Toute émoustillée au cinéma
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Toute émoustillée au cinéma
Thor se dévoile dans toute son intimité dans le prochain Marvel. © Marvel Studios 2022
https://twitter.com/Clepotp Clément Capot Rédacteur
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C'est une séquence qui a bouleversé les fans du dieu de la foudre et de Chris Hemsworth lorsque la bande-annonce de Thor : Love and Thunder a été dévoilée en mai dernier : une scène de nu. On en sait désormais un peu plus sur les dessous du tournage de cette séquence unique dans le MCU.
C'est une première dans le Marvel Cinematic Universe . De son imposante musculature dans le premier film en 2011, à son ventre bedonnant dans Avengers : Endgame , on pensait avoir fait le tour de l'anatomie de Chris Hemsworth. Et pourtant... Thor : Love and Thunder , prochain opus des aventures du dieu de la foudre dont la sortie est prévue pour le 13 juillet prochain, sera interdit aux moins de 13 ans, non pas seulement à cause des bagarres, mais aussi en raison d'une scène de nudité partielle. Il n'en fallait pas plus pour déchaîner les foules.
Surtout que cette fameuse séquence apparaît déjà dans la bande-annonce du prochain long-métrage signé Marvel. Dans les dernières secondes, on peut y voir Zeus, incarné par l'acteur Russel Crowe, dénuder d'une pichenette le fougueux Thor, qui se retrouve sans vêtements devant une assemblée qui s'évanouit d'une seule traite face à la vue. Dans le trailer, la séquence est floutée, dans le film, elle ne le sera pas. Ce qui fait de Thor : Love and Thunder , le premier film de l'histoire du Marvel Cinematic Universe à comporter une scène de nudité. Et bien que l'intrigue ne soit pas centrée autour des parties intimes de Chris Hemsworth, ce détail phagocyte déjà le débat public autour du film, avant même qu'il ne soit sorti. Et du côté de l'équipe de production, il y a aussi eu de grandes discussions...
S'il y a une personne à remercier pour cette scène de nudité dans Thor : Love and Thunder , c'est bien son réalisateur, Taika Waititi . Une idée qui a été mise sur la table dès les prémices de la production, alors que la première version du scénario était présentée aux acteurs. Dans une interview accordée au site Comic Book , il explique :
Pour Taika Waititi, après trois films solos pour Thor, il était indispensable que le dieu de la foudre soit montré sous un tel jour. Pour lui, ne pas mettre en valeur le corps de Chris Hemsworth dans le film aurait été un véritable "crime contre l'humanité" . L'histoire ne dit pas comment il a convaincu Marvel et sa société mère, Disney , d'inclure une telle séquence dans un long-métrage supposé familial.
Mais le tournage de cette scène de nudité dans Thor : Love and Thunder est loin d'avoir été de tout repos. Cette fois, c'est le directeur de la photographie du film, Barry Bas Idoine, qui monte au créneau pour expliquer que cette séquence a quasiment été impossible à tourner. En cause : l'équipe technique du film un peu trop émoustillée et difficile à concentrer. Dans une interview accordée à Deadline , Barry Bas Idoine raconte :
Et on ne les blâme pas. Vu l'émoi sur le plateau, on imagine donc que le résultat sera largement à la hauteur de nos attentes. Plus que quelques heures à patienter, donc, puisque Thor : Love and Thunder , autant habillé que dénudé, arrive au cinéma dès ce mercredi 13 juillet.
Sources : ScreenRant , Comic Book , Deadline
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Top 5 : Les meilleures poupées tueuses du cinéma
1
- #5 : Black Devil Doll
2
- #4 : Annabelle
3
- #3 : Dead Silence
4
- #2 : Jigsaw
5
- #1 : Chucky
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La semaine dernière, nous avons découvert la bande-annonce du remake de Poltergeist . Un trailer en forme d'hommage au cinéma d'horreur et qui fait des références à de nombreux classiques de l'épouvante. Parmi eux, une séquence nous présente évidemment une poupée tueuse (qui est en même temps un clown démoniaque, histoire de faire d'une pierre deux coups).
Car oui, ces charmants patins inanimées viennent rarement à la vie avec de bonnes intentions. Si Buzz et Woody sont le pendant sympathique des jouets animés, le cinéma les préfère psychopathes, avec une propension au meurtre sanglant. Parmi ces légions de poupées de cauchemar, une petite sélection s'imposait.
Que ce passe-t-il quand l'hommage aux films d'horreur, et plus particulièrement à Chucky , rencontre un hommage à la Blaxploitation qui sent bon les années 70 ? Un film totalement délirant, vulgaire et hautement gore : Black Devil Doll . Ce chef-d'œuvre de l'horreur par l'absurde est sorti en 2007 et fut directement interdit aux moins de 17 ans, trop de violence, de sang et de sexe en une seule pellicule, heureusement que personne n'a pensé à le montrer aux Mères de Famille de France, on aurait eut à rapporter un grand nombre de victimes par crise cardiaque.
