Transformée en aspirateur à jute

Transformée en aspirateur à jute




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Transformée en aspirateur à jute
Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies .
contemporaine, avec le CND, sera bientôt celle du jazz. Banlieues bleues, l'association qui
organise chaque année un festival à travers la Seine-Saint-Denis - la 23
démarre le 25 février - va s'installer dans une ancienne usine des Quatre-Chemins reconvertie
en boîte à musique. Il y aura des studios d'enregistrement et de répétition, une salle de spectacle,
un lieu d'exposition, une cafétéria... Tout le nécessaire pour faire vibrer les notes tout au
long de l'année. Le plus, c'est la qualité de la transformation de cette fabrique de sacs en
toile de jute, dont on a gardé l'âme industrielle, symbolisée par la charpente métallique, en
y greffant des bâtiments modernes. Le site, situé rue Gabrielle-Josserand, a été racheté par
(2,4 M), l'Etat (1,4 M) et la région (1,2 M).
Avant les portes ouvertes des 4 et 5 mars,
visite en compagnie de David Trottin, l'un des trois architectes du projet, confié au cabinet
C'est le hall où tout le monde se croise, illuminé par la verrière
du toit et des portes-fenêtres en baies vitrées. Des panneaux de couleurs vives - rouge, orange,
magenta - alternent avec des murs de béton brut, un escalier rejoint la mezzanine dédiée aux
expos, des écailles dorées signalent les bureaux de l'administration construits en porte-à-faux.
Un coin est réservé à la cafétéria qui disposera d'une terrasse.
l'objet le plus étrange. Un grand polyèdre recouvert de pin. « On ne voulait pas d'une salle
boîte à chaussure, on a choisi cette forme de gros coquillage avec de larges baies en triple
vitrage. Bien sûr, tout est acoustique. » A l'intérieur, un promenoir circulaire est destiné
à accueillir les gradins - l'équipement complet sera réalisé pendant l'été. Trois cents personnes
pourront applaudir les artistes. La scène, modulable, sera déplacée suivant les besoins. Et,
si l'on veut le noir complet, on pourra toujours tirer les rideaux.
grande salle. On peut le parcourir en empruntant le cheminement piéton en caillebotis. Planté
de cerisiers, il risque d'être très fréquenté à la belle saison !
destinés à la répétition et à l'enregistrement. Là aussi, on a posé des fenêtres, ce qui offre
le confort de la lumière naturelle. Ces équipements permettront de recevoir des groupes en résidence
Profitez des avantages de l’offre numérique


Carole Thibaudeau
LA PRESSE


2 article s restant s ce mois-ci  |  
FAQ sur notre
protection de la vie privée


Connectez-vous pour profiter d'un accès gratuit et illimité

Il s'agit de votre dernier article à lire ce mois-ci. Connectez-vous
simplement par l’entremise d’une adresse courriel et prévalez-vous d’un accès illimité et
gratuit à
tous nos reportages tout en soutenant le journalisme de qualité.

Il vous reste 2 article s à lire ce
mois-ci. Connectez-vous
simplement par l’entremise d’une adresse courriel et prévalez-vous d’un accès illimité et
gratuit à
tous nos reportages tout en soutenant le journalisme de qualité.


Se connecter gratuitement
Pour en savoir plus


2 article s restant s ce mois-ci  |  
FAQ sur notre protection de la vie privée


Vous avez atteint votre limite d'articles à lire sans être connecté  | 
Notre politique de confidentialité


Connectez-vous pour profiter d'un accès gratuit et illimité

Connectez-vous simplement par l’entremise d’une adresse courriel et
prévalez-vous d’un accès illimité et gratuit à tous nos reportages tout en soutenant le
journalisme de qualité.


