Trans asiatiques sont géniales

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Trans asiatiques sont géniales



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Pour la rubrique “vie quotidienne”, on m’a demandé d’écrire un article en tant que femme lesbienne transgenre. Mais il y a tant à dire sur le sujet à mon goût que je ne savais pas par où commencer. Du coup, j’ai demandé un sujet un peu plus précis et on m’a dit pourquoi pas ce qu’il se passe quand tu es dans le milieu lesbien.
Alors commençons ! Quelle est mon expérience dans ce milieu en tant que femme trans ? Hé bien elle est très positive ! J’adore sortir que ce soit à la To get her organisée par le CHE ou lors de soirées de la MAC. D’ailleurs, un de mes moments préféré de l’année est le L Festival de novembre. Ce sont d’ailleurs pratiquement les seules soirées où j’ose sortir seule, sans amis, pour y rencontrer de nouvelles personnes. Et ce sont souvent de bons souvenirs.
Cependant, j’ai quand même déjà eu quelques soucis, incompréhensions et autres petits désagréments. Comme partout j’y ai eu droit une fois ou l’autre au coup des questions indiscrètes. J’ai déjà aussi eu droit une fois à un commentaire qui m’a laissée sans voix : « Ho ! Mais c’est trop cool ! Tu es genre la lesbienne parfaite ! Tu es lesbienne et en plus tu as du sperme donc si tu veux avoir un enfant, ben tu peux ! C’est géniaaaaaaaaal ! » J’avais juste envie de répliquer « Heuuuuu… Ouais ! C’est trop génial d’être transgenre ! Une vie super simple, super belle et sans jamais aucun soucis ! Merci pour ton commentaire meuf ! » Mais ça, c’est le moins ennuyeux qu’il me soit arrivé.

Quelque chose qui m’a par contre plus ennuyée, c’est une petite remarque dans une conversation avec des nanas que j’avais déjà vues plusieurs fois : on parlait en petit groupe de ce qu’on pourrait bien faire après. Une propose d’aller au Boys Boudoir. Je dis que je ne suis pas très intéressée car je n’aime pas trop ce bar. Et là, j’ai droit à un commentaire auquel je ne me serais jamais attendue : « Oh ! Ben c’est étonnant pour un gay de ne pas aimer le Boys ! ». Comme quoi, même si j’étais habillée de manière très féminine, que j’avais déjà vu ces filles lors d’autres soirées lesbiennes, et bien pour certaines, ce n’était pas évident que je sois une fille !
Et enfin ! La perle de la perle selon moi : l’histoire de la petite vieille ! Je venais d’acheter une jolie robe et j’avais décidé de sortir et de me faire toute belle. Je suis donc sortie à la Maison Arc-en-Ciel pour une soirée filles, mais voilà, à peine entrée, je croise une petite vieille bien éméchée qui me bouscule et me dit bien méchamment que je n’ai rien à faire ici car je ne suis pas une fille. Je l’envoie donc gentiment bouler et là, elle me balance son verre à la tête ! Je l’ai relativement mal pris, je l’’ai donc délicatement poussée et, ivre, elle s’est magnifiquement étalée de tout son long. J’ai ensuite été au bar me commander une bière et rejoindre des amies que j’avais aperçues au loin. Je n’ai plus eu de souci au cours de la soirée, mis à part que j’étais énervée que ma nouvelle robe soit déjà dégueulasse et pue la gnole !

Voilà, je crois que j’ai fini de faire le tour de mes quelques péripéties marquantes en soirées lesbiennes ! Mais bon, mis à part ces événements, j’aime toujours autant sortir et profiter de ces soirées qui – en général – sont toujours géniales à mes yeux !


