confirmer inconsciemment le refrain maternel, « les hommes ne valent rien ». Aujourd'hui, divorcĂ©e, je revendique « un homme bien, sinon rien ». Quant Ă Laurence, j'ai attendu d'avoir 40 ans pour me sentir lĂ©gitime Ă lui reparler de ses sĂ©ances avec Bruno en ma prĂ©sence. J'ai peut-ĂȘtre Ă©tĂ© maladroite. En tout cas, j'ai dĂ©clenchĂ© un sĂ©isme.
Pour elle, il n'y avait « pas eu mort d'homme », et je dĂ©terrais « de vieux dossiers pour remplir ma vie de pauvre divorcĂ©e dĂ©boussolĂ©e ». Je ne nie pas ma part de responsa bi-litĂ©. AprĂšs tout, si Ă 15 ans j'avais dit : « Stop, eh oh, je suis là », et allumĂ© la lumiĂšre, j'aurais Ă©chappĂ© Ă ce cauchemar Ă©veillĂ©. Aujourd'hui, je n'ai plus de contact avec ma famille, et j'ai appris Ă m'en passer, comme certains vivent avec un membre amputĂ©. Ma grande satisfaction, ce sont mes enfants. Avec eux, j'ai l'impression de faire du neuf, du propre. Je leur ai donnĂ© une Ă©ducation sexuelle aux antipodes de celle que j'ai reçue. Et si je raconte cet Ă©pisode de mon adolescence, c'est aussi pour sensibiliser les parents. Leurs adolescents peuvent cacher des secrets « honteux », se croire coupables de situations dont ils ne sont pas responsables. Je pense Ă ces jeunes filles qui se sont donnĂ© la mort parce que des photos d'elles dĂ©nudĂ©es ont circulĂ© sur Internet. Il faut absolument parler sexualitĂ© en confiance avec ses enfants.Â
Propos recueillis par Corine GoldbergerÂ
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par
Tony Hemrix
il y a 1 an il y a 1 an | Un article de GnadoeMedia.com
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« Ma belle-mĂšre et ma belle-sĆur veulent gouter Ă mon joujou » est une sĂ©rie dâhistoires publiĂ©e chaque vendredi nuit par Tony Hemrix. Câest lâhistoire dâun jeune garçon bĂ©ni par dame nature. Il nâa rien Ă envier au 24 cm dâ Apoutchou national . Le gars est bien membrĂ©. La petite amie de Hemrix, puisque câest de lui quâil sâagit est trĂšs accro au sexe. Dans lâĂ©lan de satisfaire sa go, Hemrix va finalement â zigouiller â sa belle-mĂšre et sa belle-sĆur. Ah oui, trois pour le prix dâun. Restez cĂąblĂ©s pour la savourer. Formellement dĂ©conseillĂ©e aux moins de 18 ans. Bonne lecture.
Je me nomme Hemrix. Jâai 21 ans. Je sortais avec une fille qui sâappelait Divana. Elle me dĂ©passait de deux (2) ans. CâĂ©tait une fille trĂšs sexy et qui aimait beaucoup le sexe tout comme moi. On sâaimait beaucoup, mais le sexe avait pris le dessus. Nous Ă©tions des accros du sexe.
Mais pour nous, câĂ©tait une relation sĂ©rieuse. Un soir, elle mâa invitĂ© chez elle Ă la maison pour un dĂźner avec sa famille. Elle vit avec sa mĂšre et sa sĆur. Son pĂšre lui est en voyage depuis quelques annĂ©es.
ArrivĂ© au portail, jâai appuyĂ© sur la sonnerie puis voilĂ une demoiselle qui est venue mâouvrir le portail :
-Salut, euh, câest toi Hemrix ? Me demanda la demoiselle
-shhh. Tu nâas pas besoin de trop parler. Vite entre on tâattend juste pour manger. Divana mâavait prĂ©venu de ton arrivĂ©.
Quand je suis rentrĂ©, jâĂ©tais derriĂšre elle et je nâhĂ©sitais pas Ă admirer le derriĂšre disgracieux de la sĆur de Divana. Elle sâappelait Tasha. Elle avait une derriĂšre sublime qui mâa fait bander avant que je ne rentrais au salon.
Avant que je ne vienne chez Divana, je nâavais pas mis de culotte et jâĂ©tais dans un jean slim qui a tracĂ© ma verge quand jâĂ©tais bandĂ© et qui se faisait un peu voir. ArrivĂ© au salon, il y avait Divana et sa mĂšre Ă table. Je marchais dâune maniĂšre Ă ne pas quâelles constatent la guerre qui se faisait dans mon pantalon.