L'histoire est simple et ressemble aux classiques du genre, l'activiste et terroriste Mubia Abul-Jama passe sur la chaise électrique et va profiter d'une séance de Ouija pour transporter son âme dans une poupée. Là, il va découvrir Heather , dont les formes généreuses et rebondies vont faire fantasmer cette caricature grotesque du Black assoiffé de sexe qui était l'un des tropes des films de Blaxploitation. Et oui, la poupée va se taper la jeune femme, émoustillée par le langage très fleuri de son nouveau compagnon.
Il ne s'arrêtera pas là, et va vite se découvrir un appétit insatiable, entre sexe et découpage de jeunettes plus ou moins habillées. Ce long-métrage de Jonathan Lewis est évidemment à prendre au dixième degré et aligne les séquences les plus absurdes qui soit, dans une ode aux petits budgets et aux litres de ketchup. Un film vulgaire, méchant, pas vraiment écrit mais drôle au possible et avec même des bonnes idées comme cette introduction en animé.
Petite dernière de la famille des poupées tueuses, Annabelle est tirée de The Conjuring , film lui-même inspiré par les dossiers des époux Warren , des chercheurs en paranormal qui rencontrèrent lors d'une de leurs affaires une poupée qui semblait somme toute normale mais qui déclenchait d'étranges événements autour d'elle, qui commença avec de simples "téléportations" avant que cela ne dégénère en quelque chose de beaucoup plus anxiogène.
Dans le film, l'histoire a légèrement été modifiée, afin que les victimes soient ce fameux couple d'Américains bien sous tous rapports et que la relation au Diable soit plus qu'évidente puisque c'est suite à une attaque de satanistes que la poupée va être possédée. Sa propriétaire, Mia , va vite prendre la mesure des tendances meurtrières du jouet quand celui-ci essayera de la brûler vive alors qu'elle est alitée et enceinte.
Le film de John R. Leonetti , qui connait bien son sujet puisqu'il avait réalisé Chucky 3 , sorti l'année dernière et produit par James Wan fut même à l'origine de débordements dans les salles de cinéma (que les médias adorèrent relayer ), de quoi installer encore plus durablement la réputation horrifique de la poupée hantée par l'esprit du Malin.
Que feriez-vous si vous receviez un colis contenant une poupée qui a l'air totalement inoffensive ? Même si elle venait d'un expéditeur inconnu, vous n'y accorderiez sans doute pas plus d'attention. C'est ce que s'est dit Jamie Ashen avant que sa femme ne soit assassinée dans de très curieuses circonstances et qu'il l'a retrouve sans vie et sans langue. C'est le début pour lui d'un retour dans sa ville d'origine qui semble cacher de lourds secrets.
Un retour au source qui va être un premier pas dans un véritable cauchemar. Car ce qu'il se cache derrière cette poupée qui semble porter en elle une terrible malédiction, c'est évidemment une ventriloque, Mary Shaw . Bien que celle-ci soit morte et enterrée depuis plusieurs années, cela ne l'empêche en rien d'assouvir sa vengeance sur la famille de Jamie.
C'est encore James Wan que l'on retrouve à la réalisation de ce Dead Silence . Le réalisateur prolifique y montre encore une fois tout son talent pour mettre en scène des ambiances pesantes et mystérieuses, où le danger semble pouvoir surgir de partout. Il va surtout mettre un point d'orgue à travailler le sound design de son film pour amplifier l'impression d'étrangeté malsaine qui exsude de ses poupées.
Certes les poupées hantées sont effrayantes, mais quand c'est la main de l'homme qui les poussent à commettre d'horribles crimes sanglants, c'est encore plus anxiogène. Comme Jigsaw , personnage emblématique de Saw et devenu entretemps une icône de la culture pop reprise et détournée maintes et maintes fois. Une poupée, avatar d'un tueur psychopathe au goût prononcé pour les puzzles, oui ça fait peur.
Quand en 2004 sort le premier Saw (ce qui ne fait pas si longtemps si l'on considère qu'ils ont eu le temps d'en sortir sept depuis), on découvre ce pantin avançant sur un tricycle dans un bruit aussi malsain qu'inquiétant. Celui-ci va longtemps personnifier le tueur qui n'apparaitra qu'à la toute fin du film, si bien que l'image du bourreau est cette inquiétante poupée au look si particulier.
Le réalisateur James Wan rend à travers ce pantin, qui porte le doux nom de Billy sur le plateau de tournage, un hommage à un autre maître de l'horreur : le fantasque Dario Argento . Le créateur du Giallo avait en effet utilisé une poupée similaire dans son film Les Frissons de l'Angoisse , un des chefs-d'œuvre du réalisateur italien.
Dans un classement consacré aux plus effrayantes poupées du 7ème Art, il ne pouvait y avoir que Chucky sur la première place du podium. Celui que tout le monde connait, qui a hanté bien des nuits et qui a inspiré au cinéma d'horreur un sous-genre où ces adorables pantins, symboles de l'enfance, devenaient les pires cauchemars de l'être humain. Surtout, il traîne son corps en plastique sur les grands écrans depuis 1988.
