Tout ce qu'il fallait faire c'était demander

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Tout ce qu'il fallait faire c'était demander

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Translation of "ce qu'il fallait" in English



Le gouvernement aurait dû faire ce qu'il fallait .




The government should have done the right thing .



Je comprends tu pensais faire ce qu'il fallait .




I understand how you felt you were doing the right thing .



Nate savait toujours ce qu'il fallait dire.



Il m'a dit exactement ce qu'il fallait et pourquoi.




He told me exactly what was needed and why.




Good job for saying the right thing .



Je voulais faire ce qu'il fallait .



Mais vous avez essayé de faire ce qu'il fallait .




But you were trying to do the right thing .



Lucifer, Bree essayait de faire ce qu'il fallait .




Lucifer, Bree was trying to do the right thing .



Eddie m'a supplié de faire ce qu'il fallait .




Eddie begged me to do the right thing .



Quelqu'un devait faire ce qu'il fallait .




Someone had to do the right thing .



Que j'ai fini par faire ce qu'il fallait .




Tell him that in the end, it wasn't too late for me to do the right thing .



J'essayais de faire ce qu'il fallait .




I was trying to do the right thing .



Toute la vie de Danny allait s'effondrer car Chris voulait faire ce qu'il fallait .




Everything Danny had worked for his whole life... was just washing away, because Chris has to do the right thing .



Ok. Nous avons prouvé ce qu'il fallait .



La délégation canadienne souhaitait obtenir des éclaircissements de l'Égypte sur ce qu'il fallait entendre par arbitrage.




Her delegation sought clarification from Egypt on what was understood by arbitration.



Ils ont édicté ce qu'il fallait édicter pour satisfaire leurs intérêts.




They did what they had to defend their interests.



Dans ses récentes déclarations, elle a clairement dit ce qu'il fallait .




She was very clear in her recent comments about what is required .



Trente-six pays ont reconnu à Londres qu'un système de certification international était ce qu'il fallait .




Thirty-six countries agreed at London that an international certification scheme was the way forward.



Tu as dit exactement ce qu'il fallait .




It's just what the country needed to hear.



Ces gens ont reçu juste ce qu'il fallait pour survivre.




These people have been only kept alive.


