Trio avec le meilleur homme et le marié

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Trio avec le meilleur homme et le marié
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Gilles, Marie et Denis vivent ensemble depuis 20 ans, au Canada (G.LEVASSEUR/DR) 
Comme l’immense majorité des gens, j’avais toujours pensé, depuis ma plus tendre enfance, qu’on ne peut aimer "amoureusement" plus d’une personne à la fois. Que si notre cœur bat pour quelqu’un à l’extérieur de notre couple, c’est que l’amour s’est émoussé, voire envolé. Et à l’adolescence, avec la puberté, cette croyance a été assortie de l’obligatoire clause d’attirance sexuelle sans laquelle l’amour se dilue en amitié, et de son corollaire, l’exclusivité de cœur et de corps, sur laquelle repose la structure même du couple.
Ex-catholique pratiquant (j’ai même lu l’épître à la messe pendant 20 ans), j’ai épousé Marie à 29 ans, trois ans après en être devenu follement amoureux dans une discothèque du Vieux-Québec. Mariage religieux, fondé sur la promesse de s’aimer toujours "pour le meilleur et pour le pire".
Depuis 36 ans, notre couple a non seulement tenu le coup, mais la complicité qui l’a toujours caractérisé ne cesse de se développer. Bref, nous avons plus que jamais le désir profond de vivre ensemble pour le reste de notre vie ici-bas. "Bravo !", direz-vous. Mais notre réalité n’est pas celle que vous pourriez penser.
Marie a souffert d'aimer deux personnes à la fois
Après 15 ans de vie commune, Marie a senti, un soir de juillet 1993, son cœur défaillir en apercevant un professeur de conduite automobile entrer dans l’école où elle suivait son cours.
Comment aurait-elle pu savoir que cet homme et elle s’étaient brièvement croisés, en 1954, dans la pouponnière de l’hôpital situé à deux rues de là ?
Quelques cours pratiques ont suffi pour qu’après son diplôme obtenu, Marie ne parvienne plus à extirper Denis de ses pensées. Pendant tout l’été, elle a souffert en silence du désarroi d’aimer deux personnes à la fois, crime de lèse-majesté au royaume du couple.
Je n'avais aucune crainte de la perdre
Torturée dans son cœur, elle a fini, à l’automne, par me confier son irrésistible attirance pour cet homme. Et contre toute attente, ma programmation concernant l’amour s’est dissoute sur-le-champ en entendant ces mots de ma douce Marie :
"Je sais que je t’aime et je sais que tu m’aimes, je suis sûre que nous allons trouver une solution."
J’ai aussitôt compris qu’elle aimait un autre homme sans que son amour pour moi ne s’en trouve affecté. La viabilité du polyamour s’est alors imposée à moi.
J’avais toujours cru que son amour m’appartenait, je constatais soudain qu’elle "s’appartenait" plutôt, et je l’en ai trouvée plus belle que jamais, j’ai aimé cette liberté qui s’offrait à elle de vivre !
N’ayant aucune crainte de la "perdre", je me suis ouvert à cette nouvelle réalité en constatant qu’elle n’y pouvait rien et j’ai acquiescé à ce rendez-vous qu’elle avait pris avec lui ce soir-là et pour lequel elle me demandait la "permission".
D'un couple marié, nous sommes devenus un "trouple"
Pour faire une longue histoire courte, Marie est revenue effondrée de sa rencontre, car Denis avait refusé ses avances. Jusqu’au printemps, elle a multiplié en vain les efforts pour l’oublier l’ai-je maintes fois constaté en cherchant ce fameux sourire qui m’avait toujours séduit. Je lui ai alors suggéré de reprendre contact avec lui, en me disant que c’est la Marie souriante et épanouie avec qui j’avais envie de continuer à vivre et non celle qui se forçait à pareil deuil.
Et Denis a fini par dire oui. D’un couple, nous passions soudain à ce qu’on appelle un "trouple", qui s’est mis en place dans l’harmonie, dois-je le préciser en toute honnêteté. Quand chaque personne souhaite le bonheur des deux autres tout en y trouvant le sien, pourquoi y aurait-il des problèmes ?
Trois ans plus tard, nous choisissions d’accueillir Denis à la maison. "Tu es ici chez toi", lui avons-nous dit, officialisant ainsi notre désir commun de partager le quotidien.
Je vivais ma sexualité en dehors du trio
La question de la sexualité s’est rapidement pointée. Beaucoup ont cru que l’intimité que Marie vit avec Denis m’était difficilement supportable. Pour dire vrai, mon désir de la voir épanouie et complète l’emportait sur tout le reste sans compter qu’étant de nature exclusive en matière de sexualité, je tenais à respecter leur intimité, sacrée à mes yeux.
Nous avons convenu que je vivrais ma sexualité en dehors du trio. J’ai donc croisé au fil des ans la route de plusieurs femmes en cherchant toujours inconsciemment la d’Artagnan des Trois Mousquetaires… Je me suis énormément découvert dans ces relations, deux ayant duré quelques années.
Mais mon statut d’homme toujours marié a fait rebrousser chemin à plus d’une ! J’ai aussi découvert à cette époque que plus j’aimais une autre femme, plus j’aimais Marie ! L’expansion est le propre de l’amour, seule la peur contracte.
