Trio avec la petite amie coquine et sa belle soeur

Trio avec la petite amie coquine et sa belle soeur




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Trio avec la petite amie coquine et sa belle soeur
ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir



Rechercher :



Catégories

En groupe

Histoires de candaulistes

Histoires Ă©rotiques

Histoires Hard

Histoires Lesbiennes

RĂ©cits Ă©rotiques

RĂ©cits Exhib

RĂ©cits Sado Maso

RĂ©cits Triolisme



VISIOCHAT ENTRE LIBERTINS Webcams coquines
Meilleurs sites d’histoires Ă©rotiques
Confidences Intimes
Nous contacter
Soumettre votre confidence


Confidences récentes


Ma premiùre vraie sortie en fille – Repassage


Une bonne chienne ! – 2Ăšme partie – FrustrĂ©e !


Une bonne chienne !


Les Soumises – Le Cul du Harem


Visite chez le médecin


Extase


Dans le secret de l’intime


Histoires de Sexe


Confessions Sexy


Histoires Porno


RĂ©cits de cul


Le jour des soldes


Le bachelor pad de Marco II


Un coup de canif dans le contrat


Chez mon patron avec sa femme


Point de rencontre


Le bachelor pad de Marco


Ma tante et moi


Confessions Erotiques


Histoires Erotiques


Histoire d’une pĂ©cheresse


La secrétaire


Habillée hyper sexy


Plage naturiste


J’ai trompĂ© ma copine




En continuant à naviguer sur Confidences-Intimes.com, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site Confidences-Intimes.com. Ok
Site des confidences intimes et histoires Ă©rotiques
Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dßner chez lui, je ne pensais pas passer, grùce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oubliĂ© notre dĂźner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sĂ»r. Cependant, ma femme ne pourra ĂȘtre des nĂŽtres. Un empĂȘchement de derniĂšre minute

– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me prĂ©sentai au domicile de mon patron le lendemain, Ă  l’heure prĂ©vue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin Ă  la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez ĂȘtre François. EnchantĂ©e. Moi mĂȘme, c’est Sonia.
– EnchantĂ©.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement Ă©tait charmant, meublĂ© avec goĂ»t.
Sonia m’entraüna au salon.
– Je vous propose un apĂ©ro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
AprĂšs m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’Ɠil Ă  leur bibliothĂšque, trĂšs bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note mĂȘme, dans les rayons du haut, une section de rĂ©cits Ă©rotiques. Apollinaire, Sade, je devine mĂȘme une bande dessinĂ©e coquine.
Sur la table basse oĂč Sonia a posĂ© la flĂ»te de champagne et quelques apĂ©ritifs se trouvait un album photo. Je me mis Ă  le feuilleter nĂ©gligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. DĂ©cidĂ©ment cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dĂ©voilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout Ă  coup gĂȘnĂ© : La voilĂ  seins nus, ils sont trĂšs beaux. Je ne pus m’empĂȘcher de m’attarder dessus, jetant de temps Ă  autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– ChĂ©ri, tu es lĂ  ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invitĂ© ?
– Bien-sĂ»r, mais il s’est occupĂ© tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une Ɠillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page oĂč elle est seins nus, tournai vite pour ne pas ĂȘtre gĂȘnĂ©, mais les photos suivantes Ă©taient du mĂȘme tonneau. Les photos ont Ă©tĂ© prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lĂšvres. Deux pages plus loin la voilĂ  qui retire le bas, et la photo d’aprĂšs, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui

Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongĂ© sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland dĂ©calottĂ©.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps aprĂšs notre partie carrĂ©e avec nos amis AgnĂšs et Gilles (et la fin de soirĂ©e), me voilĂ  une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une derniĂšre page de photos dĂ©taille la lente pĂ©nĂ©tration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement dĂ©jĂ  bien vigoureuse. Elle la caressa. TrĂšs vite, ils se dĂ©shabillĂšrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle Ă©carta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater Ă  quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui Ă©carter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pĂ©nĂ©trer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face Ă  moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a rĂ©sonnĂ© comme un ordre, et mon patron eut Ă  peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obĂ©is.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena Ă  sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrĂȘta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obĂ©is, et l’instant d’aprĂšs me voilĂ  occupĂ© Ă  la limer avec dĂ©lectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustrĂ©, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fĂȘte n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientĂŽt je sentis une main redonner de la vigueur Ă  mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirĂ©e ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, Ă  l’opposĂ© d’oĂč elle Ă©tait entrĂ©e. Elle marcha Ă  quatre pattes jusqu’au fauteuil, s’y cala, les reins cambrĂ©s et le cul en l’air, et oscilla du derriĂšre.
– C’est une invitation, me dit Alain. Allons l’honorer.
Il se leva, vint se placer derriĂšre elle, la pĂ©nĂ©tra et la lima. Il m’expliqua la rĂšgle du jeu :
– Quand on sent que l’on risque de jouir, on se retire, et on laisse la place à l’autre.
Et nous voilĂ  l’un aprĂšs l’autre Ă  la pĂ©nĂ©trer, la limer, jusqu’à la limite de l’éjaculation, et Ă  laisser la place Ă  l’autre. Je me dĂ©lectais du spectacle de la bite d’Alain s’enfonçant dans le con de Sonia, j’admirai les va-et-vient qui m’excitaient, et quand Alain sentit la limite atteinte, il se retira sagement pour me laisser disposer Ă  nouveau du fourreau. Il vint alors caresser les seins de son Ă©pouse pendant que je la pĂ©nĂštre, et m’invite Ă  en faire autant quand c’est Ă  son tour de limer.
Je ne saurais dire combien de temps ce manĂšge a durĂ©, ni combien de permutations Alain et moi avons effectuĂ©es. Sonia passait d’orgasme en orgasme, visiblement jamais rassasiĂ©e.
– Sodomise-moi. Dit-elle à Alain.
Il se plaça pour obĂ©ir Ă  l’ordre. Comme sur les photos, je vis le gland se poser sur la rondelle, et sous le coup de pression d’Alain, la rosette se dilata pour laisser entrer la bite, qu’Alain enfonça jusqu’aux couilles, le tout avec beaucoup de prĂ©caution. Il fit quelques mouvements de va-et-vient durant lesquels je pus voir la hampe glisser dans l’anus. Je me mis Ă  me masturber, mais Sonia m’en dissuada d’une tape sur la main. Je crus qu’Alain allait jouir, mais il se retira et m’invita d’un geste Ă  prendre sa place.