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Une capture d'écran de la chaîne YouTube de Skylar (DR)
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Mamiedit a posté le 01 mai 2017 à 02h14
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nickstone a posté le 21 novembre 2016 à 19h08
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nouillessauteescreuvettes a posté le 21 novembre 2016 à 19h08
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Uvnul a posté le 21 novembre 2016 à 19h08
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vamonos_ja a posté le 21 novembre 2016 à 19h08
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Ils appellent ces vidéos la vie sous « T », comme testostérone. Ce sont des journaux de bord de leur transition. Au-delà du spectaculaire, c’est une nouvelle façon d’être trans qui se donne à voir.
« Place de l’Homme de fer ». C’est le lieu de rendez-vous que m’a proposé Julien* à Strasbourg. Si c’était un roman ou un film, on n’aurait pas fait mieux. Et maintenant, il marche vers moi, en souriant. Le pas assuré, un blouson en cuir sur des épaules carrées. Je me demande comment il faudra le décrire dans mon article. « Gaillard. » C’est le premier adjectif qui me vient.
Avant, pourtant, Julien était une fille. Si nous nous rencontrons aujourd’hui, c’est justement pour parler de ses vidéos sur YouTube où il détaille sa transition FTM (Female To Male, femme vers homme). 
La première de la chaîne, c’était comme un petit boulet de canon. 47 secondes. Plein d’infos. Face caméra comme il le resterait toujours. De jolis yeux qui dansaient sous le poids de la timidité et de la gêne. Une voix fluette.
 Mois par mois, vidéo par vidéo, Julien a ensuite raconté l’infiniment petit, qui pour lui était infiniment grand. Des poils naissants, une voix en train de muer, un clitoris qui s’allongeait.
 C’est le journal de bord d’un corps en mutation. A l’écran, on le voit devenir autre. La voix devient plus grave. Une barbe se forme. La poitrine disparaît avec la mammectomie . Jusqu’à cette vidéo, parmi les dernières postées, où l’on ne regarde quasiment plus la même personne. Ou si peut-être ? La timidité s’est faite dégager. Place à une assurance tranquille, émouvante.
J’ai découvert la chaîne de Julien par hasard, en racontant l’histoire de Jamie , un adolescent britannique qui avait pris 1 400 selfies de lui pour documenter sa transition de fille en garçon. Et en regardant ces vidéos, j’ai eu l’impression d’ouvrir une porte vers un monde nouveau. Le monde sous « T » comme ils l’appellent. « T“ pour testostérone, l’hormone masculine qui permet cette transition.
Dans un bar du centre-ville, Julien me raconte le jour où il a lui-même ouvert cette porte. Et l’émerveillement qui l’a habité.
Skylar est un joli garçon à l’air très sympathique. Il a commencé sa chaîne en 2009. Il est séduisant, sourit avec les dents, a des yeux qui pétillent, fait des clins d’œil à la caméra.
C’est un hipster, comme on en voit dans toutes les villes occidentales du monde aujourd’hui. Il porte des boucles d’oreille, une casquette souvent. Sa vidéo la plus populaire a été vue plus d’un million de fois. Sa vie semble parfaite. Sa mère répond parfois aux questions des internautes.
Skylar a toujours l’air d’avoir une petite copine. Il y a d’abord eu Olga, puis Anna et maintenant Tess. Toutes sont plus jolies les unes que les autres. On les voit raconter leur rencontres dans ses vidéos. Et quand c’est fini ? Ils en font une chanson !
En regardant ces vidéos, je comprends ce qui a séduit Julien : le paysage d’une vie non seulement normale, mais mieux encore, heureuse.
Au-dessus de son cordon bleu-frites, Julien raconte qu’il a longtemps pensé qu’il était fou. Il se demandait pourquoi il n’était pas né comme les autres. D’autant qu’il a une sœur jumelle.
Son enfance et son adolescence ont été des zones de tension.
Mais, dit Julien, “ce qui donne le plus de souffrance, c’est la puberté”. Il parle de “la poitrine”, sans dire “ma”.
Le moment de la puberté est particulièrement violent pour les ados trans, confirme Erik Schneider. Ce psychiatre, psychothérapeute est cofondateur de l’association Transgender-Luxembourg . Il y a un an , il a remis un rapport [ PDF ] au conseil de l’Europe.
Il y expliquait que “la suicidalité est très élevée chez les enfants trans”, mais aussi qu’elle s’accroissait à l’adolescence avec les changements corporels.
Julien a fait partie de ces chiffres. Il ne se projetait pas, pensait beaucoup au suicide sans avoir le courage de passer à l’acte.
Il fait une pause dans son récit et réagit à ma mine désolée, en riant :
Aucune envie de drame, ni de mélancolie chez Julien. Il parle de tout cela sérieusement, mais avec légèreté. Il aurait pu se contenter d’une vie anonyme, sans YouTube. S’il a atterri là, c’est parce qu’il est né en ces lieux. Internet l’a accouché une seconde fois.
Il y a d’abord eu un déclic, il y a trois ans, pendant un job d’été. C’était au rayon charcuterie d’un supermarché. Julien avait alors 19 ans.
Grâce à ces forums, Julien a été guidé sur son parcours trans , ce long chemin qui mène au changement de sexe. Il a appris que la loi lui imposait de consulter un psychiatre pour obtenir une attestation qui ensuite lui permettrait de prendre des hormones, de faire une mammectomie et une phalloplastie. Il a aussi appris tout ce qu’il devait faire pour changer civiquement d’identité. Il ne reste aujourd’hui que la carte Vitale qu’il peine à changer.