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Laquelle de ces deux tournures faut-il préférer : ce qui m’arrive ou
ce qu’il m’arrive ?
Dans ce genre de construction, comme le mentionne l’article des guides
d’Antidote consacré à la confusion entre qui et
qu’il , le verbe arriver peut être utilisé de
façon aussi bien personnelle qu’impersonnelle.
Dans l’emploi personnel, l’action exprimée par le verbe arriver est
faite par un nom ou un pronom qui peut être repris par le pronom relatif
qui :
Une malchance m’arrive.
La malchance qui m’arrive.
Ce qui m’arrive.
Dans l’emploi impersonnel, on utilise le pronom impersonnel il , ainsi
appelé car il ne représente rien de précis, le sujet réel du verbe étant
placé ailleurs dans la phrase. Dans cet emploi, les formes équivalentes
des trois exemples précédents seront construites ainsi :
Il m’arrive une malchance.
La malchance qu’il m’arrive.
Ce qu’il m’arrive.
Avec un antécédent nominal, l’emploi personnel ( la malchance qui
m’arrive ) est plus fréquent que l’emploi impersonnel ( la malchance
qu’il m’arrive ). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois
sont fréquents : ce qui m’arrive ou ce qu’il m’arrive .
Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c’est surtout une question
de gout, de sensibilité. La tournure personnelle est plus simple et
directe que l’impersonnelle, qui peut donner la vague impression de
faire intervenir une troisième entité (le Destin ?) entre ce et
moi : la malchance qu’« il » m’a destinée…
Outre arriver , il existe quelques verbes, comme rester , plaire ou
advenir , qui permettent les deux constructions ( ce qui reste ou ce
qu’il reste ). Dans le cas de plaire , les deux emplois ne sont pas
interchangeables dans tous les contextes. On peut avoir des
constructions personnelles de ce type :
Cette robe me plait.
Je porte la robe qui me plait.
Je porte ce qui me plait.
Mais l’équivalent impersonnel du premier exemple n’est pas permis :
Toutefois, l’emploi impersonnel est permis dans la construction plaire
de suivie d’un verbe, ainsi que dans les constructions dérivées :
Il me plait de porter cette robe.
Je porte la robe qu’il me plait (de porter).
Je porte ce qu’il me plait (de porter).
Dans les deux derniers exemples, le segment entre parenthèses peut être
omis, car le verbe porter alors sous-entendu se trouve par ailleurs en
début de phrase.
Quant aux autres verbes, la plupart d’entre eux ne se prêtent qu’à
l’emploi personnel :
Une pilule me guérira.
La pilule qui me guérira.
Ce qui me guérira.
Avec ces verbes, les constructions impersonnelles suivantes sont
interdites :
*Il me guérira une pilule.
*La pilule qu’il me guérira.
*Ce qu’il me guérira.
Inversement, quelques verbes, comme falloir , se construisent toujours
avec le mode impersonnel :
Il me faudra une voiture.
La voiture qu’il me faudra.
Ce qu’il me faudra.
Avec ces verbes, les constructions personnelles suivantes sont
interdites :
*Une voiture me faudra.
*La voiture qui me faudra.
*Ce qui me faudra.
L’hésitation qu’on peut parfois éprouver au moment de choisir entre ce
qui et ce qu’il s’explique en partie par le fait que la consonne l
du pronom il est souvent escamotée à l’oral, ce qui rend alors les
deux constructions identiques à l’oreille.
En conclusion, pour revenir au verbe arriver de la question initiale,
l’on peut donc faire ce qui nous plait ou… ce qu’il nous plait !
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Le verbe recouvrer possède avec les verbes récupérer , retrouver et recouvrir certains liens de ressemblance formelle ou sémantique qui occasionnent des difficultés d’emploi.
Ce mois de mai que la chanson nous assure « joli » sera l’occasion de passer en revue quelques difficultés linguistiques qu’on peut rencontrer quand il s’agit de parler de température atmosphérique.
Luc est Français ou Luc est français ?
Les gentilés prennent la majuscule quand il s’agit du nom désignant une personne ( un Français
vivant à Paris ) et prennent la minuscule quand il s’agit du nom de la langue ( j’apprends le français ) ou d’un adjectif
( un touriste français, un film français ). Mais, dans une phrase avec un attribut, comme Luc est français , faut-il une majuscule ou non ?

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Faits Divers

Par Hugo Ruaud Publié le 11/08/2022 à 16h07 Mis à jour le 11/08/2022 à 18h40
Jeudi 28 juillet, lors de l’accident qui a coûté la vie à trois personnes à la sortie de la bastide, le brigadier Julien est arrivé le premier sur les lieux pour porter secours aux victimes

« C’est vraiment terrible » : en Dordogne, après la dramatique collision, le temps du deuil à Eymet


La bastide est soudée autour des familles des trois victimes, deux grands-parents qui ramenaient leurs enfants en Périgord et une habitante du village

