Toutes les chattes que vous voulez
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allemand
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polonais
portugais
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russe
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chinois
Synonymes
arabe
allemand
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espagnol
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Traduction de "toutes les chattes" en anglais
Tout le monde sait que les mannequins ont toutes les chattes .
Everyone knows male models get all the pussy .
Putain, mec... et mon respect pour toi vaut toutes les chattes du monde.
Hell, brother, my respect for you is worth more than all the pussy in the world.
C'est la façon dont je baise toutes les chattes ou les culs 729K Vues
This Is How I Fuck All Pussy Or Ass 729K vistas
Toutes les chattes devraient être comme ça.
Ouais, depuis le 11 septembre, ces putains de pompiers ont toutes les chattes .
Yeah, ever since 9/11, fucking firemen get all the pussy .
Vous rirez plus quand j'aurais toutes les chattes parce que je suis sur le podium/arbre à chat.
You won't be laughing when I'm getting all the pussy cos I'm up on the catwalk.
Tu as essayer de repousser toutes les chattes de l'école?
Are you trying to repel all the pussy in school?
Ou finira-t-il plutôt par niquer toutes les chattes du coin, comme d'habitude ?
Or will he end up getting all the pussy in town as usual?
Quand je suis le plus heureux, c'est quand je tiens mon fils ou ma petite fille, quand je chante du jazz et que j'ai toutes les chattes que je peux avoir.
The most happiest I am on this planet: hugging my son or granddaughter, singing jazz, and getting all the pussy I can get.
Une maison comme dans Scarface, toutes les chattes que je peux bouffer.
Got the badass Scarface crib, crazy rides, more pussy a nigga can eat: Check, check, check.
Baise toutes les chattes que tu peux.
Get all the stank on your hang-low you could get.
Ils ont toutes les chattes pour eux.
Probably is. Wimps get all the snatch .
C'est normal que je goûte à toutes les chattes .
I should try to get all the pussy I can.
C'est toutes les chattes qu'il a eu.
It's all the girls he's been getting.
Ça sent meilleur que toutes les chattes que j'ai eu.
This shit tastes better than any pussy I ever had.
Comme je viens de vous le dire, vous devrez faire appel à votre imagination, puisque toutes les chattes et les queues sont un gros désordre de mosaïque floue.
As I just informed you, you assholes will have to use your imagination, since all the pussies , and cocks are one big blurry mosaic mess.
Bien que toutes les chattes ont leur regard porté sur lui, il n'a jamais ressenti quelque chose pour aucune d'elles... jusqu'à ce qu'il a vu Catlinda.
Although all the female cats have their eyes on him he never felt that any of them could be the one... until he saw Catlinda.
II croit qu'il peut courir dans tout Los Angeles et lécher toutes les chattes qui passent?
He thinks he can go around L.A. just eating pussy left and right?
Lucious Rebecca Linares aime faire en peluche dans toutes les chattes ⚇ L'utilisateur: xxnxx ⇱ Taille: 320 x 240
Lucious Rebecca Linares loves getting stuffed in all fuckholes ⚇ User: xxnxx ⇱ Size: 320 x 240
Se balader à 30, mec, on a eu toutes les chattes , ayy
30 for a walkthrough, man, we had every slit , ayy
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Traduction de voix , fonctionnalités offline , synonymes , conjugaison , jeux éducatifs
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Image extraite de la vidéo publiée par le Washington Post.
Monde
Etats-Unis
présidentielle américaine 2016
Donald Trump
sexisme
agression sexuelle
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Jean-Marie Pottier
— 8 octobre 2016 à 1h09
«Quand vous êtes une star, [les femmes] vous laissent faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez, les attraper par la chatte, faire ce que vous voulez.» Révélés par le Washington Post, ces propos tenus en septembre 2005 par Donald Trump constituent une nouvelle preuve du comportement désastreux du candidat républicain envers les femmes, qui tombe au plus mal pour lui à l'avant-veille de son second débat avec Hillary Clinton.