Son prénom, il l’a choisi avec ses parents.
Par YouTube, Julien a aussi rencontré d’autres garçons “sous T”, Malo par exemple. La vingtaine. Joli. Cheveux longs. Dégaine de hipster aussi. Malo aura été l’un des premiers à avoir fait des vidéos en France.
Au téléphone, il me parle aussi de Skylar qu’il a découvert en zonant sur le Net. Il a trouvé ça génial et s’est lancé dans le récit mois par mois de “sa vie sous T”. Parce que “vu [son] niveau en anglais”, il trouvait utile que ces vidéos existent en français.
Après avoir obtenu l’attestation du psychiatre, Malo a commencé les hormones “en douce”, à 18 ans. Sa mère s’en est rendu compte au bout de deux mois, à sa voix, à sa carrure. Son père a mis quatre mois. Pourtant, Malo était visible sur YouTube. Il a commencé à raconter sa transition avant même d’être “hormoné”.
Dans les suggestions de vidéos à côté de celles de Malo et de Julien, on trouve celles de Tyler “hormoné depuis 9 mois”. Autre style. Plus rigolo. D’origine asiatique, il se fait appeler Tyler Nem sur YouTube.
Tyler comme Malo, comme Julien, a su tout petit qu’il était garçon, me raconte-t-il au téléphone. Il a retrouvé des dessins de lui enfant. A 9 ans, il se représentait comme un garçon, et avait utilisé son deuxième prénom, neutre. Au papa et à la maman, il ne faisait jamais la mère. Toujours le père ou le fils.
A l’adolescence, comme beaucoup de trans, il a essayé de rentrer dans le moule, de s’habiller en fille, de devenir “coquette”. En vain. Il s’est juste “senti très mal”.
Les histoires de Julien, Malo et Tyler se ressemblent vraiment beaucoup. Ils partagent les mêmes joies, les mêmes agacements. Les parents qui parlent d’eux au féminin sont, par exemple, un vaste problème. Julien :
Tous témoignent pour “aider” mais les motivations varient ensuite de l’un à l’autre. Tyler veut documenter sa vie de garçon normal.
Ou comment comprendre d’un coup ces corps qui s’affirment fièrement devant la caméra. Ils sont une affirmation de soi mais aussi une revanche sur le stigmate.
Arnaud Alessandrin est sociologue. Il travaille sur la transidentité, est l’auteur avec Karine Espineira d’une “ Sociologie de la transphobie ” à paraître (Ed. MSHA). Je lui ai envoyé ces vidéos. Au téléphone, il remarque.
J'ai cherché des femmes évoquant, de la même manière, face caméra, leur parcours sur YouTube. On trouve Amanda Hinault mais sinon elles sont beaucoup moins nombreuses. 
Pour le psychiatre Erik Schneider, cela s'explique simplement. Les trans n'échappent pas au sexisme. “Il est beaucoup plus facile et valorisant de passer du féminin au masculin. C'est mieux accepté socialement et les changements sont moins spectaculaires. Chez les garçons la voix baisse, la barbe naît et on voit très vite les efforts. Chez une femme, c'est plus difficile d'élever une voix...”
Tous ont en effet, une vingtaine d’années. Malo qui fait partie des plus anciens, estime qu’ils sont aujourd’hui entre 20 et 30 Français FTM sur YouTube. Ils forment une petite communauté qui se retrouve parfois IRL, pour une manifestation ou un verre. Tout le monde a l’impression “de bien se connaître”. Sous les commentaires des vidéos, on s’encourage.
Ambiance vestiaire oblige, on compare même le contenu du caleçon, confesse Julien.
Des liens de cagnottes lancées pour financer les opérations à venir circulent aussi. Celle d’Edgar se présente comme ça :
Il y a peu de commentaires négatifs disent-ils, tous. L’ambiance est plutôt bienveillante. Et à voir ces corps qui s’exposent fièrement, on comprend qu’une petite révolution a eu lieu avec ces communautés. Plus question d’avoir honte aujourd’hui. Tyler résume :
Quelles sont les relations entre ces jeunes et “les FTM de l’ancien temps” ? Souvent, ils m’ont parlé d’eux avec respect mais en me disant qu’ils les trouvaient un peu trop sectaires ou énervés à leurs goûts. Arnaud Alessandrin raconte :
Penser qu’il n’existe aucune initiative chez ces jeunes serait faire fausse route. Avec d’autres, Julien a monté une chaîne collective “Trans’périences” . Une dizaine de garçons s’y relaient pour traiter de thématiques précises : le passing (le passage au masculin hors parcours médical), le coming-out, le choix du prénom, etc., etc.
Pour Arnaud Alessandrin, toutes ces vidéos sont aussi le signe d’un héritage, une tension entre visibilité et invisibilité.
Quand je le rencontre pour l'interviewer, le psychiatre Erik Schneider me dit d'emblée, en souriant :
Mal représentés, les trans ont toujours crée des dispositifs alternatifs pour évoquer leurs vies. Il cite le GAT (Groupe Activiste Trans’). Il fallait se réapproprier une parole confisquée par les médias mais aussi par les médecins et leur discours “pathologisant”, dit le chercheur.
Pour Malo, Julien et Tyler, l’enjeu est aussi de dédramatiser les opérations chirurgicales. Julien compte faire une phalloplastie . Et oui, il racontera son opération sur YouTube.
Initialement publié le 5 novembre 2015.
*Certains prénoms ont été changés pour des raisons de sécurité.
Bonjour, POuvez-vous me donner des indications sur la puberté garçon ? mon fils de 15 ans a un sexe pas plus grand que son petit frère de 9 ans bien qu'ayant pas mal de poils au niveau du pubis. Dois je lui faire passer les examens ? si oui, lesquels. Merci d'avance car je m'inquiète
puberté du garçon
Je me rend compte que tout ça est un bordel illisible et qu’il résume 10000 fois mieux que moi.