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O riginaire de Dunkerque (Nord) où il a passé toute son enfance, le brigadier Julien, âgé de 22 ans, tout juste sorti de l’école de gendarmerie, est arrivé à la brigade d’Eymet (Dordogne) en février. Jeudi 28 juillet, il a été le premier à porter secours aux victimes de l’accident d’Eymet , dans lequel trois personnes sont décédées. Il revient sur les circonstances de son intervention.
Où étiez-vous lorsque l’accident s’est produit ?
J’étais de service, mais je n’étais pas censé partir en...
Où étiez-vous lorsque l’accident s’est produit ?
J’étais de service, mais je n’étais pas censé partir en intervention. L’après-midi, j’étais chargé de l’accueil à la brigade de Sigoulès, où je me rendais. C’est sur la route, un peu avant 14 heures, que j’ai entendu un bruit au loin. Quelques secondes plus tard, je suis arrivé au croisement de la sortie d’Eymet, et j’ai vu les deux voitures accidentées.
En premier, j’ai garé ma voiture pour bloquer la route. Après, j’ai appelé mon adjudant-chef tout en courant pour aider les victimes. Je lui ai dit qu’il y avait un gros choc frontal entre deux véhicules, qu’il fallait venir vite. Je lui ai dit où c’était et j’ai raccroché. Je me suis dirigé vers la première voiture. J’ai compris que c’était très, très grave. Il fallait que je délègue. J’ai attrapé un civil pour lui demander d’appeler les pompiers, un autre pour appeler le Samu. Certains civils étaient en état de choc. J’ai dû crier un peu, mais ils coopéraient bien.
Vous-même, vous n’avez pas paniqué ?
Quand j’ai vu l’accident, sa gravité, j’ai paniqué pendant une seconde ou deux. Puis je me suis immédiatement repris en main. Je me suis dit que je n’avais pas le droit de paniquer, que des personnes comptaient sur moi. Je savais que ce genre de situation pouvait arriver un jour. Mais le temps où j’étais tout seul, ça m’a semblé être une éternité. Peu après, mon adjudant-chef et un collègue sont arrivés, mais, même là, on était seuls au monde. On sait porter les premiers secours, mais là, c’était trop grave. En école, on a des mises en situation assez fréquemment, les formateurs nous font part de leurs expériences. Malheureusement, on ne peut pas savoir comment on va réagir tant que cela ne nous arrive pas. La théorie c’est une chose, mais la réalité, c’en est un autre.
Ensuite, les secours sont arrivés. Vous avez passé le relais ?
Pas tout de suite. Les premiers secours sur place étaient des pompiers volontaires, ils étaient trois, en plus de mes deux collègues qui sont arrivés rapidement d’Eymet. Comme j’étais là depuis le début, j’ai continué à les guider. Nous nous relayions pour faire des massages cardiaques aux victimes. En même temps, le Samu nous conseillait par téléphone. On a fait tout ce qu’on a pu, tout ce qu’on a appris à l’école de gendarmerie et auprès des collègues. Tout comme les pompiers volontaires. Puis, quand de nouvelles unités de pompiers et le Smur sont arrivés, ils ont pris les choses en main et on les a assistés. Eux aussi ont fait le maximum, ils ont tout donné, tout essayé.
Et pour vous, comment s’est passée la suite ?
Je n’étais pas bien pendant plusieurs jours, et c’est normal. C’était dingue tout ce qu’il avait fallu gérer : la circulation, les victimes en urgence absolue, les blessés plus légers, les civils en état de choc et le Samu qui me posait un million de questions… Et puis aller prévenir les familles. C’était une épreuve très dure. Forcément, le soir, la pression est retombée d’un coup. Mais j’ai bénéficié d’un soutien psychologique, avec une cellule mise en place. Après l’accident, on a débriefé à la caserne, pour mettre des mots sur ce qu’il s’est passé. J’ai aussi eu des messages pendant le week-end de collègues qui prenaient des nouvelles. L’un d’eux m’a invité à manger. Même un colonel s’est déplacé pour venir me voir. Ce qui m’est arrivé aurait pu arriver à n’importe quel gendarme, ça fait partie de notre boulot. Et en gendarmerie, tout le monde se soutient.
C’est pour effectuer ce genre d’intervention que vous avez choisi d’être gendarme ?
Dès petit, je voulais devenir gendarme. Pour moi, c’est une vocation avant d’être un métier. J’ai toujours voulu vivre des situations d’urgence, un peu comme les infirmiers ou les médecins du Samu, être au cœur de l’action. Je ne sais pas trop l’expliquer. Puis, en 2015, j’ai été renversé par une voiture. Je suis resté un an et demi à deux ans à l’hôpital. Ça m’a donné de l’énergie et a décuplé mon envie de devenir gendarme. Alors certes, parfois, il y a des situations comme l’accident d’Eymet qui sont difficiles, mais ce n’est pas toujours le cas. Si mon exemple peut motiver une seule personne à s’engager dans la gendarmerie, ce sera déjà beaucoup.
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