– Allez, à votre tour !
Le ton Ă©tait impĂ©rieux, ce qui ne fit que rajouter Ă  mon excitation. J’opĂ©rai comme Alain, plaquant mon gland sur l’anus et le faisant pĂ©nĂ©trer doucement, ce qui se fit sans difficultĂ©. Je notais que mon patron ne perdais pas une miette de cette sĂ©ance de sodomie, lui aussi se mit Ă  se masturber, mais Sonia le laissa faire, probablement trop prise par l’excitation pour prendre conscience de la branlette de son mari. Il me sembla qu’elle jouit Ă  nouveau. J’avais une trĂšs forte envie de jouir, mais me retins : Je sentais que le moment n’était pas encore venu.
Sonia se dégagea et se retourna vers nous, toujours à genoux. Elle prit une bite dans chaque main et nous caressa. Son doigt passait sur le gland puis allait aux testicules. Puis elle délaissa nos bites et se mit à se caresser les seins et à se mettre un doigt sur le clitoris et dans le vagin.
– Maintenant.
C’est une invitation que manifestement Alain comprenait. Il se mit Ă  se masturber frĂ©nĂ©tiquement et je ne tardai pas Ă  l’imiter, devinant l’issue que nous rĂ©clamait Sonia. Sa caresse Ă  elle sur son sexe se fit aussi plus pressante et rapide. Moi, une main sur la bite, l’autre sur mes couilles, je regardai Alain se masturber, nos deux pinnes dirigĂ©es vers le visage de Sonia. Trop excitĂ© pour me retenir encore, j’éjaculai sur le visage de Sonia, et l’instant d’aprĂšs je vis le sperme d’Alain jaillir du bout de son gland, La bouche entrouverte de Sonia avait recueilli un jet particuliĂšrement vigoureux d’Alain, le reste du sperme atterrissant sur les joues et les lĂšvres. Puis elle vint nous sucer alternativement jusqu’à ce que nos membres flĂ©chissent. Elle s’essuya le visage de ses doigts et se les lĂ©cha.
– Ça m’a beaucoup plu, annonça Sonia. Vous ĂȘtes Ă©lu.
Ils m’invitĂšrent pour un week-end prolongĂ© dans leur maison de campagne, le mois suivant.
– Vous seul. Votre femme ne doit pas venir. C’est un sĂ©minaire d’un genre particulier.
Sonia s’absenta un instant. Quand elle revint, elle tenait des vĂȘtement en main : Une chemise blanche, un pantalon de toile lĂ©gĂšre, des chaussures bateau.
– Voici votre trousseau. Vous viendrez vĂȘtu de ceci, strictement rien d’autre : Pas de caleçon, de chaussettes ou je ne sais quoi d’autre. Ceci, et strictement ceci. Abstinence absolue pendant quinze jours avant le sĂ©minaire. Je veux dire : Vous pouvez faire l’amour et donner du plaisir Ă  votre Ă©pouse ou toute autre personne. Mais pas d’éjaculation. Gardez votre sperme, vous aurez besoin de rĂ©serves.
Quand je repartis, je me demandai comment j’allais faire pour venir sans Juliette et sans qu’elle le sache. Puis je pris le parti de tout lui raconter dans les moindres dĂ©tails, la sĂ©ance d’aujourd’hui comme le « sĂ©minaire » Ă  venir.
La nuit d’aprĂšs, je ne regrettai en rien cet aveu, car j’éjaculai dans l’anus de Juliette tandis qu’elle lisait Ă  voix haute, le timbre altĂ©rĂ© par l’excitation, le rĂ©cit de cette soirĂ©e chez mon patron, tel que vous pouvez le lire maintenant.
Les jours suivants, elle m’aida Ă  honorer mon vƓu d’abstinence jusqu’au sĂ©minaire.
On nous a promis un séminaire. Quand arrive-t-il ? je sens le gang-bang à gogo.
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.




