Trio après avoir agi

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Trio après avoir agi
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Accueil | Police-Justice | Un trio avoue le braquage de prostituées
Ils voulaient mettre des paillettes dans leurs vies. Trois jeunes risquent de lourdes peines pour avoir braqué des prostituées à quatre reprises. (Photo : archives lq/fabrizio pizzolante)
Un beau-père est suspecté d’avoir frappé son beau-fils.
En plus de la nourriture et du matériel qu’ils ont apportés, Christophe, 32 ans, et Antonio, 40 ans, ont donné un coup de main dans le refuge pour animaux durant quelques jours. (Photo DR)
La LFL et Karine Reuter ont encore du pain sur la planche. (photo Mélanie Maps)

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De: Sophie Kieffer







Dans Police-Justice , Premium




Mis à jour le 22/02/22 8:56 | Publié le 22/02/22 7:25




Trois amis rêvent d’argent facile, de vêtements de marque et de vacances au soleil. Ils sont soupçonnés d’avoir braqué des prostituées. « Des bêtises », regrettent-ils en chœur.
J’étais sur le balcon. Je fumais une cigarette. J’ai entendu mon amie crier. Je suis rentrée dans le salon. Je les ai vus avec elle. Ils nous ont menacés avec une arme», témoigne, en pleurs, une prostituée, à la barre de la 9 e chambre criminelle du tribunal d’arrondissement de Luxembourg. Un client prenait une douche quand il s’est retrouvé nez à nez avec l’arme. «Celui qui était armé est resté avec nous. Les deux autres ont visité les pièces de l’appartement, indique-t-il. Ils ont pris l’argent que j’avais sur moi et mon smartphone.»
Le 1 er octobre 2020, trois hommes armés font irruption en plein après-midi dans un Airbnb de Merl occupé par deux prostituées. Deux semaines plus tard, le 16 octobre, une troisième prostituée est agressée de la même manière dans l’Airbnb qu’elle loue dans le quartier de la Gare. À chaque fois, les trois auteurs se font passer pour des clients qui ont pris rendez-vous via un site internet dédié et repartent avec de l’argent liquide, des cartes de crédit et des smartphones.
Deux faits qui en rappellent un troisième, ou plutôt un premier, survenu en juillet 2019. À l’époque, selon la police, Walid fait partie des suspects. Il circule avec une voiture de marque allemande de couleur blanche qui a pu être repérée à proximité de tous les lieux des attaques grâce, notamment, aux caméras de Visupol. Les enquêteurs de la police passent au crible la téléphonie des victimes et remarquent qu’elles ont toutes été contactées par le même numéro français. Numéro qui a appelé deux autres prostituées du quartier de la Gare avant qu’elles soient braquées par le trio, mais sans oser prévenir la police.
Les agents du service de répression du grand banditisme restent à l’écoute. Le 7 novembre, le numéro contacte une nouvelle prostituée. La police n’a pas le temps de se rendre sur les lieux à temps, mais un avis de recherche est lancé contre la voiture. Elle est interceptée avec trois jeunes à son bord, deux pistolets d’alarme, de l’argent liquide, des cartes de crédit et un masque noir où est imprimé le dessin d’une mâchoire. Un masque décrit par toutes les prostituées.
Des vidéos trouvées sur les téléphones finiront d’incriminer les trois jeunes hommes qui se sont filmés avec leur butin. D’après les enquêteurs, leurs tenues correspondent aux vêtements portés par les auteurs au moment des faits. Des vêtements, notamment des casquettes de la marque Gucci portant l’emblème d’une abeille, qui sont retrouvés au domicile des trois jeunes. Les policiers mettent également la main sur des billets pour un voyage en Tunisie achetés en liquide l’après-midi de la première attaque.
Une attaque prévue le 5 novembre 2020 dans un hôtel de Luxembourg est avortée au dernier moment, selon les enquêteurs. Elle permet aux policiers de suivre la voiture blanche jusqu’en France et de photographier les trois auteurs présumés. Walid, Ruda et Thomas sont assis sur le banc des prévenus. En détention préventive depuis leur arrestation, ils reconnaissent les faits. Ils ont entre 21 et 25 ans.
Le modus operandi et les conclusions de l’enquête avaient laissé peu de place au doute aux enquêteurs. Les victimes n’avaient pas été choisies au hasard. Les auteurs des faits savaient qu’elles faisaient partie d’une population qui se confie rarement à la police en cas de problème et porte encore moins plainte, selon le policier.
«J’avais entendu des jeunes du quartier raconter qu’ils avaient volé des prostituées, raconte Walid. Un soir, en boîte de nuit, je leur ai proposé de le faire. Ça a commencé comme ça.» Le trio affirme n’avoir commis que quatre attaques au Luxembourg et une en France. Ils disent avoir agi spontanément et ne pas être venus au Luxembourg «exprès pour cela». La présidente du tribunal le presse de questions : «Cela vous prend souvent de dire « on va prendre de l’essence ou fumer une chicha et après on va braquer une prostituée »?»
Walid se défend maladroitement. Absolument tout a été, selon lui, improvisé. «Chacun faisait avec ce qu’il avait. Rien n’était prévu.» «Ce que chacun trouvait, il le prenait pour lui et la fois d’après, on tournait. (…) Je ne me rendais pas compte que gagner de l’argent facile pouvait faire autant de mal. Gâcher une vie pour quelques centaines d’euros, cela ne les vaut pas», reconnaît le jeune homme de 25 ans.
Ruda explique qu’ils ont acheté les pistolets d’alarme pour se protéger après avoir été menacés par des proxénètes, mais ne comprend pas pourquoi. «Je me cherchais. Je voulais paraître le plus grand, le plus fort… C’était du paraître, rien de plus. Cela ne fait pas partie de mes codes.» Thomas, son ami d’enfance, confirme ses propos. «J’ai agi par cupidité et par bêtise. On a fait cela une fois. J’avais un peu d’argent. J’étais content», se repent-il. «J’ai été stupide et crapuleux.»
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De: Valentin Maniglia