Et puis, le prénom Marie n’est-il pas l’anagramme du verbe AIMER ?
J’ai surtout découvert une étonnante réalité : le désir sexuel n’est pas une composante essentielle du lien "amoureux". Non, mon amour pour Marie ne s’est pas transformé en amitié, je ne l’aime pas comme ma sœur ou ma colocataire, comme beaucoup le pensent. C’est la même vibration qu’au début, sauf qu’elle est plus profonde avec tout ce que nous avons traversé ensemble.
Par exemple, un homme amoureux de sa compagne qui voit sa testostérone réduite à néant – et tout désir sexuel aussi – en raison d’un traitement contre le cancer de la prostate deviendra-t-il… son ami ? Et que dire d’une personne asexuelle ? Est-elle forcément persona non grata de l’amour ?
Je n'ai jamais été jaloux de ce que vivent Marie et Denis
Et la jalousie ? Je suis convaincu qu’elle est le symptôme d’un manque de confiance dans le couple, d’une estime de soi défaillante.
Je n’ai jamais été jaloux tout court, et plus spécifiquement de ce que Marie vit avec Denis, car leur territoire n’empiète nullement sur celui – exclusif –que nous partageons elle et moi.
Au contraire, voyant ma conjointe se transformer lorsqu’elle interagit avec lui, je n’ai plus à tenter de porter d’autres chapeaux que le mien. Je n’ai qu’à être moi, Marie m’aime pour qui je suis. Et Denis pour qui il est. Elle nous aime aussi intensément l’un que l’autre et ne saurait "choisir" entre les deux, préférant plutôt nous amalgamer en un seul être faisant vibrer les facettes de qui elle est.
Et pendant que beaucoup d’observateurs imaginent le contraire, notre quotidien se conjugue à l’harmonie, chacun à sa place sans vouloir occuper celle d’autrui. Et s’il s’est produit en 20 ans quelques différents mineurs, la tierce partie s’est aussitôt fait médiatrice ! Il y a aussi l’énergie du trio lui-même, cette complicité particulière qui se fait sentir lorsque nous sommes ensemble.
Seule la mort physique pourra nous séparer
Bref, force m’est d’admettre que plus le temps passe, plus notre "machine" relationnelle tourne rondement.
Je me souviens notamment de la difficulté que Denis avait pour les "je t’aime" au début. Aujourd’hui, les "Marie d’amour" fusent de sa bouche à longueur de journée. Et il assure à qui veut l’entendre qu’elle est la femme idéale pour lui. Et alors que c’est moi qui suis toujours officiellement l’époux, c’est lui qui lui lance souvent "my pretty wife".
Comme quoi l’amour fait éclater les cadres…
Je n’en tire aucune généralité, je témoigne seulement de notre réalité.
Un exemple représentatif de ce qui nous unit se produit chaque fois que nous regardons la télé à trois : Marie au centre du fauteuil tenant la main des deux amours de sa vie.
Nul n’en doute chez nous : seule la mort physique pourra nous séparer. J’oubliais un ingrédient essentiel, proche parent de l’amour, j’ai nommé l’humour, omniprésent dans notre demeure, surtout que Marie, avec ses mimiques de clown, a le don de nous faire rire !
Cette histoire m'a permis de retrouver qui je suis
Comment ça se passe au quotidien ? Les suppositions abondent, certaines farfelues comme des expériences sexuelles à trois.
Notre réalité est beaucoup plus simple : nous dormons sur deux étages dans trois chambres, chacun préférant profiter de son espace vital nocturne.
Le partage des tâches et la mise en commun des revenus est de mise, ce qui fait du trio une mini-communauté adoucissant de beaucoup les contraintes de la vie.
Travailleur autonome, je suis la plupart du temps à la maison et j’accompagne même Marie dans une partie de ses tâches au restaurant où elle travaille. Bref, nous sommes elle et moi très souvent ensemble.
Denis est mon meilleur ami, et davantage que pour bien des amitiés, car nous vivons sous le même toit et nous avons la même femme en commun.
Quant à Marie, loin de se diviser comme le pensent beaucoup de gens, elle se multiplie par deux.
En conclusion, ceux et celles qui estiment que j’ai beaucoup perdu et que je flirte avec le masochisme ne savent pas que cette histoire m’a permis de retrouver qui je suis, qu’elle a été le déclencheur de la découverte du sens profond de ma vie : rappeler aux gens que la peur fait souffrir, et que l’amour véritable est immortel, qu’il est synonyme de don, joie et confiance. À mon humble avis, cette expérience concrète, durable, en témoigne.
L’auteur a écrit et publié à compte d’auteur le livre "Irrésistible amour, l’incroyable force du destin", aux Éditions Libre Arbitre.
moi qui vit avec mon amoureux qui a recueilli son ex-femme, la mere de ses enfants... sincèrement??? c'est l'enfer!!!!!!!!!!
Pourquoi pas à 7 ??? le partage c est beau !....
Un voyante ne peut pas dire un avenir qui n'existe pas encore, et dépendra d'une multitude de choix libres. Mais elle peut vous lier par sa prophétie, que vous vous appliquerez inconsciemment à réaliser.