ACCUEIL


ANIMAUX


FUN


COOL


FAIL


CHOC


WTF


ENFOIRES


ABRUTIS


FAN DE MINECRAFT ?





Login/Register







Veuillez vous connecter pour laisser un commentaire.




Contact
Site de rencontre




© 2015 Pandaclip, aucune reproduction autorisée

Vu la tĂȘte qu'elle a fait, elle a pas du apprĂ©cier .... Bien fait pour elle, elle y rĂ©flĂ©chira la prochaine fois ... B*tch !!!
Why bitch ?, je trouve au contraire que le geste du livreur est plein d'affection sans arriÚre pensée, bande de vieux cochons !
lol "52" c'était "bitch" purée j'essayais de traduire "b*tch" avec une étoile je ne comprenais pas !! tsss
Ben ça sent surtout la gonzesse qu'a voulu jouer Ă  l'allumeuse sauf que le livreur Ă©tait plus entreprenant qu'elle l'aurait pensĂ©, et donc comme j'ai dit, vu la tĂȘte qu'elle a fait au moment oĂč il lui touche la foufe, elle a pas du apprĂ©cier ....

Donc, rien que pour le fait d'ouvrir à un livreur en tenue sexy comme ça, c'est une bi*tch ....
Franchement,c'est un fake,mĂȘme si elle le cherche,le type lui touche la chatte voir lui colle un doigt et la fille fait mine de serrer les jambes,en temps normal,le type se serai retrouver avec les burnes partagĂ©es en deux surtout que c'est qui qui filme? Son mec? A moins qu'il soit voyeur,un type vient toucher la chatte de ma femme,je lĂąche tout et lui colle une praline dans sa face.
Ha jeune fille, tu as voulu jouer la pĂ©tasse mais regarde ce qui t’arrive. Faut pas qu'aprĂšs qu'elle vienne se plaindre.
Oui , c'est une crevette : tout est bon sauf la tĂȘte ...
Petite conne va
Vous allez me traiter de pute mais sa doit ĂȘtre marrant quand sa t arrive


Was this page helpful?
Yes
No


Performance & security by Cloudflare


You cannot access www.fugues.com. Refresh the page or contact the site owner to request access.
Copy and paste the Ray ID when you contact the site owner.

Ray ID:

7495a1931c615ab2


7495a1931c615ab2 Copy



For help visit Troubleshooting guide



Confessions-Intimes.com ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir



Rechercher :



Les meilleurs sites d’histoires Ă©rotiques
Webcams Libertines
Nous contacter
Soumettre votre confession


DerniĂšres confessions


Parcourez les histoires de sexe


Des petites confidences intimes Ă  lire


Initiation et premiers Ă©mois


Facile et soumise


Toujours prĂȘte !


Bien déchirée



La mĂšre de ma petite amie


Plaisir féminin


Le tatoueur


Du baby-sitting


Le fantasme Corinne


L’inconnu


Dans le train et avec ma cousine


Dominatrice et lesbienne


Lydie


Avec Fabienne


Exhib Ă  la piscine


Copines de fac


Mon premier amour gay



Catégories

Confessions Gays

Confessions Lesbiennes

Exhibition/Voyeurisme

Histoires Ă©rotiques

RĂ©cits Ă©rotiques

RĂ©cits Sado Maso




En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies qui assurent le bon fonctionnement de nos services afin de vous garantir la meilleure expérience sur notre site Confessions-Intimes.com Ok
Site sur les confessions intimes et les récits érotiques
Depuis l’ñge de 14 ans, je faisais des baby-sittings chez des particuliers. J’avais des clients rĂ©guliers dont je connaissais les enfants comme mes propres frĂšres et soeurs. Il y avait aussi des gens qui me prenaient juste occasionnellement, pour une soirĂ©e. J’avais Ă  l’époque 18 ans, quand un soir, une jeune femme me tĂ©lĂ©phona :
-« Bonjour, je suis Mme Faure, une amie de Mme Bilet. Elle m’a parlĂ© de vous, je voudrais faire garder mes enfants demain soir ».

Mme Bilet est une de mes plus fidÚles clientes, nous nous entendons trÚs bien, je fus donc tout de suite mise en confiance et je lui répondis :
-« Demain soir, bien sûr ! Vos enfants ont quel ùge ? »
Antoine et RĂ©mi avaient 5 et 3 ans. Leurs parents allaient au restaurant avec des amis et la belle-mĂšre de Mme Faure, qui gardait les enfants d’habitude, Ă©tait en voyage. C’est pourquoi c’était la premiĂšre fois qu’ils faisaient appel Ă  moi. Nous nous donnĂąmes donc rendez-vous Ă  20h00 chez Mr et Mme Faure. Ma mĂšre m’y dĂ©posa et je sonnai Ă  leur porte. Mme Faure vint m’ouvrir, elle m’accueillit tres chaleureusement et me somma de l’appeler HĂ©lĂšne. Elle n’avait pas plus de 27 ans et Ă©tait trĂšs belle. Elle me prĂ©senta se
Rousse australienne prise en double et enculée à fond
Luna Star et Alby Rydes partagent la queue du voisin
Une débutante de Béziers se fait enculer dans son casting

Report Page