Dans Culture , Premium




Mis à jour le 01/05/22 11:22 | Publié le 01/05/22 17:00






De: Serge Bressan







Dans Culture , Premium




Mis à jour le 01/05/22 11:05 | Publié le 01/05/22 11:05






De: Sophie Kieffer







Dans A la Une , Premium




Mis à jour le 30/04/22 10:11 | Publié le 30/04/22 10:11






De: Jérémie Nadé







Dans A la Une , Luxembourg , Premium




Mis à jour le 01/05/22 19:18 | Publié le 30/04/22 5:00






De: Julien Mollereau







Dans Premium , Sport national




Mis à jour le 29/04/22 8:42 | Publié le 29/04/22 11:00





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»... En une phrase, le procureur de la République, Daniel
Atzenhoffer, a résumé la nuit de terreur vécue par Damien, le 14 avril dernier, en forêt de
Thoiry. Hier, ses trois agresseurs ont été condamnés à dix-huit, vingt et vingt-quatre mois
Dans le box des prévenus, Jean-Guillaume Arribard, 19 ans, Jérémy Abraham,
19 ans, et Benjamin Laurent, 21 ans, tentent de faire profil bas. Un sourire de Jean-Guillaume
esquissé à l'énoncé des faits est aussitôt sermonné par la présidente. Le
Damien sort de son travail. Il croise Jean-Guillaume qui lui propose de dîner en sa compagnie.
A l'heure du rendez-vous, ce dernier n'est plus seul. Jérémy l'a rejoint. Damien, qui a déjà
eu des problèmes avec lui, hésite à monter dans leur voiture. Là, les coups commencent à pleuvoir.
« Vous avez porté des coups au visage de la victime avant de lui faire les poches », rappelle
la magistrate à l'attention de Jérémy. « Non, c'est lui qui m'a laissé ses affaires en échange
de 500 qu'il devait me donner le lendemain », rétorque le prévenu.
conduite dans différentes agences bancaires pour effectuer des retraits. Mais son compte est
vide. « Damien faisait tourner l'histoire en rond, rapporte Jean-Guillaume. Il faisait traîner
les choses pour donner de l'argent. Moi, je l'ai mis en contact avec Jérémy et Benjamin pour
qu'ils règlent leurs histoires. » Le premier se plaint d'avoir été dénoncé à tort dans une affaire
de cambriolage d'un tabac à Marcq. Le second, coupable d'avoir détérioré le scooter de la victime,
semble lui vouer une haine farouche.
Après avoir emmené leur victime dans un bois,
le trio complété par Benjamin se déchaîne en passant une corde autour du cou de Damien et en
le rouant de coups de bâton. L'idée d'accrocher le jeune homme à l'arrière de leur voiture et
de le traîner ainsi sur la route est même évoquée. « La victime a été contrainte de monter dans
le coffre de votre voiture et vous l'avez ensuite conduite dans le bois de Boulogne en la menaçant
de la prostituer », ajoute la magistrate. « On l'a juste mis un moment dans le coffre, mais
on n'a jamais roulé avec lui dedans, poursuit Jean-Guillaume. Ce soir-là, on avait bu de la
bière et fumé des joints. On ne savait plus ce qu'on faisait... » « Consommer de l'alcool et des
stupéfiants n'a jamais constitué une circonstance atténuante ! » martèle la présidente. De son
côté, Benjamin reconnaît avoir mis « un coup de genou et un coup de pied, mais pas de coups
« Ces garçons expriment des regrets de circonstances, soutient le procureur
de la République. Ils ont agi avec une volonté d'humiliation manifeste. La victime a subi un
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Un beau-père est suspecté d’avoir frappé son beau-fils.
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De: Sophie Kieffer







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Mis à jour le 22/02/22 8:56 | Publié le 22/02/22 7:25