Le journaliste David Fahrenthold, connu pour ses enquêtes sur les œuvres de charité du candidat, a obtenu une vidéo des coulisses de l'émission «Access Hollywood», qui tournait à l'époque un reportage sur la participation de Trump à un épisode du soap opera Days of Our Lives. On entend Trump (qui porte un micro-cravate) plaisanter à propos d'une femme avec le présentateur de l'émission, Billy Bush, (pas si) accessoirement neveu du président George H. W. Bush et cousin du président George W. Bush et du candidat malheureux à l'investiture républicaine Jeb Bush:
«J'ai tenté ma chance avec elle et j'ai échoué, je l'admets. J'ai essayé et putain, elle était mariée. [...] J'ai carrément tenté ma chance avec elle. En fait, je l'ai emmenée acheter des meubles. Elle voulait acheter des meubles. Je lui ai dit: “Je vais te montrer où ils ont des beaux meubles.” Je l'ai emmenée. J'ai tenté ma chance avec elle comme un dingue, mais je n'ai pas réussi, et elle était mariée. Et soudain d'un coup, je la revois et elle a ces énormes nichons et tout ça. Elle a totalement changé de look.»
On entend ensuite Trump blaguer en prenant un Tic-Tac, alors qu'il s'apprête à saluer l'actrice Arianne Zucker, qui doit l'escorter sur le plateau:
«Je ferais mieux de prendre un Tic-Tac au cas où je commence à l'embrasser. Vous savez, je suis automatiquement attiré par les belles... Je me mets juste à les embrasser. C'est comme un aimant. Juste à les embrasser, je n'attends pas. Et quand vous êtes une star, elles vous laissent faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Les attraper par la chatte, faire ce que vous voulez.»
Trump a réagi à cette nouvelle polémique dans un communiqué de trois lignes qu'on citera en intégralité: «Il s'agit de vantardises de vestiaires, d'une conversation privée qui a eu lieu il y a de nombreuses années. Bill Clinton m'a dit des choses bien pires sur des parcours de golf –vraiment bien pires. Je m'excuse si quiconque s'est senti offensé.»
Trump a ensuite publié une vidéo d'excuses, tout en attaquant une nouvelle fois l'ancien président Clinton.
«C'est terrifiant. Nous ne pouvons pas laisser cet homme devenir président», a de son côté réagi Hillary Clinton qui, comme le rappelle NBC News, qui a également obtenu la vidéo, distance largement Trump dans l'électorat féminin, alors que les deux candidats sont au coude-à-coude dans l'électorat masculin. Des sources anonymes au sein de la campagne Trump, interrogées par Politico et CNN, ont d'ailleurs rivalisé de commentaires catastrophistes après la publication de la vidéo: «Je ne vais pas le défendre là-dessus! Je suis si triste» , «C'est tout simplement écœurant» , «C'est mauvais. Je crois que c'est la fin».
This is horrific. We cannot allow this man to become president. https://t.co/RwhW7yeFI2
En mai dernier, le New York Times avait publié une longue enquête, nourrie de nombreux témoignages, sur des comportements inappropriés du candidat envers des femmes, poussant même Ivanka Trump, la fille aînée du candidat, à affirmer que son père n'est pas un «tripoteur» . L'Associated Press a également publié récemment une enquête où d'anciens participants au reality-show «The Apprentice» se plaignent du comportement sexiste du candidat. Ce dernier a aussi fait l'objet en 1997 d'une plainte pour agression sexuelle qui a refait surface pendant la campagne.
Coïncidence de l'actualité, cette nouvelle polémique survient alors que vient d'être promulguée une loi sur la protection des femmes victimes d'agression sexuelle, dont le président républicain de la Chambre des représentants, Paul Ryan, faisait l'éloge sur Twitter plus tôt dans la journée.
Victims of sexual assault deserve full protection under the law. And now, they will have it. https://t.co/4DcL2YkpG6 pic.twitter.com/ktb8RlynqW
Un Paul Ryan qui devait théoriquement faire campagne aux côtés de Trump, samedi, dans le Wisconsin... Comme le suggère un stratège républicain au New York Times, il est grand temps pour lui de s'inventer une rage de dents.
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Véritable industrie, ce trafic offre un catalogue de choix aux patients les plus riches en attente de greffes. Des preuves récentes suggèrent que la pratique barbare du prélèvement forcé d'organes est toujours en cours dans les prisons chinoises.
Susie Hughes
et Ali Iqbal
et Aliya Khan
— 19 août 2022 — Temps de lecture : 5 min
Le site surnommé «Stonehenge espagnol» était sous les eaux depuis 1963.