Se connecter gratuitement
Pour en savoir plus

Votre bloqueur de publicités est activé.
Pourquoi désactiver votre bloqueur? Autoriser la publicité Dismiss
«J'ai toujours rêvé d'avoir un plan d'eau dans notre petite cour de ville, dit Sylvain Béland, qui possède, avec sa compagne Lynda Chabot, un triplex dans le quartier Rosemont. Un endroit où se rafraîchir en revenant de travailler.»
Mais Sylvain Béland ne voulait pas d'une piscine qui «aurait pris toute la place, en plus d'être chère et dangereuse!» Ni d'un spa ordinaire, trop carré, trop volumineux. L'idée d'une baignoire à remous faite main, intégrée à l'aménagement paysager, lui est venue d'un ami d'enfance qui l'a réalisée à la campagne.
Le concept? On utilise des planches pour patio en plastique recyclé, planches finement perforées en usine pour laisser s'écouler l'eau de pluie. Sauf que c'est de l'air qu'on souffle par les petits trous. Les bancs du spa, fabriqués de ce matériau, émettent de joyeux bouillons de bulles, par le truchement d'un moteur d'aspirateur et de quelques tuyaux. La mécanique est dissimulée dans le garage adjacent, aux murs couverts de verdure: un moteur à bulles, un chauffe-eau industriel de 450 litres, acheté de seconde main, un filtreur à piscine et un contrôle électronique de température, à 0,1 degré près. «C'est mon domaine, l'électrotechnique», dit ce technicien en instrumentation et contrôle.
Sur le plan esthétique, le charme du bassin tient à la disposition de grosses roches de campagne, qui calent bien les bancs, délimitent le bassin et profilent la petite chute.
Les Chabot-Béland peuvent maintenant se baigner dehors à longueur d'année, bien qu'ils préfèrent fermer le bassin pour l'hiver. Mais en été...
«On est quasiment contents, maintenant, quand il fait 35°C, confient-ils. La dynamique de la cour a changé du tout au tout. On observe les oiseaux - un cardinal, des mésanges, des siserains, des roselins... - et même un écureuil qui aurait peut-être envie de se baigner lui aussi. On a beau être en ville, on se sent proche de la nature.»
Le soir, avec les luminaires, l'ambiance est très paisible, comme un retour aux sources. «C'est encore mieux quand on interrompt le moteur à bulles et qu'on réduit le débit de la cascade, dit Lynda. Le bruit de la ville s'évanouit. En renversant la tête, on voit quelques étoiles.»
«Je lis beaucoup dans le spa, rapporte Sylvain. C'est le fun au début d'avoir des bulles, puis on a envie de silence. Juste le bruit de la petite chute et la lumière tamisée. Je m'y endors souvent.» Lynda, qui n'est pas baigneuse, avoue s'y être déjà endormie elle aussi, «tellement c'était calme et confortable».
Dans le temps des Fêtes, avec la visite, on s'immerge dans l'eau chaude et fumante, la tête dans la neige. Le spa peut contenir facilement huit personnes.
M. Béland a d'abord construit la clôture de bois qui isole le terrain du voisin. Il s'est informé pour savoir jusqu'où il pouvait creuser sans nuire au cèdre. Puis, il s'est mis à faire de l'excavation... à la main! Dans du roc. Seul, la plupart du temps. Avec une masse, un pic, une barre à mine! «À mon rythme», précise-t-il modestement. Certaines roches ont été mises de côté pour leurs qualités esthétiques ou pratiques. Un voisin en a pris d'autres pour réaliser un petit bassin d'eau. Le reste allait dans une petite remorque, à destination de l'écocentre.
Après deux mois, le trou était fait. «J'ai laissé passer un hiver, pour être certain qu'il ne s'effondrerait pas, explique-t-il. Au printemps, rien n'avait bougé.» Motivés plus que jamais, les Chabot-Bédard ont terminé leur spa pour la Saint-Jean-Baptiste 2008: panneaux de béton tapissant le trou, polystyrène rose (deux pouces d'épaisseur), toile de jute, toile de plastique pour étangs, seconde couche de jute et, enfin, une feuille de plastique recyclé de quatre sur huit pour faire un beau fond bleu. Le bassin est doté de six luminaires de 20 watts, deux sorties d'eau, deux entrées d'eau et six tuyaux d'amenée d'air.
«Le grand défi, relate Lynda Chabot, a été de placer les roches. Nous les avions toutes étalées dans la cour. À certains endroits, on s'y est repris à 10 fois!»
Ces grosses pierres proviennent d'une pépinière de campagne et certaines, des berges d'une rivière. «Celle au sommet de la cascade avait exactement la même position dans la rivière», explique Sylvain.
«C'est intime, reprend Lynda. Nos amis de la banlieue, qui se demandent comment on peut vivre en ville, comprennent lorsqu'ils s'assoient dans la sérénité de notre cour. Et notre ami de Sainte-Mélanie, dont le beau spa est plus grand et plus ouvert aux regards, apprécie l'intimité du nôtre, en plus d'être dehors à 9h du soir sans se faire bouffer par les maringouins!»
«Si c'était à refaire, dit Sylvain, j'ajouterais au moins deux jets d'eau avec des pompes de surpression, comme dans les spas professionnels. Pour l'effet thérapeutique.»
Une idée qui pourrait se répandre? Absolument! pense le couple. «Mais c'est artisanal. Il faut y mettre le temps.»

