Tout les sex-toys lui vont bien

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Sex toys et jouets sexuels








Chloé Thibaud




Journaliste, réalisatrice et auteure





Publié le 23/12/2021 à 11h51
, mis à jour le 22/02/2022 à 00h00



en collaboration avec

Emmanuelle Balbi
(coach personnelle en sexualité féminine)




Sommaire


Sextoys en couple : quel est l'intĂ©rĂȘt ?


Quel type de sextoys choisir ?


Comment convaincre l'autre ?




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Article




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Diaporama




Sexualité

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Diaporama




Anneau vibrant, Ɠuf connectĂ©, gode ceinture : c’est dĂ©cidĂ©, vous voulez essayer les jouets ! Mais que faut-il savoir avant de vous lancer avec votre partenaire ? Les conseils d’Emmanuelle Balbi, coach en sexualitĂ© fĂ©minine et thĂ©rapeute.

" Quand, aprĂšs seulement six mois de relation, mon copain m’a dit qu’il partait bosser Ă  l’étranger, ça a Ă©tĂ© la douche froide, raconte ClĂ©a, 28 ans. On avait une relation tellement fusionnelle que je me demandais comment notre couple allait survivre Ă  la distance
 Et c’est lĂ  que j’ai dĂ©couvert les sextoys connectĂ©s !" Juste avant son dĂ©part, son compagnon lui offre un modĂšle “rabbit” qui est Ă  la fois pĂ©nĂ©trant et stimulateur clitoridien. "La rĂ©vĂ©lation, plaisante-t-elle. Non, vraiment, on a mĂȘme continuĂ© Ă  l’utiliser aprĂšs son retour en France, et depuis on a agrandi la collection
" Comme notre tĂ©moin, 45 % des Français.es ont dĂ©jĂ  utilisĂ© un jouet sexuel avec leur partenaire au moins une fois dans leur vie (selon un sondage IFOP de 2017 ). Alors, pourquoi pas vous ?
"Comme son nom l’indique, le sextoy est lĂ  pour apporter un peu de fun, explique Emmanuelle Balbi, coach en sexualitĂ© fĂ©minine et thĂ©rapeute. C’est un objet d’érotisation qui amĂšne Ă  explorer d’autres sensations, aussi bien chez les femmes que chez les hommes.” En effet, Nicolas considĂšre que les sextoys ont permis de maintenir la flamme dans son couple. “AprĂšs huit ans ensemble, c’est pas toujours facile de se surprendre, confie cet homme de 34 ans. Quand on a achetĂ© notre premier sextoy - un anneau vibrant - ça a vraiment mis du piment dans notre vie sexuelle, on ne pouvait plus s’en passer !"
À ce sujet, notre spĂ©cialiste prĂ©vient : “Attention quand mĂȘme Ă  ce que cela reste un jouet : le sextoy ne doit pas non plus prendre une place trop importante dans le couple, ou mĂȘme seul.e. Il est important de rester connectĂ© Ă  sa sensualitĂ© sans objet." En clair, mĂȘme le plus perfectionnĂ© des sextoys ne remplacera pas vos mains douces et votre langue experte !
Cela Ă©tant prĂ©cisĂ©, comment sĂ©lectionner le bon objet ? “L’idĂ©al, d’abord, est de le choisir ensemble, commente Emmanuelle Balbi. AprĂšs le dĂźner, par exemple, on peut aller explorer un sexshop, c’est assez amusant. Il y a des formes Ă©tonnantes, des tailles importantes, ça fait un petit peu peur parfois, mais l’excitation et l’envie d’essayer quelque chose de nouveau se mĂȘlent Ă  la peur, c’est rigolo !"