Par contre, vous avez oublié mes passages sur l’amitié, que je trouve pervertie par le concept de « pride » et de « phobie ».


Personnellement, je ne considère pas qu’on puisse être l’ami de quelqu’un sans discuter sa décision de transition sérieusement.


Pour d’autres, c’est de la transphobie.


Et vous ?


Je n’ai pas dit le contraire, c’était juste une petite pointe d’ironie utilisant le titre de l’article. Il y a quand même une chose qui m’inquiète, c’est la naïveté de beaucoup d’utilisateurs de réseaux sociaux, hors j’ai la sensation que l’article insiste plus sur cet aspect que sur la question trans.


« Gaëtan compte faire une phalloplastie. Et oui, il racontera son opération sur YouTube. »


Il y a une grande part de narcissisme dans tout ça, non ?


De toutes façons, je songe de plus en plus à quitter mon emploi salarié, et ouvrir un blog de conseils beautés. Bientôt en ligne, mon masque détoxifiant, 100 grammes de pili pili écrasés, 10 centilitres d’huile d’olive, mélanger le tout et appliquer sur l’ensemble du visage pendant une heure. Les pores seront totalement ouverts pour un bon nettoyage au Synthol.


du coup leur copine sont hetero bi lesbiennes ? ? ?


les transformations sont impressionnantes quand meme.


« Selon une enquête en ligne réalisée en France par HES/MAG, 67% des jeunes trans’ de 16 à 26 ans sondé.e.s “ ont déjà pensé au suicide (en lien avec leur transidentité) ’ et 34% ont ‘ fait une ou des tentatives de suicide ’, principalement de 12 à 17 ans.’.
.
La sur-suicidalité des jeunes trans fait beaucoup de morts chaque année, il s’agit d’un problème de politique publique tout a fait sérieux, appelant une réponse de fond, comme vous dites.



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