Je suis assez triste en vous lisant. Marie aurait pu consacrer son amour pour vous en vous choisissant. Elle a tout voulu, elle a pris la facilité. D'ailleurs, le fait qu'elle ait pris RDV avant de vous en parler (elle demandait une autorisation pour le soir même) est lourd de signification. Vous avez trouvé votre équilibre en laissant un autre exercer le rôle de l'époux. D'un côté, tant mieux pour vous. Mais cela dénote une immaturité que vous avez circonscrite par un mode de vie plutôt que de vous y attaquer.

Cette somme de dysfonctionnement a fini par donner un équilibre. On aurait pu faire bien pire. Mais aussi bien mieux.
Si vous êtes tristes à me lire, nous sommes ici très heureux et joyeux de notre choix! Il est tout à fait spécial de lire que vous concluez quant à notre expérience sans rien en savoir et sans jamais l'avoir vécue.

Marie a pris rendez-vous quelques heures avant de m'en parler. Si je lui avais refusé, elle n'aurait jamais rencontré Denis. «Consacrer son amour pour vous», comme c'est étrange comme propos quand je sais à quel point elle m'aime... Incidemment, nous célébrons aujourd'hui notre 33e anniversaire de mariage. Marie m'a dit qu'elle souhaitait de tout cœur continuer à partager son quotidien avec moi... ainsi que Denis.

Certes Marie aurait pu s'automutiler le cœur pour le reste de sa vie et se priver de ces 20 ans d'amour avec Denis, ces choix déchirants sont monnaie courante dans nos sociétés. Nous avons choisi de ne pas se forcer à ces choix. Je me répète, vous n'avez aucune idée à quel point elle aime profondément les deux hommes de sa vie, c'est compréhensible, notre réalité vous échappe complètement, car vous ne la vivez pas, c'est la simple logique.