Trois amis rêvent d’argent facile, de vêtements de marque et de vacances au soleil. Ils sont soupçonnés d’avoir braqué des prostituées. « Des bêtises », regrettent-ils en chœur.
J’étais sur le balcon. Je fumais une cigarette. J’ai entendu mon amie crier. Je suis rentrée dans le salon. Je les ai vus avec elle. Ils nous ont menacés avec une arme», témoigne, en pleurs, une prostituée, à la barre de la 9 e chambre criminelle du tribunal d’arrondissement de Luxembourg. Un client prenait une douche quand il s’est retrouvé nez à nez avec l’arme. «Celui qui était armé est resté avec nous. Les deux autres ont visité les pièces de l’appartement, indique-t-il. Ils ont pris l’argent que j’avais sur moi et mon smartphone.»
Le 1 er octobre 2020, trois hommes armés font irruption en plein après-midi dans un Airbnb de Merl occupé par deux prostituées. Deux semaines plus tard, le 16 octobre, une troisième prostituée est agressée de la même manière dans l’Airbnb qu’elle loue dans le quartier de la Gare. À chaque fois, les trois auteurs se font passer pour des clients qui ont pris rendez-vous via un site internet dédié et repartent avec de l’argent liquide, des cartes de crédit et des smartphones.
Deux faits qui en rappellent un troisième, ou plutôt un premier, survenu en juillet 2019. À l’époque, selon la police, Walid fait partie des suspects. Il circule avec une voiture de marque allemande de couleur blanche qui a pu être repérée à proximité de tous les lieux des attaques grâce, notamment, aux caméras de Visupol. Les enquêteurs de la police passent au crible la téléphonie des victimes et remarquent qu’elles ont toutes été contactées par le même numéro français. Numéro qui a appelé deux autres prostituées du quartier de la Gare avant qu’elles soient braquées par le trio, mais sans oser prévenir la police.
Les agents du service de répression du grand banditisme restent à l’écoute. Le 7 novembre, le numéro contacte une nouvelle prostituée. La police n’a pas le temps de se rendre sur les lieux à temps, mais un avis de recherche est lancé contre la voiture. Elle est interceptée avec trois jeunes à son bord, deux pistolets d’alarme, de l’argent liquide, des cartes de crédit et un masque noir où est imprimé le dessin d’une mâchoire. Un masque décrit par toutes les prostituées.
Des vidéos trouvées sur les téléphones finiront d’incriminer les trois jeunes hommes qui se sont filmés avec leur butin. D’après les enquêteurs, leurs tenues correspondent aux vêtements portés par les auteurs au moment des faits. Des vêtements, notamment des casquettes de la marque Gucci portant l’emblème d’une abeille, qui sont retrouvés au domicile des trois jeunes. Les policiers mettent également la main sur des billets pour un voyage en Tunisie achetés en liquide l’après-midi de la première attaque.
Une attaque prévue le 5 novembre 2020 dans un hôtel de Luxembourg est avortée au dernier moment, selon les enquêteurs. Elle permet aux policiers de suivre la voiture blanche jusqu’en France et de photographier les trois auteurs présumés. Walid, Ruda et Thomas sont assis sur le banc des prévenus. En détention préventive depuis leur arrestation, ils reconnaissent les faits. Ils ont entre 21 et 25 ans.
Le modus operandi et les conclusions de l’enquête avaient laissé peu de place au doute aux enquêteurs. Les victimes n’avaient pas été choisies au hasard. Les auteurs des faits savaient qu’elles faisaient partie d’une population qui se confie rarement à la police en cas de problème et porte encore moins plainte, selon le policier.
«J’avais entendu des jeunes du quartier raconter qu’ils avaient volé des prostituées, raconte Walid. Un soir, en boîte de nuit, je leur ai proposé de le faire. Ça a commencé comme ça.» Le trio affirme n’avoir commis que quatre attaques au Luxembourg et une en France. Ils disent avoir agi spontanément et ne pas être venus au Luxembourg «exprès pour cela». La présidente du tribunal le presse de questions : «Cela vous prend souvent de dire « on va prendre de l’essence ou fumer une chicha et après on va braquer une prostituée »?»
Walid se défend maladroitement. Absolument tout a été, selon lui, improvisé. «Chacun faisait avec ce qu’il avait. Rien n’était prévu.» «Ce que chacun trouvait, il le prenait pour lui et la fois d’après, on tournait. (…) Je ne me rendais pas compte que gagner de l’argent facile pouvait faire autant de mal. Gâcher une vie pour quelques centaines d’euros, cela ne les vaut pas», reconnaît le jeune homme de 25 ans.
Ruda explique qu’ils ont acheté les pistolets d’alarme pour se protéger après avoir été menacés par des proxénètes, mais ne comprend pas pourquoi. «Je me cherchais. Je voulais paraître le plus grand, le plus fort… C’était du paraître, rien de plus. Cela ne fait pas partie de mes codes.» Thomas, son ami d’enfance, confirme ses propos. «J’ai agi par cupidité et par bêtise. On a fait cela une fois. J’avais un peu d’argent. J’étais content», se repent-il. «J’ai été stupide et crapuleux.»
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De: Valentin Maniglia







Dans Culture , Premium




Mis à jour le 01/05/22 11:22 | Publié le 01/05/22 17:00






De: Serge Bressan







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De: Sophie Kieffer







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De: Jérémie Nadé







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De: Julien Mollereau







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