Pour dĂ©buter, vous pouvez essayer le cockring , un anneau pĂ©nien que l’on place directement sur la verge de son partenaire ou derriĂšre les testicules , au niveau du pubis. Les modĂšles vibrants sont gĂ©nĂ©ralement apprĂ©ciĂ©s par les partenaires fĂ©minines puisqu’ils stimulent le clitoris pendant la pĂ©nĂ©tration . Si, comme notre tĂ©moin ClĂ©a, vous et votre chĂ©ri.e ĂȘtes Ă©loignĂ©s gĂ©ographiquement, les sextoys connectĂ©s (Ɠufs ou rabbits) sont une bonne option : aprĂšs avoir installĂ© une application sur son smartphone, le partenaire contrĂŽle l’objet de loin
 TrĂšs coquin !
De son cĂŽtĂ©, notre coach en sexualitĂ© souligne que, dans les couples hĂ©tĂ©rosexuels, les sextoys ouvrent la voie vers de nouveaux plaisirs. " Je pense notamment au plaisir prostatique pour les hommes. C’est un sujet encore trĂšs tabou car certains ont peur d’ĂȘtre atteints dans leur virilitĂ©, mais ils prennent en rĂ©alitĂ© beaucoup de plaisir par la voie anale. C’est important d’en parler parce que pour eux, c’est l’orgasme suprĂȘme, et ils l’ignorent souvent. Un maĂźtre taoĂŻste parle du ‘point Ă  un million de dollars’, c’est dommage de s’en passer !" Pour l’initier, commencez d’abord en stimulant la zone entre l’anus et la base des testicules qui dĂ©multiplie les sensations.
Ensuite, plusieurs options s’offrent Ă  vous : "Pour les hommes qui aiment se faire pĂ©nĂ©trer, il existe plein de godes appropriĂ©s. Ce qui est super aussi, ce sont les doubles godes qui permettent aux deux partenaires de jouir, la femme en le plaçant dans son vagin et l’homme dans son anus. C’est un vrai plus pour ceux qui ont envie d’explorer !"
Si l’aventure vous tente, vous vous demandez sĂ»rement comment en parler Ă  votre chĂ©ri.e. Comme toujours, tout est une question de communication ! "Ce qui est important, d’abord, c’est le partenaire, pas l’objet, prĂ©cise Emmanuelle Balbi. Dans la sexualitĂ©, rien n’est sale. Si quelque chose semble sale ou pervers, ça vient du partenaire. D’oĂč l’importance d’ĂȘtre avec quelqu’un de bienveillant, respectueux, avec qui on se sent en confiance. Ensuite, les sextoys ne sont pas une obligation ! Si votre partenaire n’est pas d’accord, il ne faut pas insister car les deux personnes doivent donner leur consentement. Vous pouvez lui en parler en Ă©tant lĂ©ger, en vous concentrant sur l’aspect fun, la dĂ©couverte de nouvelles sensations. En fait, ça apporte aussi une complicitĂ©, ça joue dans la consolidation du couple lorsqu’on partage un truc qui n’appartient qu’à notre univers secret."
Pour conclure, elle rappelle qu’il ne faut pas hĂ©siter Ă  dire si quelque chose nous fait peur, nous fait mal. "On respecte son ressenti et on l’affirme ! Avant, mais aussi pendant l’acte sexuel : dĂšs que je pense ‘non’, je dis ‘non’, j’arrĂȘte. Il ne faut jamais se forcer."
Entretien avec Emmanuelle Balbi, coach en sexualité féminine et thérapeute https://www.emmanuellebalbi.com/
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Les sex toys peuvent ĂȘtre un plus! pour la double pĂ©nĂ©tration par exemple, il ne remplace pas son homme mais lui permet de faire encore plus fort

j ai un vivro et je doit dire que les aprem toute seule c super simpa je suis rester seule tres longtemps et je doit dire que cela ma vachement aider maintenant que je suis en couple et re je prefere mon cheri parfois c et tres amusant de s en reservire a nouveau

franchement les sextoys sont geniaux mon mari ne les aimes pas car il croit que c'est comme un amant et il a peur que nos relations sexuelles s'arrete ...au contraire elles vont de mieux en mieux...