Dans cette réalité, il n'y a plus d'époux ou d'amant, plus de rôles, de numéro 1 ou numéro 2, il n'y a que l'amour, qui ne compartimente pas. Denis n'exerce pas le rôle de l'époux, n'ai-je pas été suffisamment clair dans mon texte de présentation? Chacun à sa façon fait vibrer Marie, c'est une désarmante simplicité lorsqu'on le vit concrètement.

En conclusion, il n'y
En conclusion, il n'y a de dysfonctionnement que de votre côté de la lorgnette.

En réalité, tout n'est que perception. Si vous nous analysez par rapport à une norme, il est certain que vous y verrez une anormalité. Mais la norme, vous vous en doutez bien, ce n'est pas ma tasse de thé!

Cordialement,

Gilles Levasseur
«Elle a tout voulu, elle a pris la facilité.»

Avez-vous lu dans mes commentaires que la dernière personne qui a fini par accepter sa réalité d'aimer deux personnes à la fois, c'est Marie? Elle ne cessait de revenir à son engagement d'une vie à deux le jour de son mariage, elle se sentait coupable. Il a fallu que je lui répète que l'amour est plus vaste qu'un engagement à deux pour qu'elle se laisse enfin aller à ce irrésistible élan de son cœur.

Mais vous avez raison : l'amour est toujours (et je pèse le terme) plus facile!
Il y a dans la communion profonde de deux êtres une beauté qui dépasse le fait de "s'épanouir". Il s'agit d'un don mutuel de toute sa personne. Et lorsqu'on se donne pleinement, on ne se donne pas à un autre. L'exclusivité va plus loin que la norme culturelle (même si elle ne fait partie) : elle est une condition de l'amour véritable.

Ensuite, s'il ne s'agit pas de se donner, mais de s'épanouir, alors oui, les partenaires multiples sont une évidence. Il y a avec Roseline une magnifique complicité sexuelle. Avec Rosalie, un grand partage dans notre création artistique. Et Rose et tellement en phase avec moi dans ma recherche spirituelle. Donc je peux partager un peu de ma vie avec chacune d'elle. J'aurai eu un partage sincère avec chacune. Mais je n'aurai aimé pleinement aucune.

Enfin, ne croyez pas que vous puissiez tout justifier par "vous ne l'avez pas vécu, vous ne savez donc rien". Vous partagez un commune humanité avec moi, c'est ainsi que l'on comprend bien des choses sans les avoir vécues, par d'autres expériences qui s'en rapprochent ou nous disent quelque chose de l'expérience de l'autre (sans jamais la dire pleinement). Chaque individu est unique, mais il n'est pas le tout d'une espèce dont il est l'unique représentant.

