Travestie soumise cravachée et enculée par son

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Travestie soumise cravachée et enculée par son
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Vendre son corps sur des parkings de supermarchés ou dans des hôtels de banlieue pour s'acheter des vêtements de marque et un nouveau smartphone. C'est l'histoire d'Aïssatou*, 16 ans à l'époque. L'histoire d'une chute dans la prostitution . Comme douze autres jeunes filles, dont cinq adolescentes, âgées de 14 à 16 ans, elles ont été sous la coupe d'un chômeur de 21 ans et de sa complice, reconvertis en proxénètes.
Les faits se sont déroulés en 2015 en région parisienne. Nous avons eu accès à certaines de ses déclarations faites au cours de l'enquête. Avant d'être prise dans les griffes de ce réseau, Aïssatou a connu une enfance chaotique. Placée en foyer après avoir été victime d'attouchements, elle retourne vivre chez sa mère et se retrouve en échec scolaire. « Il y avait trop de choses intéressantes à faire en dehors des devoirs : la télé, Internet, les sorties, je faisais ce que je voulais », relate-t-elle.
Après une fugue, sa mère la renvoie en Afrique de l'Ouest dans le pays d'origine de ses parents à l'occasion de l'enterrement d'une tante. Isolée, elle fait appel à son père qui accepte de la faire rentrer en France. Il l'accueille chez lui. Mais la jeune ado rêve de vêtements de marques, de chaussures et de téléphone portable dernier cri.
Une de ses copines, âgée de 14 ans, lui explique que son argent de poche, elle le gagne en se prostituant. Aïssatou se met alors en contact avec un homme : « Il m'a dit que je pouvais faire l'escort, c'est-à-dire accompagner des hommes par exemple pour aller au restaurant. Au début, il n'était pas question de sexe. Mais il a fini par m'en parler. Je devais soit faire l'escort masseuse en tenue sexy ou l'escort danseuse. Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté. Je voulais me faire de l'argent », raconte-t-elle.
Le proxénète et sa complice lui donnent très vite le « mode d'emploi ». Elle leur envoie des photos d'elle, nue et habillée, qu'ils postent, accompagnées d'un numéro de téléphone, sur des sites d'annonces spécialisés. Aïssatou devient Charley. « Ils m'ont conseillée de dire aux clients que j'avais 19 ans et que c'était 100 € la demi-heure ou 200 € pour une heure. Ils prenaient 40 % des gains », témoigne-t-elle. Au total, soixante hommes vont la solliciter en quelques jours.
Elle rencontre son premier client sur le parking d'un centre commercial près de Paris. Il lui donne 300 €. « Il m'a juste demandé de le masturber dans sa voiture », explique la jeune fille. Avec cet argent, Aïssatou s'achète un nouveau téléphone. Puis vient un nouveau client. Encore sur un parking de grande surface. Il la fait monter et la conduit chez lui. Elle acceptera un troisième rendez-vous du même type. De quoi empocher 150 € et faire du shopping.
Quelques jours plus tard, la jeune fille fugue, en compagnie de sa petite soeur. Elles partent rencontrer un homme qui voulait réaliser des photos d'elles. Conduites dans un « coin chelou sur Paris », Aïssatou comprend que le « photographe » veut obtenir plus. Aïssatou refuse. Les deux sœurs sont emmenées dans le Val-d'Oise et « livrées » pour des passes dans une chambre d'hôtel avec cinq hommes à l'intérieur.
C'est cet événement qui amènera Aïssatou et ses parents à donner l'alerte. Auditionnée, la jeune fille livre ensuite ce constat terrible : « C'est vrai que j'étais d'accord. Mais j'ai mûri et je n'ai plus envie de faire ça. Si on me proposait de refaire la même chose aujourd'hui, je dirais non. »
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«C’est compliqué» est une sorte de courrier du cœur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes. Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com.