Ce qui est dommage c'est que les hommes le voient comme de la concurrence et non comme un "petit plus" ou un truc complĂ©mentaire. Ca peut ĂȘtre trĂšs rigolo et ajouter du piment au relations sexuelles. Non les sex toys ne font pas de calins aprĂšs l'orgasme, et non ça ne remplacera jms un homme, mais les femmes qui ont des sex toys sont assez intelligentes pour le savoir et trĂšs bien gĂ©rer les deux....
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Fini le temps oĂč il fallait oser le sex-shop ou se planquer derriĂšre un catalogue pour s'acheter un vibromasseur. Les sextoys ont dĂ©finitivement envahi Internet et la tĂ©lĂ©vision, mais aussi les Ă©tudes universitaires et les pharmacies. Pas besoin de lire les magazines spĂ©cialisĂ©s pour en savoir plus sur ces nouveaux rituels du plaisir. En 2006 dĂ©jĂ , « France Soir » titrait : « Sex-toys, les Français aiment ça ». Les Français, ou les Françaises ? Car c'est le plaisir des femmes, le premier visĂ©, et c'est par les femmes que la mĂ©diatisation est arrivĂ©e : une femme en particulier, Nathalie Rykiel, qui a Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  « glamouriser » les vulgaires vibros. C'Ă©tait en 2002. Depuis, le succĂšs ne se dĂ©ment pas. Il existe aujourd'hui plusieurs centaines de modĂšles sur le marchĂ©, tous plus efficaces les uns que les autres (le principe Ă©tant de titiller le maximum de zones Ă©rogĂšnes Ă  la fois, comme aucun sexe masculin ni aucune main - mĂȘme la plus experte - ne sauraient le faire). Plusieurs livres ont Ă©tĂ© consacrĂ©s au sujet. Les adeptes ont leurs rĂ©unions de vente Ă  domicile, leurs ventes privĂ©es, ainsi que leur forum de consommatrices ... Si les chiffres de l'utilisation restent confidentiels (les diffuseurs prĂ©fĂšrent rester discrets), on constate que les « love-stores » se multiplient et que de nouveaux sites se crĂ©ent tous les mois.  
Entre les femmes et les sex-toys, la passion ne fait que commencer. Et les hommes ne le vivent pas tous sereinement. L'annĂ©e derniĂšre, deux SuĂ©dois ont portĂ© plainte contre une pharmacie pour «discrimination sexuelle». Parce que la boutique vendait ouvertement des vibromasseurs et des boules de geisha. Selon les deux mĂąles blessĂ©s, cela relevait d'«une vision totalement erronĂ©e de la sexualitĂ© : une femme utilisant un sex-toy, c'est un ĂȘtre libĂ©rĂ©, fort et indĂ©pendant, alors qu'un homme qui joue avec un vagin gonflable, c'est un gros pervers dĂ©goĂ»tant»... Qu'en pensent-ils donc vraiment, nos hommes Ă  nous, de ces nouveaux objets de dĂ©sir toujours au top, sans Ă©tats d'Ăąme? Comment vivent-ils cette nouvelle conquĂȘte de l'indĂ©pendance fĂ©minine? Sentent-ils leur virilitĂ© en danger, ou leur vie sexuelle enrichie? Sans fausse pudeur, ils se sont expliquĂ©s.
"Notre joujou à nous, c'est un petit dauphin. Que je trouve plutÎt sympathique, et en qui j'ai toute confiance. (Rire.) C'est moi qui en ai fait l'acquisition, il y a à peine un an, car Sophie n'osait pas trop. Je lui ai fait ce cadeau, en disant dÚs le départ que c'était moi qui manipulerais l'objet. Donc en quelque sorte, ce dauphin, c'est un peu moi...
Mais lui n'a pas de main, pas de langue, ne parle pas et n'a pas de petit ventre Ă  frotter sur un autre ventre... Bref, il ne me fait pas peur. Dans le pire des cas, mĂȘme si le joujou devait un jour prendre une vraie autonomie, cette forme de "concurrence" est un bon substitut au triolisme que l'on n'est pas prĂšs de tenter. Et un super-support au dialogue. Depuis l'arrivĂ©e de "Nanouk", on s'est enfin mis Ă  parler sexe. Il a mis du jeu entre nous, de l'Ă©rotisme..."