Ce sera cette année-là que sortira Jeu d'Enfant , film de Tom Holland (qui aime visiblement traumatiser son monde puisqu'on lui doit aussi Les Langoliers ) où l'on découvre cette poupée habitée par l'esprit de Charles Lee Ray , un tueur en série qui arrivera à transporter son âme grâce au vaudou juste avant de mourir. Un film fait avec peu de moyens mais qui va faire de Chucky une star qui aura le droit à toute une série de films après ça.
Dans ces suites qui portent désormais le nom de Chucky dans le titre, on va rencontrer sa fiancée, Tiffany , la dernière amante de Charles Lee Ray quand il était humain et accessoirement tueuse en série aussi, ainsi que leur fils, Glen , animé des même pulsions meurtrières que ses parents (il s'en prend même à Britney Spears !). Une belle petite famille psychopathe !
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Chris Huby |
15 juillet 2015
- MAJ : 20/07/2018 18:17
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Gaspar Noé est de retour. Présenté à Cannes, où il aura largement suscité l'incompréhension, Love était très attendu, Sa promotion laissant entrevoir un métrage hard, provocateur, sans aucune concession.
Murphy reçoit un message sur son téléphone. C’est la mère de son ancien grand amour qui s’inquiète pour elle. Le jeune homme, déjà en pleine dépression, se souvient alors de la passion totale qu’il a vécue avec Elle. Noé nous livre ici l’une des premières grandes réussites de fiction qui mélange sexe non simulé et cinéma "traditionnel". À l'opposé de l'orgie provocatrice redoutée (ou attendue), le spectateur découvre une œuvre extrêmement touchante et d’une immense délicatesse.
La première scène donne le ton. L'héroïne masturbe le héros dans un long plan fixe, jusqu’à l’extase finale. Etonnamment, cette introduction n’a rien de vulgaire, le cadre est composé de telle manière qu’il en ressort une impression de beauté plus que de trash. Nous sommes face à un tableau animé. A ce titre, la photographie est utilisée de telle façon qu'elle habille les corps, que les détails organiques ne choquent jamais. Tout le film fonctionne de la sorte. Noé réussit donc son pari d’emblée et ce qui aurait pu devenir un objet scandaleux s'illustre finalement par son parfait équilibre. Il en ressort une impression de naturel et de fusionnel, une intensité et une sensualité rarement atteintes jusque-là dans le cinéma. Une date, sans aucun doute.
La simplicité du sexe comme élément essentiel de l’existence est ainsi parfaitement mise en image ici. Mais le propos n’est pas là, cette fameuse découverte des corps sert avant tout un propos dépressif sur la douloureuse séparation. Murphy se souvient d’Electra et vit un cauchemar éveillé, celui du souvenir empoisonné, tel un besoin, un manque toxique et culpabilisateur.
Murphy aime profondément Electra qui se sent rejetée puisque le désir du premier s’est répandu ailleurs, naïvement et en tout confiance. La destruction et la séparation qui s’en suivent, aux tons rouges de l’enfer, sont les prisons dont le héros n’arrivera plus jamais à sortir. Noé parvient à retranscrire le manque et la dépression d’un point de vue sensible, comme l’atteste la dernière image, terrible, et surtout immobile, comme paralysée dans le temps.
Gaspar Noé, après un Enter The Void décrié mais virtuose, touche du doigt son vieux projet d’amener le sexe comme élément « normalisé » au cinéma. Il rejoint la volonté de son mentor Stanley Kubrick qui avait évoqué un projet similaire il y a déjà 30 ans, en vain. Il accomplit ici un exploit, un très grand film.
Drame intime, radiographie d'un égo malade et vertige mélancolique, Love n'est pas (que) la romance porno annoncée, il est bien plus.
Vous n'êtes pas d'accord avec nous ? Raison de plus pour vous abonner !
Je soutiens la liberté critique
@NouveauBis : Ayant vu Eyes Wide Shut et Love, on peut affirmer que Gaspar Noé fait le contraire que Kubrick niveau moral. Premièrement, il montre des scènes de sexes non simulées. Deuxièment, il y a beaucoup de scènes où le personnage de Tom Cruise a honte de ce qu'il a vu (la scène du billard avec son ami médecin). Troisièmenent, ce n'est pas du tout la même histoire dans Eyes Wide Shut où Kubrick préfère faire une film froid et clinique sur le sexe à l'image de son personnage gynécologue. Le personnage de Murphy dans Love n'a aucun complexe à faire l'amour avec sa compagne. Il ne le juge pas et ne fait pas de moral. Nous ne savons même pas à la fin du film si Electra est toujours vivante ou pas...
@Nouveau Bis : tu vas apprendre la technique cinematographique a NOE ,t es pas pretentieux toi !!! t as realise quoi toi ?
Par contre, moi qui ai vraiment détesté le film, je
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