Quant à dire que l'amour est le plus facile, c'est totalement faux. Il est terriblement exigeant. Le vrai. Mais ensuite tout dépend de ce que vous mettez derrière ce mot. S'il s'agit du contentement de votre sensibilité, a
Quant à dire que l'amour est le plus facile, c'est totalement faux. Il est terriblement exigeant. Le vrai. Mais ensuite tout dépend de ce que vous mettez derrière ce mot. S'il s'agit du contentement de votre sensibilité, alors oui, bien sûr que c'est la voie la plus facile. S'il s'agit de se donner totalement, rien n'est plus grand, rien n'est plus dur.
Je parirai qu'une partie des medisants seront les premiers a tromper leurs femmes /maris. Vous etes honnetes l'un envers l'autre et avez trouver un compromis qui fonctionne, j'imagine bien que vous serez le 'trouple'' qui durera le plus longtemps d'entre nous.
Etant folle de mon fiance, j'arrive a imaginer le concept de partager plutot que de ne perdre pour toujours. Cependant, etant jalouse, possesive, ca serait dur, mais comme vous dites, tant que vous etes pas confrontes a la situation, personne ne peut juger ou savoir comment ils auraient reagit.
Cela necessite une telle confiance, et ouverture d'esprit de votre part, chapeau bas!
A mon avis, la pire chose pour un couple c'est le mensonge, pas le partage!
Bonjour Gilles,
merci pour ce témoignage qui devrait inciter les gens à se poser des questions sur ce qui est normal ou pas, éthique ou pas, naturel ou formaté.
Je pense qu'il n'y a pas de normes en amour, qu'il y a certes des garde-fous (visant en particulier à protéger des personnes vulnérables, les repères familiaux, etc.), mais que d'une manière générale l'amour sincère est au-dessus des règles et des préjugés.
Beaucoup confondent amour et possessivité, alors qu'aimer l'Autre devrait n'être que le désir profond de le (la) voir heureux(se) (sans tomber bien sûr dans une relation masochiste, auquel cas l'amour ne serait pas réciproque).
Je déplore de lire certaines réactions vulgaires et intolérantes, qui seraient offensantes si elles n'étaient pas si sottes, et j'imagine que quand, comme vous semble t-il, on a trouvé son équilibre et une sérénité intérieure, elles doivent seulement faire sourire.
Pour ma part, je vous souhaite à tous trois de vivre pleinement votre bonheur, que je trouve digne de respect.
Amicalement,
r0m0r.
Merci!

Vous avez bien saisi ce que nous vivons. Et votre réponse me sert en même temps de commentaire à la réaction qui suit la vôtre...

Sincères salutations!
Je viens de voir l'image de votre pseudo... En astrologie chinoise, étant né en 1952, je suis donc... dragon!
Je ne sais trop... Faudrait que j'aille zieuter l'astrologie chinoise... Après l'avoir lu, je ne m'y retrouve pas, sauf pour avoir «mis le feu» à certaines occasions ici, hahaha!

Cela dit, je suis en train de lire le témoignage de Marie A. sur l'asexualité. Le passage suivant est capital selon moi :

« J’ai du mal à comprendre les personnes qui prétendent que l’amour sans sexe ce n’est que de l’amitié. Ces personnes-là ont-elles déjà réellement aimé quelqu’un ? Si c’était le cas, elles se rendraient compte que l’amour n’a rien à voir avec le sexe. D’ailleurs on pratique souvent le sexe sans aimer, pourquoi l’inverse ne serait-il pas possible ? »

Voilà pourquoi je dis souvent que la seule façon de bien comprendre une situation, c'est de la vivre soi-même...
Je trouve monsieur que vous vous mentez a vous meme, le fait que vous nous communiquiez votre situation n'est que la volonté que les autres l'acceptent, afin de mieux pouvoir l'acceptez ensuite par vous-meme.
La définition selon moi d'une "épouse/concubine/pacsé"(etc) est d'etre à la fois une meilleure amie et une amante ( en ayant discuter avec ma fiancé qui est d'une culture totalement étrangere à la religion ).
Hors comme vous le dites, il manque maintenant une composante.

Ce n'est qu'un avis parmi tant d'autre...
Vous l'avez dit, ce n'est qu'un avis parmi tant d'autres, qui a pour caractéristique de ne pas se fonder sur l'expérience, mais sur une opinion intellectuelle ressentie de l'extérieur, sans rien connaître de la situation visée. C'est un phénomène très répandu sur cette planète. J'aurais probablement émis semblable commentaire si je ne l'avais pas vécue personnellement.

Beaucoup n'imaginent pas que ma démarche est avant tout un message bien plus important que le messager, ils n'y voient qu'une forme de thérapie nombriliste, ce qui ne m'a jamais traversé l'esprit.

Pour dire vrai, je me serais menti à moi-même si j'avais empêché Marie - qui m'aurait écouté d'ailleurs - d'exprimer son immense amour pour celui qu'elle avait retrouvé.

Sachez enfin que dans cette histoire, le désir d'être accepté ne fait pas partie de ma réalité. C'est justement en raison de la non-acceptation très majoritaire des gens que j'ai décidé d'en parler, car j'ai constaté que mon témoignage pouvait faire réfléchir.

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