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Lucile Bellan
— 17 octobre 2017 à 14h35
Aurélie et moi nous sommes rencontrées il y a huit ans. À cette époque, j'étais un homme et je vivais avec une femme qui m'a littéralement poussée au suicide à force de harcèlement. J'ai coutume de dire que si Aurélie n'avait pas été là je serai morte. C'est elle qui m'a poussée à aller chez un psychiatre et qui m'y a conduite toutes les semaines. Je crois que j'étais à deux doigts de passer à l'acte.
De cette relation délétère, il me reste de belles blessures: j'ai notamment du mal à connaître mes sentiments profonds, je suis prête à n'importe quoi pour quelqu'un qui me porte un peu d'intérêt –en pratique, un inconnu me sourit et me dit qu'il me désire, je suis capable de me donner à lui dans l'instant, juste pour le remercier de l'intérêt qu'il me porte. J'ai des anecdotes violentes à ce sujet– et j'ai une peur panique à l'idée de vivre seule.
Pour revenir au sujet qui nous préoccupe, j'étais en questionnement sur mon genre depuis longtemps. Quand j'ai vu que nous nous rapprochions, j'ai tenu à lui en parler rapidement. Je crois qu'à l'époque, je lui ai simplement dit que j'aimais bien m'habiller en fille. Elle n'a pas pris mal la nouvelle, ça avait plutôt l'air de lui plaire. À cette époque, elle m'achetait des sous-vêtements et m'encourageait à les porter. Maintenant, c'est un peu plus compliqué. Elle me dit qu'elle n'avait pas imaginé que j'irai aussi loin. Et effectivement, j'ai beaucoup évolué: je suis un traitement hormonal pour me féminiser, je vis désormais en femme.
Je ne peux plus me servir de mon pénis comme un homme. Elle me dit qu'elle n'est pas lesbienne et nous n'avons plus aucune relation sexuelle depuis un an. Mais on a des câlins, des bisous, bref, la tendresse normale au sein d'un couple. En société, nous vivons comme un couple de lesbiennes: elle n'a pas honte de me tenir la main en public, de m'appeler «chérie» ou «mon amour».
Au début de l'année, un ancien ami a recontacté Aurélie. Elle m'en a parlé dès qu'elle a su que quelque chose de sérieux se produisait. Je lui ai dit qu'elle n'avait pas à choisir et que je ne voyais rien de mal à cette relation. Je n'ai aucun problème avec le polyamour. Elle a longtemps hésité puis a finalement décidé de le rencontrer. À cause de la distance, ils ont du mal à se retrouver mais depuis juin, ils arrivent à se voir une fois par mois. Et à chaque fois c'est la même chose: en rentrant elle pleure pendant un jour, deux jours...
Je suis complètement démunie. Elle vient me voir pour trouver du réconfort, mais j'ai l'impression d'être à l'origine de ses larmes. Sans moi, j'imagine qu'elle serait allée le rejoindre et qu'ils fileraient le parfait amour. Elle me dit quelle a trouvé un équilibre dans cette relation à trois. Mais moi, je la vois surtout souffrir de ne pas le voir. Elle me dit qu'elle est amoureuse de lui. Et je vois qu'on ne fait plus l'amour. Elle me dit qu'elle m'aime et qu'elle ne veut pas me quitter. Mais je me sens délaissée dans cette relation. J'ai eu envie de rencontrer quelqu'un, pour pouvoir vivre moi aussi une relation qui me transporterait. Mais quand je me rapproche de quelqu'un, elle devient jalouse et je l'ai vue insulter des gens sans les connaître. Cette situation complexifie les choses, car nous nous sommes promis de tout nous dire et je tiens à ce qu'elle sache tout.
Notre relation est difficile à décrypter pour moi. Aurélie me parle d'un équilibre, elle me dit qu'elle n'a pas l'intention de me quitter. Elle me le répète chaque jour. Mais, d'un autre côté, je la vois penser tout le temps à son ami, j'ai l'impression qu'elle souffre de ne pas pouvoir le voir plus. Quand je lui demande si elle ne veut pas aller vivre avec lui, elle me répond: «De toute façon, lui ne voudra pas que je le rejoigne.» Je ne suis pas rassurée. Nous avons des projets d'avenir mais je ne la vois pas s'y intéresser. Il y a quelques mois, j'ai appris que lui aussi pleurait chaque fois qu'ils se quittaient. J'ai l'impression qu'ils ont tous les deux envie de vivre ensemble, et je ne comprends pas pourquoi Aurélie reste avec moi, et pourquoi son ami ne l'accueille pas chez lui. Je me demande où est ma place.