Divana mâa fait asseoir et mâa prĂ©sentĂ© Ă sa maman et Ă sa sĆur en tant que petit ami. Sa mĂšre Ă©tait une femme trĂšs belle et ronde. Ă table on mangeait, on causait et Tasha me fixait dans les yeux, car elle Ă©tait face Ă moi. Dans la causerie et tout, il sonnait 22 heures oĂč jâavais dĂ©cidĂ© de rentrer :
-euh belle-mĂšre, je crois que je dois vous laisser puisquâil fait tard et comme je suis loin dâici je risquerai de rentrer trĂšs tardivement.
-Oh Hemrix tu nous laisses dĂ©jĂ ? Bah fais comme chez toi il y a de la place chez nous et mĂȘme tu peux rester avec ta chĂ©rie pour passer la nuit. Nâest- ce pas Divana ?
-Oui maman. Tu en penses quoi chéri ? Me murmura Divana
-Ok comme vous voulez maman. Je vous remercie quand mĂȘme.
AprĂšs cet Ă©change de paroles, la maman avait demandĂ© Ă ce que Divana dĂ©barrasse la table au moment oĂč elle nous souhaitait bonne nuit. AprĂšs leur dĂ©part, jâĂ©tais restĂ© avec Tasha Ă table :
-Tu es trĂšs beau et trop sexy. JâespĂšre que tu prends bien soin de ma sĆur ? Me demandait Tasha avec une douce voix
-ah oui ma belle, câest la premiĂšre des choses en tout cas
Puis Divana est revenu et mâa ramenĂ© dans sa chambre. Nous avons fait lâamour durant une heure sans quâon ne sâen rende compte. Toute porte Ă croire quâavec ma douce Divana, le temps reste en suspension. AprĂšs la pose, bref pour reprendre du souffle avant un possible deuxiĂšme tour, jâai constatĂ© que jâavais oubliĂ© mon portable au salon.
ArrivĂ©, voilĂ Tasha que jâai surpris en train de se masturber, je dirai mĂȘme quâelle Ă©tait plus quâĂ fond dans ce quâelle faisait.
Elle avait ses jambes en lâair, deux doigts dans son fourreau et une main sur ses seins, puis gĂ©missait tout lentement avec une voix fine et trĂšs excitante qui me donnait envie de prendre le contrĂŽle pour lâaccompagner dans son exercice sexuel. Elle Ă©tait Ă fond dans ce quâelle faisait jusquâau point oĂč elle ne savait mĂȘme pas que je lâobservais.
Jâavais aussi des doutes, car je ne savais pas quelle serait sa rĂ©action quand elle me verra entrain de la mĂąter ou quand Divana ou ma belle-mĂšre nous surprendrait. Finalement, jâai dĂ©cidĂ© de prendre mon bigo puis repartir dans la chambre. JâĂ©tais sur le point de prendre mon portable quand elle a ouvert ses yeux puis mâa vu. EtonnĂ©e, elle me demandait :
-euh jâavais oubliĂ© mon portable au salon et câest ce que je suis venu prendre
Elle sâest levĂ©e du canapĂ© puis sâapprochait de moi trĂšs lentement avec une dĂ©marche et un regard trĂšs sĂ©duisant. Elle Ă©tait mi- nue sans son soutient gorge et avait comme sous vĂȘtement un string de couleur rouge qui a divisĂ© ses gros cul.
Elle mâavait mis au K.O et jâavais une trĂšs forte envie de la poser sur un lit et la lĂ©cher tout le corps et jouir en elle sans me donner de rĂ©serve. Elle sâest approchĂ©e de moi, mâa caressĂ© mes nichons puis faisait descendre doucement sa main vers le bas puis mâa serrĂ©Â la bite et me chuchota Ă lâoreille :
-ssssssssss aaaaaah ArrĂȘte Tasha. Quelquâun pourrait nous surprendre.
-shhhhhhh ferme lĂ Ok ? DĂ©tends-toi
Elle prenait sa langue pour me lĂ©cher ma glande. Elle est remontĂ©e en me suçant les nichons. Un endroit de mon corps qui mâest trĂšs sensible.
Jâai rapidement pris le contrĂŽle puis je lâai tournĂ© et la penchĂ© avec une jambe sur la table en inclinant son string dâun cotĂ©Â puis je la pĂ©nĂ©trais tout doucement en caressant son clitoris. Elle sâest mouillĂ© la chatte puis ma bite la rentrait toute seule avec un lĂ©ger frottement de mes cuisses contre ses fesses. CâĂ©tait un tunnel plein de douceur et de sensation. CâĂ©tait chaude la dedans et jâadorais lâodeur qui sây dĂ©gageait.
-Mets-le-moi dans le cul sssssssâil te plait aassshhhh . Mâa chuchotĂ© Tasha avec une voix fine qui exprime son fantasme. Je me retirais tout lentement en elle quand on a entendu des clics dâune porte qui sâouvre.
Qui ça peut ĂȘtre ? Ma belle-mĂšre ? Ou ma copine ?
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Sa femme encule sous ses yeux par un black
Blonded aime les grosses bites
Elle se fait durement enculer au balcon durant sa croisiĂšre