"Les sex-toys, on en entend beaucoup parler, mais on n'en voit jamais. Certaines copines m'ont dit qu'elles en avaient, mais je ne sais pas quels modÚles et je n'ai jamais eu le droit de les voir, encore moins de les toucher : c'est leur jardin secret, et c'est un peu frustrant. On aurait envie, en tant que mùle, de se sentir moins exclu. Enfin, je dis ça, mais je ne me masturberais pas devant une copine... "
« Voir ma partenaire se masturber, je trouve ça magnifique. Et super-excitant. Qu'elle se fasse plaisir avec un jouet, ou qu'elle se caresse devant moi... Mon fantasme, ce serait de la voir jouir dans les bras d'une femme. Avec ou sans sex-toy... »
« Le sex-toy a dĂ©boulĂ© dans ma vie comme l'Ennemi, le monstre de film d'horreur qui fait frĂ©mir et se cacher sous son lit. (Rire.) A l'Ă©poque, j'Ă©tais expatriĂ©, loin de ma compagne pour plusieurs mois. Et nous en Ă©tions rĂ©duits Ă  nous "chauffer" Ă  distance. Lorsqu'un jour, voulant m'Ă©moustiller par chat interposĂ©, elle m'avoue avoir achetĂ© quelque chose qui va l'aider Ă  passer ses "pulsions". Et cherche Ă  me faire deviner quoi : en fait, il s'agissait du godemichĂ© rose tout bĂȘte, tout classique. Rien de bien mĂ©chant. Sauf qu'au lieu de la petite excitation prĂ©vue, me voilĂ ... pris de panique ! Une vraie peur, animale, instinctive, primale. En fait, j'avais peur d'ĂȘtre remplacĂ©. Qu'une fois rentrĂ© Ă  la maison, je m'entende dire, lors de joyeux cĂąlins : "Hum, que tu me fasses l'amour, c'est trĂšs agrĂ©able, mais tu ne voudrais pas plutĂŽt te servir du truc rose ?" Mais il y a un rebondissement dans l'histoire. Car si pendant quelque temps ma rĂ©action a plutĂŽt refroidi nos Ă©changes, dĂšs mon retour en France, j'ai pu dĂ©dramatiser la situation. « Un jour qu'elle m'avait chargĂ© d'aller rĂ©cupĂ©rer une jupe et des bottes dans son armoire, j'ai fait rouler un cylindre rose cachĂ© dessous : le fameux sex-toy zombie. Face Ă  face... dĂ©risoire. Vu de prĂšs, l'objet m'a paru terriblement insignifiant. Sans vie, abandonnĂ© lĂ  comme un jouet d'enfant, qui sert deux fois puis se retrouve relĂ©guĂ© au fond d'un placard. Je n'ai plus peur des sex-toys depuis. Je me demande d'ailleurs si c'Ă©tait vraiment de la peur. Car en y regardant de plus prĂšs, Ă  l'Ă©poque de ma terreur, je traversais une pĂ©riode particuliĂšrement difficile, notamment au boulot... Alors oĂč se trouve "le dernier carrĂ©", le siĂšge de l'ego ? Peut-ĂȘtre est-il vraiment "lĂ  oĂč vole la main de l'homme lorsqu'il veut se protĂ©ger"... Ce que je pense aujourd'hui, c'est que j'ai dĂ©fendu mon sexe face Ă  une agression psychologique, parce que j'Ă©tais en position de faiblesse. »
"J'ai vu le fameux épisode de "Sex and the City" . Sur le moment, c'est sûr que tu te poses deux ou trois questions... Pourtant, avec le recul, cette histoire de sex-toys me semble juste un moyen insidieux de faire passer le message : on peut vivre sans hommes. Cela dit, si une femme fait ce choix-là, tant pis pour elle. On peut aussi vivre sans bonheur ou sans partir en vacances... "
« Je n'imagine pas de me comparer Ă  un sex-toy ! Ce ne sera jamais qu'un objet, et ça n'appartient pas aux mĂȘmes moments de la sexualitĂ© des femmes : si elles veulent s'amuser toutes seules, c'est trĂšs bien, mais quand je suis lĂ , j'attends que ce soit moi le jouet ! »
« La mode des sex-toys me fait marrer, avec un petit complexe de supériorité. Car moi je ne suis pas qu'un pénis ! (Rire.) J'imagine mal le vibro faire un cùlin aprÚs l'orgasme... En fait,
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