Comme je l'ai dit plus haut, j'ai du mal à connaître vraiment mes sentiments. Je crois que j'aime Aurélie et que je tiens à elle. Ou peut-être est-ce que j'ai juste peur d'être seule? Dans tous les cas, mes sentiments sont moins importants que ceux d'Aurélie. Je ne sais pas où elle en est vis-à-vis de moi et son discours me semble être à l'opposé de ce que disent ses actions et son corps. J'ai juste besoin de savoir qu'elle m'aime et d'être sûre qu'elle sera encore longtemps avec moi. J'ai besoin de stabilité et je ne me sens pas à l'équilibre, contrairement à ce qu'Aurélie dit vivre.
Tous ces atermoiements sont le lots des relations multiples, j’en ai peur. Même avec des règles et des barrières, les relations et leur état finissent toujours par être poreuses entre elles, tout simplement parce que la personne qui les vit est une personne avec des sentiments. Et l’équilibre est fragile. Il peut être parfois là, parfois pas, parfois encore l’être empiriquement et que le cœur ne suive pas. Les larmes peuvent être épisodiques mais si elles durent ou reviennent à chaque fois, elles ne sont pas bon signe. Et je suis convaincue que ce choix de vie et les convictions qui vont avec ne doivent jamais prendre le pas sur les sentiments profonds et le bien-être. Dans tout ça, vous, qui avez besoin de stabilité, vous retrouvez ballottée et ce n’est pas juste.
Je crois que le plus important dans ces histoires, c’est le dialogue. Ça l’est pour toutes les relations, mettons nous d’accord, mais dans le cadre du polyamour le dialogue est le seul moyen d’arriver à ce fameux équilibre dont vous parlez. L’équilibre n’est pas magique. Multiplier les amours c’est multiplier les problématiques et les questionnements au carré. Et je ne crois pas que, là, les mots aient une place suffisante entre vous. Cette femme semble tiraillée dans le présent et incapable de se consacrer à son avenir, à deux ou à trois. De votre côté, vous avez adopté une posture de spectatrice.
Ce sera peut-être violent mais jouez cartes sur table. Tout ce dont vous avez besoin, c’est de sincérité, de stabilité et d’amour. Et aujourd’hui, vous semblez vous contenter d’un statu quo qui vous protège dans l’attente d’une séparation que vous savez inéluctable. Je suppose que ce message que vous m’envoyez est la preuve que quelque chose ne va pas. Parce que même si vous dîtes ne pas être sûre de vos sentiments ou de leur absence, ne pas savoir si elle doit rester avec vous ou pas, en m’écrivant vous répondez déjà partiellement à ces questions. Non, cette zone grise ne vous convient pas. Elle ne vous protège pas. Et attendre que la situation se décante d’elle-même ne mènera nulle part et sera probablement la source de souffrances longues.
Devenez actrice, Claire. Si vous avez par le passé fait des erreurs, si vous avez eu tendance à vous donner à la moindre marque d’attention, vous avez aujourd’hui le recul et vous savez, au fond, que vous valez mieux que ça. Physiquement et sentimentalement, vous valez mieux que ça. Je vous le dis sans vous connaître et sans sourciller. Vous devriez maintenant l’appliquer. En ayant le courage de confronter Aurélie à ses contradictions et à cette situation qui ne vous convient plus, vous prenez le risque de vous retrouver seule, certes, mais vous vous respecterez aussi vous-même et votre partenaire de huit ans. Soyez forte, Claire. Vous êtes en droit de poser à Aurélie ces mêmes questions que vous me/vous posez. C’est à elle qu’il faut ouvrir votre coeur. J’espère pour ma part qu’en retour, et même si ça fait mal, elle saura ouvrir le sien. C’est le plus beau cadeau que l’on puisse faire à quelqu’un avec qui on a partagé tellement.
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