Repéré par Anna Jouyet
— 19 août 2022 — Temps de lecture : 2 min
Kristiana Nitisa
et Juliette Ovigneur
— 19 août 2022 — Temps de lecture : 8 min
Image extraite de la vidéo publiée par le Washington Post.
Monde
Etats-Unis
présidentielle américaine 2016
Donald Trump
sexisme
agression sexuelle
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Jean-Marie Pottier
— 8 octobre 2016 à 1h09
«Quand vous êtes une star, [les femmes] vous laissent faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez, les attraper par la chatte, faire ce que vous voulez.» Révélés par le Washington Post, ces propos tenus en septembre 2005 par Donald Trump constituent une nouvelle preuve du comportement désastreux du candidat républicain envers les femmes, qui tombe au plus mal pour lui à l'avant-veille de son second débat avec Hillary Clinton.
Le journaliste David Fahrenthold, connu pour ses enquêtes sur les œuvres de charité du candidat, a obtenu une vidéo des coulisses de l'émission «Access Hollywood», qui tournait à l'époque un reportage sur la participation de Trump à un épisode du soap opera Days of Our Lives. On entend Trump (qui porte un micro-cravate) plaisanter à propos d'une femme avec le présentateur de l'émission, Billy Bush, (pas si) accessoirement neveu du président George H. W. Bush et cousin du président George W. Bush et du candidat malheureux à l'investiture républicaine Jeb Bush:
«J'ai tenté ma chance avec elle et j'ai échoué, je l'admets. J'ai essayé et putain, elle était mariée. [...] J'ai carrément tenté ma chance avec elle. En fait, je l'ai emmenée acheter des meubles. Elle voulait acheter des meubles. Je lui ai dit: “Je vais te montrer où ils ont des beaux meubles.” Je l'ai emmenée. J'ai tenté ma chance avec elle comme un dingue, mais je n'ai pas réussi, et elle était mariée. Et soudain d'un coup, je la revois et elle a ces énormes nichons et tout ça. Elle a totalement changé de look.»
On entend ensuite Trump blaguer en prenant un Tic-Tac, alors qu'il s'apprête à saluer l'actrice Arianne Zucker, qui doit l'escorter sur le plateau:
«Je ferais mieux de prendre un Tic-Tac au cas où je commence à l'embrasser. Vous savez, je suis automatiquement attiré par les belles... Je me mets juste à les embrasser. C'est comme un aimant. Juste à les embrasser, je n'attends pas. Et quand vous êtes une star, elles vous laissent faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Les attraper par la chatte, faire ce que vous voulez.»
Trump a réagi à cette nouvelle polémique dans un communiqué de trois lignes qu'on citera en intégralité: «Il s'agit de vantardises de vestiaires, d'une conversation privée qui a eu lieu il y a de nombreuses années. Bill Clinton m'a dit des choses bien pires sur des parcours de golf –vraiment bien pires. Je m'excuse si quiconque s'est senti offensé.»
Trump a ensuite publié une vidéo d'excuses, tout en attaquant une nouvelle fois l'ancien président Clinton.
«C'est terrifiant. Nous ne pouvons pas laisser cet homme devenir président», a de son côté réagi Hillary Clinton qui, comme le rappelle NBC News, qui a également obtenu la vidéo, distance largement Trump dans l'électorat féminin, alors que les deux candidats sont au coude-à-coude dans l'électorat masculin. Des sources anonymes au sein de la campagne Trump, interrogées par Politico et CNN, ont d'ailleurs rivalisé de commentaires catastrophistes après la publication de la vidéo: «Je ne vais pas le défendre là-dessus! Je suis si triste» , «C'est tout simplement écœurant» , «C'est mauvais. Je crois que c'est la fin».
This is horrific. We cannot allow this man to become president. https://t.co/RwhW7yeFI2
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Coïncidence de l'actualité, cette nouvelle polémique survient alors que vient d'être promulguée une loi sur la protection des femmes victimes d'agression sexuelle, dont le président républicain de la Chambre des représentants, Paul Ryan, faisait l'éloge sur Twitter plus tôt dans la journée.
Victims of sexual assault deserve full protection under the law. And now, they will have it. https://t.co/4DcL2YkpG6 pic.twitter.com/ktb8RlynqW
Un Paul Ryan qui devait théoriquement faire campagne aux côtés de Trump, samedi, dans le Wisconsin... Comme le suggère un stratège républicain au New York Times, il est grand temps pour lui de s'inventer une rage de dents.
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