À partir des nombreuses questions que vous nous avez envoyées, notre collaboratrice vous donne une fois par mois des conseils et des pistes de solution pour réaliser vos projets.


À partir des nombreuses questions que vous nous avez envoyées, notre collaboratrice vous donne une fois par mois des conseils et des pistes de solution pour réaliser vos projets


Toute rénovation exige une bonne dose de planification et couronne un processus de longue haleine. Une fois par mois, nous ferons découvrir des projets de diverses envergures, qui pourraient donner des idées.


Toute rénovation exige une bonne dose de planification et couronne un processus de longue haleine. Une fois par mois, nous ferons découvrir des projets de diverses envergures, qui pourraient donner des idées.


À partir des nombreuses questions que vous nous avez envoyées, notre collaboratrice vous donne une fois par mois des conseils et des pistes de solution pour réaliser vos projets.


Toute rénovation exige une bonne dose de planification et couronne un processus de longue haleine. Une fois par mois, nous ferons découvrir des projets de diverses envergures qui pourraient donner des idées.


À partir des nombreuses questions que vous nous avez envoyées, notre collaboratrice vous donne une fois par mois des conseils et des pistes de solution pour réaliser vos projets.


Dans Rénover sa maison sans démolir son couple , Caroline St-Hilaire et Maka Kotto racontent la grande rénovation de leur chalet qui s’est transformée en aventure rocambolesque. Ils donnent quelques conseils pour ne pas y laisser sa peau ni son couple.


À partir des nombreuses questions que vous nous avez envoyées, notre collaboratrice vous donne une fois par mois des conseils et des pistes de solution pour réaliser vos projets


Après s’être figé aux premiers jours de la pandémie, l’ Homo bricolus s’est rabattu sur son nid dès le mois suivant pour ne plus déposer sa scie ronde. Malgré la flambée des prix et la pénurie de matériaux, l’intention de rénover est toujours aussi vive chez les consommateurs, ce à quoi un entrepreneur général répond : « Attachez votre tuque ! »


La rareté des matériaux, la pénurie de main-d’œuvre et la hausse des prix ne semblent pas vouloir décourager les Québécois d’entreprendre des travaux de rénovation, selon les résultats d’un sondage réalisé en décembre dernier et dévoilé mardi. L’année 2022 s’annonce aussi effervescente que 2021, où l’industrie a atteint des sommets inégalés.


Aménagé dans un immeuble historique, ce loft montréalais de 120 m ⁠2 a été rénové afin de circonscrire l’espace chambre, puis d’équilibrer les zones salle à manger et salon tout en gardant les volumes architecturaux d’origine et en maximisant la lumière naturelle.


L’univers de la robinetterie n’a pas fini de surprendre avec des accessoires de plus en plus intelligents, de nouveaux finis et des lignes innovantes qui contribuent non seulement au décor, mais au confort. Survol des nouveautés et tendances fortes du moment.


Toute rénovation exige une bonne dose de planification et couronne un processus de longue haleine. Une fois par mois, nous ferons découvrir des projets de diverses envergures qui pourraient donner des idées.


Vous cherchez de l’information pour vos petits et grands projets de rénovation ? Un aspect de votre maison vous préoccupe ?


Si mini soit-elle, une cuisine peut se métamorphoser en un espace de rêve esthétique et fonctionnel, grâce à des choix décoratifs soignés et à une organisation impeccable. Richard Ouellette et Maxime Vandal, des Ensembliers, Patrizia Giacomini, de chez Coquo, et Mélyssa Robert, de la firme homonyme, en font la démonstration.

© La Presse Inc. Tous droits réservés.
La publicité est une source de revenus importante qui nous permet de continuer à publier gratuitement une information de qualité pour tous.

Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
La livraison de courses en quelques minutes peine à tenir ses promesses
Bill Gates investit dans la climatisation moins énergivore
Peut-on se faire indemniser après un cambriolage avec des volets restés ouverts ?
Banques : « L’intelligence artificielle offre des capacités de traitement d’un grand volume de données qui permettent de mieux pointer les transactions frauduleuses »
Pourquoi la cellulite est-elle devenue un problème ?
Orages en Corse : des rafales de vent ont atteint jusqu’à 224 km/h
Les individus peuvent-ils sauver le climat grâce à la sobriété ?
Pourquoi la France s’accroche à des ilots inhabités ?
Arabie saoudite : la scandaleuse condamnation de Salma Al-Chehab
Le pluriversel, pour un « monde fait d’une multitude de mondes »
Le monde selon Poutine : la croix et la bannière
« La montagne doit rester un espace de liberté face à la tentation du tout sécuritaire »
Cineworld, le deuxième plus gros exploitant de salles de cinéma, au bord de la faillite
La mort du sociologue Jean Baechler
Avec son « Eugénie Grandet », sur Canal+, Marc Dugain revisite Balzac en mode féministe
« House of the Dragon », sur OCS : dans l’intimité torturée d’une dynastie condamnée
Comment je me suis disputé : « Je traite ma mère d’idiote juste avant sa mort »
A la rencontre de Sixto Rodriguez, « Sugar Man » à la vie douce-amère
S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Les barbecues de l’été : la brûlante aubergine d’Alessandra Montagne
Malgré le chaos ambiant, des centaines de milliers de travailleurs étrangers survivent grâce à des petits boulots.
C’est un camp de fortune, niché sous l’autoroute traversant le quartier de Bab Ben Ghashir, au cœur de Tripoli. Omar Hassan, Nigérien de 36 ans, casquette bleu nuit vissée sur la tête, fait visiter le logis de bric et de broc où s’entassent avec lui une vingtaine de migrants. Du linge pend sur des fils. Aux abris en ciment se sont greffées des cabanes en bois – toit recouvert de toile de jute, de paille et de branchages. Dans le capharnaüm de la courette de sable mêlé de graviers s’étalent des objets variés : bouteilles de plastique, sandales hors d’usage, radiateur électrique rouillé ou carcasse de réfrigérateur transformée en armoire en plein air.
Omar Hassan travaille dans une entreprise de collecte de déchets et il revient souvent à Bab Ben Ghashir avec quelques découvertes. Les autres pensionnaires du baraquement sont ses collègues. La plupart sont des Nigériens. On trouve aussi quelques Bangladais, migrants d’Asie égarés dans les tourments de cette Libye en plein chaos. A sa manière, la petite communauté de Bab Ben Ghashir illustre un aspect moins connu de la présence de migrants en Libye, occulté par le flux de contrebande d’êtres humains vers l’Italie : la migration de travail. « Je suis venu en Libye tenter de gagner de l’argent, raconte Omar Hassan. A Niamey [capitale du Niger] , je voulais monter un commerce de textile mais je n’avais pas assez de capital. »
A la veille de la révolution anti-Kadhafi en 2011, ces travailleurs immigrés, attirés par le dynamisme d’une économie alors riche de sa rente pétrolière, ont représenté jusqu’à 700 000 personnes – 10,4 % de la population. Et encore ne s’agissait-il que de ceux qui étaient en situation régulière. En y ajoutant les étrangers non déclarés, le total des immigrés en Libye a oscillé, selon certaines sources, entre 2 et 2,5 millions – autour d’un tiers des habitants du pays. Dans l’« eldorado » libyen de l’époque, l’offre d’emplois manuels ou qualifiés était abondante. Ainsi, l’essentiel du personnel médical était originaire d’Asie ou d’Europe de l’Est, comme l’avait mis en évidence l’affaire dite des « infirmières bulgares » emprisonnées par Kadhafi.
Cette époque paraît révolue. Au lendemain de la révolution de 2011, recul de l’économie et incertitudes sécuritaires se sont conjugués pour faire fuir – en partie – ces immigrés ou décourager les vocations. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a identifié et localisé en mai près de 400 000 migrants présents dans le pays. Les officiels de l’OIM reconnaissent toutefois que le chiffre réel est supérieur, se situant probablement dans la fourchette de 700 000 à 1 million de personnes. Un nouveau courant migratoire s’est manifesté dans le chaos postrévolutionnaire, celui drainant des candidats au départ vers l’Europe. Cette migration de transit existait déjà sous Kadhafi, mais elle mobilisait surtout des Africains de l’Est.
Il vous reste 55.5% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule
Vous aurez l'impression de baiser cette espagnole mature
DP Marina Visconti
Des lesbiennes qui se lèchent bien

Report Page